Je vais vendre un bien immobilier et j’aimerais faire fructifier ce pécule sur un compte titre mais offshore.
Si y’a quelqu’un de malin ou d’expérimenté qui veux bien me conseiller, je suis preneur.
Merci d’avance.
Vous pouvez ouvrir un compte bancaire au Liechtenstein sans vous déplacer;vous pouvez contacter notre cabinet par mail à : bluestarfinanceltd@ymail.com;
Bonjour,
qui dit offshore, dit évasion fiscale et il vous faire attention. Il y a des trucs à savoir pour pas que le fisc vous "requalifie".
Il y a aussi des pays "semi-offshore" Bulgarie / Chypre / Malte / Gibraltar / ... qui ont une fiscalité des entreprises ou une fiscalité du patrimoine bien moindre et qui sont encore en Europe.
Mais c'est tout à fait possible cela dit.
Je suis dispo sur mapayul06@gmail.com
Ne vous compliquez pas la tache;ouvrez pûtôt un compte au Pays Basque espagnol qui bénéficie d'un régime spécifique au sein de l'Espagne;si vous voulez passer par un courtier français qui connait parfaitement le secteur bancaire,faites appel au cabinet Eurofinance Conseil International qui m'a conseillé moi-même et qui a près de quinze ans d'expérience dans la zone
C'est certainement désormais la dernière destination où aller avec les échanges de renseignements ,la surveillance des frontières,etc;attention aux personnes qui apportent de faux conseils pour placer leurs produits !!
Alors, quelques infos de la Suisse pour dissiper le nuage d'incertitudes qui plane sur la question du secret bancaire :
Les contribuables US – qui avaient choisi la Suisse (parce que c’est le No 1 pour la gestion offshore) et l’UBS (parce que c’est la première banque du monde en termes de Private Banking) - ont été au coeur du bras de fer entre les autorités suisses et américaines dans le cadre de l’affaire UBS. Ils ont été mis devant le fait accompli :
1. Soit les clients optaient pour la dénonciation (certains sont encore derrière les barreaux aujourd’hui)
2. Soit ils se sont vu remettre un chèque, dans l’urgence, après bouclement de leur compte (sans autre alternative). Aucun retrait cash ne fût possible !
Certaines banques suisses ont alors exigé la signature d’un document (le fameux formulaire W9 :fw9) à l’ouverture du compte. Ce document octroie la possibilité de communication entre la banque et le fisc américain. Cette situation revient à quasiment déclarer les avoirs.
Aujourd’hui, il est fort possible qu’à terme ce qui s’est déroulé avec les ressortissants américains survienne également avec les autres « évadés fiscaux », notamment Européens.
Pour qu’un banquier (suisse) puisse mener une activité irréprochable, il ne doit absolument pas accepter de fonds provenant d’une activité délictueuse ou criminelle (trafic de drogue, d’arme, corruption de fonctionnaire étrangers, etc. - voir LBA, loi sur le blanchiment). Et si cette activité irréprochable englobait soudainement l’argent non-déclaré ?
C'est tout l'objet des combats en cours entre la Suisse et le reste du monde. Aujourd'hui, lier blanchiment d'argent et évasion fiscale, ca fâche tout rouge les banquiers !!!
On se souvient d'octobre 2008 : Les paradis fiscaux et les hedge funds ont rapidement été montrés du doigt. Comme les premiers se situent souvent dans de petits pays – des nains politiques – il n’a pas fallu longtemps pour les faire plier. Le secret bancaire se rétrécit, certes mais n'est pas encore mort. Encore quelques années probablement.
Il appartiendra aux épargnants de faire preuve d’imagination et de réactivité s’ils entendent préserver leurs avoirs de la voracité des Etats. Les Etats européens, américains sont en train d’envoyer toute cette manne financière vers les dragons asiatiques qui ne se font et feront pas prier pour l’accueillir à bras ouverts. Et pendant ce temps, les sociétés offshore américaines (Delaware, etc.), entre autres, coulent des jours heureux.