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Association equivalence diplomes délocalisés

Question de iamehere le 26/08/2009 à 16h05
Dernière réponse le 07/02/2015 à 20h36
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Je me demande s'il ya des personnes intéressées par la constitution d'une association pour demander l'équivalence académique des diplomes préparés en délocalisé par des étudiants marocains.
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59 réponses pour « 
association equivalence diplomes délocalisés
 »
Réponse de abrar k
Le 19/10/2009 é 11h25
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Je travaille au secteur public, je veux bien faire une formation délocalisée ( licence professionnelle ) et je me demande s'il ya une association qui défend les diplomes délocalisés pour leur donner l'équivalence avec les diplômes de l'Etat marocaine.
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Réponse de iamehere
Le 19/10/2009 é 11h47
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SLT, On est en train de regrouper des personnes intéressées par la constitution d'une association en vue de défendre les droits des diplomés à distance. Aucune association n'est déja fondée sauf une concernant les fonctionnaires du MEN mais elle n'est pas allée jusqu'au bout. On cherche trs vivement des personnes intéressées, si vous pouvez soutenir la création de telle association, vous pouvez me contacter Bien cordialement.
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Réponse de abrar k
Le 21/10/2009 é 11h22
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Bonjour, la fondation d'une association défendant les diplômés de la formation délocaliée est fondamentale et je voudrais bien en étre membre. On doit d'abord chercher et regrouper en même temps les diplômés ou ceux qui suivent leurs études en formation délocalisée pour aboutir à une solution qui nous aide à être en équivalence avec les diplômés de l'Etat marocain.
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Réponse de iamehere
Le 21/10/2009 é 17h59
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Ok, je connias pas mal de personnes qui sont bien prêtes pour se joindre à de telle assocation si elle a vu le jour. A mon avis toutes les raisons sont à notre coté pour consitituer une association et défendre nos droit, surtt que tous les systèmes éducatifs ont commencé à s'ouvrir à l'international et que mm l'UNESCO déplore tous les efforts pour internationaliser la reconnaissance des diplomes, y compris les diplomes à distance,. En premeier lieu, on doit trouver un diplomé qui a déja présenté la demande pour savoir les raisons pour lesquelles il lui a été rejeté la demande d'équivalence sachant bien que la conditions paradoxale est celle liée à l'attestation de résidence. N'hésitez pas à m'envoyer tte proposition que vous jugez utile.
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Réponse de abrar k
Le 10/11/2009 é 08h47
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Bonjour, j'ai contacté un professeur universitaire qui est pour ce genre de formation, qui me répond par : la fonction publique ne doit pas refuser ce genre de diplome pour la cause de l'absence de la carte de séjour, car ce n'est pas une raison valable, elle doit vous répondre par un écrit et vous montre ces raisons sur papier signées en se révélant aux décrêts, autrement la fonction publique n'a pas le droit de refuser.
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Réponse de iamehere
Le 10/11/2009 é 10h36
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Slt. on doit savoir que la fonction publique n'a rien à voir avec la carte séjour de l'étudiant, elle se contente de demander l'équivalence du diplome étranger présenté par l'étudiant. Mais, pour avoir l'équivalence il faut présenter obligatoirement la carte de séjour. A noter que la seule autorité habilitée à se prononcer sur l'équivalence est le MEN. A noter églt que la question de carte séjour est publiée dans le Bull. officiel EN 2003 ( cf. site MEN/ S. affaires juridiques)
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Réponse anonyme
Le 16/12/2009 é 14h11
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Slt j suis un instituteur et j prépare une L3 sciences education faculté française .j suis avec vous pour l'assocaiation de validation de diplomes à distance sans carte sejour.
