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J'ai un QI de 160. Que puis je en conclure ? - Page 2

Question anonyme le 13/02/2011 à 15h42
Dernière réponse le 14/04/2024 à 23h39
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J'ai un qi de 160 et j'aimerais savoir qui suis je ,que puis je en conclure concrètement ?
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1052 réponses pour « 
j'ai un QI de 160. Que puis je en conclure ?
 »
Réponse anonyme
Le 13/04/2013 é 01h16
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Je suis d'accord avec la theorie de la mythomanie... On en a meme qui parlent de 170 alors que le wais (test utilise en france dans 99,9% des cas) a un plafond de 160... Bref tout ca pour dire 160 de QI cest pas 130, a 130 y en a qui finissent par se planter parce que les facilites ne suffisent pas... 145 cest rare lechec sauf en cas de depression. A 160 il y a deux cas la depression menant au suicide ou la depression qui va et viens mais sachez que 160 cest tellement exceptionnel quil est impossible de rater lecole vu que beaucoup suppose 160 ici ne sont pas des grands chercheurs en physique ou philosophie. Les gens semblent de plus persuadés que un haut QI voir ultra haut car 4 deviations cest enorme est un dons ou quelque chose de super, croyez moi plus le QI monte moins facile il est de vivre, cest pas pour rien que le taux de suicide des thqi (145 et +) est enorme. Merci donc davoir un peu plus de reconnaissance pour cet handicap qui est tres lourd a porter. En plus detre handicape tous les autres nous voit comme privilegié ! Meme pas un peu de soutien ! Oui jai 20 ans et bac+6, super me direz vous et pourtant je suis incapable davoir des amis, de profiter des choses ! Je deprime depuis toujours et ca va pas en sameliorant car le gap sagrandit de jour en jour. Vous navez pas 160 de QI si vous vous demandez ce que vous allez faire de votre vie ou si vous pensez avoir un dons. Vous avez peut etre 160 de QI si tout est transparent, que les gens vous semblent plat, que vous etes a lecart de tout, que vous saviez lire a 3 ans et que vous etes extralucides. Biensur tout ceux qui se reconnaitront cest a dire quasiment tout le monde car tout le monde tombant ici sera deja persuade davoir 160 de QI seulement un infime pourcentage ayant reelement les comorbidités associées auront le courage daller se faire aider a la suite dun bilan dispensé par un professionel. Je vais donc me repeter afin de bien enfoncer le clou, avoir 160 de QI est un réel handicap !
Référence(s) :
Ma vie
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Réponse de chaton06260
Le 05/07/2013 é 00h02
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Bonjour, Quel bonheur de découvrir des symptômes partagés !!! En soi c'est un réel soulagement, pour commencer. Ensuite, je réalise grâce à vos réponses diverses qu'il existe une assistance pour nos cas. Quelques termes à retenir, afin d'orienter ma tentative d'amélioration. Aussi, ce que je viens de lire est un joli résumé de mon vécu : scolarité médiocre, précocité reconnue, solitude, incompréhension, incompatibilité avec ceux de mon age, déchirements mentaux et émotionnels, sentiment de gâchi de ma vie surtout, ce à quoi j'ai décidé de remédier aujourd'hui, et qui m'a amenée à cette page très intéressante (la 1ère d'une longue quête). Pour ma part (44 ans) , jusque là ma solution de survie au sein de ces méandres a été de m'entourer de que j'aime et faire de ma vie une routine qui m'est agréable, bienveillante, simple, saine, axée sur l'apprentissage par le biais de tout ce qui m'atteind, l'aide que je peux apporter spontanément, l'amélioration de mes qualités, et la correction de mes défauts. Lol, c'est pas gagné. Et aujourd'hui, j'ai décidé de me prendre en mains et d'exploiter ce potentiel à des fins plus utiles, après tout, si je peux être encore plus efficace pour moi et mes congénères, pourquoi me retenir ? Courage, vous n'êtes pas aussi seuls que vous le croyez parfois. :)... et moi non plus du coup. Et merci par avance si vous avez encore des tuyaux à me passer pour aller de l'avant, de façon constructive.
