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Apres le metier d'infirmiere - Page 3

Question anonyme le 08/09/2008 à 12h16
Dernière réponse le 06/05/2016 à 07h37
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J'exerce cette profession depuis 15 ans....A present, je suis a bout de souffle et ne trouve plus moyen d'exercer mon travail dans une ethique qui me...
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59 réponses pour « 
apres le metier d'infirmiere
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Réponse de allobobo
Le 27/03/2014 é 18h47
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C'est vrai que le métier d'assistante maternelle c'est tout autre chose, j'ai partipé à une réunion d'informations il ya qq années, et c'est vrai qu'il ya plein de conditions, pour la petite formation ce n'est pas la mer à boire par contre tu gagnes des clopinettes, soyons clairs....la première année tu ne peux avoir qu'un seul enfant : c'est de l'argent de poche! sinoçn tu as aussi la possibilité de faire famille d'accueil pour personne âgée à ton domicile mais aussi pour personne suivie en psy...ou comme moi une courte formation de "ff de cadre"cela se passe sur ton temps de travail et tu changes de role.Beaucoup d'EHPAD te prennent comm ff même si tu n'as pas fait la formation de cadre en école.Bon courage.
Référence(s) :
allobobo
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Réponse anonyme
Le 18/05/2014 é 12h40
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Bonjour à toutes et tous, Je me retrouve dans TOUS vos témoignages. Cela me réconforte un peu de nous voir si nombreuses à être écœurées par notre métier. Et pourtant, je trouve ca triste. Ce métier est tellement beau. Je voulais être infirmière depuis toute gamine. A 18 ans, j'ai intégré un IFSI. Très rapidement, j'ai trouvé les cours peu intéressants, mais j'ai pris mon mal en patience car c'était le terrain, le contact avec les patients qui était mon leitmotiv. Ce que j'aimais, c'était surtout le relationnel avec les personnes âgées. Lors de mon premier stage, en EHPAD, gros choc. Aucun relationnel, beaucoup de soins techniques, peu de matériel et de moyens pour exercer ce métier correctement. Un mouroir. Les trois années qui se sont écoulées ont été extrêmement difficiles avec de nombreuses remises en question, mais il fallait aller au bout de ce rêve... A la sortie de L'IFSI, j'ai exercé un an en EHPAD, j'aimais beaucoup mon métier mais l'ambiance a eu raison de moi. Après quelques remplacements par la suite, j'ai fait un gros Burn out. cela fait 3 ans que je me cherche, j'ai refait quelques remplacements l'année dernière et le verdict est tombé: je n'aime plus ce métier! 4 années de diplôme plus tard et à peine plus d'une année d'expérience, je suis perdue, je ne sais quoi faire...J'ai essayé de créer une micro crèche mais l'on m'a mis de nombreux bâtons dans les roues, une "simple infirmière" n'intéresse pas l'administration pour ce type de responsabilités... Désolée pour ce pavé...
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Réponse anonyme
Le 24/07/2014 é 22h49
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Même constat que vous 30ans de DE et je suis vide !!!je ne me retrouve plus dans ce métier!!plus rien à voir avec mes motivations initiales qui m'ont fait choisir ce si joli métier qui fut un temps mon lev motive et qui maintenant me dégoute car je dois l'exercer avec les nouvelles donnes=) yeux rivés sur l'ordi pour tracer ,tout régit par protocole ou est l'empathie !!je crois qu'on fait fausse route on confond usine et hôpital ,rentabilité à humanité !!que Dieu me préserve de la maladie afin d'éviter d'être dans un lit soignée par une infirmière robotisée!!
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Réponse anonyme
Le 31/07/2014 é 01h28
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Bonsoir, 23 ans de pratique, essentiellement en psychiatrie et geriatrie. Je ne reconnais plus mon métier. Certaines l 'ont dit, c'est le discours de rentabilité qui a pris le devant de la scène du soin, nous ne sommes plus que des chiffres sur un planning, quand à nos patients... les ordinateurs et leur statistiques sont devenus tellement plus importants qu'eux! J'ai parfois honte de ma pratique alors qu'être infirmier etait une fierté il y a encore peu de temps. Protocole, carcans, rigidité, plus rien qui ne soit simplement humain... que faire après ce magnifique métier qui agonise? J'ai tenté l'ifcs, tellement cynique que j'ai abandonné. Reprendre mon boulot initial, commercial? Je prefere le rsa mais j'ai une famille à nourrir! Depuis quand le soin doit-il être lucratif? Cette politique tue plus qu'un métier, elle exécute froidement le peu de compassion qui reste dans le coeur des authentiques soignants.
