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Resumé un piège sans fin

Question anonyme le 14/10/2011 à 19h20
Dernière réponse le 01/05/2013 à 15h54
[ ! ]
Resumé,etude des personnages,resumé des chapitres,references,leçons
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3 réponses pour « 
resumé un piège sans fin
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Réponse anonyme
Le 03/01/2012 é 23h06
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Le roman un piège sans fin relate la vie d'un jeune homme appellé Ahouna issu d'une famille moyennement riche qui une fois marié sera astreint à mener une vie d'assassin à cause de la fausse courtoisie de sa femme Anatou qui l'a conduit à tuer Mme kinhou.Tout ce qui succède cette affaire n'est qu'une injustice opéréé par des blancs responsables de la prison de Ganmê(racisme) et la vangeance opérée par les fils et frère de la victime en calcinant ce jeune poète.Ce roman renferme de thèmes on ne peut plus.Mais nous nous forcerons de citer quelques un par exemple:le racisme,la vangeance,la jalousie à outrance, le malheur, le mariage, l'héritage,le procés de la colonisation,l'amour... Ceci est mon travail personel après une lecture formatrice du roman.On m'appelle AKOTANGNI Wilfried élève en 1re S
Référence(s) :
C'est la lecture
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Réponse anonyme
Le 01/12/2012 é 17h40
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Resumé,etude des personnages,resumé des chapitres,references,leçons
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Réponse anonyme
Le 01/05/2013 é 15h54
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Houénou, un archéologue, accueille un jour à zado un fugitif affamé. Il le nourrit. Pressé de question après le repas, l'homme fait le récit de sa vie. Fils de Bakari et de Mariatou, riche fermiers de Kiniba au Nord du Dahomey, Ahouna vivait heureux comme un enfant unique prématurément et Séitou, sa sœur, partie en aventure amoureuse vers Cotonou, le Cameroun et Conakry. Bakari était riche de ses terres, du travail de celles-ci au rythme des saisons, de ses troupeaux. Ahouna l'aidait en tout et était heureux. Il l'était d'autant plus qu'il avait un ami du sud, Bossou, qui lui avait enseigné beaucoup de choses dont l'art de jouer du Kpèté (ou tôba). Ahouna s'en servait pour récréer son âme, faire le guet contre les animaux pilleurs de leurs céréales. Mais en quelque jour, le choléra et les criquets les ruinère, les uns en ravageant leur récoltent, l'autre en décimant leurs bêtes. Obligé d'acheter du grain et des tubercules pour vivre, Bakari envoya son fils au marché d'Abomey, houdjlomê, au sud du Dahomey, en compagnie de Samba, le conducteur du camion de Hourainda, le chef du canton de Founkilla. Sur le chemin de retour, attaqué par une vipère dans le fourgon du camion, Ahouna tua la bête immonde à mains nues, ajoutant de la sorte un exploit de plus à celui d'avoir délivré son ami Bossou de l'agression des singes: sa renommée était faite. Mais la prospérité revint de nouveau chez Bakari. Il devenait par cette richesse, par sa situation de beau-pére du français Tertullien et, partant, grand-père de métis, par son statut d'ancien combattant, la troisième personnalité du canton, le successeur potentiel du vieux chef de canton. Pourtant, le commandant le choisit pour les pour les travaux forcés. Révolté par l'insolence de celui-ci, outré par l'humiliation à lui infligée, Bakari se donna la mort; ce martyre changea la forme des travaux forcés. La mort de Bakari avait jeté sa maison dans la tristesse, mais les travaux n'en continuaient pas moins pour autant. Un jour de gros orage, Ahouna et sa mère devisaient quand Séitou, Camara, son mari et leur cinq enfant débarquère. Mariatou qui se laissait mourir de chagrin s'anima, reçut chaleureusement les arrivants. Camara fit le récit des intrigues de sa sœur Marina qui réussit à le faire banni: les Bakari lui donnèrent une partie de leurs biens. Ahouna et son beau-frère devinrent de grands amis. LE bonheur siégeait chez eux Ahouna apprenait à lire sous la direction conjuguée de sa sœur et de son beau frère. Après l'horrible orage d'un jour il modulait des airs avec son Kpèté perché sur le Kinibaya quand il aperçut une jeune fille. Elle s'appelait Anatou fille de Fanikata et d’Ibaya originaire du village des Baobabs. Ils s'amourachèrent l'un de l autre. Anatou offrit une orange