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Réponse anonyme
Le 16/08/2013 é 22h09
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Salut la troupe ! Je n'ai quant à moi jamais fait de test de QI mais je pense qu'il faut rappeler que les seuls tests de QI valables sont ceux qui ont été conduits par des professionnels. Lorsque l'on lit dans vos interventions qu'avoir un tel QI serait - au choix - une chance, une responsabilité ou un handicap, ce qu'on fait en réalité, c'est une métonymie (figure de style : taper sur Google) puisque le QI n'est rien d'autre qu'une mesure. La question à se poser est donc : Qu'est-ce que le QI mesure exactement ? Je propose de lire attentivement la page suivante pour se faire une bonne idée sur cette question : http://fr.wikipedia.org/wiki/Quotient_intellectuel#Que_mesure-t-il_.3F_Qu.27est-ce_que_l.27intelligence_.3F Selon mon souvenir, il en va du QI de la façon suivante. Des échantillons (statistiquement représentatifs de la société considérée) de personnes d'un âge donné (8 ans, 9 ans, 10 ans, etc.) sont formés. Chaque échantillon d'âge doit fournir une prestation cognitive clairement mesurable. Ce qu'on mesure, je crois, c'est la prestation cognitive atteinte par rapport à la capacité cognitive complète atteignable, à savoir celle des adultes. Pour se représenter la chose, on pourrait se dire que tel ou tel enfant de 13 ans atteint, par exemple, 74% des capacités cognitives adultes. Puis vient le tour de votre enfant de 13 ans. Si sa prestation est exactement celle de la moyenne du groupe de référence (enfants de 13 ans), alors son QI est, par définition, de 100. Imaginons maintenant que votre enfant ait atteint 85% du maximum atteignable, c'est-à-dire qu'il a fait 85% de la performance moyenne du groupe des adultes de référence. Imaginons que les enfants de 13 ans n'atteignent, eux, que 70% en moyenne. Alors (je crois que) le QI de votre enfant est de 100 * 85 / 70 = 121. De cette façon de calculer (si quelque psychologue pouvait la confirmer, merci), on déduit deux petites choses centrales : la première, c'est que la mesure du QI, c'est quelque chose qui ne fait sens que pour quelque'un n'ayant pas encore atteint l'âge adulte (bien que des calculs extrapolatifs ne soient pas à exclure, mais ces calculs ne seraient alors que des bricolages venant par après, pour ainsi dire). La seconde chose, c'est que pour chaque âge, le QI maximum atteignable est limité. Dans mon exemple, un enfant de 13 ans ne pourrait atteindre un QI supérieur à 100 * 85 / 100 = 185. Et plus l'âge avance jusqu'à atteindre l'âge de la maturité cognitive de - disons - 20 ans, plus le maximum atteignable est proche de 100. Vous ne pouvez donc passer un test à 19 ans et avoir 150 de QI. En tout cas pas sur la base d'un test non extrapolé (sur quelle base le serait-il d'ailleurs ?). Ces quelques réflexions ont pour but de remettre un peu l'église au milieu du village, en fixant certaines idées centrales. Vos 160+, vous pouvez donc les garder pour vous car c'est du pipeau. Certains des intervenants l'ont déjà clairement dit; quant à moi, j'aurai tenté de le démontrer. Cordialement.
Référence(s) :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Quotient_intellectuel#Que_mesure-t-il_.3F_Qu.27est-ce_que_l.27intelligence_.3F
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Réponse anonyme
Le 16/08/2013 é 22h14
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Encore un qui n'y connait rien et veut faire son connaisseur... Le WAIS est plafonné a 160 mais certains tests vont beaucoup plus haut c'est une histoire de déviation par rapport a une norme rien à voir avec l'age.
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Réponse anonyme
Le 17/08/2013 é 04h52
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Interesse-toi à cette norme et tu verras qu'il s'agit d'une norme d'âge. Car le rapport entre l'âge mental et l'âge réel multiplié par 100, c'est le QI (voir Adresse Internet que je donne en référence). Il s'agit en fait de mesurer une précocité. Et c'est pourquoi mesurer le QI d'un adulte ne fait pas beaucoup de sens (bien qu'il y ait des test extrapolatifs bricolés sur la base de ce qui se serait passé si, étant gosse, [bla bla bla], mais je ne crois pas que ce soit l'intension première des tests d'intelligence). Lorsque vous dites que vous avez 44 ans (ou 27, ou 35, tous âges adultes) et que vous avez été aperçu à 160+ sur l'autoroute, vous vous ventez d'une potentialité que vous auriez eu du temps de votre enfance. Or, plus de 20 ans après, que reste-t-il de vos amours ? Êtes-vous devenu mathématicien ? Cryptologue militaire ? Actuaire à succès dans le monde des assurances ? Philosophe de renom ? Que gardera de vous l'Histoire ? Poser ces questions, c'est y répondre, ne pensez-vous pas ? D'ailleurs c'est simple : si vous n'êtes pas devenu au moins deux de ces choses que je cite, vous ne devriez avoir honte de dire votre QI. C'est un peu comme de se vanter d'avoir reçu une grosse moto étant jeune mais de se retrouver vieux et de constater que le voisin Avec son vélo a été bien plus loin que vous. Alors oui, vous avez Raison, dans ce cas, pour supporter, il ne vous reste plus qu'à verser dans le pathos. Alors oui, pleurons Ensemble, si vous voulez bien. A chaudes larmes. A moins bien sûr que vous ne soyez mathématicien, actuaire à succès et cryptologue militaire à la fois. Alors là, oui, nous pouvons discuter car vous aurez prouvé votre haute valeur (et même dans ce cas, on est à des bornes d'Albert Einstein qui nous coiffe tous au poteau de l'Histoire Avec un Grand "H"). Cordialement.
