Effacer nous ce site cela vaut mieux pour vous.
Tampis pour nous autre qui vous suit betement croyant que vous aviez un site qui ne faire que planter nos poste.
Pfffff quel site. Que des nuls au Bénin. On en a marreeeeeeeeeee !
Veuillez supprimer votre site svp.
C'est vraiment dommage. Le Bénin devient du couillon.
LOL faite pété les plons.
Cela devient trop cruel pour nous qui fesions confiance.
Que du blabla pour terminer.
BLEO S.E.Darius
et consores Parakou, le 06 Novembre 2010
Téléphone:95 84 30 66
97 71 32 50 A Monsieur le Directeur de l' office du
baccalauréat à Cotonou.
Objet:Doléance
Nous sommes venus très respectueusement solliciter de votre bienveillance la faveur de revoir votre nouvelle disposition par rapport à la candidature libre au baccalauréat.
En effet nous sommes un certains nombre de candidats qui pour diverses raisons n'avaient pas eu la chance d'aller au bac une fois avant d'entrer dans les fonctions (publique ou privée).Pour ce qui me conserne personnellement,c'est surtout à cause des frais de dossier que ma veuve mère n'avait pas pu payer à son jeune orphelin que je n'avais pas pu continuer pour devenir aujourd'hui enseignant.Je me suis alors après toutes mes difficultés inscrit depuis deux ans pour continuer mes études et me voici confronté encore au problème de relevé du bac.Si rien n'est fait, je n'aurais jamais alors ce diplôme sans lequel on n'est pratiquement rien.
Je proposerais la suppression du relevé de la liste des pièces pour nous permettre d'évoluer.On peux porter la limite d'âge pour les candidats libres à un niveau permettant de savoir que la personne est consciente de ce qu'elle cherche .
Dans l'attente d'une suite favorable à notre doléance, nous vous prions d'agréer Monsieur le directeur, l'expression de nos sentiments dévoués.
Le groupe
Vous vous indignez des erreurs du dite du DOB et vous le faites dans des fautes indignes de vous !! corrigez d'abord votre français et ensuite vous ciritquerez dans un bon langage ce que les autres ont eu l'audace de commencer !!
Moi je pense vraiment que peu importe le style et le français dans lequel la critique est formulée. L'essentiel est de percevoir le message que l'interlocuteur véhicule et de mésurer la profondeur de sa déception surtout lorsqu'il est sûr d'obtenir l'information qu'il souhaite sur le site puis subitement il ne l'a pas. Il est temps que nous voyons avec nos partenaires la possibilité de nous installer des sites à l'image ce qu'ils utilisent chez eux. En somme, recherchons la fiabilité, la performance et la durabilité des outils que nous achetons le coût importe très peu.
J'ai du mal a comprendre la mauvaise organisation qui ne cesse de prévaloire comme un principe impéraif a chaque fois s'il s'agit retrait des relevés de notes.Il est constacté sur les lieux des disputent qui finalement se solde avec un cortège de dégats matériel que fianciers,sans oubliers des pertes en vie humain enrégistés sur ces lieux.Monsier le directeur de l'office veuillez revoire cet état de chose sans oublier de penser à décourager ceux qu préfère joué a la carte de laz mauvaise politique qui consiste a prendre de l'argent chez ceux qui en ont pour les servir...laissant de coté un long rang qui attend toujour mais jamais sas suite.
On nous parle des crédibilité des notes quand il s'agit de la correction du BACCALAUREAT,qui monsieur le Directeur de l'office ne veut rien dire si sur les relevés de notes pour un élève qui n'a jamais raté la moyenne en (francais,philosophie) et mème lors des examens blanc se retrouve avec 05 comme notes.Monsier les 28 pourcent était sans doute une chose prévu et non les résultat dans le mérite de ces candidats,qui dura*nt se sont investies jour eyt nuit pour rejoindre le rang de ses étudiant qui eux mèm sont d'upn chaumage ETERNEL.Monsieur le directeur veuillez a ce que les notes de se candidat soit vraiment fdont mérites et non seulement des chiffres imagnaires....OUI DES CHIFFRES IMAGINAIRES.......C'est déshonorant et aff-ècte négativement les nouveaux candidats.
Xa se voi bien ke tu t'y connait pas à l'informatique.............c'est la qualité de la connexion internet ajouté au nombre des requêtes à une date t....Le site de l'office du bac est assez bien conçu pour renseigner ses internautes........la plupart des connexions cyber sont de 512kbps...............ailleurs( france) la moyenne c 20fois plus ( 10Mbps)......on se calme
Personnellement, je pense que le problème de fond est celui des taux de réussite dans les différentes catégories. Je suis stupéfait par ces résultats,
mis à part celui de la catégorie C qui me paraît acceptable et ceux de F3 et F4 qui dépassent de peu la moyenne, les autres sont compris globalement entre 30% et 40 % seulement.
En France par exemple, les taux de réussite dans presque toutes les catégories tournent autour de 80 %.La France n'est pas forcément un modèle mais indépendamment de cette référence, il me semble q'un taux de réussite global devrait tourner, au moins, autour de 70/75%, au Bénin et ailleurs. Je ne comprends pas qu'il y ait autant d'échecs au Bénin.
Cela mérite que l'on s'interroge.
1 - Les lycéens béninois sont-ils moins intelligents que leurs homologues français ? Pour connaître des lycéens de ces deux pays, je suis sûr que non.
2 - Les lycéens béninois sont-ils moins travailleurs que leurs homologues français ? Pour connaître des lycéens de ces deux pays, je suis sûr que non.
Alors ? Alors se posent trois questions.
1 - La qualité du travail des enseignants est-elle suffisante et adaptée aux exigences du baccalauréat ? Le devoir des enseignants n'est-il pas d'amener le maximum de leurs élèves au niveau de l'examen ?
2 - La correction des épreuves est-elles suffiamment sérieuse et positive quand on compare les résutats obtenus par certains élèves tout au long de l'année puis au baccalauréat ?
3 - Le niveau demandé au bac est-il adapté aux réalités de l'enseignement au Bénin et aux moyens qui sont mis par l'Etat dans l'éducation ?
Comment peut-on accepter que des élèves passent au minimum trois années à travailler, que leurs familles investissent financièrement parfois difficilement dans l'éducation de leurs enfants et qu'au bout du compte, une faible minorité obtient son diplôme ?
Quelles perspectives pour cette majorité d'élèves qui échoue ? Elle ne peut pas faire d'études supérieures, elle ne peut pas se former à la hauteur de ses ambitions.
Temps perdu. Argent gaspillé. Un pays comme le Bénin dont le niveau de développent reste à être sérieusement amélioré peut-il accepter ces gaspillages et peut-il se permettre de sacrifier la bonne volonté et l'ambition d'une partie de sa jeunesse ?
Il est évident que l'un des facteurs favorisant le développement d'un pays est le niveau de l'éducation et de la formation de ses habitants.
Pierre-Marie BINET