Je suis étudiant finaliste en graduat en informatique de ges

EPIGRAPHE Emmanuel KANT DEDICACE AVANT PROPOS A feus mes grands-parents INTRODUCTION GENERALE 1. Généralités Il est vrai que la révolution de l’informatique bouleverse notre mode de pensée scientifique aussi bien que notre vie en nous obligeant à certaines révisions fondamentales dans l’enseignement pour ne citer que ces domaines, ont subi de son fait des mutations palpables aux quelles l’homme est témoin et aucun secteur à l’heure ne lui est étrange. De nos jours, l’informatique devient un apanage exclusif de l’homme dans des activités de la gestion automatique grâce à l’outil de gestion appelé (ordinateur). L’informatique implique d’une manière générale de développement des habitudes de l’homme et évolution pour le traitement de l’information « information » et « automatique ». L’ordinateur est un outil de traitement des informations. Si aucun secteur n’échappe à l’entreprise de l’informatique, la gestion des sinistres ne fait pas exception. Ainsi, dans le cadre de notre travail de fin de graduat en informatique de gestion, nous avons choisi ce sujet à fin d’apporter un plus à l’édifice dans la gestion quotidienne de la société nationale d’assurance. (Direction provinciale du Katanga) 2. Etat de la question Ce point revêt une importance remarquable dans la recherche véritablement scientifique. Une investigation d’envergure débute par la lecture de la littérature spécialisée tant sur les considérations théoriques du thème retenu que sur les recherches empiriques limitrophes menées antérieurement. L’état de la question, qui n’est pas à confondre avec un simple alignement des opinions des autres sur un sujet donné, est une synthèse critique des écrits existants qui permet au chercheur de tracer la ligne de démarcation entre ceux-ci et la littérature qu’il se propose de produire. Etant présent sur le lieu, nous avons vu la réalité et la palpé. La perte des documents nécessaires et la disparition des informations et le retard dans la vérification des documents datent de longtemps. C’est ainsi que nous avons eu le mot sinistre comme étant une catastrophe qui cause des pertes considérables autant fait qui entraine une indemnisation. (L’originalité de œuvre est une idée personnelle âpres une recherche dans la société nationale d’assurance de Lubumbashi) 3. Choix et intérêt du sujet Le choix est une étape primordiale ayant plusieurs procédures à la détermination d’un sujet de recherche précis sa provenance peut relever d’une intuition personnelle, d’un titre d’ouvrage frappant l’attention du chercheur de son observation, d’un événement reçu, de débat scientifique. Notre choix est tombé à ce sujet suite aux difficultés rencontrées dans la gestion manuelle de sinistres ; de par les moyens de conservations de données relatives à cette gestion dans les archives et les risques de perdre certaines informations qui risqueraient de porter préjudice à la société. Notre intérêt majeur est d’apporter une pierre à l’édifice à cette gestion des sinistres, en y apportant une autre dimension à la gestion en proposant la réorganisation que apporterais une gestion fiable, efficace et les décisions prises seront conséquentes ; claires et nettes suite à une information ou donnée à jour. 4. Problématique et hypothèse La problématique désigne un ensemble d’idées qui spécifient la position du problème suscrite par le sujet d’étude. Elle est aussi définie comme un ensemble des questions que l’on se pose à propos d’un sujet. La problématique reste le fondement dans une étude scientifique, un guide dans l’analyse d’une étude. Nous cherchions à répondre dans ce travail à ces quelques préoccupations à savoir : • La perte des informations se trouvent sur les différant documents ; • Le retard dans l’élaboration des rapports ou des volumes des papiers. Cela entraine une lenteur dans le