Je suis en dépression et sortir fait parti de ma thérapie.Malheureusement mon patron ne l'entend pas de cette façon et me menace de controle.Je n ai pas d'heures de sorties autorisees spécifiées sur l arret de travail. dois je rester confiner chez moi selon les horaires de sortie normales ou ma pathologie m autorise a sortir librement ?
Moi-même longue maladie 100 % dépression après un arrêt de trois mois par trois reconnue inapte à travailler par le médecin du travail, j'ai été arrêtée en tout 9 mois - il faut dire que (que depuis 2000 je vis avec Zanax, déroxat et maintenant effexor, imovane et héxomil, anorexique périodiquement, manque de sommeil et loin de vouloir sortir. Vous dîtes être en dépression et que sortir fait partie de votre thérapie. Aucune thérapie tolère de sortie pour un dépressif souvent plus chez lui dans le noir et qui s'isole... Cependant, il n'y a aucune contrainte d'horaire sur le ou les arrêté maladie pour un dépressif.... Ce qui ne l'oblige pas à sortir.. Cependant, je pense qu'un dépressif reste plus enfermé qu'il ne sort, et si vous sortez c'est que tout va bien... Si votre patron ne l'entend pas ainsi c'est qu'il a le droit de chercher à comprendre pourquoi vos sorties font parties de votre thérapie. Moi-même dépressive et reconnue à 100% je ne sors pas.... Etes vous vraiment dépressif !!! Là est toute la question de contrôle
Apparemment il existe des heures de sorties autorisées qui doivent être stipulées sur les arrêts du médecin.
Maintenant, je pense que personne n'a le droit de juger si vous êtes ou non dépressive ! Pas même un autre dépressif alors votre patron qu'il se taise et réfléchisse plutôt au pourquoi de la chose !
Comme la critique est facile et l'art difficile.....
Il est extremement important de sortir et cela est même plutôt conseillé..dire qu' être depressif, c'est ce cloîtrer chez soi en revient à ce complaire dans sa maladie. le soutient de vos amis, de votre famille, dans le cadre d'une relation normal aide à surmonter sa pathologie..désolé sabyann mais en me plaçant de ton point de vu, je comprend mieux pourquoi toutes cette surmédicamentation. je suis actuellement en dépression et "l'épuisement" me pousse à rester chez moi. mais je fais l'effort de vouloir m'en sortir..même si la depression nous laisse bien souvent dans l'incapacité de faire des projets d'avenir, de se construir socialement; on en garde tout de m^me nos propres choix...
En tout cas je suis aussi en arret pour dépression et mon médecin m'a donné les deux recommandations suivantes : sport au maximum et sorties libres pour se ressourcer... avant de rester confinée et me complaire dans ma maladie...
Je suis en arrêt pour dépression depuis 2 semaines et je n'ai pas de contrainte horaire pour sortir.
Pour le moment j'ai du mal à quitter mon domicile alors que mon médecin me pousse à faire le contraire. Je ne veux pas m'installer dans la maladie mais c'est difficile.
étant moi même en dépression, depuis décembre suite a un burnout, j ai préférer couper les ponts avec le travail, source du mal d'une part.Aujourd'hui j ai du sortir pour aller faire des papier (demande apl plus demande carte vitale etc...) ainsi qu autres problèmes, sur le chemin du retour j ai eu faim (après deux heures a jongler entre les deux organismes au heure de repas ça ce comprend. En arrivant au tram j ai vu 3 collègues (animateurs) qui étaient dans le tram sens opposé du miens, et elles m ont toutes regarder et ont rigolé...je ne sais pas si je suis en tord ou autre de sortir, mais vu la situation je le devais car je doit régler mes problèmes...je ne sais pas quoi penser de cela :( ce que je sais juste c est que ces personnes me déprime et leurs comportement vis a vis de moi enlise le mal dans le quel je me sens déjà...
je pense que l on ne peut pas juger une dépression chaque cas est différent...moi par exemple, mon probleme est que je m emferme sur moi meme je ne sort pas ( c est mon medecin qui m as preconisé de sortir. malgré ca je ne sort pas trop non plus. si quelqun peut m offrir un point de vue...