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Réponse de acheteur
Le 23/04/2010 é 13h00
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Les diplômés marocains des écoles supérieures françaises affrontent des difficultés -------------------------------------------------------------------------------- Entretien avec Bruno Joubert, ambassadeur de France au Maroc «La France souhaite accompagner les grandes réformes structurelles engagées par le Royaume du Maroc» La France est le premier investisseur étranger au Maroc, le premier créancier public du Royaume et le premier bailleur de fonds bilatéral du pays au titre de l'Aide publique au développement. LE MATIN : Les relations entre le Royaume du Maroc et la République française sont la conséquence naturelle et logique des liens d'amitié persistant, à travers l'histoire, entre les deux pays et entre les deux nations. Comment comptez-vous œuvrer à leur renforcement ? Quels seront vos dossiers prioritaires ? BRUNO JOUBERT : Vous avez raison de souligner que la relation franco-marocaine est fondée sur des liens d'amitié anciens entre nos deux nations comme entre nos deux peuples. C'est une relation forte, modelée, notamment, par une histoire commune, mais aussi par une imbrication sans pareil de nos populations respectives. Plus que des priorités, je vous dirai d'abord que ce qui guidera mon action, dans le cadre de la mission que le Président de la République m'a confiée, sera la certitude que cette relation, exceptionnelle par sa densité, doit être mise au service de l'ambition du développement qui caractérise la politique conduite par votre pays, sous l'impulsion de Sa Majesté le Roi. En effet, la France souhaite accompagner les grandes réformes structurelles engagées par le Royaume du Maroc. A titre d'exemple, j'ai assisté le 15 février dernier aux côtés de Mme Anne-Marie Idrac, la secrétaire d'Etat au commerce extérieur, à la cérémonie de signature d'une convention de financement d'un montant de 225 millions d'euros de l'Etat français au profit du projet de tramway à Casablanca. Ce prêt est le troisième du genre sur les deux dernières années, portant le financement français dans le domaine des transports à un milliard d'euros depuis 2008. La France est également présente auprès du Maroc pour le financement du « Plan Vert » dans le domaine de l'agriculture ou encore du « Plan d'urgence » dans le domaine de l'éducation. Ce sont là des projets importants pour le développement du Royaume. Ce sont des projets tournés vers l'avenir du Maroc et la population marocaine. Les priorités de mon action seront donc en grande partie celles du Maroc. Ce n'est pas là un choix de facilité mais la traduction d'une conviction française que les réformes engagées par notre partenaire marocain sont importantes pour le développement de ce pays. Cette volonté d'accompagner ces réformes sera d'autant plus ferme qu'en cette période d'après-crise il est important que le « couple franco-marocain » se montre à la hauteur des défis économiques et sociaux qui l'attendent. Avec un total de 6,1 milliards d'euros d'échanges commerciaux, la France est le premier partenaire commercial du Maroc. Que faudra-t-il entreprendre, à votre sens, pour faire plus et mieux dans un contexte international moins porteur et plus concurrentiel ? En 2009, sans surprise, le niveau des échanges commerciaux entre le Maroc et la France n'a pas échappé au ralentissement du rythme du commerce mondial. Ces échanges ont reculé de 16% par rapport à 2008. Mais dans ce contexte international que vous décrivez fort justement comme peu porteur et plus concurrentiel, la France reste le premier partenaire commercial du Maroc. Pour autant, comment faire «plus» et «mieux» ? Je souhaiterais vous donner un exemple concret : la France est aujourd'hui le premier client du Maroc. Elle absorbe le quart des exportations du Royaume. Ces exportations marocaines vers la France sont concentrées sur quelques secteurs : les produits textiles, les composants électriques et électroniques et les produits agroalimentaires. Pour élargir la gamme de ses ventes, le Maroc a mis en place en 2009 un plan dénommé «Maroc Export plus» dont l'objectif est de doubler les exportations d'ici 2018. L'Agence française pour le développement international des entreprises, UBIFRANCE, appuie ce plan de développement des exportations