Référence(s) :
http://tecfa.unige.ch/tecfa/teaching/UVLibre/0001/bin45/intello.htm
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Réponse anonyme
Le 17/08/2013 é 09h26
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Personnellement j'ai été testé a 4 ans (et je n'ai que 20 ans, mon premier post est en haut de la page 2) mais vous parlez d'un modèle qui n'existe plus, on ne parle plus d'age mental et d'age physique pour les adultes ça n'a aucun sens. Il faut plutôt prendre le score comme une interpolation gaussienne d'un pourcentage de la population battu. On parle plus souvent de déviation standard que de score (qui n'existe qu'a titre indicatif), n'oublions pas que le test de QI est la pour établir un diagnostique. Je le rappel car ca ne semble pas être bien compris avoir 160 de QI voir même 145 n'est PAS un avantage ou quelque chose dont on peut se venter, ceux qui le font n'ont pas ce QI. Pour ce qui est de l'achèvement professionnel c'est un modèle erroné, ne prenez pas votre conception du succès pour une conception universelle, celle-ci n'appartient qu'a vous. Certains des plus grands philosophe qui ont existé travaillaient dans des mines et leurs écrits ont pris sens des décennies après leurs décès donc le renom... De plus le renom implique l'acceptation du plus grand nombre, je doute fortement qu'il soit possible de parler d’épistémologie ou de l'implication du boson de higgs dans la subjectivité avec le plus grand nombre. Ce qui me ramène à votre remarque sur Einstein qui a simplement volé la relativité générale à Poincaré et qui était persuadé que la physique quantique était impossible alors que nous savons tous maintenant que c'est la description la plus proche de la réalité que nous avons. Vous voyez donc que le grand publique ne comprend pas grand chose aux domaines que vous citez, il en va de même pour vous, ne reposez pas votre argumentation sur les sciences sans avoir un minimum de culture scientifique. Tout ca pour dire qu'on ne s'improvise pas psychologue et que les tests élaborés par des centaines de professionnels et normé sur des dizaines de milliers de personnes ne risque pas de perdre leurs légitimités face à quelqu'un qui a lu l'histoire de l'échelle de Wechsler sur wikipedia... Si vous êtes frustré car vous n'avez pas eu le score que vous attendiez au test, il serait bon d'en parler à votre psychologue, vous n'irez que mieux quand vous aurez pu résoudre ce problème.
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Réponse anonyme
Le 17/08/2013 é 10h32
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Bonjour chaton (c'est bien vous, n'est-ce pas ?), Quant à moi, je suis DerDivisionaer, le divisionnaire. Comme ça, les présentations sont faites. Vous avez commis 6 paragraphes; jusqu'à la fin de la lecture du troisième, j'étais sur le mode "Oui, admettons, on peut en effet discuter ceci et cela." Par la suite, vous avez franchi une limite, la limite habituelle de ceux qui ne peuvent se retenir. Au premier paragraphe, je me suis demandé ce que vous entendiez avec votre "Interpolation [...] d'un pourcentage". Car une interpolation se fait à partir de plusieurs points, vous en conviendrez, et que celle-ci soit gaussienne ou de loi Bêta (ah ah) ne change rien à l'affaire. Une interpolation est un rapport fonctionnel qui - par exemple - minimise la somme des carrés des écarts entre chacun des points d'un nuage de points et son interpolé correspondant. Donc oui, évidemment qu'il y a interpolation, mais linéaire et entre plusieurs "pourcentages", comme vous dites. Cependants ces pourcentages sont des scores associés chacun à une âge. Vous pouvez vous imaginer un nuage d'une vingtaine de points de la forme {(p_1, âge_1); (p_2, âge_2);...;(p_20, âge_20)} et où p_<i> signifie le score numéro i. Mais ici, l'interpolation est linéaire et obtenue selon la méthode des moindres carrés. La gaussienne n'intervient que pour déterminer la dispersion autour de chacun de ces points (p_<i>, âge-<i>), c'est-à-dire pour déterminer un Intervalle [mu-sigma, mu+sigma], Avec mu=p<i> l'espérance et sigma l'écart-type de la variable aléatoire. C'est un modèle de régression linéaire statistique. Troisième paragraphe : Le jugement du plus grand nombre est très fiable lorsqu'il est associé au temps de l'Histoire. Pour ne prendre qu'un exemple parmi ceux qui vous imaginez être des philosophes "travaillant à la mine", comme vous dites, prenons le cas de Ludwig Wittgenstein. Le monsieur a renoncé à un poste de professeur à - je crois Cambridge - comme successeur de son ancien