Comment passer de Windows Vista à Windows 7/8/10 ?

C'est surement possible mais il faut quant même avoir des bases sérieuses en informatique. Il faut aussi que le matériel soit compatible ce qui est moins certain. D'autre part, nous sommes à Window 10 et les mises à jour de window 7 ne sont plus disponibles. Enfin si votre ordinateur a plus de 5 ans, il est préférable d'en changer car le matériel informatique ne dure pas plus de 10 ans.

Bonjour, quel modèle de pc? C'est faisable, s'il fonctionnait bien avec cette merde de vista, il va dropper avec 10. Ca n'est pas un placard poubelle ? Si c'est le cas, balance cette daube et repart sur quelque chose de sérieux.

7 est supporté jusqu'au 20 janv 2020. En espérant qu'il y ait une manip pour le prolonger de 5 ans comme XP, qui grâce à une modif du registre , a été supporté jusqu'en avril 2019, soit 5 ans de plus . Perso suis encore sous XP, il droppe bien avec 4 go de ram et un I5 monter avec SSD.

Vous avez raison de garder XP, the best of the best en OS. Lunux c'est à chier à côté!! Si vous voulez 7, téléchargez l'iso directement , puis windows loader pour l'activer . La licence vista ne le permet pas, faut tout racheter. Une fois 7 activé, vous pouvez même migrer à 10, sans payer la licence. Au pire vous en achetez une à 1O balles sur cdiscount ou amazon. 7 est plus fluide que vista, mais reste en dessous de xp.

Kel model le pc? si avait vista , il peut supporté XP, qui devré droppé dessus. Fou 4 go de ram un processor 2 keur et le tour et jouer.

Microsoft veut tourner la page de Windows 10, et ne s’en cache pas. Notifications intrusives, pressions de moins en moins subtiles : la méthode est claire, mais elle agace. Avec la fin programmée de Windows 10 en octobre 2025, Microsoft redouble d’efforts pour inciter ses utilisateurs à passer à Windows 11. Dernière stratégie en date : des notifications en plein écran qui prennent des airs de publicités agressives, mettant en avant les avantages du dernier système d’exploitation et des nouveaux appareils compatibles. Si l’on ne peut encore statuer sur l’efficacité de la méthode, nul doute qu’elle risque de hérisser quelques poils. Un matraquage publicitaire en bonne et due forme Depuis quelques jours, les voix s’élèvent sur X.com et un peu partout ailleurs sur le web. Mais pas pour chanter les louanges de Microsoft, loin de là. La raison de tout ce tintamarre ? Des notifications plein écran qui surgissent sur Windows 10 pour vanter, sans retenue, les mérites de Windows 11. Repérées dès le mois d’avril, ces annonces se sont a priori intensifiées ces derniers jours. Ces messages, qui ressemblent à des publicités à peine déguisées, insistent sur des arguments bien rodés : des performances optimales sur les nouveaux PC, des outils modernes comme Copilot, et une expérience utilisateur « plus intelligente ». En filigrane, le message est limpide : continuer avec Windows 10 serait non seulement risqué, mais vous condamnerait à rester à la traîne de l’innovation. Évidemment, pas de bouton pour décliner. Il faudra choisir entre « Me le rappeler plus tard », ou « En savoir plus ». Ce genre de méthode n’est pas une première pour Redmond. Les utilisateurs et utilisatrices les plus anciens se souviendront sans doute de campagnes similaires, parfois qualifiées d’agressives, pour forcer la transition vers Windows 10. Mais aujourd’hui, le contexte est différent. Si ces notifications veulent convaincre, elles semblent plutôt diviser. Entre les internautes exaspérés par leur ton insistant et ceux qui dénoncent leur caractère intrusif, Microsoft réussit surtout à attiser une colère déjà bien vivace. Une transition forcée qui laisse un goût amer Car les notifications en boucle ne font qu’exacerber une réalité frustrante : passer à Windows 11 n’est pas à la portée de tout le monde. Là où les précédentes mises à jour ne nécessitaient qu’un clic, celle-ci impose des exigences matérielles qui laissent de nombreux utilisateurs et utilisatrices sur le carreau. Leurs machines, jugées obsolètes, ne répondent plus aux critères, ce qui agace particulièrement celles et ceux qui ne voient aucune raison valable de renouveler un matériel encore fonctionnel. Et pendant ce temps, Microsoft continue d’envoyer des signaux contradictoires. D’un côté, l’entreprise martèle qu’il faut passer à Windows 11. De l’autre, elle enrichit Windows 10 de fonctionnalités et rouvre même le canal bêta du programme Windows Insider avant de le refermer quelques mois plus tard. Une gestion confuse qui laisse les internautes perplexes. Pour certains, c’est la goutte de trop. Plutôt que de céder à la pression, ils opteront pour les mises à jour de sécurité payantes, histoire de prolonger un peu la vie de leur système. Une manière d’esquiver, au moins pour l’instant, ce qu’ils considèrent comme une migration forcée, couteuse et inutile. Microsoft veut nous dissuader de télécharger Windows 10 Sérieux, Microsoft... arrêtez de vouloir à tout prix nous faire passer à Windows