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Réponse anonyme
Le 30/10/2014 é 11h51
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Ide depuis 20 ans ma conception des soins et mes valeurs professionnelles ne collent plus avec bon nombre d'employeurs. Meme en intérim je n'arrive pas a trouver ce qui me conviendrait. Il me reste quatre ans avant la retraite cela va etre long. J'ai meme été licenciee. Alors quoi faire sinon continuer a travailler malgré ce problème d'inéquilibre entre ses valeurs et le système actuel de rentabilité... Dur dur. C'est le monde à l'envers qui favorise ceux qui n'ont pas ou peu de valeurs professionnelles , ceux qui n'ont pas forcément les compétences professionnelles. Comment se battre contre des moulins à vent ? S'aider d'un syndicat peut etre une solution. il faut etre déterminée. Quelles autres solutions ? BON COURAGE A TOUTES. MERCI DE DONNER UNE REPONSE.
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Réponse de allobobo
Le 30/10/2014 é 16h48
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Bonsoir Entiérement d'accord: notre métier a complètement changé, et franchement si c'était à refaire maintenant, je ne recommencerai pas ...Il faut arriver à trouver le " moindre mal" ! là, où on ne s'épanouit pas forcément vraiment mais où on ne souffre pas ou plus....Il faut préserver sa propre santé!A 50 ans passé , pour moi ce n'est plus le moment de me reconvertir, j'ai trouvé une alternative: un mi temps dans le milieu éducatif, pas vraiment soignant mais éducatif...Je privilégie ma vie privé et je pars du principe que ma carrière est derrière moi !!!
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Réponse anonyme
Le 04/11/2014 é 10h49
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Bonjour, Cela fait 14 ans que je suis diplômée. Il y a presque 3 ans, j'ai eu des signes de burn out sans que personne ne mette ce mot dessus, ni mes supérieurs, ni mes collègues, ni mon médecin traitant. J'ai fait un bilan de compétences en août 2013 qui a validé mon choix de profession mais m'a orientée sur une autre façon de pratiquer, le libéral, sauf que les horaires à rallonge et l'administratif ne me motive pas... De plus, je ne sais pas dire à un patient bavard que je n'ai plus de temps à lui accorder ! Quand j'ai cherché à parler réorientation avec le formateur qui me faisait passer les test, je me suis rendu compte qu'il ne connaissait rien aux filières paramédicales ! Je me suis quand même demandé si ses conclusion sur mon choix de métier n'étaient pas dictée par la conjoncture actuelle de notre société ! Donc depuis, j'en suis à mon 3ème changement d'emploi (de CDD en CDD) sans jamais être satisfaite. La consultation des annonces me déprime : rien que leur lecture me fait freiner des 4 fers ! Ce matin, en surfant, je suis tombé sur un site : http://www.cioparamedical.com/index.php Je ne sais pas si j'y aurai recours mais cela peut intéresser certains ! Bon courage à tous.
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Réponse anonyme
Le 24/11/2014 é 10h24
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Bonjour! Après 7ans de diplôme je me retrouve au même point que vous tous, fatiguée, épuisée, plus envie ! Le pire c'est que mon travail aux urgences me plait mais c'est tout ce qui est autour que je ne supporte plus, l'agressivité des patients et famille, le rendement, les rappels incessant pour remplacer les arrêts maladie, et surtout les horaires, marre de bosser les week end et jour férié et ne plus voir mes enfants qui sont petit (4 et 9 mois)! Et franchement tt ces sacrifices pour quoi? Ca fait 3semaines que j'ai appeler la formation permanente et que j'attends qu'elle me rappel pour me donner un rdv (ca promet pour la suite vu la motivation ), La formation de psychologue me tente bien mais c'est bouche, donc si 5ans d'étude pour ne pas trouver de travail ca ne sert a rien... Je cherche, recherche encore et encore quoi faire ? C'est la déprime. Je vais aller regarde ton lien on ne sait jamais! Si d'autres idées je suis preneuse! Bon courage pour la suite de vos recherches!
