Romancier recherche réalisateur pour un polar ..

Bonjour Monsieur Hingant, nous sommes étudiants en 3e année de licence audiovisuel et multimédia, nous avons à notre actif plusieurs reportages, documentaires et court-métrages. Notre équipe est jeune mais néanmoins pleine d'expérience, ainsi nous avons pu tracer notre ligne éditoriale qui consiste à réaliser des projets de différentes natures mais en gardant toujours un fond revendicatif, social et humain. Nous travaillons la plupart du temps sur des scénari personnels, mais dans un désir d'ouverture et de travail collaboratif, nous serions enchantés de découvrir de quoi découle votre roman. Avant tout nous avons quelques questions: le scénario est-il définitif ou pouvons-nous en discuter certains aspects ensemble, faut-il vous acheter les droits ou prévoir une co-production. Merci

Bonjour, Mon ouvrage : "Poulet en tranche" est une intrigue policière ; le scénario n'est pas définitif et nous pourrons en discuter devant une tasse de café, si cela vous enchante. En ce qui concerne les droits d'auteurs, ils seront obligatoires, si un accord surgir entre nous ––, nous verrons cela avec les responsables de ma maison d'éditions. Mais si vous désirez lire mon ouvrage, je vous passerai un manuscrit, afin d’évitez que vous achetiez le livre (vous pouvez lire quelques extraits de ce roman sur google où tous mes ouvrages sont répertoriés). Pour me contacter plus facilement, vous pouvez carrément m'appeller au 06 23 21 31 69 . À bientôt, Roland Hingant

Bonjour Avez vous trouver votre bonheur pour l'adaptation de votre livre?? Je suis realisateur et scenariste. Merci Yacine Balah

Cher Yacin, Non, pour le moment je nai eu aucun contact sérieux, mais nous pourrions nous rencontrer, si vous le souhaitez, pour discuter sur mon ouvrage...

Bonjour Roland, Je viens de voir votre annonce concernant l'adaptation de votre polar. Je suis interessé car en temps que jeune réalisateur je suis à la recherche de projet de ce type. Vous pouvez visionner mes differents clips musicaux / court metrage sur www.oxycube.fr. N'hesitez pas a me donner votre avis sur mon travail, je suis trés preneur d'avis objectif exterieur sur mon travail !!! Si vous pouviez m'envoyer une version word afin que je puisse etudier le projet cela serait interessant aussi !!! :) Merci d'avance et dans tous les cas je vous souhaite un bon debut d'année.

Bonjour, Monsieur Yacine, Je viens de regarder les clips de Rédomption 2 et Ignobilis, et je vais vous envoyer mon ouvrage. Si vous le désirez, je peux vous l'envoyer par voie postale. J'ai remarqué une jeune femme blonde qui ferait parfaitement l'affaire pour le rôle principal, celui de la jeune commissaire de police, Laurène Trudeau ; bien sûr, si une entente se matérialise entre nous, si le sujet vous plaît, et aussi, si vous ne déformez pas trop mon histoire (sic). Enfin, nous verrons cela ensemble... Je n'ai pas votre adresse mail pour vous envoyer le manuscrit si vous préférez que je vous l'envoie par le biais d'Internet, ce qui vous évitera de le copier ... Mais voici la mienne hingantroland@yahoo.fr Recevez mes salutations les plus cordiales,

Bonjour Monsieur Hingant, je suis très intéressé par le projet que vous proposez, j'ai un Deug de lettre moderne et je suis en train de finir ma licence audiovisuelle cette année ; si vous n'avez toujours pas trouvé de réalisateur pour votre projet, je serais ravis de vous proposer mes services. Cordialement.

Jeune homme, vous pouvez toujours me contacter directement sur ma boîte mail : mon adresse est lisible deux cases plus haut ...

De Roland Hingant auteur de Poulet en tranche ... Bon, ce n'est pas la foule pour mon ouvrage , mon Thriller, "Poulet en tranche", mais ne perdons pas espoir. C'est vrai que ce roman donne des frissons dans le dos, mais en France, certains scénaristes sont retissant sur ce sujet.