maître Russel pour devenir simple instituteur en campagne. Mais l'Histoire l'a rattrapé et son génie a été reconnu. Dans tous les cas, ses réalisations conceptuelles brillantes n'ont pas attendu le nombre des années et très jeune Wittgenstein avait déjà une production réelle et très concrète. Et savez-vous pourquoi le "plus grand publique", comme vous dites, a fini par le connaître ? Eh bien, c'est parce que la communauté scientifique (dans notre cas celle des philosophes) l'a reconnu et que la compétence de cette communauté est immense et son jugement très sûr. Votre "grand publique", comme vous dites, n'arrive qu'en second lieu derrière la reconnaissance et l'expertise de centaines de spécialistes experts dans l'art de débusquer - avec l'aide du temps, le génie là où il se trouve. A votre troisième paragraphe, là, franchement, c'est n'importe quoi. Poincaré et Lorenz ont presque trouvé la relativité restreinte, oui bien sûr, mais le grand coup d'Einstein aura été la relativité générale (1915). Lisez R. Feynman pour comprendre en quoi l'apport d'Einstein a été le travail d'un seul homme (en réalité d'une petite équipe dont les secondants étaient son ami Marcel Grossmann, sa femme Mileva et aussi le jeune André Weil, alors algébriste à Zurich. D'ailleurs, la première publication sur la relativité générale a été co-signée Einstein/Grossmann) Votre quatrième paragraphe : Ca démange, hein, vous ne pouvez vous retenir... Vous devez me lancer une pointe... Aie ! Votre quatrième : Vous insistez... tsss. En résumé : Vous n'avez rien dit à part dire "J'existe, regardez-moi ! Oui, moi, à 4 ans déjà... oui, moi, j'ai entendu le mot "gausienne", oui moi, regardez-moi, je sais dire Einstein et Poincaré... et je me sens malin parce que je viens d'en entendre parler et les autres sont des c..." Voilà ce que vous avez dit, en réalité. Et moi, eh bien, je vous dis bravo petit chaton.
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Réponse anonyme
Le 17/08/2013 é 11h03
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Merci d'avoir confirmer mes affirmations, il en fallait pas beaucoup pour vous faire sortir de vos gonds ;) . Pour ce qui est de mon rapport à ma crise existentielle disons juste que je m'utilise comme exemple ne pouvant pas connaitre le passé des autres ni ce qu'il se passe dans leurs têtes. Ne prenez pas mes messages comme une agression seulement une constations faites à partir des quelques messages que j'ai pu lire précédemment, j'ai bien conscience qu'il n'est pas possible de vous juger sur 3 messages échanger dans un contexte de divergence d'opinion. Cordialement, Votre petit chaton
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Réponse anonyme
Le 17/08/2013 é 11h49
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Cher petit chaton, C'est vrai que je suis rapide de la gachette alors que cela est rarement indiqué. C'est que j'aime ça, je crois bien. Je vous donne mon avis concernant le génie... Il se reconnaît aux questions qu'on se pose, à leur nature ainsi qu'à leur originalité. On apprend à l'école, puis dans les écoles supérieures, à résoudre des exercices, on apprend des méthodes et parfois on doit résoudre quelques problèmes (La différence entre un exercice et un problème : lorsque vou connaissez les moyens à disposition et le but, vous avez en principe à faire à un exercice alors que si vous ne connaissez que le but, vous avez à résoudre ce qu'on appelle un problème. En gros, c'est ça, la différence.) Connaître les méthodes est bien sûr incontournable ! Mais arrive un Moment dans l'évolution de l'apprenant lorsqu'il se pose certaines questions. C'est à mon avis à ces questions qu'on peut le mieux juger de son intelligence. D'ailleurs, la considération des questions de l'apprenant révèle les réponses qu'il Aura su apporter aux questions préalables. Le questionnement révèle l'état actuel de la compréhension d'un Sujet. En Analyse vectorielle par exemple, ce n'est que lorsque vous avez réellement compris la différence entre une variété et une sous-variété que vous êtes en mesure de vous poser la question (bien sûr, par vous-même) du sens des développements faits autour de la notion de différentielle entre deux espaces tangents. Tant que, à vos yeux, la notion de sous-variété suffit, vous ne voyez pas la pertinence de ces raisonnements. Vous les apprendrez pour l'examen et vous les oublierez bien vite... Pffuit ! Oubliés. Car le cerveau ne s'encombre pas des choses qui pour lui ne font pas sens. Il ne conserve que les éléments de savoir qui sont compris dans