marocaines. Une convention a été signée dans ce cadre entre Maroc Export et UBIFRANCE le 13 mars 2009 qui vise à renforcer le dispositif marocain d'appui aux exportations, développer un partenariat pour accompagner les entreprises marocaines dans la création et la promotion de leurs marques et soutenir la formation au commerce international. Cet exemple illustre bien, à mon sens, ce que l'on peut faire de plus pour maintenir, voire améliorer le niveau des échanges. D'autres pistes doivent bien entendu être explorées, l'idée étant d'augmenter ces échanges et de les diversifier. Du point de vue financier, la France est le premier investisseur étranger au Maroc, le premier créancier public du Royaume et le premier bailleur de fonds bilatéral du Maroc au titre de l'Aide publique au développement. Quels seront les grands axes de l'effort financier français en 2010 ? Et plus particulièrement en ces temps d'incertitude économique ? Sur la période 2000-2008, les flux d'investissement directs d'origine française se sont élevés en moyenne à 900 millions d'euros par an, soit près de la moitié du total des investissements directs étrangers reçus par le Maroc. Les entreprises françaises comptent plus de 700 filiales au Maroc et fournissent de l'emploi à 100 000 personnes. Par ailleurs, le Maroc est, et vous avez raison, premier bénéficiaire de l'Aide publique au développement française en 2008 dans la zone Afrique du Nord. Il fait partie des pays pouvant bénéficier de l'ensemble des instruments de financement français d'aide. Prenons les engagements de l'Agence française de développement au Maroc. Ils ont dépassé 715 millions d'euros sur la période 2007-2009. Rien que pour 2009, ces engagements approchent les 400 millions d'euros, illustrant la volonté de notre coopération d'aider le Maroc à franchir cette période de crise internationale dans les meilleures conditions. Cette implication se poursuivra avec détermination en 2010 afin d'appuyer les efforts du Royaume à faire face aux enjeux majeurs qui sont posés en termes d'éducation, de santé et de développement des infrastructures notamment. Le soutien au Plan Maroc vert, au projet marocain de l'énergie solaire et à la réduction de la fracture numérique dans le cadre du plan « Maroc Numeric 2013 » feront également partie des axes forts d'intervention de la France en 2010. Les diplômés marocains des universités et des écoles supérieures françaises affrontent des difficultés pour s'intégrer dans le marché de l'emploi marocain, à cause de ce fameux problème de l'équivalence ? Soyons précis. Quels sont les diplômes français dont on parle ? Quels diplômés sont effectivement concernés par la problématique de l'insertion professionnelle qui est au cœur de votre interrogation ? Cette question est importante. C'est en déterminant précisément la population concernée que l'on est capable d'apporter des réponses concrètes et efficaces. En fait, la très grande majorité des diplômés de l'enseignement supérieur français sont peu touchés par le problème que vous soulevez. En effet, la majorité des diplômés marocains du système supérieur français sont issus soit des Grandes Ecoles, soit des Universités. Dans le premier cas, la question de l'insertion ne se pose pratiquement pas, dans le second cas l'adoption du LMD (Licence, Master, Doctorat) par le Maroc devrait permettre de résoudre d'éventuelles difficultés transitoires. Qui donc est concerné ? Concrètement, deux catégories particulières de jeunes diplômés : d'une part, ceux qui sont diplômés d'un établissement d'enseignement supérieur français privé non reconnu par l'Etat. D'autre part, ceux qui ont obtenu au Maroc ce que l'on appelle un « diplôme délocalisé », qui est en fait un diplôme délivré par un établissement français, dans le cadre d'un partenariat avec un établissement marocain. Dans ces deux cas, il est vrai que l'absence d'équivalence avec un diplôme d'Etat marocain peut poser de réelles difficultés. Quels moyens sont mis à la disposition de ces étudiants pour mieux faire valoir leurs compétences ? A cet égard, nous pensons que la qualité du diplôme délivré est un point essentiel. S'agissant du premier cas, celui des études en France, les étudiants doivent s'assurer de la qualité de l'enseignement dans lequel ils s'engagent. Campus-France, service de l'ambassade et point de passage obligé pour accéder à des études