traitement. L’hypothèse est une réponse provisoire guidant la recherche susceptible d’être confirmée ou infirmée. Pour le dictionnaire le Robert méthodique, l’hypothèse désigne une proposition relative à l’explication de phénomènes naturels et qui doit être vérifiée par les faits. C’est le fait de prendre position en n’ayant aucune certitude. Ces deux premières conceptions relèvent bien l’incertitude qui caractérise l’allégation appelée hypothèse. Le point de vue de R. Pinto et M. Grawitz nous semble indiquer le procède qui sous-entend le caractère douteux de l’hypothèse de travail. Dans leurs ouvrage méthodes de sciences, sociales, ces deux auteurs nous renseignent que : ‘’tout chercheur doit en effet présupposer au départ un point de vue, lequel constitue ce qu’on appelle le concept opérationnel ou hypothèse de travail’’. Il est vrai que le système envisagé mettra fin aux difficultés dans la gestion de sinistres d’autant plus que la mise sur pied d’une base de données résoudrait beaucoup de failles et elles seraient capables de restituer tous renseignements possibles de chaque sinistre. La gestion des sinistres, l’impératif est obligatoire d’informatiser cette gestion pour la rendre optimale et fiable. 5. Méthode et technique Il est anormal et même drôle de prétendre réaliser quelque chose sans préalablement avoir une certaine ligne de conduite. Un soldat averti adopte des stratégies et tactiques pour conquérir le fief d’un autre soldat. Pour les scientifiques, l’usage de certaines méthodes et techniques répond à cette préoccupation en vue d’un aboutissement heureux d’un quelconque travail. Les méthodes et techniques permettent d’ordonnancement des idées et la collecte des données utiles à l’élaboration d’une étude scientifique. La méthode est l’ensemble d’opérations intellectuelles de l’esprit par lequel une discipline cherche à découvrir une vérité par la démonstration et la vérification des faits observés. Compte tenu des objectifs et hypothèses que ce travail se propose, il s’avère nécessaire d’utiliser les méthodes suivantes : - La méthode analytique est utilisée afin d’étudier un problème dans ses parties pour savoir le problème dans sa globalité. Grace à cette méthode, nous avons analysé les documents mis à notre disposition dans le système étudié. - La méthode historique nous a facilité la tâche de bien connaitre la genèse de la société ou de l’entreprise. - La méthode descriptive nous a permis de connaitre le processus du système d’information à décrire les tâches des différents services concernés et à avoir plus d’information sur leur fonctionnement. La technique apparait comme l’outil de recherche mis en œuvre en fonction d’une stratégie générale définie par la méthode. Nous avons utilisé les techniques suivantes : - Interview désigne une forme de communication établie entre deux personnes qui ne se connaissant pas ayant pour but de recueillir certaines informations concernant un objectif précis. Elle nous a aidé à nous entretenir avec les responsables de la société en posant quelques questions concernant le sujet à étudier. - Documentaire nous a permis de consulter les documents et les ouvrages pour exploiter notre pensée. 6. Délimitation du sujet Si dans l’espace la société nationale d’assurance de Lubumbashi a constitué notre champ d’investigation, dans le temps c’est la période allant de l’année 2005 à 2010 que nous allons considérée. Soulignons en passant que cette délimitation a été dictée non seulement par les facilités obtenues quant à l’accès aux installations de la société nationale d’assurance Lubumbashi, mais aussi par la disponibilité de la documentation consultée. Conscient de la complexité de notre champ d’investigation et, nous référant à l’interaction méthodologique, temporel et matériel, notre étude portera sur une gestion des sinistres dans une société d’assurance. Notre collecte de données dans cette entreprise était principalement au pool sinistres et au sous pool dégâts matériels. 