C'est moi même, je vous passe le détail de mon cv, de mes voyages, de mes concerts en parallèle et des femmes de ma vie... bref, la vie d'artiste a ses limites, de vie (trentaine bien entamée).
Ce code pour des futures recherches, pour plus d'info qui ne me vient pas tout suite à l'esprit: ss-247 (c'était pour un ancien groupe de rock, tout attaché, j'aime pas les éventails).
Voilà, j'avais besoin de parler un peu de moi, parfois on est si seul, au fond!...
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Rho t'es pas tout seul, demande pas ces aides de merde, 2 ans sur mon chomage depuis le covid (enfin a peu près). Des troubles psychiques un peu comme toi, et tout ça se déplace avec la psyché, comme tout le monde. J'ai échoué sur une formation récemment et c'est la première fois de ma vie, j'ai relativement réussi mes études malgré mon parcours chaotiques (j'ai obtenu tout les diplomes que j'ai tenté). A la suite de l'échec de l'année dernière, j'hésitais à demander cette allocation, en effet, la directrice de l'école (je voulais faire une reconversion) était complétement cinglée (genre sadique, psychorigide, et des fois toute gentille, bref elle en tenait une bonne). Ils m'ont virés parce que j'était pas aussi psychorigides qu'eux, et surtout parce que j'ai l'impression que leur truc est une grosse arnaque. J'ai perdu de la thune et j'ai reussi a me défendre grace à une assoc juridique pour personne en difficulté mentale. Enfin cet échec m'a désarçonné. Je devais demander cette alloc, et le psychiatre que j'avais trouvé à l'époque à eu la bonne idée de me mettre un LAPIN. HALLELUJA ! (je déconne je vais pas a l'eglise). Bref, un an est passé, l'école a fait la morte mais je vais avoir le résultat de ma défense (je demande juste qu'on me rende le pognon investi dans cette formation). Mais une fois de plus, est ce l'effet de la saison, qui joue sur le mental de bcp de gens, celà fait plusieurs jours que je me repose la question de demander cette fameuse AAH. J'y médite depuis plus d'une semaine, je pense que c'est un manque de confiance en soi, et le système psychiatrique qui nous affaibli mentalement, j'ai l'impression, que certaine personnes de ce systeme se rejouierai que je fasse partie du club des benêts (y'en a des bon et des mauvais des psychiatres, les mettons pas tous dans la même case). La vie est dure, je sais pas où tu vis, moi je suis en Région Parisienne où il y'a beaucoup de boulot, le problème pour PLEIN de gens c'est le relationnel, d'où la citation l'enfer c'est les autres. J'ai bossé durant plus de 10 ans, on m'a fais des "coups de putes" , des trahisons, etc... mais y'a eu des bons moment aussi, des franches rigolades. J'ai jamais insulté personne ni gueulé. J'ai jamais été parfaite, mais dans le monde du travail si tu savais le nombre d'incapable grassement payé, il faut pas trop se flageller. Après ma rupture j'ai fait une grosse paranoïa. L'HP m'a fait plus de mal que de bien, mais heureusement la psychiatre m'a dit que j'étais pas handicapé. Je pense qu'on est dans un monde où avoir confiance en soi est pas toujours évident. Je traverse un peu ce desert en ce moment, je crois que je me fais l'illusion que lorsqu'on est seul one st montré du doigt mais c'est dans la tête, faut pas trop s'écouter des fois. Quand on est seul on apprend plein de choses parce qu'il faut se débrouiller, et c'est vrai que la violence de l'egoisme des villes on se le prends en plein dans la gueule. Malgré mes fluctuation d'humeur, Je vais continuer a envoyer mes CV, et insister sans trop me vexer quand ca marche pas. Ca sert à rien de se vexer ou maudire l'employeur, y'en aura certainement un autre qui t'acceuillera avec les bras ouverts, j'y crois. Y'a toujours quelqu'un qui aide dans la vie, faut garder la foi, je dis ça même si la façon dont les gens nous voient est pas toujours raccord avec ce qu'on ressent ou ce qu'on est vraiment à l'intérieur. Mais c'est la vie et le jeu des illusions, perso, je réalise à nouveau que je suis pas handicapé, que je prends des médocs lourds et que je suis célibatriste, mais ça va changer, faut pas se morfondre : TOUT LE MONDE EN CHIE. LEs médocs ont peu toujours les baisser, faut pas tout arrêter. Le reste l'alcool etc...faut y'aller doucement, si on a bien un handicap les cachetonnés, c'est nos consommation de toxique. Perds jamais de vue les douleurs de la gueule de bois : CELA EN VAUT IL VRAIMENT LA PEINE ? J'ai vu les affres de l'alcoolisme chez les adultes dans ma jeunesse, et malgré tout j'ai moi aussi gaffé. Maintenant ça va mieux. Pas d'alcool fort, juste un ou deux verre avec des gens tranquilles. Pour le reste, le taff et compagnie, faut juste garder ses rêves dans un coin et pas les enterrer. Et surtout raconte pas ta vie au boulot. Chacun sa merde comme on dit. GOOD LUCK.
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