J'ai travaillé plus de neuf année en côte d'ivoire,contrat local,je suis à la retraite,j'ai fait parvenire,un dossier à la caisse d'abidjan depuis quatre ans,et je n'ai toujours pas de reponse!! j'ai même founi un dossier par ma caisse de retraite ,ou je suis inscrite
J'étais dans la même situation et j'ai attendu aussi très longtemps avant de percevoir ma première trimestrialitè.
J'ai perçu "a peu prés régulièrement" ma retraite CNPS durant 5 ans, mais avec les
évènements je n'ai plus rien reçu depuis le dernier trimestre 2010.
Ca me parait mal parti pour la suite, mais essayons d rester en contact ( Je suis en contact avec un autre retraité )
Cordialement
Georges
C'est vrai que la CNPS est très lente dans le traitement des dossiers de rétraite mais il ne faut pas vous arretez à ça il faut les appelez au 225 20 25 21 00. Et puis meme les rétraités ivoiriens avaient du mal à avoir leur pension à temps après la crise mais avec la dernière décision d'augmenter l'age et le taux des cotisations de rétraite, la cnps pourra mieux faire face à ses obligations et combler son déficit de 100 milliards de FCFA. Bon courage et appelez les!
Bonjour je dois également faire des démarches pour toucher ma retraite j'ai travaillé
plus de 20 ans à Abidjan avec un contrat local mais dans une société internationale, j'ai l'impression que c'est un véritable parcours du "combattant" l'
Ambassade de France à Abidjan peut-elle aider nous aider Merci de votre réponse
J'ai travaillé 41 ans en Afrique dont 11 ans en CI,5 au Congo,4 au Burkina,2 au Gabon etc..le pays ou j'ai eu une réponse relativement rapide le Burkina mais les territoires ayant une convention avec la France,ni la CARSATni le CLEISS à Paris ni les differents consulats personnes de l'administration Française n'a bougé autrement que pour aller discuter autour de la machine à café,pourquoi des conventions inutiles des organismes Français rayonnants par une inefficacité
que même certains pays pourtant nul ne voudrais pas,pardon pour nos Anciens qui eux respecter le drapeau tricolore et le faisait respecter par tous. Patrick Steunou