Bonjour, je suis professeur des écoles. J'ai dû déménager pour accompagner mon fils handicapé moteur et qui entre dans une école spécialisée à Eysines. J'ai demandé en temps voulu une mutation, et j'apprends le 28 août que je n'aurai pas de poste, donc pas de salaire, de plus mon compagnon est au chômage car déménagement. Est-ce que dans le grand journal on pourrait parler de ce genre de situation , Merci pour la suite à donner
Même si ce n'était pas facile dans votre situation, vous auriez dû accomplir les formalités nécessaires
je ne pense pas que qui que ce soit puisse qque ch pour vous
Ok, mettons vous êtes enseignant et en juin vous apprenez qu'enfin une place se libère pour votre enfant, j'ai expliqué la situation de l'enfant. Vous prévenez votre hiérarchie de votre décision par rapport à l'enfant. 1er point, il a une place. 2ème point vous cherchez un logement adapté, vous le trouvez en deux mois ce n'est pas rien. Vous avez fait tout ce qui était en votre pouvoir au moment voulu. Voilà que l'éducation nationale met des bâtons dans les roues. Des postes de professeurs des écoles dans la région de Bordeaux, cela m'étonnerait qu'il ne s'en soit pas libéré en fin d'année scolaire. Voilà comment la situation se trouve bloqué. J'aurai souhaité que de temps en temps les cas particuliers soient pris en compte et pas toujours rapprochement de conjoint.
Vous savez très bien que le mouvement des instits, pardon, des profs d'école, se fait en 2 temps :
- mutation inter-académique, s'il y a des places dans l'académie demandée et si votre barème le permet car les académies du sud de la France sont très prisées
- puis nomination sur un poste dans l'académie d'arrivée
la demande se fait très tôt pour que le mouvement puisse se faire correctement avec les postes vacants et les postes susceptibles d'être vacants
je pense qu'une intervention motivée de votre part pourra - peut-être - vous permettre d'avoir un poste provisoire s'il y en a un de libre
je ne comprends d'ailleurs pas pourquoi vous avez perdu un poste dont vous étiez titulaire, à moins que vous ayez démissionné ou abandonné votre poste
d'autre part, si votre conjoint est au chômage, il aurait peut-être pu s'occuper de l'enfant et vous, quand même faire la rentrée en attendant une solution, au lieu de vous retrouver sans rien