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Bonne nouvelle, Vu le faible succès de W11, avec ses exigences abusées, poussant les gens a acquérir de nouvelles machines, Micosoft revient en arrière. La migration vers Windows 11 se heurte depuis son lancement à des exigences matérielles strictes, notamment la présence d'une puce TPM 2.0, freinant considérablement son adoption. Face à cette situation, Microsoft propose désormais une solution officielle pour installer Windows 11 sur des configurations non compatibles, tout en avertissant clairement les utilisateurs des risques encourus. À l'approche de la fin du support de Windows 10 prévue pour octobre 2025, Microsoft assouplit sa position concernant l'installation de Windows 11 sur les PC ne répondant pas aux prérequis techniques. Une décision stratégique qui intervient alors que Windows 10 domine encore largement le marché avec 61,83 % de parts, contre seulement 34,94 % pour Windows 11. Une procédure encadrée mais risquée Microsoft a mis à jour sa documentation pour détailler la procédure d'installation sur les PC non compatibles. Les utilisateurs doivent accepter une clause de non-responsabilité explicite, reconnaissant que leur configuration pourrait rencontrer des problèmes de stabilité et de compatibilité. Seuls les PC équipés de processeurs postérieurs à 2008 peuvent bénéficier de cette possibilité. Les machines dépourvues des instructions POPCNT et SSE4.2 restent exclues de cette opportunité. L'installation de Windows 11 sur un PC non compatible entraîne des restrictions importantes : absence de mises à jour garanties et exclusion de la garantie constructeur en cas de dommages liés à des problèmes de compatibilité. Microsoft a également amélioré le processus de retour à Windows 10 en cas de problèmes. Cette option reste disponible pendant 10 jours après la mise à niveau, avec une procédure détaillée accessible depuis les paramètres système. Cette décision de Microsoft intervient dans un contexte particulier où Windows 10 approche de sa fin de support. À partir d'octobre 2025, les utilisateurs devront soit migrer vers Windows 11, soit souscrire à un programme payant pour continuer à recevoir les mises à jour de sécurité, facturé 30 dollars par an pour les particuliers.