7. Subdivision du travail Mises à part l’introduction générale et la conclusion générale, le présent travail a été développé en quatre chapitres qui sont :  CHAPITRE PREMIER : ANALYSE PREALABLE ;  CHAPITRE 2 : ANALYSE CONCEPTUELLE ;  CHAPITRE3 : ANALYSE LOGIQUE ET ORGANISATIONNNELLE ;  CHAPITRE4 : PROGRAMMATION. CHAPITRE PREMIER : ANALYSE PREALABLE 1.1. PRESENTATION DE LA SONAS A. HISTORIQUE A.1. ORGANISATION DU MARCHE CONGOLAIS D'ASSURANCES A.1.1. Avant la création de la SONAS Comme toute activité économique et sociale, l'assurance a été organisée dans le contexte du libéralisme économique qui a caractérisé l'époque du XIXè siècle. Exceptionnellement au Congo, les activités d'assurances s'exerçaient dans le grand esprit de la conférence internationale de Berlin de 1885 complété par les chartes du 22 mars 1885 de Saint-germain de la Haye portant sur la liberté de commerce dans tout le territoire du bassin conventionnel du Congo. Ce libéralisme économique avait fait son bonhomme de chemin et s'était renforcé à l'époque Léopoldienne par la création de plusieurs sociétés à Charte telles que l'Union Minière du Haut Katanga, la Comminière, etc., qui avaient comme objectif l'exploitation éhontée des richesses du Congo. L'annexion du Congo au Royaume de la Belgique n'a fait que renforcer l'implantation des sociétés d'exploitation de diverses richesses de ce pays sous les esprits les plus divers le tout dans une structure à économie extravertie c'est-à-dire que le Congo constituait la périphérie et la métropole était le centre de décision vers lequel était destiné la plus-value résultant des comptes d'exploitation desdites sociétés. L'industrie d'assurances n'a pas manqué elle aussi de subir la même loi. Le transfert à l'étranger des bénéfices d'exploitation, plus-value de diverses compagnies d'assurances était facilitée et favorisé par l'absence complète des mécanismes de contrôle de change au niveau de la Banque Centrale du Congo belge et du Ruanda-Urundi. C'est seulement vers les années 1928 que les compagnies d'assurances commencèrent à s'installer au Congo belge et étaient représentées par les agents généraux ou des courtiers. Il s'agit notamment des sociétés suivantes : 1. Le crédit foncier africain ; 2. L'HELVETTA 3. L'IMMOAF, Immobilier Africain 4. L'IMMOCONGO 5. Charles Lejeune, etc. Il y a lieu de signaler que les compagnies Britanniques d'assurances ont couvert 80 % de l'ensemble du marché congolais d'assurances. A.1.2. Après la création de la SONAS Créée le 23 novembre 1966 par l'Ordonnance loi n°66/0622 bis la Société Nationale d'Assurances a vu le jour avec comme mission première d'unifier les activités d'assurances exercées jadis par les compagnies privées étrangères. Cette création a mis fin au libéralisme économique dans ce secteur d'activités économiques au Congo en confiant à la nouvelle société le monopole de toutes ces activités ainsi la SONAS était devenue la seule compagnie d'assurances à couvrir l'ensemble du marché national d'assurances. De ce fait, les anciennes compagnies d'assurances qui voulaient bien rester au Congo et continuer à y travailler s'étaient converties en agents généraux ou courtiers d'assurances agrées par la SONAS et œuvrant désormais pour son compte moyennant paiement d'une commission de courtage calculée sur le nombre d'affaires qu'elles réalisaient. Le système mis en place le 1er janvier 1967, c'est-à-dire quelques mois seulement après la création de la SONAS apporta des modifications fondamentales dans la structure de l'économie du Congo, notamment dans le secteur des assurances en transformant une structure économique libérale extravertie en une structure économique intégrée et autocentrée ou la périphérie et le centre se confondent en d'autres termes au lieu que le résultat