leur structure et cette structure est personnelle, c'est la structure que nous tissons à partir de nos questionnement. C'est là que le génie s'y trouve, s'il devait se trouver quelque part. Et là, bien sûr, la vitesse de calcul ne joue pas de rôle. Vous pouvez très bien être un mathématicien calamiteux tous les jours de la semaine sauf les mardi après-midi lorsque vous avez l'inspiration... Vous jouirez d'une reconnaissance mondiale pour ces mardi après-midi. Le temps ne fait donc rien à l'affaire et ce qui fait l'homme, ce sont ses questionnements. "Dites votre question et je vous dirai qui vous êtes." Les grandes questions portant souvent sur la nécessité ou la contingence de tel ou tel point dans un raisonnement complexe. "Pourquoi ne pourrait-on faire autrement ?" "Quelle est la pertinence de tel concept ? Pourrait-on faire sans ?" Les questions d'application ne venant, à mon sens, que bien après. Cordialement, DerDivisionaer
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Réponse anonyme
Le 22/09/2013 é 05h20
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Bonjour à tous, Je n'ai pas un Qi extraordinaire et je prends plaisir à vous lire. Je voudrais dire à la personne qui a 20 ans et bac+6 qu'il est tout à fait normal qu'elle se sente seule et déprimée, étant donné qu'elle a passé son temps devant les livres depuis sa plus tendre enfance, sans jamais arriver à nouer de lien avec l'extérieur. C'est sans doute ce handicap emotionnel qui l'a fait se réfugier sur elle meme et à coeur perdu dans les bouquins, sinon comme tout être humain, elle aurait pris le temps de vivre. Malgré tout l'intelligence dont vous faites preuve, j'ai peur de vous apprendre que le secret pour communiquer, c'est de considérer l'autre comme son égal, voire même de ne pas se distinguer trop de la masse pour se faire des amis. Chaque personne à quelque chose à nous apporter, soyez en convaincu, devenez une autre personne, brulez vos bouquins et apprenez la vie, y a pas de livres pour l'expérience. bonne vie
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Réponse anonyme
Le 30/09/2013 é 23h15
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Comme vous avez raison, chère madame. On classe les gens dans notre tête, mais on se fait des idées sur les gens... Prenez mon exemple. Je me trouve au club d'échecs, dans notre bistrot. Un alcoolique rester assis sagement au fond du restaurant tandis que celui-ci se remplit de trois équipes à 6 joueurs (plus autant d'hommes de notre propre camp, donc 3*6*2 = 36 joueurs). Une belle brochette : on y trouve notamment un juge du tribunal administratif, trois mathématiciens et même un grand-maître, qui est venu avec son équipe d'enfants qu'il entraîne (le monsieur est en effet entraîneur d'échecs pour jeunes talents). Les parties commencent et l'alcoolique regarde sans mot dire, visiblement intéressé. Les premières victoires tombent (dont la mienne) et déjà l'une des trois équipes invitées quitte la place, ayant perdu. Le bistrot se vide et mon regard tombe sur l'alcoolique, avec lequel j'avais auparavant poliment échangé quelques banalités. Le monsieur se lève alors et me sert la main. Sa poigne étant remarquable, je lui demande s'il ne ferait pas un bras de fer (He oui, tiens, pourquoi pas ?). Il me montre comment faire et démontre une connaissance évidente de la chose. Il m'explique qu'il avait, dans sa jeunesse, été invité au championnat du monde de bras de fer (se déroulant alors au Canada) et que donc il savait de quoi il parlait. L'homme est captivant pour qui sait entendre et m'explique l'aspect technique de la chose m'assurant qu'au niveau de la poigne, j'en avais bien suffisamment pour faire des tournois. Puis le monsieur m'explique que son ancien travail était celui d'écuyer, à s'occuper des chevaux des cavaliers de compétition. Il m'explique plein de choses sur les chevaux et son métier, et pourquoi il a choisi de vendre son manège à la mort de son père. Le monsieur est alcoolique maintenant, oui. Mais franchement : n'est-il pas passionnant ? Bien que venant de deux mondes radicalement différents, nous avons su nous rencontrer histoire d'un soir, selon la chanson... Ce soir,là, je n'ai pas parlé de mathématiques et mes collègues joueurs d'échecs me regardaient tout étonnés en train de me mesurer au bras de fer avec le champion alcoolisé. En se disant peut-être : "Mais qu'est-ce qu'il lui trouve ? Pourquoi préfère-t-il sa compagnie à la nôtre ?" Une pensée de pharisien qui regarde Jésus en Train de s'amuser à la table du collecteur d'impôt...
