Bravo Pierre M. je vous dit bravo pour une semple raison, je me suis intéressé à tout ce dont vous parlez parce que j'ai écrit une thèse sur une étude comparée entre la formation infirmière au Cameroun (cas de l'Université Catholique, CSSS) et en Italie où j'étudie ( cas de l'Université de Bologne).
En fait, la question qui fait débat depuis le début, je l'avait posée en 2009 dans le but de la réalisation de ladite thèse. Aujourd'hui, j'ai initié un processus avec les responsables de mon Université (Bologne/Italie) et ceux de l'Université Catholique d'Afrique Centrale (Yaoundé/Cameroun) qui est en cours d'aboutissement pour nouer un partenariat entre les deux institutions particulièrement sur la formation en Sciences Infirmières.
Je pense donc pour ma part que si on se lève tous ensemble main dans la main, on pourra brusquer et créer un véritable changement sur les soins infirmiers dans notre cher pays.
Du courage à tous et je trouve mieux que nous cherchons juste des idées pour avancer au lieu de nous chamailler entre nous. Portez-vous bien. Je reste ouvert à tout contact.
DONFACK ZANGUE V. Bruno
zangbruno(at)yahoo.fr
Apres cette intervention je pense qu'etudiant de mon etat je suis fiere de faire des etudes en soins infirmiersje suis en 3eme annee DSEP et pense preparer le niveau licence afin de me specialiser entend que CADRE en belgique.
svp pourriez vous avoir des propositions d'etude dans ce pays et les modalites requises?
Jeune étudiante en 3éme année IDE.je me rend jste compte que très peu sont des infirmier qui écrivent ou valorisent la profession.faites un tour dans nos hôpitaux a yaounde par exemple vous verriez quil nya pa dorgarnisation dans les soins,pas de respect pour le malade et sa famille.les infirmiers qui montent les malades contres leur propre collègues afin de tirer profit de celui çi.les personnes qui parlent mal et fort aux client c tjr eux.je fais une recherche sur le dossier de soin infirmier mais je me rend cmpte qu au Cameroun il ny pa de documentation mais pourtant dans dautre pays il en parle.cmt vous vs ke les choses changent si nous mm ns ne changeons pa dabord.
Chère étudiante IDE3, j'apprécie beaucoup qu'étant encore à l'école tu te rende déjà compte de ces manquements. Mais je pense qu'il faille que nous infirmiers résidant au Cameroun fassions un pas de plus. Ce pas consiste pour ma part, à savoir que faisons nous donc au vu de tout ça??????
Faisons des propositions concrètes. Aux jeunes loup au dents bien longues qui entent dans la profession, proposez, faites nous part 5dans des blogs, forum...) de vos idées novatrices pour que ça change. A ceux qui sont hors du Cameroun et qui ont acquis des expériences diverses faites nous part, de ce qui a marché où vous êtes.
Le tableau des constats macabres et dévalorisant est déjà assez sombres comme ça, vous ne trouvez pas ??? N'est ce pas mieux de dire : Le plan de soins n'est pas une réalité dans les hôpitaux du Cameroun parce que..., je propose cette stratégie qui à marcher dans l'hôpital X pour améliorer. Ou encore ceci pourrait être amélioré en faisant comme ça... Vous ne pensez pas?
Je veux profiter pour féliciter DONFACK ZANGUE V. Bruno, 5que je j'invite chacun de nous à suivre dans la voie positive) qui a réalisé une étude comparée entre la formation infirmière au Cameroun (cas de l'Université Catholique, CSSS) et en Italie où j'étudie ( cas de l'Université de Bologne) et qui a initié un partenariat avec les responsables des deux institutions particulièrement sur la formation en Sciences Infirmières.
Ne pensez vous pas que c'est comme ça que nous pouvons aider notre continents, nos pays sous développés et notre profession au lieu de continuer dans une auto flagellation puérile et stérile.
