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Qu'est ce que l'amour courtois ?

Question anonyme le 12/12/2008 à 10h48
Dernière réponse le 09/01/2017 à 07h12
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Quel est la définition de l'amour courtois ?
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10 réponses pour « 
qu'est ce que l'amour courtois ?
 »
Réponse anonyme
Le 24/02/2011 é 11h14
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L’amour courtois, thème médiéval est un amour entre nobles selon les règles de la chevalerie. Les femmes sont vénérées pour leur beauté et leur amour et les hommes sont honorés pour leur courage et leur bravoure.
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Réponse anonyme
Le 21/01/2012 é 10h53
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L'amour courtois signifie l'amour que l'on porte à une dame de haute sociète. On dit être courtois quand on est galant, serviable et aimable envers sa Dame. Les chevaliers, au Moyen Âge, étant non courtois était très mal vu! Un chevalier courtois est aussi un homme qui peut risquer sa vie ou même sallir sa réputation et son honneur pour sa Dame (exemple: Lancelot pour Guenièvre. Ce dernier peut même affronter la mort si il le faut pour sauver sa Dame (autre ex: le pont de l'épée)).
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Réponse anonyme
Le 23/01/2012 é 17h38
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L'amour courtois signifie aimer une une femme de toute se force et d'être serviables et gentil,ces naturelle.
Référence(s) :
aucun
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Réponse anonyme
Le 24/01/2012 é 12h46
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L’amour courtois (aussi appelé la fol'amor ou fin'amor) est la façon réglementée de se comporter en présence d’une femme de qualité, dont on retrouve des traces au Moyen Âge dans la poésie et la littérature. Sommaire [masquer] 1 Les origines 2 Voir aussi 2.1 Bibliographie 2.2 Articles connexes 2.3 Liens externes 3 Notes et références Les origines[modifier] Cour d'amour en Provence, Manuscrit du XIVe siècle, Bibliothèque nationale de Paris L’expression d’amour courtois a été forgée par un grand historien de la poésie médiévale : l'historien de la poésie médiévale Gaston Paris en 18831. L’expression médiévale occitane est celle de fin’amor2. Elle désigne de façon générale l’attitude à tenir en présence d’une femme de la bonne société, l’amour courtois étant ni plus ni moins qu’une relation vassalique entre homme et femme3. La tradition de l'amour courtois a été florissante dans l'Europe médiévale, notamment en Occitanie et dans le Nord de la France à partir du XIIe siècle grâce à l'influence de protectrices comme Aliénor d'Aquitaine et la comtesse de Champagne Marie de France. Cette dernière ayant été la mécène de Chrétien de Troyes.(Voir Lancelot ou le chevalier de la charrette) L'amour courtois trouverait, à en croire certains, ses origines au Levant et dans la littérature arabo-andalouse (Abbassa, 2008). En effet, un des précurseurs de l'amour courtois des troubadours est Guillaume IX, duc d'Aquitaine (1071-1127) et grand-père d'Aliénor d'Aquitaine. Son activité poétique naquit après la croisade qu'il mena en Orient et son séjour à Antioche (1101-1102). Il est le premier troubadour et le premier poète à écrire en langue d'oc la poésie lyrique inspirée aussi des poètes arabo-andalous. Henri-Irénée Marrou (Les troubadours, Paris, Seuil, 1971) s'est cependant opposé à cette thèse, autant qu'à celle de l'origine cathare d'ailleurs. L'influence de la prosodie sacrée de l'Église semble en effet attestée par la métrique. Mais, de façon plus générale, la recherche des origines, pour utile qu'elle soit, risque de faire perdre de vue l'originalité du phénomène qui émerge alors. Il existe différentes écoles quant à l’interprétation de l’amour courtois. Il désigne l’amour profond et véritable que l’on retrouve entre un prétendant et sa dame. Au Moyen Âge, on lui