d'exploitation ou la plus-value soit transformée à des milliers de kilomètres au-delà des frontières nationales comme ce fut le cas dans le temps, celui-ci reste au pays et est utilisé pour les investissements locaux. Pour mener à bien sa tâche, la SONAS étendait ses activités sur l'ensemble du territoire national afin de faire face aux multiples sollicitations. C'est dans ce cadre que fut aussi implantée la Succursale de la SONAS à Lubumbashi en janvier 1967 afin de rapprocher les assurés des assureurs en matière d'indemnisation des sinistres. Pour renforcer davantage le rapprochement entre assurés et assureurs une première restructuration de la SONAS fut effectuée en mars 1985. En effet, par ordre de service n°11/DG du 28 février 1985, la Succursale de Lubumbashi a été érigée en Direction provinciale du Katanga ayant autorité technico-administrative sur les succursales de Likasi et Kolwezi, ainsi que les bureaux de souscription de haut Lomami, Tanganyika. Compte tenu de la régression considérable des recettes de la Direction provinciale du Katanga qui ne parvenait plus à couvrir les coûts d'exploitation, le Conseil d'Administration décida en mai 1991 la suppression de la Direction provinciale du Katanga et de son remplacement par une Sous Direction dirigée par un Sous-directeur secondé par deux fondés de pouvoir. Ainsi créée, la Succursale de la SONAS/Lubumbashi a été rattachée à la Direction provinciale à Lubumbashi tout en gardant son autorité sur les entités citées ci haut. La même décision son aussi d'application sur la Direction provinciale du Centre à Kananga qui est devenue une Succursale a été rattachée à la Direction nationale de Kinshasa. A.2. NATURE JURIDIQUE Le statut juridique de la SONAS est défini par l'ordonnance loi n°78/194 du 05/05/1978 qui stipule que la SONAS est une entreprise publique à caractère technique et commercial dotée d'une personnalité juridique propre placée sous la tutelle du ministère de l'économie et budget et celui du portefeuille. Cette entreprise jouit du monopole d'exploitation du marché des assurances sur toute l'étendue de la République Démocratique du Congo. A.3. OBJET DE LA SONAS Le statut de la Société précise que la SONAS a pour objet : - l'exploitation de toutes les opérations d'assurances ; - l'exploitation de toutes les opérations de coassurances ; - l'exploitation de toutes les opérations de réassurances ; - d'effectuer toutes les transactions immobilières notamment les locations et/ou les ventes des immeubles des tiers dont la gestion est confiée à la SONAS ; - d'effectuer le contrôle technique des véhicules automoteurs ; - d'effectuer les opérations financières et d'investissements s'y rattachant directement ou indirectement sur le territoire congolais. A.4. MISSION SOCIALE DE LA SONAS La SONAS a pour mission principale de sécuriser les personnes et leurs biens et assurer également le développement du pays par des investissements dans plusieurs secteurs du pays en apportant des capitaux frais et résorbe aussi, le chômage en créant le marché d'emplois. B.1. ORGANISATION ET FONCTIONNEMENT B.1.1. Au niveau de la Direction Générale. La SONAS a une structure centralisée c'est-à-dire qu'elle applique la centralisation du pouvoir macro hiérarchique au niveau de la direction générale. En d'autre terme, les décisions importantes doivent provenir de la direction générale. Le siège social de la SONAS est à Kinshasa sur le boulevard du 30 Juin dans la commune de la Gombe. Les principales directions de l'administration centrale de la SONAS sont : - Direction automobile ; - Direction Incendie ; - Direction transport maritime et sérum ; - Direction d'Assurances vie ; - Direction des réassurances ; - Direction des A.R.D. De ces directions fonctionnelles ci-après : - La direction financière ; - La direction des études et statistiques ; - La direction administrative et immobilière ; - La direction médicale ; - La direction de l'Audit Interne. Hormis les départements, tous les autres organes se trouvent aussi bien au siège social qu'en provinces, la Direction au siège prend la dénomination d'Agence en provinces. On distingue 4 types d'Agences : - Agences A : Ces agences ont le rang de Direction ; - Agences B : Ont le rang de Pool (équivalent de la Succursale) ; - Agences C : Ont le rang des S/Pool (équivalent de Service) ; - Agences D : Ont le rang de Bureau de souscription. a) Le Conseil d'Administration Au terme de la loi n°78/002 du 6 juin 1978, le Conseil d'Administration conçoit et trace la politique générale de l'entreprise et en assure le suivi. b) Le Comité de Gestion Il applique la politique du Conseil d'Administration dans l'entreprise. Les contributions sont définies par les textes légaux et réglementaires régissant l'organisation et le fonctionnement des entreprises du portefeuille de l'Etat. c) Le Collège des commissaires aux comptes Il comprend le Directeur Général et le Directeur Général Adjoint, la Direction du personnel est chargée de veiller à l'application des décisions de Comité de Gestion. Le Directeur Général gère l'entreprise au quotidien et coordonne toutes les activités qui s'y déroulent. Elle supervise les directions juridiques stations et informatique au dit interne, Service généraux, Recherches, Développement et Réassurances. B.1.2. Au niveau des provinces : Les Directions ou Agences Ces organes représentent le volet opérationnel de la présente restructuration en ce sens qu'elles comprennent les agents qui descendent sur terrain pour s'occuper directement de la souscription de la police d'assurance et du règlement de sinistre. a) Pools Ils regroupent plusieurs cadres et agents de grade divers, placé sous la supervision d'un encadreur, cet organe présente l'avantage de privilégier la fonction par rapport au grade. b) Les sous pools Ils sont constitués d'agents exerçant une tache précise et sont placés sous la responsabilité directe du pool. La caractéristique la plus dominante des agents y affectés est la polyvalence dans l'exercice de leur fonction. c) Les bureaux Ils renferment le nombre d'agents dont la mission consiste à exécuter des tâches précises et parfois ponctuelles. C. ORGANIGRAMME DE LA SONAS 1.2. DESCRIPTION TEXTUELLE DU SYSTEME D’INFORMATION A l’arrivée, le preneur d’assurance introduit son dossier d’assurance qui est composé : de la carte rose, de la carte d’identité, du permis de conduire et du certificat d’assurance, requis venant du preneur d’assurance au secrétariat et réception de l’agence. Le secrétariat procède au contrôle de conformité documentaire, à la vérification des informations déclarées par le preneur d’assurance, si l’information est bonne, le secrétariat procède au contrôle enregistre et envoi au sinistre le dossier, le sinistre établi la déclaration de l’accident, la quittance d’indemnité et de l’état de règlement en trois exemplaires et envoi deux exemplaires de l’état de règlement au secrétariat, le secrétariat détermine le montant à payer puis approuve sur l’état de règlement et envoi dossier au sinistre. Le sinistre remplit la quittance d’indemnité du montant de l’état de règlement et envoi deux exemplaires (de la quittance d’indemnité, de l’état de règlement et de la déclaration d’accident) au secrétariat, le secrétariat envoi un exemplaire de la quittance d’indemnité à la Direction, la direction signe l’état de règlement et approuve la quittance d’indemnité et envoi le dossier associé à la déclaration d’accident au sinistre ;le sinistre remet la quittance d’indemnité au preneur d’assurance ; le preneur d’assurance lu et approuve la quittance d’indemnité et la remet au sinistre ; le sinistre envoi l’état de règlement à la direction financière ; la direction financière paie et remet l’état de règlement au preneur d’assurance. En revanche si l’information n’est pas bonne le secrétariat remet le dossier qui est composé de la carte rose, de la carte d’identité, du permis de conduire et du certificat d’assurance au preneur d’assurance. 