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Réponse anonyme
Le 24/11/2014 é 21h43
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Bonsoir! J'ai trouvé 1 versant de notre métier qui me permet d'aimer ce que je fais et ma vie privée... Et pourtant en étant encore infirmiere !!! 5 ans à Bichât en chir, puis 5 ans en Essonne en cardio et suicide, 2 enfts, un conjoint que je ne voyais plus... Plus de vie sociale non plus, aucune date pour prévoir qquechose, la déprime ... Ont suivi 5 ans en pédopsychiatrie , HDJ et CATTP .chgt radical, motivant professionnellement , avec 1 stabilité des horaires qui m'ont permis de me rallier aux monde des vivants, mais c'est 1 service difficile, où l'on donne toujours beaucoup, et cela peut attaquer sérieusement au Long cours... Me voilà donc partie pour 1 nouvelle aventure depuis 2 mois , en tps qu'infirmière scolaire, ds le privé ( droit à 1 dispo pdt 10 ans, à renouveler chaque année), ça m'évite de passer le concours, et donc garder 1 sécurité . C'est dans 1 établissement de 1609 élèves , du collège , lycée général , avec 1 filière lycée pro. Pas simple de découvrir en solo les méandres de l'administration de l'éducation nationale, et de gérer le côté administratif assez énorme , mais le contact avec les jeunes est vraiment diversifié, riche et dynamisant. En moyenne entre 40 et 50 élèves reçus par jour, de la bobologie, à l'appel du 15 pls fois par semaine, journées santé, prévention, équipe de suivi, PAI , MDPH, interventions dans les classes à la demande, relation avec les familles, concertation avec les équipes pédagogiques, toutes mes expériences précédentes me sont utiles... J'ai la chance d'avoir 1 chef d'établissement qui me laisse carte blanche. Côté salaire, idem en net, passage au rang de cadre, et mes primes qui n'étaient pas prises en compte auparavant , je n'en ai plus, donc c'est très positif pour mon avenir. Travail du lundi au vendredi, de 8h30 à 17h30, toutes les vacances scolaires, sauf 2 semaines en moins l'été ... Franchement, je ne m'ennuie pas, chaque jour est différent , c'est très motivant. Il faut par contre avoir 1 peu de bagage derrière soi, car amené à prendre constamment des décisions seule concernant la santé des jeunes. Voilà! À chacun de trouver sa voie, il ne faut pas hésiter à bouger, ça ouvre toujours des portes...!! Un peu d'espoir!!!
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Réponse anonyme
Le 24/11/2014 é 21h48
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Petite rectification : " USIC" et pas " suicide"!!!! Écriture intuitive de mon téléphone ...
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Réponse anonyme
Le 20/01/2015 é 13h12
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Je vous remercie pour tous vos témoignages car je suis aussi dans cette situation. Quand j'ai commencé je répondais à ma cadre que j'adorais mon métier et que je ne comprenais pas qu'elle en soit dégouttée. Et voilà cela fait maintenant 6 ans que je suis IDE et je suis dans le même état psychologique qu'elle et même le fait de faire un pansement me donne mal au ventre. Je suis en bout de course et cela ce ressent à la maison aussi. A l'heure où je vous écrit je suis en arrêt de travail pour "épuisement professionnel" et "troubles psychologiques mineurs" mais je reprends demain et je s'en bien qu'il faut que j'envisage tout autre chose. Mais comment faire avec des enfants de bas âges et un loger à payer ?
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Réponse de allobobo
Le 20/01/2015 é 20h52
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Essayer de trouver un poste qui joint l'utile et l'agréable...Bien sure il faut chercher mais vous n'êtes pas obligé de rester dans un hôpital .J'ai beaucoup souffert l'année dernière sur un poste et j'ai aussi été arrêtée pour épuisement et depression, depuis j' ai retrouvé un poste en extra hospitalier avec des gens qui croient en moi .Courage vous allez retomber " sur vos pattes" ! continuez à chrcher mais ne restez pas là où vous êtes mal à vous pourrir la vie ... Bon courage
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Réponse anonyme
Le 08/03/2015 é 11h45
