Bonjour,
j'ai un devoir pour demain ou je dois montrer qu'elle est la visée de la nouvelle "aux champs" de Guy de Maupassant" et aussi faire un conclusion sur la nouvelle. SVP aidez moi c'est urgent!!
Deux familles nombreuses de pauvres paysans normands; Les Vallin et Les Tuvache vivent misérablement dans deux chaumières mitoyennes au pied d’une colline.
Mr et Mme D’Hubières, Un couple aristocrate ne peuvent pas avoir d'enfants. Ils expriment le désir d'adopter le fils des Touvache moyennant une bonne somme d’argent . La mère refuse. Mais, Les Vallin marchandent, acceptent et signent le contrat. L’affaire est conclue, provoquant la rupture entre les familles. Le fils vendu se fait une situation et revient voir ses parents biologiques après vingt ans.
Jalousie et sentiment d’injustice poussent Charlot à reprocher à ses parents de ne pas l’avoir vendu et à les quitter pour toujours
BONJOUR J'AI BESOIN DE VOTRE AIDE IL ME FAUT TOUS SA AU DISCOUR DIRECTE mais je n'y pas vraiment!! Le travail que j'ai à faire c'est que aprés 20 mme d'hubiére se souvient de ses 1ére contacte avec les tuvaches et les vallins jusqu'à l'adoption de jean et elle raconte tous sa dans une lettre à son amie. et dans lettre je dois employer le discour directe et indirecte svppppppp Aidez moi et faites un résumé de tout sà que je puis-ce l'écrire avec le 1er pronom personnelle
Les Vallin étaient à table, en train de manger avec lenteur des tranches de pain qu'ils frottaient parcimonieusement avec un peu de beurre piqué au couteau, dans une assiette entre eux deux.
M. d'Hubières recommença ses propositions, mais avec plus d'insinuations, de précautions oratoires, d'astuce.
Les deux ruraux hochaient la tête en signe de refus ; mais quand ils apprirent qu'ils auraient cent francs par mois, ils se considèrent, se consultant de l'oeil, très ébranlés.
Ils gardèrent longtemps le silence, torturés, hésitants. La femme enfin demanda :
- Qué qu't'en dis, l'homme ? Il prononça d'un ton sentencieux :
- J'dis qu'c'est point méprisable.
Alors Mme d'Hubières, qui tremblait d'angoisse, leur parla de l'avenir du petit, de son bonheur, et de tout l'argent qu'il pourrait leur donner plus tard.
Le paysan demanda :
- C'te rente de douze cents francs, ce s'ra promis d'vant l'notaire ?
M. d'Hubières répondit :
- Mais certainement, dès demain.
La fermière, qui méditait, reprit :
- Cent francs par mois, c'est point suffisant pour nous priver du p'tit ; ça travaillera dans quéqu'z'ans ct'éfant ; i nous faut cent vingt francs.
Mme d'Hubières trépignant d'impatience, les accorda tout de suite ; et, comme elle voulait enlever l'enfant, elle donna cent francs en cadeau pendant que son mari faisait un écrit. Le maire et un voisin, appelé aussitôt, servirent de témoins complaisants.
Et le jeune femme, radieuse, emporta le marmot hurlant, comme on emporte un bibelot désiré d'un magasin.