Bonjour, Cet article date quelque peu mais on ne sais jamais. Je suis étudiant en troisième cycle de cinématographie. J'occupe le poste de scénariste et réalisateur au sein de mon équipe. Nous sommes à la recherche de ce genre de projet. Si cela tient toujours contactez moi: caraibe-cinema@hotmail.fr SABLON Dimitry

Bonjour, Je voulais savoir si au jour d'aujourd'hui vous avez pu mettre votre projet à profit ? Si ce n'est pas le cas, votre proposition m'intéresse éventuellement. Je suis jeune réalisatrice avec plusieurs courts métrages de fiction à mon actif dont deux adaptations. J'ai une formation de réalisation de 3 ans. Ce sera avec plaisir que je lirais votre roman.

Mademoiselle, Vous pouvez me contacter sur mon site professionnel (je suis Éditeur pour mes propres ouvrages) : LE LION Éditions), où ce trouve mon numéro de téléphone -, sur ma boîte mail, citée un peu plus haut. Cordialement, Roland Hingant, auteur de "Poulet en tranche"

Bonjour, Je n'ai pas de réponse mais je profite de ce forum pour proposer moi aussi mon roman " la valse des pantins" pour une éventuelle adaptation à l'écran. Mon livre parle de l'injustice et des conditions inhumaines des prisons marocaines. Plusieurs personnes ont insisté pour que je propose mon ouvrage, étant persuadés qu'il sera adapté. Quelques extrait sont disponibles sur Internet. http://www.edilivres.com/doc/4783/La-valse-des-pantins/Houcine-Ouachani Bien cordialement Extrait: LA VALSE DES PANTINS PRÉAMBULE « Une personne détenue est une personne qui par définition, conserve tous ses droits sauf celui de circuler librement dans la société » OUJDA. Centre de détention. Un cauchemar… les prémices de l’enfer ! Une prison humide, surpeuplée et loin d’être conforme aux principes rudimentaires de l’hygiène. Une place privilégiée d’un mètre sur deux, obtenue financièrement dans une cellule où s’entassaient soixante quinze personnes, en sueur, rendues incapables de se déplacer ou même de s’allonger. Nous étions là une quinzaine à tirer profit de cet avantage. Pour ma part, j’avais honte par rapport aux autres dé-tenus mais profondément soulagé dans mon for intérieur. Absence de lit, de draps…Une seule couverture miteuse était offerte gracieusement par l’Administration ! La nourriture était composée d’un soi-disant plat de légumes, généralement riche en amidon. Un œuf dur et quarante grammes de viande étaient distribués uniquement le vendredi, pliant les détenus au mode de vie végétatif, à un régime végétarien. Les couverts étant inexistants, les détenus étaient obligés de trouver des récipients de fortune, en papier ou en plastique, pour recevoir, comme des chiens, une ration répugnante. Ce matin là, comme pour nous narguer, deux gros cafards ailés tournoyaient au dessus de nos têtes, tels des charognards planant pour détecter des cadavres à la vue ou à l’odeur. Dès leur atterrissage, ils seront écrasés et mutilés par un détenu visiblement exaspéré. La chambrée puait la cigarette, la poussière et d’autres odeurs dont il valait mieux ignorer l’origine. Depuis plus d’une heure, mon voisin se récurait inlassablement le nez, puis après une pause de quelques minutes, recommençait à nettoyer ses narines en les frottant vigoureusement. Devant moi, un vieillard demeurait immobile. Les yeux bizarrement grands ou-verts…il ronflait. Une défaillance cardiaque et un espace restreint avaient brisé sa dignité. En l’observant, une chanson de Jacques Brel me revenait à l’esprit. Ce grand chanteur disait que les « vieux s’excusaient déjà de n’être pas plus loin ». Pour combattre les interminables jour-nées toutes chargées d’ennui et de monotonie, un groupe de personnes de la région de Nador, chaussures à la main, chassait les mouches du matin au soir. Ces nuées d’insectes malsains nous parasitaient la vie, une vie difficilement supportable. De l’autre côté de la pièce, une nouvelle bagarre éclatait entre deux prisonniers qui voulaient chacun utiliser, en premier, les lieux d’aisance. Une seule