Ne passez pas à 7 ou ultérieur, il y a des failles zéro day de sécurité .... Une vulnérabilité zero-day particulièrement préoccupante vient d'être identifiée dans l'ensemble des versions de Windows. Cette faille de sécurité permet le vol d'identifiants d'authentification sans aucune action de l'utilisateur, simplement en visualisant un fichier malveillant. Une nouvelle vulnérabilité zero-day vient d'être découverte dans Windows, permettant le vol d'identifiants NTLM par simple visualisation d'un fichier malveillant. Cette faille critique affecte l'ensemble des versions du système d'exploitation de Microsoft, depuis Windows 7 jusqu'à la toute dernière mouture Windows 11 24H2. Une exploitation particulièrement simple et dangereuse L'équipe de 0patch, spécialisée dans la création de correctifs non officiels, a mis en lumière cette vulnérabilité préoccupante. Le mécanisme d'attaque est d'une simplicité déconcertante : il suffit qu'un utilisateur visualise un fichier malveillant dans l'Explorateur Windows pour que ses identifiants NTLM soient dérobés. Cette exposition peut survenir dans plusieurs scénarios courants : consultation d'un dossier partagé, branchement d'une clé USB piégée, ou simple visite du dossier Téléchargements contenant un fichier malveillant préalablement téléchargé. Les identifiants NTLM constituent un élément critique du système d'authentification de Windows. Une fois capturés, ces hashes peuvent être exploités de deux manières : soit pour usurper directement l'identité de l'utilisateur, soit pour tenter de retrouver le mot de passe en clair par force brute. Cette vulnérabilité s'inscrit dans une série préoccupante, étant la troisième faille de ce type découverte en 2024. Des correctifs en attente Microsoft a été informé de cette vulnérabilité, mais n'a pas encore publié de correctif officiel. Cette situation n'est pas sans rappeler d'autres failles similaires comme PetitPotam ou PrinterBug qui attendent toujours une correction définitive. Face à cette absence de réponse, 0patch a pris l'initiative de développer un correctif non officiel, disponible gratuitement en attendant une solution pérenne de Microsoft. Cette découverte intervient dans un contexte où Microsoft prévoit d'ailleurs l'abandon progressif du protocole NTLM, considéré comme obsolète en termes de sécurité. Le géant de Redmond encourage désormais les utilisateurs et les organisations à migrer vers des solutions d'authentification plus modernes et robustes. En attendant un correctif officiel, les experts recommandent une vigilance accrue, particulièrement lors de la navigation dans des dossiers partagés ou lors de la connexion de périphériques externes. L'application du correctif proposé par 0patch constitue une solution temporaire pour les systèmes critiques.

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Microsoft autorise désormais Windows 11 sur les PC anciens et incompatibles : ce qu’il est important de savoir avant de se lancer Article de Nathan Le Gohlisse • 9 h • 2 min de lecture Malgré des années d’avertissement, il est désormais officiellement possible d’installer Windows 11 sur des PC qui ne répondent pas aux exigences techniques minimales. Mais Microsoft n’a pas retiré ses avertissements. « À vos risques et périls ». C’est en substance ce que Microsoft assène désormais aux utilisateurs tentés de forcer l’installation de Windows 11 sur un PC ne respectant pas la configuration minimale requise pour l’OS. La firme a mis à jour sa page de support relative à l’utilisation de Windows 11 sur du matériel non compatible. Cette dernière affiche désormais, en gras, une longue clause de non-responsabilité, faisant office de mise en garde musclée aux utilisateurs concernés. Voyez plutôt : Cet ordinateur ne répond pas à la configuration minimale requise pour l’exécution de Windows 11 (…). L’installation de Windows 11 sur cet ordinateur n’est pas recommandée et peut entraîner des problèmes de compatibilité. Si vous procédez néanmoins à l’installation de Windows 11, votre PC ne sera plus pris en charge et ne pourra plus recevoir de mises à jour. Les dommages causés à votre PC en raison d’un manque de compatibilité ne seront pas couverts par la garantie du fabricant. En sélectionnant Accepter, vous reconnaissez avoir lu et compris cette déclaration. Page de support actualisée de Microsoft Avec Windows 11, la principale exigence de Microsoft est la disponibilité d’une puce TPM 2.0. Microsoft mettra fin au support de Windows 10 d’ici quelques mois… Cette nouveauté intervient alors que Microsoft joue un jeu trouble. D’un côté, l’entreprise facilite désormais un peu plus l’installation de Windows 11 sur une machine non compatible, de l’autre elle serre toujours un peu plus la vis pour les utilisateurs ayant déjà sauté le pas. Cette mesure s’inscrit aussi dans un contexte de quasi-fin de vie pour Windows 10. L’ancienne version de Windows doit en effet tirer sa révérence en octobre 2025, ce qui pourrait tenter plus d’utilisateurs de forcer l’installation de Windows 11 sur un PC trop ancien, du moins au regard de (l’exigeante) configuration minimale requise par Microsoft. La firme cherche d’ailleurs avant tout à pousser les derniers utilisateurs de Windows 10 à migrer vers Windows 11 par les canaux officiels si leur machine est compatible ; ou dans le cas contraire, à acheter carrément un nouveau PC. Cette stratégie relativement brutale, largement critiquée, a contribué au manque de popularité de Windows 11… autant peut-être que les propres errances de Microsoft en termes de communication. Comme quoi, W11 fonctionne parfaitement sur "ancien" PC, ça s'installe tranquillou avec RUFUS, sans être obligé de tout formater ( depuis 10)