à Ahouna qui lui dédia un chant. Après s'être longtemps fréquentes en goûtant les joies de la musique et de la nature, les jeunes gens se déclarèrent leur amour, en informèrent leur parents, se fiancère puis se marièrent quelque temps après la prestation publique donnée aux baobabs par Bossou devenu griot. La vie se faisait plus agréable ; la famille était heureuse. Le premier né d'Ahouna vint au monde et reçut le nom de Bakari. Quand arrivaient Fatou et Sikidi, la maison devenait déjà trop petite. On l'agrandit par d'autres constructions et Mimouni naquit. Ahouna ne mesurait plus ni le temps ni la distance, tant son bonheur était grand. Un jour pourtant, alors qu'il jouait du Kpèté sur le Kinibaya, Ahouna survint, le visage serré, l'accusa de la tromper avec une jeune fille. L'homme s'en défendit. Mais au même moment, une jeune fille passa par la plaine et les salua. Dès ce jour, une atmosphère empoisonnée s'installa entre eux. Ils jouaient d'apparence en présence des parents, mais, la nuit, dormaient dos à dos. L'amour se désagrégea davantage le jour où Anatou surprit Ahouna grondant la jeune fille au pied de Kinibaya. Peiné Ahouna sollicita la médiation de ses beaux-parents. Ils échouèrent face à l'entêtement de leur fille. Cette attitude ne pouvait s'expliquer que par son séjour au sud ou par le retour de Pylia, un jeune Pouillon qui fut son premier amour. La nuit de la réconciliation manquée Ahouna s'enfuit de chez lui par les cris hystériques de son épouse. Parti de chez lui la nuit là, il gagna Abomey au bout de quatre jours d'une marche forcenée, puis Bohicon où il s'improvisa portefaix pour survivre. De mésaventure en mésaventure, il parvint à Zoummin où il s'endormit sous un gros arbre. Tard dans la nuit, des bruit de pas le réveillèrent: c'était la veuve Kinhou, qui en l'apercevant, jeta sa charge et se mit à crier au voleur. Ahouna la rattrapa, la maîtrisa et vexé par ses avances impudique la tua. Poursuivi par les parent sa victime, il dut son salut à la nage et à les force de ses jambes. Après l'audition de ce récit, Houénou offrit le gîte à son ami, mais celui-ci s'enfuit en pleine nuit. Le lendemain l'archéologue d'abord, puis l'inspecteur Vauquier et lui cherchèrent en vain le fugitif. Plus tard, Houénou apprit qu'il avait été retrouvé, qu'il était sur une croix et porté en procession par six hommes à travers Gammê. Il alla voir le spectacle. Ahouna souffrait sur la croix, livide et bavant. La foule criait à la vengeance et à la mise à mort. Alerté, le père Dandou vint s'informé des raisons du supplice et se trouva porteur de la croix par malice d'Affôgnon. Mr Gontran Kouvidé et son ouvrier Dagbènon le remplacèrent avant le retour de la croix devant le commissaire Toupilly qui fit jeter les malfaiteurs en prison. Cette nuit-là, Affôgnon se suicida et le lendemain, ses obsèques furent sommaires, réglés par les dieux. Mis à mal par ce traitement, Ahouna dut se faire hospitalier à l'infirmerie de la maison d'arrêt pendant un mois. A sa sortie, il fit la connaissance de Boullin et de ses codétenus. On l'emmena au "Carrière" pour familiariser avec son travail de futur bagnard. Au fond du trou de la roche granitique, le macabre coupait le souffle, la vie humaine ne valait rien. En sa présence, Cossi perdit un œil, Favidé mourra sous une roche, Boullin fut rageusement humilié par l'adjudant Hounnoukpo avant de mourir en compagnie de Goudjanou, tous deux écrabouillés. Ahouna en devient fou et jura de ne pas travailler dans cette galair. Pendant ce temps rejetant au pardon de Dakô, le doyen de Zoummin, Hounsinou, Tôvignon, Houéfa et leur oncle maternel Houngbé préparaient leur vengeance. Après avoir sacrifié au fa, ils simulèrent un vol de cabri par Houngbè qui fut jeté en prison. Là, il entreprit de séduire et de convaincre Ahouna pour une évasion à deux. Réticent au début, Ahouna accepta par la suite parce qu'il espérait revoir ses enfants et tuer sa femme. Pour sa part l'inspecteur Mauthonier à qui Houénou avait conté l'histoire tragique d'Ahouna invita Camara à venir voir son beau-frère. Il vint, accompagné de Fanikata, mais ne put voir le prisonnier à cause de l'heur tardif. Cette nuit-là, profitant des frasques de Toupilly avec Solange, sa secrétaire, Houngbè entraîna Ahouna jusqu'au lieu de son immolation par le feu. Camara recueillit ses restes pour aller les enterrer à Kiniba.
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