en France, est à la disposition des étudiants. Il les informe sur les établissements d'accueil, sur le type d'établissement, sur la nature du diplôme délivré. Campus-France aide donc ces étudiants à choisir des établissements qui délivrent un diplôme de qualité. Dans le second cas (diplôme délocalisé), la situation est plus complexe et nous devons, en tant qu'ambassade, travailler à ce que les diplômes « délocalisés » délivrés au Maroc soient de qualité. Nous sommes à cet égard en train de renforcer le «contrôle de qualité», nous assurant en particulier du respect d'une « Charte des délocalisations». Dans un cas comme dans l'autre, vous l'aurez compris, la qualité de la formation est la question centrale. Mais s'assurer de la qualité du diplôme n'est pas tout : au Maroc comme en France, la véritable validation d'un diplôme reste l'accueil que lui fait le marché du travail. Ces étudiants peuvent et doivent faire valoir leurs avantages comparatifs : un enseignement selon les normes rigoureuses de l'enseignement supérieur français ; une forte connexion avec le monde de l'entreprise (stages par exemple) ; parfois un séjour en France et la confrontation à un autre environnement, académique, professionnel et socioculturel. Et ces atouts peuvent bien valoir une équivalence, en tout cas pour le secteur privé et les employeurs qui ne s'y trompent pas. La reconduite à la frontière française passe aujourd'hui au-devant de la scène après l'expulsion d'un certain nombre de ressortissants marocains de la France. Quel traitement sera dorénavant accordé à la question des flux d'immigration provenant du Maroc ? Vous évoquez la reconduite à la frontière de personnes en situation irrégulière. Je souhaiterais d'abord souligner que le Maroc, pays de transit mais aussi aujourd'hui de destination, est, comme la France, confronté à ce problème. Il est dans l'intérêt partagé des autorités de nos deux pays de continuer à coopérer très bien ensemble comme nous l'avons toujours fait. Plus généralement, la question des flux migratoires est un enjeu pour nos deux pays. C'est une réalité. Je voudrais éclairer mon propos par quelques chiffres: la France accueille la plus forte communauté de Marocains résidant à l'étranger (près de 800 000 personnes). Près de 30 000 étudiants marocains font leurs études en France. Ils forment la plus grande communauté d'étudiants étrangers dans mon pays. Plus de 155 000 visas par an sont délivrés par les 6 consulats généraux de France au Maroc et je tiens à souligner que près de 90% des demandes reçoivent une réponse positive. Le Maroc accueille pour sa part la plus forte communauté française installée au sud de la Méditerranée : près de 40 000 immatriculés, probablement près de 70 000 résidents en permanence, sans compter près d'un million et demi de touristes français qui apprécient de se rendre chaque année dans votre pays. La réalité de notre relation n'est pas la distance, mais, au contraire, l'imbrication des flux et des communautés humaines et l'existence de liens personnels entre la France et le Maroc. Cela nous impose d'avoir un dialogue confiant et ouvert sur toutes les dimensions de la problématique migratoire. Ces dimensions, la conférence euro-africaine de Rabat sur les migrations et le développement, organisée à l'initiative du Maroc en juillet 2006, les a identifiées avec pertinence. Il y a notre lutte conjointe et déterminée contre les migrations irrégulières. Mais il y a l'inverse, les migrations légales et circulaires que la France encourage et qui permettent à de nombreuses catégories de personnes d'aller et venir régulièrement entre les deux pays. Je tiens, à cet égard, à souligner le travail très important que joue, auprès de l'ambassade, le service de l'Office français pour l'immigration et l'intégration, à Casablanca. Il favorise d'une part les demandes des personnes désireuses d'acquérir une expérience professionnelle en France dans des secteurs d'activité variés (agricole, informatique, automobile...). Il accompagne, d'autre part, l'immigration familiale au travers de la formation linguistique et des valeurs de la République française. S'agissant du co-développement et du développement solidaire, la France, à travers l'Agence française de développement (AFD), a initié des projets originaux au Maroc visant à mobiliser plus efficacement l'épargne des migrants sur des