Pierre M. mobongisi(at)yahoo.fr
WOUAOU !
Bonjour à tous, je suis tombée par hasard sur cette conversation en cherchant des idées sur ma thèse d'infirmerie et sur mes probabilités de réussite en cas de retour au pays.
Je ne sais pa si mon msge sera lu mais je tiens à dire que je suis d'accord avec vous sur le fait que les choses doivent charger au pays.
n'est-il pas possible par exemple de tenir des conférences nationales dans le but de sensibiliser les dirigeants (du ministère de la santé, des hopitaux et présidents d'ordres des infirmierès et médecins...) ???
j'en profite aussi pour vous demander des informations consernants le salaire des infirmiers au cameroun et s'il est possible pour quelqu'un de retour au pays avec une licence en infirmerie de trouver du travail ou bien est-il necessaire avoir un master ?!?
Merci de votre disponibilité
Je tiens à féliciter les infirmiers qui travaillent au Cameroun, je pense qu'il sont les meilleurs car travailler dans ces conditions une personne qui a suivi une formation en belgique ne saura pas tenir, vraiment chapeau... Je vous encourage à vous battre et un jour tout ira bien, je suis avec vous de tout cœur
Tout d’abord je veux te rassurer que tout ceux qui sont intéressé par les questions infirmières au Cameroun évoquées dans ce site, ont créé des alertes pour être informés chaque fois qu’une nouvelle réponse est proposée.
Par rapport a ta proposition de tenir des conférences pour sensibiliser les dirigeants, je suis désolé de m’inscrire en faux par rapport a cette démarche. Je trouve que le premier stade du processus de NOBILISATION de la profession infirmière doit commencer par une sensibilisation, une organisation et une structuration interne. Je m’explique : Pour revendiquer quelque chose, les membres d’un corps doivent avoir un minimum consensuel, c'est-à-dire être d’accord sur un minimum de choses élémentaires. Entre autres, avoir les mêmes objectifs, une même vision, une même manière de faire et de penser la profession. Ce préalable fait, ils peuvent aller à la rencontre des autres corps de la santé et des responsables administratifs pour conquérir une place respectable et honorable. Or ce n’est pas le cas actuellement (au Cameroun en tout cas). Pour t’illustrer ce manque de minimum consensuel, Je t’invite à lire au début de ce forum, les interventions de certains infirmiers du Cameroun que j’ai traité de Kamikazes de la profession (ceux qui par leurs propos, actes et pensées fustigent tout ce qu’il ya de novateur et grandissant dans la profession infirmière). Une autre image bon nombre d’infirmiers expérimentés considèrent les jeunes étudiants comme des adversaires ou des rivaux, qui viendront prendre leur place ou les commander parce qu’ils ont des diplômés universitaires. Voila des incongruités criardes.
Pour le dire de manière prosaïque je dirai : Ne laissons pas notre maison sens dessus dessous quand nous voulons recevoir les invités, balayons là d’abord, mettons nous d’accord sur nos manières de faire avant d’inviter les autres à venir apprécier notre maison. Donc pour terminer sur ce point, je dirai d’accord pour des conférences de sensibilisation, mais pour nous d’abord. Les thèmes de ces conférences découleront d’une analyse minutieuse, exhaustives et sans complaisance de l’état des lieux de la profession infirmière au Cameroun.
Concernant les salaires des infirmiers au Cameroun, je te redonne la repose que j’ai donnée à quelqu’un qui voulait avoir une idée sur la rémunération des infirmiers au Cameroun. Tout d’abord, il faut savoir que le système de temps plein ou temps partiel n’existe pas au Cameroun. Tout le monde travail à temps plein, mais ce sont les statuts qui diffèrent. Vous pouvez être fonctionnaire, contractuel ou travailleur sans contrat.
