Je te conseille d'aller sur quelques sites chretiens , tu trouveras certainement les reponses à tes questions ... Il y a aussi certainement dans ta region une eglise chretienne ... tu pourrais rencontrer le pasteur et discuter avec lui ...
Je te conseille le site top chretien...
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1) Les chrétiens se sont divisés car trop d'invraisemblances sont racontées dans la Bible pour que tout le monde les croie ! Alors, chacun croit ce qu'il a envie de croire et rejette ce qui lui semble trop incroyable ; c'est comme au restaurant : chaque client choisit les plats qu'il veut !
2 à 5) La réponse aux questions " 2 à 5 " est trop longue pour que je la donne moi-même. Mais voici des passages de la Bible où l'on utilise les mots " chrétiens ", " religion " et " dîme " :
CHRÉTIENS :
- Actes XI 26 ;
- Actes XXVI 28 ;
- 1 Pierre IV 16.
RELIGION :
- 2 Maccabées XV 17 ;
- Actes XXVI 5 ;
- Jacques I 26 et 27.
DÎME :
- Lévitique XXVII 30 ;
- Nombres XVIII 26, 28 ;
- Deutéronome XIV 22, 24, 25 ;
- Deutéronome XXVI 12 ;
- 2 Chroniques XXXI 5, 6 et 12 ;
- Malachie III 8 et 10.
Enfin, pour payer, je ne vois pas d'autre moyen qu'une monnaie physique : il me semble que les billets de banque, les chèques et les cartes bancaires n'existaient pas à cette époque !
Référence(s) :
Bible, traduction œcuménique
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L’Histoire atteste que nombre de mouvements, religieux au départ, prennent des accents sociaux et politiques. Ce fut le cas pour la Réforme. Eugene Rice Jr, professeur d’Histoire d’Université, explique: “Au Moyen Âge, l’Église d’Occident avait été une institution européenne. Durant la première partie du XVIe siècle, elle se morcela en de multiples Églises nationales, locales, (...) dominées principalement par des chefs séculiers.” Cette situation amena à son “paroxysme le long conflit médiéval entre l’autorité séculière et cléricale. (...) La balance du pouvoir s’inversa, penchant franchement et définitivement en faveur de l’État plutôt que de l’Église, du laïc plutôt que du religieux”.
Au plan individuel, cela signifiait une plus grande liberté, tant du point de vue religieux que civil. Contrairement au catholicisme, le protestantisme n’avait aucune institution suprême chargée de veiller à la doctrine et à la pratique, ce qui autorisait un vaste éventail d’opinions religieuses. Voilà qui allait servir progressivement la cause d’une tolérance religieuse et d’une attitude libérale encore inconcevables à l’époque de la Réforme.
Ce souffle de liberté débloqua des ressources auparavant inexploitées. De l’avis de certains, ce fut le catalyseur des innovations sociales, politiques et technologiques qui allaient propulser la société dans l’âge moderne. Selon Theodore White, auteur aujourd’hui disparu, la vision protestante du travail “s’était appliquée à la fois au gouvernement et à la vie quotidienne”. Il définit cette morale comme le credo selon lequel “l’homme est directement responsable devant Dieu de sa conscience et de ses actes, sans l’intervention ou l’intercession des prêtres. (...) Si un homme travaillait dur, s’il labourait profond, s’il n’était ni négligent, ni paresseux et s’il prenait soin de sa femme et de ses enfants, et la fortune et Dieu récompenseraient ses efforts”.
Ces facteurs témoignent apparemment en faveur du protestantisme, mais devraient-ils pour autant nous en voiler les failles? La Réforme fut aussi “l’occasion de perpétrer d’horribles méfaits”, déclare l’Encyclopédie de la religion et de la morale, qui ajoute: “On ne mit fin à l’âge des Jésuites et de l’Inquisition (...) que pour faire place à quelque chose de plus abject encore. S’il y avait beaucoup d’ignorance sincère au Moyen Âge, il y a maintenant beaucoup de mensonge organisé.”
Puisque la réforme doctrinale promise par le protestantisme n’eut pas lieu, on peut à juste titre parler de “mensonge organisé”. Ce fut souvent la politique de l’Église qui suscita la fureur des réformateurs, non l’erreur doctrinale. En outre, le protestantisme conserva la majorité des idées et des pratiques catholiques entachées de paganisme. Comment cela? La doctrine de la Trinité constitue un exemple remarquable sous ce rapport. Pour être membre du Conseil œcuménique des Églises, il faut avant tout adhérer à ce dogme. L’attachement à cet enseignement est très fort, et ce bien que l’Encyclopédie de la religion (angl.) admette que ‘les exégètes et les théologiens reconnaissent aujourd’hui que nulle part dans la Bible cette doctrine n’est explicitement enseignée’.
Il y a très à dire à ce sujet, c'est à chacun de se poser la question : “suis-je un disciple de Christ” et un serviteur de Dieu ?
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