15 mars 2013.
gilbert183@laposte.net
Bonjour,
En 1986, à l’issue de la découverte du nord de l’Inde, l’auteur a été intimement subjugué par la somptuosité de son art avec son passé culturel et philosophique, la ferveur religieuse des hindous à Bénarès, sans oublier l’inénarrable TAJ MAHAL. Depuis 1987, il s’est largement documenté avant d’amorcer l’écriture. Conscient du nombre de livres édités sur l’Inde, surtout en anglais, durant plusieurs années, l’auteur a fait des recherches pour que les détails soient captivants et tendent vers la perfection. Il a pris tout le temps nécessaire en vue d’affiner le roman avec pour exigence de devancer les autres récits créant ainsi un «MUST», spécifiquement sur l’ineffable TAJ MAHAL.
Tout le monde ne peut s’improviser écrivain : écrire exige des compétences littéraires. En comparant la langue de Molière à la palette d’un artiste peintre, il faut savoir utiliser toutes les nuances et à bon escient. Un roman, c’est comme une pierre précieuse : à l’état brut, un diamant ne brille pas ; c’est lorsque le lapidaire l’aura taillé et poli parfaitement dans les règles de l’art qu’il scintillera de ses mille feux.
« L’œuvre vraiment belle n’est pas l’œuvre du jour ou d’un jour, mais celle qui, décriée par les envieux et les modernes lors de son apparition, aura, durant des siècles, le sceau de la gloire que garantit la vérité humaine. »
En règle générale, l’égoïsme prévaut chez l’espèce humaine : tout ce qu’il désire voir se réaliser pourra lui paraître comme étant une idée ingénieuse. Après réflexion et sagesse dictée par sa culture d’origine, suite à une analyse rigoureuse sur ce vaste projet, renonçant à la gloire qu’il considère comme éphémère, l’auteur, natif de l’Inde, a opté pour l’anonymat.
À force de réflexion, au pilier qu’est le roman représentant la part émergée d’un iceberg s’ajouteront des mesures d'accompagnement comme un support musical en rapport direct avec chaque séquence du sujet, un reportage vidéo sur l’Inde du nord, et d’autres innovations encore, toujours en rapport avec le roman : tout a été mûrement réfléchi sur ce vaste projet sans précédent ayant inéluctablement une vocation internationale. Vingt mille ouvriers auraient travaillé durant vingt années pour ériger l’inénarrable TAJ MAHAL. L’auteur s'est investi davantage pour parachever son programme.
Compte tenu de l’ampleur de ce dossier, seule une grande maison d’édition serait à même de pouvoir mener à bien ce projet assurément « ambitieux ». La question est toute simple : est-on oui ou non capable de créer une œuvre parfaite dans le sens large du terme ?
L’éditeur veut un roman. Le mien est quelque peu spécifique. Le roman achevé, composé d’environ 290 000 mots ou 600 pages et bien plus au format édition, s’articule dans trois axes : L’œuvre spécifique dans sa première partie structurelle ayant pour écrin le nord de l’Inde s’apparentera un tan soit peu à un ouvrage touristique de ce sous-continent avec la philosophie et l’art de l’Inde qu’un groupe de touristes français découvre au cours d’un voyage organisé.
Progressivement, au thème prédominant d’amorcer ses esquisses par une séduisante chronique de dilection qui prend son essor devant le sublime IAJ- MAHAL Anita et David sont les personnages clefs de ce roman. La jeune fille est française de souche alors que David est natif de Pondichéry, ancien comptoir français en Inde. Dans la deuxième partie, en dehors de l’histoire pure, lors d'importants échanges de correspondances entre Anita et David, des ornementations sur certains sujets tels que misère, inégalités, pollution, guerres et d’autres sujets dignes d’intérêts, sont également incluses. Sans oublier certaines phrases et pensées qui sont dignes d’intérêts.
On lit un roman pour le classer ensuite. Dans ce récit, des pensées citées se nidifieront dans un premier temps dans le subconscient des lectrices et lecteurs pour s’éveiller ensuite ipso facto dans leur esprit. Des séjours en Inde étaient nécessaires pour recueillir auprès des sages certaines réflexions.
Il est fondamental que l’écriture de ce roman devance les autres et c’est une condition sine qua non pour qu'il soit édité. Pas question d’éditer à 10, 20, 30 000 exemplaires. À tort ou a raison, l’auteur applique la loi de tout ou rien. Ce projet a nécessité plus de 25 ans de labeur, c’est pour dire !
Il y a plusieurs façons de faire un travail : ne pas le faire, le mal faire, le faire ou le faire à contretemps. De nature perfectionniste, l’auteur a ajouté le BIEN FAIRE. Il aurait aimé être plus instruit, plus érudit, maniant la langue de Molière à la perfection, avec un parler riche en vocabulaire et en expression.
Plusieurs personnes ont été rémunérées pour la correction avec un résultat NÉGATIF. Il n’est plus en mesure de rétribuer cette catégorie de personnes. La limite de ses capacités littéraires étant atteinte, l’auteur, à l’automne de son existence, est à la recherche d'une collaboratrice ou collaborateur motivé et disponible, ayant des capacités littéraires avérées, maîtrisant la langue de Molière, avec le sens de la perfection ainsi que l’âme d’un écrivain en vue de parachever la correction voire réécriture partielle dudit roman. Si la personne retenue est celle qu’il attend y compris dans la catégorie professionnelle, elle pourrait, si telle est sa volonté, devenir COAUTEUR, COLLABORATRICE ou ASSISTANTE. Si édition, les modalités de participation sont à négocier sur une base appropriée.
Merci.
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