Les fonctionnaires sont âgées de moins de 35 ans, que l’Etat recrute par concours. Ce sont les travailleurs que je qualifierai de privilégiés. Ils ont d’emblée un contrat CDI, une grille de salaire qui les classe par catégories (A2, A1, B2, B1, C et D). La catégorie A2 est la plus élevée. Les IDE (Infirmiers Diplômés d’Etat) font partie de la catégorie B2 avec salaire mensuel d’environ 240 Euros. Leurs cotisations sociales sont assurées, leurs salaires régulièrement payés. Bref, ils ont tous les avantages sociaux que prévoit l’organisation du travail.
Les contractuels sont les travailleurs qui ont plus de 35 ans et sont recrutés par l’Etat. Ces sont aussi des personnes qui ont signé des contrats avec des structures privés ou parapublique. Ils peuvent avoir des CDD ou des CDI. Un IDE peut avoir entre 80 et 275 Euros. Plus l’employeur est prestigieux mieux les travailleurs sont payés. Les salaires et autres avantages sociaux sont fixés de gré à gré entre leur employeur et eux, laissant une grande marge pour toutes d’abus de employeurs.
Les travailleurs sans contrat constituent le gros du lot. Ils n’ont aucun contrat. Je vais t’expliquer comment ça se passe : Tu cherches un emploi comme infirmier, alors tu déposes des demandes dans des cliniques et hôpitaux. Pour ce qui est des hôpitaux publics de référence, il n’y a jamais de places disponibles, sauf si vous êtes recommandé par une personne influente. Une fois à l’intérieur, votre statut peut aller de bénévole, ensuite stagiaire, puis titulaire après parfois une décennie avec beaucoup de chance et si vous êtes persévérant. Mais la titularisation peut se raccourcir si la personne qui vous a recommandé est très influente ou est en très bon terme avec le responsable de la structure.
Les cliniques privées quant à elles vous recrutent d’emblée comme titulaire, mais sans un quelconque document signé dans la majorité des cas. Ceci permet de se débarrasser de vous plus facilement à la moindre revendication.
Pour ce qui est des salaires des infirmiers Diplômés d’Etat, ils vont pour les hôpitaux publics de 0 à 25 Euros (pour les bénévoles), 25 a 45 Euros (pour les stagiaires), et 100 a 150 euros (pour les titulaires). Dans les cliniques privées entre 35 et 150 Euros.
Les Infirmiers sans contrat sont dans la précarité totale. La survie de leur emploi dépend de l’humeur de l’employeur. Leurs fonctions vont au-delà de celle de leur profession. Un infirmier par exemple, fait autant les soins, les courses ponctuelles de l’employeur, le croque mort, brancardier, blanchisseur, agent de ménage,… Et s’il se plaint il est mis à la porte sans autre forme de procès.
Il faut préciser que ces trois catégories : fonctionnaires, contractuels et sans contrat, peuvent se retrouver dans un même hôpital sans que personne ne s’en offusque.
Les infirmiers qui ont une licence en soins infirmiers ont commencés à être recrutés il ya environ 4 ans et ils ont plus ou moins le même traitement que les Infirmiers Diplômés d’Etat (IDE). Sache que les infirmiers qui ont des diplômes universitaires (Licence, Master, PhD) sont vus d’un mauvais œil par leurs collègues qui ont des diplômes professionnels (IDE, IDE spécialistes) dans les hôpitaux, qui les considèrent comme des adversaires ou des rivaux. Les médecins aussi les redoutent parce qu’ils ne se comportent pas souvent en exécutants passifs mais véritable collaborateur qu’il faut toujours convaincre avec un langage et une pratique cohérents et logiques. Mais dans l’enseignement ces diplômes universitaires sont plus prisés. Tu comprendras donc pourquoi un responsable d’hôpital va préférer un IDE a un Licencié en sciences infirmières.
J’espère t’avoir apporté des bribes de réponses, qui je souhaite seront réajustés ou complétés si besoin est par d’autres.
