60 ans Laurence une amie

Bonsoir, Bouline. On pourrait tenter un premier couplet; (mais ne sont pas encore évoqués, le vin, la Provence, et surtout... Santiago ! La coquille St. Jacques, Les compagnons du Devoir (en provenance de la Sainte Baume), La Reine pédauque (empreinte de pied d'oie)(Voir la coquille)... Bon. Elle est à nous, cette chanson, Toi Laurenc' qui, avec raison, D'une soixantaine épanouie, A su peindre frasques et folies ! (à suivre?)

... On continue ? Toi qui a pu, t' décider à Prendre ton bâton, et voilà: En suivant la Voie Lactée, Belle ! Sur le chemin de Compostelle ! Tes pinceaux, tout ton arsenal, Trop lourds sous le bruissant Mistral, T'attendront dans ton atelier, Sans crainte de se voir oubliés... De même que tes bonnes bouteilles, Dans ta cave, depuis la treille, sauront patienter ton retour, Pyrénéen, puis cantadour (je vous en mets encore quelques kilos?)

Merci pour votre aide bravo pour la qualité du texte ,serait il possible d'avoir une Suite sur le côté épicurien de Laurence ,merci par avance MJ

... ça dépend des jours; parfois je vends du texte au poids, parfois au mètre... (mon bouquin vient d'être publié) Mais ici, je ne vends pas. Vous demandez, mais ne donnez (livrez) rien. "Parlez"(avec les doigts!)-nous de vous, et aussi de Laurence (histoire de réveiller la roupillante muse)(césure à l'hémistiche). A soon !

... Et puisque vous m'avez sorti de ma sieste, de sorte que les octosyllabiques me trottent en tête, je vous livre : Tirant de la vie, tout profit, « Carpe diem » plus qu'à demie, Faisant partager les instants, Vivre intensément le présent; Sybarite, comme on n'en fait plus, (Riant à nos histoires de c...) (ou:) (Ou d'Epicure, question de vue) Sans toi on pourrait oublier, Notre bon maître Rabelais ! Laurence, à toi cette chanson, Composée par un histrion, Au hasard du vaste Internet, Mirliton-bluette. Bon.