toilette servant également de douche pour les soixante-quinze détenus que nous étions. Quelle impudeur ! Quelle honte ! Le surveillant restait en principe l’un des garants de l’équilibre dans l’enceinte carcérale puisque c’était lui qui palliait aux manques de l’institution et son rôle indubitable devait être rehaussé à sa propre valeur. Or au cours de la promenade quotidienne, un gardien, accusé d’avoir introduit de la drogue, manifesta son énervement en cognant sans raison sur un dé-tenu. Ce dernier, immigré clandestin ayant risqué à maintes reprises sa vie pour un futur meilleur en Europe, s’était retrouvé incarcéré pour une durée de deux mois. Il revenait de l’infirmerie sans obtenir pour autant un calmant pour une rage de dents. Le pauvre homme avait été tabassé sans raison au vu et au su d’une centaine de prisonniers lâchement impassibles. Je compris alors pourquoi tant de jeunes marocains, n’ayant plus foi en l’avenir, soumis à la répression et à l’arbitraire, ne pensaient qu’à partir en terres lointaines au risque de perdre leur vie. Un jour, je demandai à ce prisonnier s’il n’avait pas peur de défier la mer dans une embarcation de fortune : Il me ré-pondit aussitôt : « Je préfère la compagnie des requins que celles de certains marocains…Tu as vu ce gardien, c’est un véritable hors la loi et rien dans cet espace carcéral ne protège les droits des détenus. » Au fond de la cour, un sénégalais, nouveau prisonnier, tout en cherchant une petite place pour prier, regardait ce cirque. Affamé après deux jours de garde à vue, il semblait ne pas comprendre le pourquoi d’un traitement cruel et dégradant entre musulmans. Il n’osait même pas demander la direction de la Mecque pour implorer Dieu correctement. Une demi heure plus tard, un geôlier, similaire à un berger, siffla. Je vis alors tout le monde, tel un troupeau de moutons, regagner prestement son emplacement dans un bruit assourdissant. Je me vis les suivre avec amertume sous le regard méprisant du gardien berger. Observant cette prison moyenâgeuse, le film « Midnight-Express », d’Alan Parker, tiré de l’histoire réelle d’un américain incarcéré dans une prison turque, me semblait être un véritable conte de fées. Brusquement, la voix d’un autre gardien, s’élevant subitement de derrière les barreaux, dérangea le brouhaha continu de cette masse humaine. - Matricule 20348, au parloir ! Ces cinq chiffres étaient mon numéro d’identification. Après avoir piétiné involontairement quelques détenus pour me frayer un passage, je me retrouvai les minutes suivantes dans la salle restreinte destinée à recevoir les visiteurs. C’était Majid El Jai, un ami de longue date. Fasciné par mon courage, il venait me soutenir régulièrement. On voit qu’un ami est sûr, quand notre Situation ne l’est pas. De retour dans ma chambrée, je constatai que trois nouveaux venus avaient grossi l’effectif déjà considérablement impressionnant. Ils étaient manifestement sales et d’allure grossière, venant confirmer l’état de véritable porcherie à laquelle était réduite cette cellule sur-chargée. Regagnant ma place non sans difficulté, je fermai les yeux et me concentrai longuement et profondément sur la cause de mes ennuis, histoire de démêler l’écheveau complexe de cette épreuve…Bien que dans une affaire aussi arbitraire, la logique ne soit de mise. Les paroles de Maître Melhaoui, traducteur assermenté, ancien avocat, revenaient sans cesse perturber ma méditation. « Tu es fou…tu n’es pas de taille…je te donne un conseil de frère, rends l’enfant et évite ainsi la prison car de toute façon le petit reviendra à sa mère. Allez mon ami ! L’étau se resserre…tu es trop irrationnel. La justice ? C’est de la théorie…pourquoi crois-tu que j’ai arrêté d’exercer ce métier d’avocat ! Tout cela, c’est des conneries ! Tu ne gagneras jamais ! Allez mon ami abandonne. Les Ministères de la Justice de Pa-ris et de Rabat…le Ministère Public d’Oujda …c’est beaucoup trop contre toi ! Tu n’as aucune chance. Absolument aucune !