Référence(s) :
Jésus, le retour II, in: La Bible. Mathieu, Marc, Luc et Jean
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Réponse de kelyo13
Le 04/10/2013 é 07h34
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Bonjour voila j'en et jamais parler de peur ou angoisse , j'ai un QI de 165 avec une grosse dyslexie ce qui ma mis parfois des battons dans les roue , j'ai que 23 ans et pour temps dans ma tête j'en et beaucoup plus , on ma souvent dit tu et un génie car je fessait beaucoup plus facilement et sens effort certaine discipline que autre fond moins vite et avec plus de temps , j'en et parler très peux et j'en parle encore tres peux car je aime pas le dire de peur ??? peux etre !!! , et je voulait savoir comment faire pour le cacher ? comment enlever cette dyslexie qui me détruit ma vie et faire que je soit un homme normal
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Réponse de kelyo13
Le 04/10/2013 é 07h37
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Comment faire alors car je suis comme toi et sa me detruit petit a petit
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Réponse anonyme
Le 04/10/2013 é 20h41
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Autant de haut quotient intellectuel? C'est presque impossible. Non. C'est impossible! xD Avoir plus de 145 de QI c'est entrer dans les 0.13 % de la population a avoir un QI de cet niveau. Et vous, vous y allez! 160! 157! et hop hop hop! Déjà, 160 de QI sur internet ou chez un psy? Ensuite un QI de 16 sur quelle échelle? parce que le Catell est plus généreux que le WAIS. avoir 160 au Catell, c'est tout juste avoir 138. Ca reste élevé, mais ce n'est pas extroardinaire. Ensuite, rappelle-vous que la surdouance n'est pas qu'une question de QI. C'est surtout une question de mode de pensée: la pensée en arborescence. L'hypersensibilité, hyperémotionnalité, ainsi que l'intuitivité y sont associés. Hors vous ne semble pas en faire beaucoup preuve. Mon frère a 148 de QI, et je sais qu'il ne réagirait pas comme ça. Ce serait trop mesquin à ces yeux. A oui! Un surdoué à le sens de la justice ;) 2trange, donc...
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Réponse anonyme
Le 09/10/2013 é 20h04
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Bande de bras cassés ! Vos interventions de si piètre qualité (et rédactionnelle et du point de vue des quelques idées que vous arrivez tant bien que mal à prononcer, entre 25 fautes de grammaire) témoignent de votre médiocrité. Vos propres textes sont une sentence sans appel qui dénonçent l'indécrotable en vous. A ceux qui prétendent, oui, prétendent tant ! Sachez que la société est ainsi faite que chacun côtoie les gens qui lui correspondent (à part les enfants et les prisonniers qui, eux, n'ont pas le choix). Vous prétendez dépasser vos congénères, confrères et copains ? Sachez qu'il se trouve toujours quelque part où vous serez surpassés. vous devez juste chercher la bonne compagnie. Si vous êtes si brillants, allez donc vous inscrire dans un club d'échecs et bien vite vous rencontrerez vos limites. Comme vous vous sentirez normaux alors ! Vous êtes surdoués ? Inscrivez-vous en mathématiques à l'université ! Dépassez vos maîtres ! En un mot comme en cent : Si vous vous sentez si supérieur, c'est qu'il vous faut chercher compagnie plus forte, et celle-ci vous attend au coin de la rue, où se trouve le prochain club d'échecs ou de bridge, café philosophique ou faculté des sciences. Vous n'avez à présent plus d'excuse ! A ramper dans la boue, on ne rencontre que les larves ! Levez-vous et vous verrez que vous êtes actuellement au pied d'un géant qui vous regarde de bien haut. Alors vous ressentirez l'humilité.