1.3 DESCRIPTION DES DONNEES A. ETUDE DES DOCUMENTS Cette étude nous permet de préciser tous les documents utilisés par les systèmes concernés par notre analyse afin de faire ressortir toutes les propriétés inscrites sur le document. 1. DECLARATION D’ACCIDENT C’est document permettant à une personne physique ou morale à s’assurer et déclarer de son matériel endommagé à la société nationale d’assurance ou à ses représentations proches. Elle est structurée comme suite : DECLARATION D’ACCIDENT Avis : l’assuré ou toute autre personne ne pourra admettre sa responsabilité sans en référer d’abord à la SONAS ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………… Date et heure de l’accident :…………………………………………………………………………………………………………. Lieu de l’accident :…………………………………………………………………………………………………………. 2. preneur d’assurance :……………………………………………………………………………………………………………….. Nom ou raison sociale :………………………………………………………………………………………………………………… Prénoms :…………………………………………………………………………………………………………………………………….. Adresse :………………………………………………………………………………………………………………………………………. ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………… 3. Conducteur Nom et prénom :…………………………………………………………………………………………………………………………. Age :……………………………………………………………………………………………………………………………………………. Etait-il à votre service ?........................si non à quel titre conduirait-il ?……………………………………… Permis de conduire N° ……………………………délivré à……………………………date………………………………… ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………. 4. véhicule garantie couverte Souligner la(les) garantie(s) couverte(s) Marque et type……………………………………kilométrage…………………..DM.R.C.INC.VOL N° du châssis…………………………………………………du moteur……………………………………………………………… Puissance………………………………Année……………….N° de la plaque………………valeur………………………… DESCRIPTION DE L’ACCIDENT PLAN DES LIEUX 2. QUITTANCE D’INDEMNITE C’est un document qui justifie la réception de l’indemnité de charge de la société nationale d’assurance irrévocablement de tous dommages, frais et intérêts judiciaires résultat du sinistre en cause. Elle se présente comme suite : QUITTANCE D’INDEMNITE Sinistre N° ………………………………………………..police N°………………………………………………… Branche …………………………………………………………Agence de………………………………………… ASSURE :…………………………………………… AYANT DROIT :…………………………………………………………….B.P F.C…………………………… Le soussigné………………………………………………………………………………………………. Reconnait avoir reçu de la SOCIETE NATIONALE D’ASSURANCE « SONAS » à……………………………………. La somme de……………………………………………………………………………………………………………………………………… Qui lui a été payée à titre d’indemnité totale et définitive, sans réserve aucune, pour les dommages subis au cours du sinistre survenu le ………………………………………………à……………………………………………….. Ce paiement couvre toutes les conséquences préjudiciables du sinistre tant passées que futures et imprévues, connues ou inconnues. Il est exclusif de toute reconnaissance de responsabilité et ne peut préjudicier aux droits éventuels de l’assuré. La réception du paiement de l’indemnité de charge de la SONAS, irrévocablement, de tous dommages, frais et intérêts judiciaires en cause résultant du sinistre en cause, ou généralement de toutes autres obligations quelconques procéder du sinistre. A concurrence du montant payé, et par le seul fait du paiement, la SONAS, est subrogée automatiquement dans tous les droits, recours et privilèges que le bénéficiaire aurait pu même chef contre tous contre tiers généralement quelconques. Fait à…………………………, les………………………………. « lu et approuvé » Le bénéficiaire, LA SOCIETE NATIONALE D’ASSURANCES 3. ETAT DE REGLEMENT C’est un document justifiant le paiement des frais à la preneur d’assurance âpres un examen approfondis de la déclaration du victime. Il se présente comme suit : Références à