Les terrains n'étant, par nature, susceptibles d'aucune diminution de valeur par l'effet du temps, ne peuvent faire l'objet d'un amortissement (CE, 23 mai 1938 n° 58028, RO, p. 285).
Dans le projet de loi initiale (PLF) pour 2018, les recettes fiscales nettes, c’est-à-dire après les dégrèvements et remboursements d’impôts, du budget général de l’État, s’élèvent à 288,8 milliards d’euros (Md€) (soit 95,6% des recettes nettes de l’État).
Les recettes fiscales brutes s’élèvent à 404 Md€ et se répartissent comme suit :
taxe sur la valeur ajoutée (TVA) : 152,8 Md€, soit plus de la moitié des recettes fiscales nettes de l’État (52,9%) ;
impôt sur le revenu (IR) : 72,7 Md€ (25,2%) ;
impôt sur les sociétés (IS) : 25,3 Md€ (8,8%) ;
taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques (TICPE) : 13,3 Md€ (4,6%) ;
autres : 24,6 Md€ (8,5%), cet ensemble comportant des impôts directs et indirects.