Dimanche 13 novembre 2011.
Mon mail : gilbert183@laposte.net
Bonjour l'écrivain public. merci pour votre mail. Depuis que j'ai commencé ce projet, pas moins de huit personnes ont corrigé le roman avec un résultat négatif. Retraité, je ne suis plus en mesure de rémunérer une nouvelle fois le professionnel que vous êtes.
A l'attention des personnes intéressées, j'ai rédigé un concentré de plus d'une page sur ce projet en question.
Dans l'hypothèse où vous accepterez de collaborer avec l'auteur, si vous avez un numéro de téléphone fixe, je peux vous appeler pour de plus amples renseignements. C'est un projet ambitieux.
Dans l'attente de votre réponse, je vous remercie. Gilbert
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Bonjour,
Cette annonce concrète s’adresse auprès des particuliers. Mon roman ayant été corrigé par des professionnels rémunérés avec un résultat négatif, je ne suis plus en mesure de rétribuer cette catégorie de personnes. La limite de mes capacités littéraires étant atteinte, je suis à la recherche de collaboratrices et collaborateurs motivées, avec des capacités littéraires avérées, maîtrisant la langue de Molière, ayant le sens de la perfection avec l’âme d’un écrivain (e) en vue de parachever la correction voire réécriture partielle d’un roman. Les personnes retenues pourraient, si telle est leur volonté, devenir COAUTEURS. Si édition, les modalités de participation restent à négocier sur une base juste.
C’est un fait que tout le monde ne peut s’improviser écrivain : écrire exige des capacités littéraires. En comparant la langue de Molière à la palette d’un artiste peintre, il faut savoir utiliser toutes les nuances et à bon escient. Un roman, c’est comme une pierre précieuse. À l’état brut, un diamant ne brille pas. Ce n’est qu’après la taille et polissage par le lapidaire et dans les règles de l’art qu’il scintillera de ses mille feux.
En règle générale, l’égoïsme prévaut chez l’espèce humaine : tout ce qu’il désire voir se réaliser pourra lui paraître comme étant une idée ingénieuse. Après réflexion et sagesse dictée par sa culture d’origine, après une analyse rigoureuse sur ce vaste projet, renonçant à la gloire qu’il considère comme éphémère, l’auteur, natif de l’Inde, a opté pour l’anonymat.
« L’œuvre vraiment belle n’est pas l’œuvre du jour ou d’un jour, mais celle qui, décriée par les envieux et les modernes lors de son apparition, aura, durant des siècles, le sceau de la gloire que garantit la vérité humaine. »
En 1986, à l’issue de la découverte du nord de l’Inde, l’auteur a été intimement subjugué par la somptuosité de leur art avec leur passé culturel et philosophique, la ferveur religieuse des hindous à Bénarès, sans oublier l’inénarrable TAJ MAHAL. Depuis 1987, il s’est largement documenté avant d’amorcer l’écriture. Conscient du nombre de livres édités sur l’Inde, surtout en anglais, il a pris tout le temps nécessaire en vue de perfectionner le roman avec pour aspiration de devancer les autres récits en s’efforçant de créer un « MUST », spécifiquement sur l’ineffable TAJ-MAHAL.
L’œuvre, d’environ 290 000 mots ou 500 pages, s’oriente vers trois axes : l’œuvre, spécifique dans sa première partie structurelle, ayant pour écrin le nord de l’Inde, s’apparentera un tant soit peu à un ouvrage touristique de ce sous-continent. Progressivement, c’est délibéré ainsi, au thème prédominant d’amorcer ses esquisses par une séduisante chronique de dilection qui prend son essor devant le sublime TAJ-MAHAL. La deuxième partie se déroule en France. Des ornementations sur certaines pensées, inégalités, pollution, guerres et d’autres sujets dignes d’intérêts, sont également incluses.