rappeler : SINISTRES (N° du dossier sinistre) VEHICULES SOCIETE NATIONALE A MOTEUR D’ASSURANCE ETAT DE REGLEMENT TIERS PROPRIETAIRE…………….. CONDUCTEUR…………….. ASSURE VEHICULE……………………. ADRESSE……………………… Lieu du sinistre Cause Date Heures Jour Nuit DESIGNATION DES VEHICULES EN CAUSE marque type et année ………………………………….. ………………………………………………………...................... N° châssis ou moteur……………………………………… …………………………………………………………………………….. N° Plaque………………………………………………………… ……………………………………………………………………………… Valeur avant accident…………………………………….. …………………………………………………………………………….. N.B. spécifier ci-contre les intérêts de l’adversaire autre que son véhicule endommagé par suite du sinistre sous rubrique. NATURE DES DOMMAGES CORPOREL A L’ADVERSAIRE : REGLEMENT BENEFICIAIRE : -NOM : -ADRESSE : OBSERVATIONS RECOURS b. INVENTAIRE DES RUBRIQUES Cette étape permet de recenser ou d’inventorier toutes les rubriques. Les rubriques peuvent être sur le document utilisé ou dans le dire des utilisateurs. N° PROPRIETE DECLARATION D’ACCIDENT QUITTANCE D’INDEMNITE ETAT DE REGLEMENT 1 Nom agence * * * 2 Code agence * * 3 Numéro police * * * 4 Numéro claim * 5 Garantie * * 6 Numéro téléphone agence * 7 Date accident * 8 Lieu accident * * * 9 Nom preneur d’assurance * * * 10 Prénom preneur d’assurance * 11 Adresse preneur d’assurance * 12 Age preneur d’assurance * 13 Numéro permis de conduire * 14 Date de livraison assurance * 15 Code matériel roulant du preneur * * 16 Code type matériel roulant * * 17 Kilométrage matriciel * 18 Numéro châssis * * 19 Moteur matériel * 20 Puissance matériel * 21 Année fabrication matériel * 22 Numéro plaque matériel * * 23 Valeur matériel roulant * * 24 Numéro sinistre * * 25 Branche * 26 Montant * * 27 Bénéficiaire * * 28 Date réception montant * 29 Conducteur * * 30 Date sinistre * * 31 Cause du sinistre * 32 Devis * 33 Expertise * 34 Epave * 35 Déduction * 36 Règle pro port * 37 Frais de remorquage * 38 Franchise * 39 A payer * 40 Frais médical et pharmacie * 41 Total de l’indemnité * 42 Frais d’expertise * C. DICTIONNAIRE DES DONNEES N° NOM PROPRIETE DESIGNATION TYPE TAILLE/DOMAINE CONTROLE 1 NOMAG NC AN_25 2 CODAG NC AN_ 3 NUMPOL NC AN_ 4 NUMCLA NC N_ 5 GAR NC N_ 6 NUMTELAG NC N_ 7 DATACC NC Date(8) 8 LIEUACC NC AN_ 9 NOMPREASS NC AN_ 10 PRENOMPREASS NC AN_ 11 ADPREASS NC AN_ 12 AGEPREASS NC N_ 13 NUMPERCON NC AN_ 14 DATLIVRASS NC Date(12) 15 CODMATROUL NC AN_ 16 CODTYMAT NC AN_ 17 KILOMAT NC N_ 18 NUMCHAS NC N_ 19 MOTMAT NC N_ 20 PUISMAT NC N_ 21 ANFABMAT NC Date(8) 22 NUMPLAMAT NC AN_ 23 VALMAT NC AN_ 24 NUMSIN NC AN_ 25 BRASIN NC N_ 26 MONTANT NC N_ 27 BEN NC AN_ 28 DATRECEPMON NC Date(12) 29 DATSIN NC Date(8) 30 CONDMAT NC AN_ 31 CAUSIN NC AN_ 32 DEV C N_ 33 EXPER C N_ 34 EPA C N_ 35 DED C N_ 36 REGPRO C N_ 37 FRAIREMP C N_ 38 FRANCHISE C N_ 39 A PAYER C N_ 40 FRAIMEDPHAR C N_ 41 TOTINDE C N_ 42 FRAIEXPER C N_ 1.3. DESCRIPTION DES TRAITEMENTS a. Recensement des acteurs Cette opération revient à intervenir dans le domaine étudié. L’acteur peut être une personne physique ou morale. Nous avons recensé : 1°) les acteurs externes : - Preneur d’assurance - Direction 2°) les acteurs internes : - Sinistre - Secrétariat - Direction financière b. GRAPHE DE FLUX Le graphe de flux permet de présenter l’échange d’informations entre deux acteurs quelque soit le type. (12) (1) (7) (2) (9) (8) (6) (11) (10) (5) (4) (3) 1. Dossier 2. Dossier contrôlé 3. Dossier enregistré 4. Dossier établi 5. Montant déterminé et dossier approuvé 6. Dossier remplis 7. Dossier enregistré 8. Dossier signé 9. Dossier remis 10. Dossier lu et approuvé 11. Dossier remplis et signé 12. Dossier payé c. DIAGRAMME DE CIRCULATION DES INFORMATIONS ce diagramme consiste à connaitre les documents utilisés ainsi que les services concernés, les opérations qui suscitent l’usage de ces document. TEMPS PRENEUR D’ASSURANCE SECRETARIAT SINISTRE DIRECTION DIRECTION FINANCIERE