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Réponse anonyme
Le 09/10/2013 é 21h42
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Toujours aussi affligeant de voir a quel point cette animosité et cette violence dans les paroles surgissent sans même nous connaitre dés qu'on parle de QI élevé (personne ne parle de supériorité). Je fais partie de ceux qui considèrent un très haut QI comme un HANDICAP, à vous lire avoir 160 de QI impliquerait une sorte de divinité intellectuelle. "C'est surtout une question de mode de pensée: la pensée en arborescence. " Encore quelqu'un qui croit tout savoir et ne sait rien. J'ai 160 de QI et je ne me reconnais pas du tout dans la pensée arborescente et pas mal des personnes avec des QI similaires au miens avec qui j'ai pu discuter me disent la même chose. "Je voudrais dire à la personne qui a 20 ans et bac+6 qu'il est tout à fait normal qu'elle se sente seule et déprimée, étant donné qu'elle a passé son temps devant les livres depuis sa plus tendre enfance, sans jamais arriver à nouer de lien avec l'extérieur. C'est sans doute ce handicap emotionnel qui l'a fait se réfugier sur elle meme et à coeur perdu dans les bouquins, sinon comme tout être humain, elle aurait pris le temps de vivre." Merci pour cette pensée mais prendre le "temps de vivre" est un concept complétement abstrait pour moi, vivre est tellement subjectif, je pense que cela peut tout englober et donc ne signifie a terme rien d'autre qu'un modèle unique imposé durant l'éducation comme étant le bien. Il m'est impossible malgré moi de pouvoir entrer dans ce modèle ayant conscience de celui-ci. Et paradoxalement je ne lis pas et n'ai jamais lu (je dois être a 3 livre dans mon existence environ give or take a few), toute ma vie une quête de reconnaissance et d'humains capable de m'accepter comme je suis aussi bizarre que je puisse être mais on voit rapidement que cela n'est pas simple rien qu'en lisant les commentaires de certains ici. Comble de ce fameux "surdon", en plus de faire du mal intérieurement avec ce sentiment d'avoir un problème qui est enfoncé par l'hypersensibilité qui fait que la moindre petite chose déstabilise tout, on nous méprise et le monde refuse d'accepter notre existence. C'est un peu comme refuser de donner des béquilles a un unijambiste et de le tacler dans la rue... Mais bon si ca vous permet de vous lever le matin qu'est ce que je peux vous dire...
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Réponse anonyme
Le 09/10/2013 é 22h09
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Eh : Ecoute-moi. Ne pête pas de plomb, simplement, écoute-moi. D'accord ? Inscris-toi dans un club d'échecs. Encore une fois. Inscris-toi dans un club d'échecs. ... Ne réponds pas. Fais-le. C'est parce que tu ne me fais pas que tu es mal à l'aise. Alors, Fais-le.
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Réponse anonyme
Le 09/10/2013 é 22h29
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J'ai toujours appris très vite, compris très vite, éjaculé très vite, etc. On voulait que je sois un "intellectuel" parce que j'étais "intelligent". De la stérile rébellion d'inadéquation de mon milieu à moi, je crois avoir pu tirer, par un travail de fond et de longue haleine fait de confrontations parfois violentes du construit social à la réalité une "vraie" personnalité, moins éclectique et donc plus viable que celle tirée des lectures. J'ai oublié les chiffres, j'ai pris un sécateur et je suis devenu jardinier parce que j'aimais ça, plus que le besoin de "ne pas gâcher toute cette belle intelligence". J'ai oublié que j'étais "différent", j'ai trouvé une compagne aimante et aimée et nous avons fait des enfants. Et je suis heureux. Heureux dans mon petit paradis coupé du monde et si bien entouré. Mais dès que ce putain de système se pointe à la maison d'une façon ou d'une autre avec sa médiocrité et son injustice, ses codes ineptes et son fonctionnement immature, je me réfugie derrière mon chiffre comme une brute frappe quand elle se sent stupide ou comme une grenouille saute quand on veut l'attraper. Par instinct. Se plaindre de trop d'intelligence est aussi peu compréhensible que se plaindre d'avoir de trop belles fesses, on joue les idiots comme on met un jogging trop large, pour passer inaperçu. Et on peut courir tranquille jusqu'à ce qu'un type à la vue perçante distingue sous les plis incertains une déesse callipyge et vous ressorte le coup du gâchis... L'amertume est tenace, le regret revient vite de ne pas être au MIT mais le malheur n'est pas proportionnel à l'intelligence, sinon elle n'est qu'un défaut de plus comme un nez trop long ou un sale caractère. L'intelligence humaine est une conséquence de l'inadaptation de l'Homme à son milieu naturel (ou une cause) il est donc normal qu'un système créé par des inadaptés ne soit réellement adapté pour personne, qui plus est ceux qui sont PLUS intelligents et donc PLUS inadaptés encore (ou inversement). Tout ça pour en venir au fait... En tant qu'inadapté, je voudrais une reconnaissance sociale de mon handicap et une indemnisation compensatrice mensuelle à vie pour ne plus avoir à me farcir tous ces cons, peinard dans ma montagne!