attribuait certaines particularités courantes : l'homme doit être au service de sa dame, à l'affût de ses désirs et lui rester inébranlable de fidélité. C'est un amour hors mariage, prude sinon chaste et totalement désintéressé, mais non platonique et ancré dans les sens et le corps autant que l'esprit et l'âme. L’amoureux, dévoué à sa Dame était, normalement, d’un rang social inférieur, il était un noble de première génération en passe de conquérir ses titres de chevalerie. Le sentiment de l'amant est censé s'amplifier, son désir grandir et rester pourtant en partie inassouvi. Il s’adresse souvent à une femme inaccessible, lointaine ou d’un niveau social différent de celui du chevalier4. Elle peut feindre l'indifférence. On nommait ce tourment, à la fois plaisant et douloureux joï (à ne pas confondre avec joie). Ce nouveau concept devint finalement une vertu essentielle du code chevaleresque, souvent en opposition avec la loyauté envers le suzerain et difficilement conciliable avec la courtoisie au sens de galanterie, et même avec la vaillance que le chevalier devait continuer à entretenir. Apparemment, la vision de l’amour courtois s’imposa progressivement dans les cœurs et permit de laisser une place à l’amour dans la vie quotidienne. L’amour courtois prime en effet le mariage : une femme mariée peut ainsi laisser parler son cœur si elle est courtisée selon les règles précises de l’amour courtois. Cette codification du jeu amoureux est étroitement lié à la codification de la chevalerie. Au XIIe siècle, l'idéal chevaleresque est perçu par les contemporains comme déclinant. La période précédente est idéalisée, comme ses héros qui sont transformés pour incarner des modèles de chevalerie. Un grand nombre de romans liés à la légende arthurienne sont écrits à cette période dans cette optique, et incarne alors un fantasme de chevalerie et d'amour courtois tels que l'imaginent les auteurs du XIIe siècle. Parallèlement, de grands ordres de chevalerie sont créés, et codifient les attitudes de ses membres, "pour faire revivre l'idéal chevaleresque de l'ancien temps". L'assag, mot occitan désigne un rite attribué à l'amour courtois, qui était une épreuve qui consistait à s'assurer de l'amour réel de l'amant. Pour Georges Duby, il ne faut cependant pas voir dans l’amour courtois une promotion de la femme : c’est un jeu masculin, éducatif, où les jeunes hommes, pas encore mariés (les jovenes, les jeunes, comme Henri le Jeune, pas encore établis), maîtrisent leurs pulsions et leurs sentiments, comme ils apprennent à maîtriser leur corps dans un tournoi (ce qui n’exclut pas qu’ils laissent libre cours à leur libido avec des femmes de rang inférieur). De plus, la femme est une proie ; celle qui est la cible de l’amour courtois des jeunes est souvent l’épouse du suzerain, qui la donne en enjeu. Les jeunes cherchent à séduire la dame pour mieux plaire à leur seigneur, mais aussi pour mieux se différencier du peuple vulgaire, et des bourgeois, qui peuvent les concurrencer financièrement, mais pas culturellement5. Enfin, certains auteurs comme Jean de Meung, dans sa continuation du Roman de la Rose, utilise un vocabulaire ordurier vis-à-vis des femmes6. Voir aussi[modifier] Bibliographie[modifier] Estelle Doudet, L'amour courtois et la chevalerie (Des troubadours à Chrétien de Troyes) Librio, 2004. Sébastien Nadot, Rompez les lances ! Chevaliers et tournois au Moyen Age, editions Autrement, Paris, 2010. Céline et Pierre Lassalle, L'héroïsme de l'amour, de l'amour courtois à l'amour vertueux, De Mortagne, 2009. Mohammed Abbassa, Les sources de l'amour courtois des troubadours, Annales du patrimoine, 08/2008. Matfre Ermengaut, Le Breviari d'amor, introd. et glossaire, par G. Azaïs, Béziers, Paris, 1862 René Nelli, L'érotique des troubadours, Toulouse, Privat, 1963 René Nelli, Flamenca, un art d'aimer occitanien du XIIIe siècle, Toulouse, Institut d'études occitanes, 1966 Reto Bezzola : La société courtoise. Littérature de cour et littérature courtoise, Slatkine, 