projets participant au développement du pays. Cette action s'inscrit bien sûr dans le cadre plus général de ce que fait la France au Maroc et de l'ensemble des moyens (plus de 200 millions d'euros) que nous mobilisons chaque année pour accompagner la modernisation de ce pays, sans oublier aussi l'effort considérable de l'Union européenne. Nous sommes conscients que c'est aussi en créant un espace de prospérité et de stabilité des deux côtés de la Méditerranée que nous devons tous insérer cette problématique migratoire. C'est l'objectif de l'Union pour la Méditerranée. Tous ces sujets font l'objet d'une écoute et d'un dialogue constant entre nos deux pays. La proposition marocaine d'un statut d'autonomie élargie au Sahara a été très bien accueillie et saluée par la communauté internationale. La France a, à maintes reprises, exprimé son soutien au projet. Quelle sera la contribution française pour faire avancer ce dossier ? La France estime que le plan d'autonomie proposé par le Maroc en 2007 représente un pas en avant important vers le règlement de ce contentieux. Elle constate que le Maroc a fait des efforts sérieux et crédibles et l'encourage à persévérer dans cette voie. A cet égard, elle a noté avec intérêt la tenue en février de pourparlers informels entre le Maroc et le polisario. Organisés pour la deuxième reprise à l'initiative de l'envoyé personnel du secrétaire général des Nations unies, Christopher Ross, ces contacts sont une tentative de promouvoir la confiance et de nouer un contact entre les parties dans la perspective de négociations à venir. C'est en effet dans le cadre des Nations unies qu'une solution juste et équitable pourra être trouvée. Membre permanent du Conseil de sécurité, la France continuera d'œuvrer en faveur d'une solution politique, seule apte à offrir une issue à la situation actuelle. Elle ne négligera aucune piste permettant d'aller de l'avant, considérant que l'initiative marocaine offre un cadre et des perspectives sérieuses. De part et d'autre, l'on s'accorde à dire que le Maroc et la France entendent jouer pleinement leur rôle au service de l'espace euro-méditerranéen. Où en est le projet d'Union pour la Méditerranée ? Ensemble, la France et le Maroc peuvent faire beaucoup pour conforter les relations euro-méditerranéennes. C'est le message qu'a souhaité transmettre, il y a une dizaine de jours, Pierre Lellouche, secrétaire d'Etat aux Affaires européennes, lors de son voyage au Maroc. Il s'appuie sur un constat simple et sur une conviction solide. Le constat, c'est que le Maroc a fait le choix d'un ancrage stratégique à l'Europe. Et la conviction est que la France et le Maroc partagent une relation exceptionnellement dense. Fort de ce partenariat, nos deux pays sont en mesure de contribuer efficacement au développement de l'espace euro-méditerranéen. Sa Majesté le Roi Mohammed VI a été le premier Chef d'Etat à soutenir l'initiative du président de la République de lancer l'UPM en juillet 2008. C'est à Tanger que Nicolas Sarkozy a dévoilé en octobre 2007 les contours de l'UPM. Et c'est à Marrakech que les réunions ministérielles ont pu reprendre après les événements dramatiques de Gaza. Malgré les obstacles, l'Union pour la Méditerranée reste un projet porteur de sens, qui doit contribuer à faire de l'espace euro-méditerranéen un espace de paix, de stabilité et de prospérité pour les peuples des deux rives. En ce sens, la France accueille avec espoir la désignation du secrétaire général, Ahmed Massadeh, le 12 janvier dernier. La mise en place prochaine du Secrétariat et avec elle le développement de projets concrets entre partenaires du Nord et du Sud de la Méditerranée est une chance pour l'ensemble de la Méditerranée. Il importe aujourd'hui de ne pas la laisser passer. Par Abdelhadi Gadi et El Mahjoub Rouane | LE MATIN Publié le : 28.02.2010 | 12h52 Source : Le Matin
Référence(s) :
Le Matin
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Réponse de mostafa13
Le 13/06/2010 é 00h28
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Bonsoir tout le monde, je crois qu'il faut unifier les efforts pour créer une association de défense des intérêts des apprenants, une fois l'association est crée il faut faire un recours juridique au niveau de la cours administrative. Actuellement je fais une Une licence en commerce et pour toute proposition contactez moi.