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Réponse anonyme
Le 09/10/2013 é 23h17
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Tu es jardinier et tu te sens heureux. Tu as certainement tout juste. Du point de vue de ce différentiel d'intelligence dont tu souffres de temps à autres lors de contacts avec autrui (qui te fais le "coup du gâchis", comme tu dis), de ce point de vue-là par contre, tu es l'illustration de cet homme paradigmatique qui "rampe dans la boue et ne rencontre que des larves". Pas étonnant donc que tu te sentes plus intelligent que les gens qu'il t'est donné de rencontrer. Les gens brillants ne se trouvent tout simplement pas sur ton chemin. Au lieu d'en souffrir, pourquoi ne pas aller dans un club sympa ? J'ai parlé d'échecs, parce que je sais que le statut professionnel n'y joue pas de rôle. Dans un club d'échecs, on trouve (à titre indicatif) : - 50% de cas sociaux (au bénéfice d'une rente, handicapés, psychotiques légers, etc.), - 30% d'étudiants ou de jeunes diplômés, - 18% de gens d'âge mur et aisés (ce sont ceux qui bien souvent organisent le club) - 2% de filles Tous ces gens ont un point commun : ils sont intelligents (et ils regrettent qu'il n'y ait pas davantage de filles). Ensembles, ils s'amusent et s'apprécient. La compétition motive certains plus que d'autres mais tous se retrouvent autour de l'échiquier et boivent des bières amicales. Ou alors : le café philo. Connais-tu ? Une fois par mois (renseigne-toi pour les dates dans ta ville car il y a de tels cafés un peu partout) se rencontrent des gens dans un café-restaurant pour discuter autour d'un sujet philosophique. Suivant comment le café philo est organisé, le sujet est proposé sur place (par toi si tu le désires) et ensuite voté démocratiquement à main levée ou alors il est imposé à l'avance. La discussion peut alors commencer, qui dure environ une heure et quart. S'ensuit une discussion passionnée mais la plupart du temps sympathique entre participants qui ont croisé le fer. On rentre chez soi avec des étoiles dans les yeux et on aimerait se retrouver dans un mois pour le prochain café philo ! Ici encore une fois, tout le monde est le bienvenu. Il faut juste avoir envie d'échanger - c'est-à-dire aussi d'écouter - et non pas seulement de balancer sa vérité à la gueule des autres. Si on est prêt à véritablement dialoguer, en argumentant ses positions et en les illustrant de façon pertinente, si on a du plaisir à jouer avec la subtilité des concepts, alors le café philo sera une expérience magnifique. Il y a tant de gens magnifiques qui t'attendent. Ne te morfonds pas dans ta différence. La lumière existe, il ne tient qu'à toi d'y aller.
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Réponse anonyme
Le 09/10/2013 é 23h36
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Le problème, c'est celui-ci, au fond: Préfères-tu te morfondre loin des gens brillants et des nombreuses possibilités qui s'offrent à toi ? Dans ce cas, c'est confortable pour toi car tu peux continuer à te sentir supérieurement doué et personne ne te contestera. Tes proches vont continuer à te regarder comme le surdoué et tu pourras continuer ton rôle de malheureux incompris et "hypersensible". ou alors... Ou alors tu franchis le pas et vas vers la lumière. Tu acceptes d'abandonner ta confortable et rassurante identité de surdoué puisqu'en présence de gens comme toi et probablement plus intelligents, tu redeviens tout ce qu'il y a de plus normal de chez normal. Ce sera désagréable dans un premier temps car tu seras bousculé et mis en question dans ton identité. Tu vivras ce qu'on appelle un conflit cognitif. Mais bien vite tu vivras un délivrance et une vraie rencontre avec un monde de lumière insoupçonné. Quel choix fais-tu, cher jardinier ? Pour dire les choses de façon imagée : Es-tu plus volontiers le gros crapeau de la mare ou oses-tu devenir le dauphin de l'océan ? Bien que beaucoup plus petit que le dauphin, le crapeau n'en est pas moins plus influent dans sa mare que le Dauphin ne l'est dans l'océan.
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