Pierre M. mobongisi(at)yahoo.fr
Je pense que nous ne pouvons pas fonder l'espoir d'une profession attravers les formules et réquisitoires. Bien des diagnostiques fait sur les difficultées de la profession sont d'une autenticitè louable. l'Etat camerounais connais bien ses limites dans ce domaine. il revient donc a notre clairvoyance de proposer les idees nouvelles pour un parcours digne de notre pays, pour bien la sante de la collectivité.
constoituons nous en association. nous seront capable d'ouvrir une nouvelle horizon pour la profession d'infirmier au cameroun.
Je suis infirmière cadre de santé , native du Cameroun, je ne connais pas le système de santé camerounais. Je peux juste dire bravo au camerounais car vous avez un ordre infirmier et que si je comprends bien il existe depuis des lustres. Vous savez les problèmes que vous rencontré avec les médecins camerounais sont les mêmes qu'ici en France. que ce soit ici ou là bas , il y a toujours cette recherche de reconnaissance qui nous anime. Je pense que pour structurer un service , il faut des managers , mais vous y arriverez, j'en suis sur. Je peux au travers de mes conseils vous aidez avec mon expertise de clinicienne et actuellement de cadre de santé de proximité et de formateur. Au plaisir et bon courage.
Slt a tous,
svp pourriez vous me donner un lien dans lequel je peux trouver comment se deroule la formation des infirmiers et le role que joue la medecine traditionnel dans la sante au cameroun
Bonjour
merci de t'intéresser au système infirmier du Cameroun. une chose est sure cest la merde, il nya que des réglementation qui arrangent la vieille ecole. nous sommes cet espoir de la profession infirmière pour le changement. Le ministre de la sante a fait lerreur d'amettre les sciences infirmières en master et voila que ça nous ouvre les portes. mais est ce que nous sommes prêts a decoller..linfirmier camerounais ne reflechit pas beaucoup et ne prend pas ses responsabilités. sois le bienvenu et collabore avec nous. en effet tu parles de quel infirmier? LE MASTER OU ide. IL FAUT SAVOIT A QUI ON CONFIE LES RENNES DE LA REGULATION SUR LES PRESTATIONS. SI LE CAMEROUN EST GERE PAR LES IDE, cest normal que rien ne marche dans les hopitaux. a nous les master de prendre ces choses en main et on verra. cest frustrant. un ordre dinfirmiers remplis de croulants qui ne comprennent plus rien au systeme sante mais qui veulent garder les choses en main. les choses ont evolue les gars et il est temps de reformer la sante au cameroun.je suis serieuse et je suis prete a demarrer. Qui veut me suivre,,?
SUPER ON NE SE CHAMAILLE PAS. ON VEUT JUSTE FAIRE COMPRENDRE AUX SOURDS QUE NOUS VOULONS PRENDRE LES CHOSES EN MAIN..eN FAIT NOUS AVONS CREE UNE ASSOCIATION LEGALE APPELLE AGORA AVEC POUR MEMBRES LA GENERATION DES INFIRMIERS EN MASTER2 .
NOUS AVONS UNE VISION BIEN ÉLABORÉE POUR REFORMER LE SYSTEME ET NOUS AVONS BESOIN DES GENS COMME TOI. NOUS AVONS UN PLAN D ACTION ET TOUT UNE REFORME ÉLABORÉE. VEUX TU JOINDRE?
