Des égouts bien étanches, le fermeture des décharges,le recyclage des matières, interdire les dépots d'objets dits "encombrants", la destruction des bidonvilles, le nettoyage des caves des cités (entendre par là, mettre le stricte minimum), vérification pluriannuelle des collecteurs d'égouts, dans les immeubles de villes, chappes de béton, refaire les joints si cela est possible et réparer les collecteurs,mettre des barres de seuil aux portes des caves et aux locaux réservés aux poubelles.
A ce propos, la grande idée de faire des poubelles percées comme actuellement est hautement ridicule, les rats s'en donnant à coeur joie!!
Donc, des réceptacles fermés!! quitte à les nettoyer plus souvent, ce qui est rarement fait du reste.
Vérification du gros oeuvre (béton, murs) pour déceler les éventuels accés.
Mettre des poubelles avec clapet dans les endroits publics, ne pas jeter dans les canivaux parcequ'il y a la voirie, ne pas jeter dans les cours ou autres endroits, parcequ'il y a le gardien.
Ajoutéé à cela une dératisation de tous les bâtiments -sans exception-4 fois par an en changeant de substance chaque fois, des égouts-4 fois également- de toutes les structures à risques (ilôts insalubres, ZI, ports, abattoirs ...etc).
Mais, toutefois, la réalité est que la solution se trouve dans une structure humaine organisée autrement:
Plus de mégalopoles ingérables surtout si l'on ajoute leurs proches banlieues qui, souvent, sont d'anciennes voiries, lieux où l'on déversait auparavant les matières.
On peut voir dans la grande banlieue parisienne, aérée et relativement salubre, les excellents résultats d'une urbanisation pensée.
Pour des substances sans dangers que dire?
Les plus dangereuses n'existent plus (en France) et les anticoagulants sont les seules substances qui offrent quelque confort d'utilisation.
Le danger existera toujours, mais le peu d'accidents dûs à l'utilisation de ces produits compense largement le risque
Pour ce qui est de se débarasser des rats, n'y pensez même pas!!
Ils font partie de notre environnement depuis des millénaires, ils connaissent nos faiblesses, notre peu d'empressement à prendre des mesures d'hygiène(surtout à grande échelle), la propention de l'homme à polluer, à construire de grandes villes, de grands ensembles(voir tour de Babel) et donc la capacité de l'homme à tout détruire pour des profits immédiats.
Non, on ne viendra jamais à bout du rat (Dieu merci!) qui nous rend plus de services qu'il nous crée de problèmes.
C'est à l'homme de changer et c'est pas gagné!!
Cybermax, dératiseur
Référence(s) :
Sabines Barles:La ville délétère (pour le côté urbanisme)
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