Bonjour, Tous mes encouragements cher ami.Je suis également auteur et suis en quête d'un réalisateur pour mon livre ''LA PROIE INNOCENTE'' paru aux éditions bénévent en France en avril dernier.Pour avoir un résumé du livre aller sur google et taper Ange-Roger DOTROH GNONIENGUYA ou le titre de l'oeuvre. Contact: (225) 08 29 30 84/ (225) 06 63 60 07/ E-mail:on-est-1@hotmail.fr

Bonsoir, je m'appelle Anna, jeune auteur, pas en âge, mais c'est mon premier roman, et je vois que beaucoup d'auteurs sont comme moi, et aimerait voir leur travail sur les écrans. J'aimerai trouver un réalisateur pour mon roman qui s'intitule "Un jour de trop" aux éditions Amalthées. Une histoire tirée de faits réels et romancée qui mélange les échanges Internet et ceux de la vie de tous les jours ; une histoire qui pourrait être la vie de chacun. Un suspens qui tient en haleine jusqu'à la dernière page. Vous pouvez voir une ébauche sur : http://www.decitre.fr/livres/Le-jour-de-trop.aspx/9782310007726 Mon mail : anna.abeillan@orange.fr Je vous laisserai mes coordonnées téléphonique en privée. A bientôt

J'ai reçu une bonne critique de mon livre. Jugez-en! La valse des pantin http://www.edilivre.com/doc/4783 Bonjour, Je viens de finir la lecture du roman de Houcine Ouachani intitulé “la valse des pantins”. Je recommande vivement ce livre passionnant, très dur, agrémenté d'humour et de tristesse. L'histoire d'un français sur plus d'une décennie dans son pays d'origine le Maroc ne manque pas de piquants ni d'émotions fortes. Dans ce livre, diligemment mené, l'auteur fusionne preuves et témoignages pour pouvoir instruire son épouse arnaqueuse, cupide et matérialiste et enfin, gagner le droit d'élever son fils. Injustice, ingérence , incarcération de l'auteur et ce, à plusieurs reprises dans une prison marocaine moyenâgeuse. Ce roman, tiré d'une histoire vraie, est à lire absolument. D'autre part, ce roman déjà en cours de traduction pour une édition anglaise, ferait à mon avis une très bonne adaptation cinéma ou télévision. Barbara Bachelet

Ah, oui, Edilivre !!! Cette maison de baltringues !!! Je recherche un réalisateur pour mon roman Poulet en tranche (un thriller), et je crois que les gens qui viennent m'importuner ici, me gêne énormément...!!! Auteurs et autres (je le suis déjà), j'ai déjà donné chez Edilivre !!! Veuillez vous abstenir, merci ! Scénariste et réalisateurs, soyez les biens venus ! Merci à vous !

Bonjour, j'ai écrit moi-même un histoire vécue, une nouvelle, et je l'ai envoyé à edilivre, qui l'a acceptée. ce n'est pas une oeuvre en littérature, mais écrite sur le vif, après cette aventure. pouvez vous me donner des détails sur edilivre ? (je ne peux payer une maison d'édition autre, car je n'ai pas les moyens malheureusement, meme si les pourcentages sont plus interessants...) j'aimerais bien, aussi que cette aventure soit un jour un film. merci de vos conseils. le livre n'est pas encore paru ) cordialement