Très chèrs consoeurs et confrères bonjour ou bonsoir!
je suis ravi d'entendre vos multiple interventions. la profession infirmière au cameroun a perdu sa valeur au cours de l'histoire. nombreux sont ceux des infirmiers et surtout infirmières camerounaise qui aimeraient se faire appeler DOC. le complexe de titre est une véritable gangraine métastasée qu'il faut beaucoup de temps et de tact pour la maîtriser.
les infirmiers camerounais sont à 80% des femmes. cependant aucune initiative efficace ne peut être entreprise avec la minorité d'hommes qui sont pour la plus-part Infirmiers Chef de Brousse (ICB).
le tout premier camerounais ayant reçu une formation en santé était avait une qualification d'infirmier. puis à suivit des formation dans les école de médecine africaine pour devenir docteur africain. une fois avec ce titre ils se sont opposés à la cause qui leur a donnée naissance. raison pour laquelle leur collaborateur et petit frère professionnel est devenu leur marche pied.
mais je tiens aussi à louer les effort qui ont été fournis par d'autre pour donner une image incertaine mais acceptable de cette profession. ils ont pu mettre sur pied l'orde qui de nos jour est sans tête ni queue. pour la simple raison que: le mot PARA-MEDICAL est un qualificatif de rabais pour tous ceux qui sont inscrits à cet ordre. j'en fais partie mais je pense qu'il est temps de dire NON à nos vieux confrères qui font de cette structure une cachette des inertes. car pour reprendre un confrères qui à parlé plus haut de consensus, je vai vous poser une simple question. comment pouvons nous melanger la patate le macaboet les plantis dans une même marmite et prétendre à un bon résultats?
1- que déjà les INFIRMIERS se dfistingues des AIDES - SOIGNANTS et que l'ursurpation de titre soit punis par les responsables de l'ordre. Le ministère de la santé à travers des sophistes qui pensent avoir le monopol du savoir détruisent du jour au ledemain la profession infirmière à travers des concours réducteur de l'effort qu'il appellent "concours interne" pour permettre au AS de devenir INFIRMIER, au INFIRMIERS de devenir INFIRMIER DIPLOMES D'ETAT et à ces derniers de devenir INFIRMIER SUPERIEUR. quel amalgame? ceci sous le regard passif des soit disant defensseurs de la profession qui ne se font entendre que dans les écoles de formations lorsqu'une promotions est à la sortie. quand verra-t-on un médecin généraliste devenir spécialiste par un soit disant concours professionnel?
2- loin de là il existe mil et une écoles de formation des tueurs à gage qui souillent la proffession en portant le titre de l'infirmier et pourtant ne méritent pas le titre de l'aide soignant. ces écoles qui sont sous la tutelle du ministère l'emploi et de la formation professionnel et qu sais-je encore? il recrutent sous quelle base? les qui les forment? et pour quel but? voilà l'origine des soit disant infirmiers des Hôpitaux clinique centre de santé du Cameroun.
3- pire ceux que je qualifièrais des égarés et étourdis de la profession. ils vont certainement se reconnaitre en lisant mes propos. lors du recent concours d'integration des personnels de santé à la fonction publique, bon nombre sont ceux de traitres qui ont vendu moins chère leurs peaux en allant composer au titre d'INFIRMIER (niveau probatoire) pourtant se font appeller Infirmier Diplômés d'Etat, ou même PRINCIPAUX pour d'autres,. quel gachit? c'est une preuve tangible qui montre la faiblaisse et la dévalorisation de la profession par les soit disants professionnels. les demi-dieux de l'administration camerounaise ne sont pas aveugles, soudrs ou inaptes. la prochaine fois il mettrons 5000 places pour aides soignant afin de recruter le maximum de marionette appelés infirmiers qu'ils vont mêmes classer en catégorieD de la fonction publique. suivez mon regard!
4- comment peut on expliquer le fait qu'à la fonction publique les bac+3 sont en A1 sauf les infirmiers?
le temps est court mais j reviendrai. notre profession est entre nos mains et son avenir aura l'image que nous lui aurons donnée.
je vous remercie!!!
Référence(s) :
infirmier du cameroun occupons nous de nous et faisons bien notre travail pour faire la différence.
carELISABETH PEPLEAU là si bien dit : l'orsque l'infirmier abandonne son rôle pour jouer celui de l'autre, il laisse son rôle propre à une tiers personne non qualifiée.