Vous poussez à installer Windos 11 ???? Ne faites pas cela malheureux !!! Windows 11 24H2 : l’Explorateur de fichiers accumule les bugs, Microsoft promet des solutions Encore des bugs, toujours des bugs, les mêmes bugs… L’Explorateur de fichiers dysfonctionne, mais rassurez-vous, Microsoft planche sur des correctifs. Depuis la mise à jour 24H2, Windows 11 enchaîne les bugs à un rythme effréné. Mais au classement des dysfonctionnements recensés, l’Explorateur n’est pas loin de décrocher la palme des éléments les plus touchés. Problèmes d’affichages, menus déroulants inutilisables, blocages inexpliqués, curseur qui disparaît, les problèmes vont bon train, et les internautes s’impatientent. Ne lâchez rien ! Microsoft a enfin confirmé être au courant de tous ces soucis et a même commencé à déployer des patchs pour les plus gênants. Pluie de bugs sur l’Explorateur : un festival de ratés Si vous utilisez l’Explorateur en mode plein écran (F11), vous avez sûrement remarqué que l’affichage vire parfois à l’art abstrait. L’affichage plante partiellement, alors que la barre d’adresse chevauche la fenêtre de manière anarchique. La barre d’outils disparaît, les options de tri sont impossibles à manipuler et les premiers raccourcis du volet de navigation – Accueil et Galerie – restent inaccessibles. Si vous sortez de ce mode, mais que vous optez pour un format de fenêtre ajusté à la taille de l’écran, il ne vous aura certainement pas échappé non plus qu’en cliquant sur le menu des paramètres avancés (trois points), le menu déroulant déborde de l’Explorateur, et vous empêche d’en sélectionner les premières entrées. À cela s’ajoutent lenteurs au chargement, un curseur capricieux dans les champs de texte, un affichage aléatoire des miniatures de fichiers cloud, des blocages après la création de dossiers ou encore des problèmes de saisies dans la barre d’adresse. En bref, l’Explorateur fait montre d’un joli florilège de bugs qui, s’ils n’empêchent pas son fonctionnement général, ont vite fait d’éroder la patience des utilisateurs et utilisatrices les plus zen. Des solutions en cours de déploiement…. mais pas pour tout le monde Encore un peu de patience, cependant, Microsoft a confirmé être à pied d’œuvre. Dans le canal Beta de Windows Insider, les premiers correctifs s’attaquent aux soucis les plus gênants : déstructuration du mode plein écran, dysfonctionnements de la barre d’adresse, vignettes récalcitrantes et blocages intempestifs. En revanche, il faudra encore attendre pour espérer voir réapparaître durablement le curseur dans les champs de texte. Même constat pour le menu des paramètres avancés qui risque de continuer à déborder de la fenêtre pendant un moment. Si vous pouvez tenter de stabiliser manuellement le pointeur en passant par l’ancien menu des propriétés de la souris, la seule manière de contourner les problèmes d’affichages du menu des paramètres reste encore de réduire la taille de la fenêtre de l’Explorateur. Et si vraiment ces bugs vous épuisent, n’hésitez pas à vous tourner vers des solutions alternatives, comme Files ou Explorer Commander, tout aussi complètes, les dysfonctionnements en moins.

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