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Je me sens comme toi luciole 44 car jeune diplômée. Et je me retrouve un peu dans chacun des messages postés. Je suis du nouveau programme. Les premiers temps (j'ai commencé aux urgences), je voyais bien que la théorie et la pratique sont à des années lumière l'une de l'autre. On s'en rend bien plus compte que pendant les stages. Puis très vite j'ai été déçue par ce que j'ai vu et subi. Ce n'est pas pour ça que je suis devenue infirmière. Me voilà en CIPA (équivalent des EHPAD) avec un contrat qui se finit début d'été et aucune envie de chercher un autre poste dans ce métier. Oui mais pour faire quoi ? Les choses devaient être simplifiées avec le nouveau cursus et diplôme intitulé "licence". Au final, quand vous allez dans un CIO, on ne sait pas quoi vous dire où on vous aiguille vers des choses qui ne sont pas plausibles quand vous contacter les écoles en question. Et quand je me tourne vers d'autres personnes pour m'aiguiller, on me dit que je peux faire beaucoup de choses avec mes compétences mais qu'avec mon diplôme je suis obligée de repartir de zéro pour quasi tous les métiers. Financièrement je ne peux pas me retrouver sans rien et je peux tenir avec un minimum pendant 2 ans. Si vous avez des solutions, je suis preneuse ! Je ne peux pas continuer a faire un boulot où je vais à reculons, qui me change et me fait devenir stressée,... En vous remerciant, Aurélie
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Réponse anonyme
Le 16/04/2015 é 14h55
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Je suis rassurée car moi aussi je ne suis diplomee que depuis 2011 et j.ai perdu toute la motivation et la bienveillance que j.avais au début. J'ai d'abord travaille dans un hôpital pendant 2ans, 2 années épuisantes car je partais souvent sans avoir mangé ni même avoir pris le temps d'Aller aux toilettes et toujours avec l'impression de ne pas avoir accompli mon travail en partant,puis lorsqu'on m'a proposé un poste de VS,je suis partie en courant...j'ai immédiatement trouve un poste de remplacement dans un cabinet libéral,je m.y trouve plutôt bien mais je ne supporte plus de voir des gens malades,les odeurs,les systèmes de prise en charge trop compliqués...bref au bout de 4 ans de pratique je me rends compte que je n'aurai pas la force d'exercer cette profession toute ma vie...Le problème c'est qu'une fois pris sans "l'engrenage" du libéral,plus personne ne veut financer de formation et les impôts,carpimko et urssaf nous tombent dessus l'annee suivante...si quelqu'un peut me conseiller ou au pire me remonter le moral.
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Réponse anonyme
Le 27/04/2015 é 15h28
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Bonjour à toutes et tous et merci...je me sens moins seule.. Infirmière depuis 8 ans, j'ai dit stop, stop...je ne travaille plus, je me suis reconvertie: femme au foyer. je sais que j'ai la chance de pouvoir le faire car mon mari gagne globalement bien sa vie..néanmoins, j'ai fait des choix et je compte davantage mon porte-monnaie...il n'y a pas de mystère... J'ai voulu être infirmière...17 structures de soins plus tard et bien plus de services plus tard encore (car dans certaines structures de soins j'ai fait plusieurs services) je me suis rendue compte que l' on me propose la profession de "MANUFACTURIÈRE EN SOINS INFIRMIERS"...alors on change d'endroit car on se dit l'herbe est plus verte ailleurs...hélas non !!! J'y ai cru à mon métier, je l'ai aimé, adoré même et qu'est ce que j'étais fière d'être infirmière mais: * le mépris de la direction à l'égard des patients et des infirmiers...des médecins aussi * l'incompétence de la hiérarchie ou carrément l'absence de la hiérarchie (j'ai connu un service sans cadre, elle était en dépression...) * les insultes de certains patients, de certaines familles et tout ça dans l'indifférence la plus totale de la hiérarchie (globalement je peux me faire insulter sans que cela ne choque qui que ce soit sauf mes collègues...) *le travail à la chaine *avoir le téléphone qui sonne sans arrêt et combien de fois inutilement (allo, vous avez le numéro de tel service...à 20h: allo, c'est pour prendre un rendez-vous en consultation...vous avez compris et j'en passe... *être seule dans le service de 24 lits de médecine (collègue qui doit être là jusqu’à 19h seulement absente et pas remplacée) et malgré cela devoir faire le tour des médicaments et injectables et en même temps assister une ponction d'ascite...et lorsque l'on évoque le problème s'entendre dire: "vous êtes mal organisés" (on y a toutes eu droit dans le service....) * les horaires à rallonge * les weekend et jours fériés travaillés (c'est vrai, quand je me suis destinée à être infirmière je savais qu'il fallait travailler les we et fériés...oui...mais avant c'était un sur deux...j'en étais arrivée à 2 we travaillés sur 3...) donc la vie de famille est mise entre parenthèse... * les rappels sur vos jours de repos et cela même pendant vous CA (je sais c'est interdit...mais l’hôpital s'octroie tous les droits)...même appeler chez vous à 6h du matin pour remplacer la collègue qui n'est pas venue travailler...peu importe si on réveille votre mari qui (c'était un samedi) avait bossé toute sa semaine et voulait dormir... *et quand vous êtes