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Réponse anonyme
Le 16/07/2010 é 00h42
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Je suis avec de cette pas pour la création d'une association pour défendre notre droit à une équivalence de notre diplôme délocalisé
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Réponse anonyme
Le 13/09/2010 é 14h07
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Bonjour, J'ai le même cas, Licence professionnelles systèmes informatiques et logiciels de l'université de province Aix Marseille I. Si ce genre de diplômes(délocalisés) ne sont pas reconnus, pourquoi ils ont autorisés aux écoles MAROCAINES de faire ce genre de partonariats avec les universités françaises.C'est un diplômes d'Etat frannçais "UNIVERSITAIRE".ALORS IL EST OU LE PROBLEME???? Salam
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Réponse anonyme
Le 14/09/2010 é 16h25
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Bonjour, Merci de rejoindre le groupe des dilpômes délocalisés sur facebook "Diplômes Délocalisés Au Maroc" Merci
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Réponse anonyme
Le 23/09/2010 é 15h09
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Pourquoi avez-choisi une formation délocalisée? Ne trouvez-vous dans votre pays rien qui réponde à vos aspirations de formation? Je ne comprends pas que l'on propose la constitution d'une association pour "défendre" des formations dispensées par des institutions étrangères, trandis qu'on se montre si indifférent par rapport à la qualité de l'offre de formation dans son propre pays. Y-a-t-il un nom pour cela? Qui profite de la délocalisation, dans le sens le plus large?
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Réponse anonyme
Le 23/09/2010 é 16h48
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Si vous trouvez que vous avez un choix de formation dans votre pays(Ville), tant mieux.moi je vois qu'on a pas le choix, Question :y a t il une formation en licence professionnelle en systèmes informatiques et logiciels ou en sens large développement Informatique.si tu as une idée sur l'université qui propose cette formation à Marrakech, merci de me le dire, et je suis prêt à opter pour ce diplôme à nouveau, sans aucun souci.sinon propose moi un Master sur Marrakech (MIAGE) ou développement. j'aimerais bien poursuivre mes études cette année, mais je ne trouve pas ce que je veux, et je crois que c'est le même cas pour les autres.en plus la plus part des gens qui sont obliger de faire ces formation, travaillent dans une ville précise. à Settat il y a des choix, mais ....je travaille à Marrakech, les autres travaillent dans une autre ville.on ne peut pas aller tous à Settat ou à Casa, PASS POSSIBLE. ses écoles offres ces formations , et elles sont des formation de qualité,et reconnues en France, si je dis pas en Europe. et ben pourquoi pas au Maroc. avant de commenter il faut voir tous les côtés. Merci pour votre commentaire, j'aurais aimé qu'il soit un commentaire qui soutient les gens diplômés pas les critiquer. Salam à+
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Réponse anonyme
Le 23/09/2010 é 21h38
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Je vous comprends très bien. Il faut commencer par exiger de votre gouvernement qu'il mette en place les structures adéquates pour répondre aux besoins et aspirations de formation professionnelle et universitaire des jeunes comme vous. On ne peut pas en tant que jeunes d'un pays dépendre en tout et pour tout de ce que décide de faire un autre pays.
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Réponse anonyme
Le 12/10/2010 é 03h32
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Bonjour, IL NE FAUT PAS LÂCHER L'AFFAIRE. abrar k,acheteur,iamehere... SVP On doit faire un effort, j'ai déjà 29 personnes(des gens que je connais) qui ont le même cas sur facebook "Diplômes Délocalisés Au Maroc" essayez SVP de faire paraeil. d'ici un mois Inch'Allah on aura 150 ou 200 personne et pourquoi plus Inch'Allah.ce nombre va nous permettre non seulement de créer une association, mais aussi de contacter 2M, Aljazeera ... Hit Radio ...etc et défendre notre droit. Salam
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Réponse de Ismael77
Le 15/10/2010 é 05h06
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Je suis touché par ce problème et je suis d'accord pour une association qui défend nos droits . j'ai envoyé une demande pour rejoindre le groupe sur facebook.
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Réponse anonyme
Le 16/10/2010 é 02h07
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Je rejoins votre cause j'ai mon diplôme délocalisé de Licence professionnelles en systèmes informatiques et logiciels de l'université de province Aix Marseille et la j'ai un souci a intégrer une école pour le master .... Si quelqu'un pourra m'aider pour en résoudre ca je serai reconnaissant .
Référence(s) :
my self
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Réponse de Ismael77
Le 16/10/2010 é 17h09
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Rejoins "diplomesdelocalisesmaroc" sur facebook Merci
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Réponse de taza01
Le 06/11/2010 é 12h41
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Bnj je suis touche par ce probl moi aussi je prepar un master en science education a l univ de rouen j insiste bien sur une creation d1 association et dici d1 moi
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