2000 (ISBN 2051005435), Les Origines et la Formation de la littérature courtoise en Occident, 5 vol., Champion, 1958-1963 ; Henri-Irénée Marrou, Les Troubadours, Seuil, coll. « Points Histoire », 1971 ; Denis de Rougemont, L'Amour et l'Occident, éditions 10/18, 2001 (réédition) (ISBN 2264033134). Michel Larroque, Esquisse d'une philosophie de l'amour, L'Harmattan 2006. Emmanuel-Juste Duits, L'Autre désir (du sadomasochisme à l'amour courtois), coll. L'Attrappe-corps, La Musardine, 2000 (auteur anonyme) Tristan et Yseult Jean Markale, L'amour courtois, ou le couple infernal, Paris, Imago, 1987 Charles Baladier, Aventure et discours dans l'amour courtois, Éditions Hermann, 2010, (ISBN 978 2 7056 7022 1). Articles connexes[modifier] Azabi (rite courtois) Le château d'amour dans les valves de miroir en ivoire du Moyen Âge Liens externes[modifier] Esquisse d'une philosophie de l'amour Dossier SDJ / Amour courtois Rachel Ariélien, « Ibn Hazm et l'amour courtois », Revue de l'Occident musulman et de la Méditerranée, 1985, vol. 40, p. 75-89 Notes et références[modifier] 1.↑ (en) David Hult, Gaston Paris and the invention of courtly love, in R. Howard Bloch et Stephen G. Nichols (éd.), Medievalism and the Modernist Temper, Baltimore, 1996, p. 192-224 2.↑ Laure Verdon, Le Moyen Âge, Paris, Le Cavalier Bleu éditions, 2003, coll. Idées reçues, p. 96, 128 p. ISBN 2-84670-049-4 3.↑ Laure Verdon, op. cit., p. 97 4.↑ Laure Verdon, op. cit., p. 96-97 5.↑ Laure Verdon, op. cit., p. 97-99 6.↑ Laure Verdon, op. cit., p. 99 Portail du Moyen Âge Portail de l’Occitanie Catégories : Thème littéraire du Moyen Âge Amour courtois Culture du Moyen Âge Culture occitane Amour | [+]
Référence(s) :
Amour courtoie
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Réponse anonyme
Le 19/10/2012 é 11h51
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Quest que l'amour courtois c'est des sentiments
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Réponse anonyme
Le 20/12/2012 é 18h11
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L'amour coutoie est l'amour pour sa dame il est soumis a sa dame il l'aime de toute ses force .
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Réponse anonyme
Le 11/11/2013 é 19h49
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L amour courtois est aussi appelé la fol amour ou la fin amor. L amour courtois et quelques un qui se comporte en présence de femme de qualité, femme riche. L amour courtois a été fondée en 1883par Gaston paris . il désigne l amour profond et véritable. L homme doit être au service de la dame. C'est un amour hors mariage . on dit être courtois quand on est galant et aimable envers sa dame. On retrouve des traces au moyen âge dans la poésie et la littérature.
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Réponse anonyme
Le 15/12/2013 é 18h21
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Définition amour courtois : amour partagé par des nobles au moyen age . Voila c'est tout !
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Réponse anonyme
Le 29/04/2014 é 20h03
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L'amour courtois est un amour entre nobles selon les règles de la chevalerie. Quelques éléments dans les mais de Marie de France montrent l'importance de ce jeu social et le pouvoir important qu'il donne aux femme sous cette forme d'amour idéalisé.Les femmes sont vénérées pour leur beauté et leur amour et les hommes sont honorés pour leur courage et leur bravoure.
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Réponse anonyme
Le 09/01/2017 é 07h12
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L'amour courtois , c'est l'amour idéal, c'est un amour dans lequel un chevalier risque sa vie pour sa Dame . Il lui voue une passion (=Amour) et une fidélité parfaites .C'est un amour courtois , mais impossible / interdit .Le chevalier n'hésite pas à prendre des risques pour sa Dame. Meme si la Dame lui est inaccessible.
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