chez vous en repos, piquer du nez à 20h devant la tv....bref je n'avais même plus de soirée... *ne pouvoirs poser que 15 jours de vacances en juillet-aout et encore parfois ils raclent un we (tout le monde doit partir, et oui...) *avoir son planning le 31 du mois en cours pour le mois qui suit donc avoir son planning un jour avant (c'est du vécu...) et si tu dis quoi que ce soit ta cadre te prend en grippe et là....une cadre m'a dit une fois: "on n'a nos méthode" sous entendant quand on veux t'en faire baver on sait comment faire (oh, vous qui me lisez, vous savez surement de quoi je parle) *un salaire de misère La liste n'est pas exhaustive...qu'est ce que ça fait du bien de l'écrire... La je fais un constat: mon métier infirmier me manque beaucoup mais je n'y retournerai pas car je sais que je ne pourrai pas l'exercer dignement, correctement dans le respect de ma conception de soins, car pour prendre soins, être à l'écoute, respecter les règles d'hygiène et d’asepsie nécessaire à un acte infirmier, faire la traçabilité de chacun de nos actes voire de nos paroles...il faut du temps, de la disponibilité et tout ce que le système peut m’offrir actuellement est la réification du "client" tout en promettant au "patient" une prise en charge individualisée, adaptée à sa personne, ce qui grossi encore plus le fossé entre soignés et soignants.. En effet, un patient qui arrive à l’hôpital attends de nous des choses que la société lui a promises mais nous, dans la réalité que pouvons nous lui offrir ??? alors bien sur il ne comprends pas et peu se sentir agresser et être agressif à son tour...ah ah sur le papier mesdames et messieurs les bureaucrates: tout rentre...mais dans la réalité vous savez la vraie vie...c'est un peu plus compliqué... Alors ça aussi, que le système cesse de mentir aux patients (qu'ils nomment d’ailleurs des clients sans l'assumer car devant eux ils disent patients) en leurs disant de ne pas se montrer trop exigeant car comme on n'a plus d'argent, on a rogné sur les postes infirmiers et on a moins d'ide et... et beaucoup de gens ne doivent pas le savoir: une infirmière n'a pas le don d'ubiquité...et non... bref, je vais m'arrêter là, j'espère n'avoir choqué personne sév
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Réponse anonyme
Le 10/11/2015 é 12h59
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Franchement c la merde!!!!
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Réponse anonyme
Le 10/11/2015 é 13h25
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Maintenant il faut se mettre d'accord nous les infirmiers Il faut se rassembler tous ensemble et arrêter et faire pas une grève mais poser un ultimatum comme dans les pays nordique ou ils ont une augmentation de 700 euros et conditions améliorées Arrêter de vous lamenter sur votre sort et créerons un vrai collectif qui nous permettent soit de changer de métier Soit de continuer mais avec de bonne condition Voici mon adresse mail. Samir.050@hotmail.fr
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Réponse de AmincissementLaurand
Le 26/11/2015 é 12h11
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Bonjour, Si vous souhaitez vous reconvertir et rester dans le domaine paramédical, nous proposons une reconversion professionnelle adaptée aux professionnels de santé. En devenant acteur dans la prévention et le traitement du surpoids et de l'obésité, vous restez au contact de vos patients en les écoutant et les accompagnant vers un retour à leur poids de forme pour une bonne santé. Notre protocole d'amincissement : rééquilibrage alimentaire, soins corporels ciblés et suivi personnalisé, existe depuis plus de 30 ans. Pour plus d'informations sur ce protocole et les intérêts pour une infirmière d'intégrer notre réseau : http://franchise.laurand.com/devenir-praticien/le-profil-type/reconversion-pour-les-infirmieres-liberales/
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Réponse anonyme
Le 06/05/2016 é 07h37
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Bonjour a toutes et tous voila je suis infirmiere liberale depuis 11ans et avant cela 13ans en soins intensifs cardio Je suis actuellement dans la fatigue de tout avec une pathologie degenerative lombaire; Alors je me pose la question que faire maintenant? ou comme l'expression peut le dire"plein le dos"; le moral est au plus bas changer radicalement oui mais pour quoi faire??,sachant que le liberale "beau metier" mais faut il rester en bonne sante vos assurances ne vous prennent pas en charge donc perte financiere bravo, surtout quand vous etes seule avec un enfant alors se relancer???? Des reponses seraient bien venu Alors que j"avais ce boulot dans la peau merci
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