Salut à tous !
Quelqu’un peut-il m’apporter un financement ? En effet, j’ai un besoin urgent de 200 000 euros pour développer mon magasin de cosmétiques que je tiens dans un conteneur, à Abidjan. Je voudrais qu’une bonne volonté m’offre ou me prête cette somme pour réaliser mon rêve d’être propriétaire d’un grand magasin commercial. J’ai besoin de ce prêt d'urgence sans frais de dossier, d'assurance, de transaction quelconque avant le transfert des fonds. Donc Arnaqueurs, s’abstenir !
Mon e-mail : kessoma@yahoo.fr Mon mobile : 225 46 08 44 84. Mobile de mon époux : 225 05 54 45 19.
Tenez, je voudrais profiter de l’occasion pour m’ouvrir à vous tous, en espérant pouvoir recevoir quelques conseils et signes de compassion…
Je suis Marie Solange KOFFI, Ivoirienne de mère et de père Libanais. Mais mon père a joué au lâche: il a refusé de me reconnaître comme étant sa fille… J’ai vécu donc une enfance difficile de métisse ‘’café au lait’’ au milieu de ce couple d’ébène que sont ma mère et mon père adoptif, ainsi que mes demi frères et sœurs, tous nés après moi. Mon père est un policier à la retraite aujourd’hui, vous pouvez le vérifier à son contact téléphonique qui est le 225 07164725 (Il s’appelle M. KESSIN. Je m’appelle donc Marie-Solange KESSIN. KOFFI est le nom de mon époux. Aujourd’hui, je m’appelle donc : Marie Solange KOFFI).
Quant à mon « père » Libanais, ma mère m’a donné son nom: il s'appelle FADEL, il vit (encore aujourd'hui) dans la ville de SEGUELA, en Côte d'Ivoire. J'ai recherché et obtenu son contact téléphonique. Je l’appelais de temps en temps, et au moins cela me procurait le sentiment de parler à mon père. Bien sûr lui ne savait pas que je l’appelais en tant que sa fille. Un jour, j’ai prie la décision de lui dire que j’étais sa fille et que je n’appréciais pas le fait pour un père de fuir ses responsabilités de père! C’était en 2001. Je lui ai donné le nom de ma mère (Elisabeth KOUSSOH), ainsi que l’année où il l’a connue à Adjamé 220 Logements (Abidjan), selon les informations que je détenais de ma mère. Il a senti une colère en moi et m’a dit d’une voix posée que j’avais beaucoup appréciée : « J’arrive à Abidjan le lundi prochain, appelle-moi à midi, on va se rencontrer… »
J’étais heureuse et, toute naïve, j’ai déjà crié «victoire !» Ne fallait pas… Quand je l’ai appelé, ce lundi là, il a immédiatement décroché et ma donné rendez-vous à 14h à l’hôtel IBIS, sur le Boulevard Giscard D’Estaing (pour ceux qui connaissent Abidjan). J’y suis arrivée 15mn avant ; j’étais en compagnie d’une amie, Mme DOGNI qui connaît bien mon histoire. A 14h pile, il m’a appelée et quand j’ai dit que j’étais déjà là, il m’a demandé de monter dans sa chambre d’hôtel. Mme DOGNI m’a encouragée à y aller seule, et je n’y ai pas trouvé d’inconvénient. Si vous me voyiez au moment où j’écris ces lignes, vous verriez que je suis en pleurs, sanglotant…
DANS SA CHAMBRE, IL VOULAIT ME FAIRE PASSER POUR MA MERE, ABUSER DE MOI, COUCHER AVEC MOI !!! J’ai lutté contre lui, hurlé, et lutter pendant 15 bonnes minutes contre cet homme d’une soixantaine d’âge (en 2001) ! C’est lorsque j’ai réussi à frapper violemment la porte de la chambre qu’il a crié : « Arrête ! » et il a ouvert… Heureusement pour moi, il n’a pas pu atteindre son but. Je suis sortie en sanglotant mais sans crier. Et il m’a lancé : « Je n’ai jamais été ton père ! » Le ciel venait de tomber sur ma tête…
Mais Dieu est TOUT-PUISSANT ! Mon époux m’aime beaucoup, nous nous aimons, et nous avons deux charmants enfants (Daniel Esaïe, 18ans et Esther Jemima, 16ans). A ceux qui m’écriront, j’enverrai la photo de ma petite famille. E-mail : kessoma@yahoo.fr .
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