On lit un roman pour le classer ensuite. Dans ce récit, à travers le guide de Bénarès et David, personnage clef du roman, des pensées citées se logeront dans un premier temps dans le subconscient des lecteurs pour s’éveiller ensuite ipso facto dans leur esprit. Des séjours en Inde étaient nécessaires pour recueillir auprès des sages certaines réflexions.
Le roman, pilier central, ne représente que le segment émergé d’un iceberg. À cela s’ajoute un support musical circonstanciel en rapport avec les sujets. Sans oublier d’autres créations, toujours en rapport avec l’histoire : tout a été mûrement réfléchi sur ce vaste projet ayant inéluctablement une vocation internationale. En fait, il s’agit d’une première mondiale en matière d’édition avec l’ensemble de ses mesures d’accompagnement. Vingt mille ouvriers auraient travaillé durant vingt années pour ériger le TAJ-MAHAL. L’auteur s'est investi durant autant d’années pour parachever son programme.
Compte tenu de l’ampleur de ce dossier, vraisemblablement, seule une grande maison d’édition serait à même de pouvoir mener à bien ce programme assurément ambitieux. La question est toute simple : est-on oui ou non capable de créer une œuvre parfaite dans le sens large du terme ? Dès le départ, en se fixant sur l’objectif à atteindre, tout étant prévu dans les détails, l’auteur est convaincu de sa réalisation. Pour ne pas se disperser inutilement, seules les personnes intéressées et motivées sont invitées à répondre. MERCI
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Bonsoir,
Je ne suis pas une professionnelle. Même si je rêve un jour de le devenir.
En attendant d'être éditée moi aussi un jour, je travaille beaucoup sur l'écriture de mon premier essai, un essai littéraire permettant d'identifier et de nommer "les sphères symphones", ainsi que d'illustrer mon raisonnement selon les règles de linguistique moderne.
J'aimerais évidemment beaucoup affuter ma plume sur d'autres challenges afin de multiplier les chances d'être un jour reconnue, voilà pourquoi votre projet m'intéresse car il me semble ambitieux et déjà très avancé...
Je suis enseignante en français auprès de publics illettrés et analphabètes, correspondante de presse pour le Dauphiné libéré et actuellement salariée comme écrivain public dans une association d'aide aux personnes âgées. J'ai 35 ans et j'habite Bourgoin-Jallieu.
J'ai le sentiment que votre projet est en très bonne voie et j'aimerais beaucoup en savoir plus. Je décèle, ça et là les faiblesses qui sont peut-être à l'origine de ce résultat négatif et je me dis que je peux peut-être y faire quelque chose mais il est trop tôt pour le dire ou même pour émettre des hypothèses.
J'ai la vision d'un écrivain de presse tout en restant une littéraire qui apprécie le style et est en quête permanente d'effet sur la forme et de substance valable sur le fond. Je crois avoir peut être une patte d'écriture particulière sur laquelle je compte pour être repérée le jour où je transmettrai mon essai aux quelques maison d'éditions auxquelles je pense pour la publication de mon essai.
Pour être plus claire, et même si cela ne ressort pas forcément ici, ma chef de rédaction me torture à longueur d'articles pour faire toujours plus synthétique, plus efficace, et plus percutant à la fois tout en conservant la juste nuance et le juste respect dû aux évènements décrits et aux protagonistes.
Faire sortir l'essence pure du message à transmettre, sans fioriture inutile!
Même si je ne suis que correspondante locale de presse, ma passion pour l'écriture m'a permis d'être élue en interne "correspondante locale" de l'année, notamment pour mon style mais aussi pour la qualité de présentation de mes sujets, plus précisément pour l'angle de vue nouveau que j'ai à cœur de toujours amener sur les sujets habituellement les plus banals et les plus soporifiques... et dieu sait si les sujets banals et soporifiques sont légions quand on fait de la presse locale... hum...
J'espère avoir donné un aperçu de mes motivations. N'hésitez pas à me contacter.
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