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Comment porter plainte a un hopital public?

Question anonyme le 17/11/2010 à 20h49
Dernière réponse le 18/10/2013 à 18h32
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Bonjour, Nous avons un directeur est un veritable felin un monstre qui sait nous harceler nous diviser mais dont on ne peut rien faire! Des lettres aupres de notre direction générale, des rapports à notre médecin du travail , et Rien ne se passe on dit : c'est un directeur on ne peut rien faire... Nous sommes un service qui souffre, tout le monde le sait et personne ne fait rien! Comment puis je faire? Quelles sont mes droits? je ne suis qu'un employé contractuel! Puis je porter plainte contre l'etablissement( hopital public) pour non assistance a personnes harcelées? Aidez nous je vous en prie!
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1 réponse pour « 
comment porter plainte a un hopital public?
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Réponse de Dimitri et
Le 18/10/2013 é 18h32
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Ma lettre à la Police. A l'hopital le directeur était le maire du lieu et cela se reflettait non seulement sur le personnel, mais aussi sur des malades. Et il y avait d'autres choses graves: Ils me sont arrivées des choses meurtrières chez vous à Taverny. J'ai des forces enfin d'en parler publiquement et me plaindre. Bon, en lisant mon histoire on peut se laver ses mains en se disant (comme l'avaient prévu mes tortionnaires) que je serait fou. Sinon deuxième hypothèse pour avoir la conscience tranquille et donner l'indulgence c'est se dire qu'il s'agit d'une erreur médicale par hasard dans un concours des circonstances. Mais je suis convaincu qu'il s'agit de crime contre moi à double fond. Et le vrai fondement c'est l'envie de meurtre "parfaite" maniaque et fasciste en jonglant par des faits et circonstances. À noter que le milieu des gens "comme il faut" sait historiquement produire les partisans du fascisme volontiers. Voici mon histoire: Je suis venu en France comme boursier du gouvernement francais, mais après ma bourse s'est terminée, mais je ne me dépêchais pas pour rentrer à Moscou - il y avait des guerres et des crises financières en Russie il y a déjà 10-20 ans quand cela se passait. Les conditions de ma vie en France sont devenues mauvaises et je suis tombé malade de pleurésie tuberculose. D'abord j'ai passé 40 jours dans la médecine générale à Pitié-Salpetriere ou on m'a bien suivi. En ce moment je n'avais plus d'argent et du logement - j'ai reçu une prise en charge et j'étais envoyé pour convalescence à l'Hôpital du Parc à Taverny en Val d'Oise. Alors à l'Hôpital du Parc les problèmes ont commencé. Il y avait un climat de médisance genre villageois-extrême droite parmi le personnel médical. Le directeur de l'Hôpital du Parc était aussi le maire de Taverny. Alors il y avait un fort conflit parmi le personnel - ceux qui habitaient à Taverny même prétendaient d'avoir les droits prioritaires et exclusives pour les places du travail. Ceci même était connu par des malades. Alors moi - un étranger solitaire qui mangeait et prenait le traitement sans payer - je suscitais la médisance qui s'accroissait avec le temps (j'ai passe 4 mois là-bas). Une infirmière vieillissante s'est proposée sexuellement à moi et elle s'est fâchée par mon refus. Elle croyais qu'un étranger sans argent serait content d'accepter une telle "tutelle". On peut dire que j'ai le sentiment qu'on voulait là-bas que je les paie par la perte de ma dignité humaine. J'allais souvent à la messe à l'Église de Taverny. Je crois que ce lien avec une communauté religieuse, ce lien visible de l'extérieur me protegeait un certain temps (je recevais des visites des moines etc). Mais un jour je parlais à l'Église de Taverny avec un prêtre polonais et il a essayait des attouchements homosexuels envers moi. J'étais scandalisé et j'ai essayé de dire à tout le monde cela (de plus ce prêtre travaillait beaucoup avec des petits enfants aux jardin d'enfants de Taverny). Et le caractère d'attouchement me faisait penser comme si il commence doucement de séduire un petit. Alors une vieille nonne qui faisait d'habitude des tours des malades à l'Hôpital du Parc - elle est couru se plaindre a l'Hôpital que je fais scandale dans l'Église. J'estime que cela a montré au personnel de cet Hôpital (et en particulier à ma pneumologue traitante Anny DARDOUR) que personne ne me soutient et ils ont les mains complètement libres par rapport à moi. D'autre part ils devaient se débarrasser de moi - selon les standards je devais poursuivre maintenant le traitement à la maison encore quelques mois - mais je n'avais pas de maison et c'était encore l'hiver. Alors ils me déclarent "fou délirant" pour m'envoyer chez des fous. Ils ont fait venir aussi une psychiatre qui en les écoutant a commencé de se moquer de moi devant eux comme sur un délirant religieux. Même avant de me parler elle dit que "mon (son) chef c'est le diable qui m'a fait venir de vous interroger". Et elle est revenue le jour suivant en disant qu'elle était une infirmière surveillante de cardiologie et une pratiquante religieuse. Et elle était visiblement fâchée quand je ne l'ai pas cru et elle a dit que je suis "dangereusement intelligent". Alors après cette visite j'ai dit au pneumologue Vincent POUJOL qui était de service ce jour que je ne veux pas prendre un médicament neuroleptique lequel ma pneumologue traitante Anny DARDOUR venait de me prescrire le jour précèdent. Et j'ai demandé les papiers médicales pour quitter l'hôpital et poursuivre à Paris le traitement antituberculeux en me débrouillant pour le logement moi-même sans l'assistante sociale de l'hôpital (avant je comptais, avec un accord précèdent avec Anny DARDOUR, de rester encore un mois là-bas pour que l'hiver soit terminée et j'attendais aussi de me sentir moins fatigué après un mois de plus des antibiotiques, mais Anny DARDOUR a annulé tout). Alors ce pneumologue de service Vincent POUJOL m'a répondu que si je parle comme ça - alors il va tout de suite m'envoyer chez des fous et il est parti commander une voiture pour cela. En Russie il y avait la psychiatrie répressive - et en France il y en a! Je me suis évade de l'Hôpital du Parc tout de suite avant qu'on m'envoie chez des fous. Et après j'avais peur de me readresser aux médecins en France en voyant que personne ne m'écoutera, mais au contraire pour des raisons administratives et corporatives on donnera suite aux verdicts de ces fascistes de Taverny. Alors je mourrais de tuberculose en dormant même par terre en hiver (avec la pleurésie et l'épanchement de liquide dans la plèvre) et après plusieurs mois sans accès au traitement (de facto) en France. La population des bacilles de tuberculose est atteinte entièrement par les antibiotiques en minimum de 6 mois. Mais j'étais traité que 5 mois - cela mène certainement vers l'invalidité ou la mort même par la tuberculose devenue multiresistante dans le cas du traitement inachevé (au départ selon l'antibiogramme de Pitié-Salpetrière j'avais la tuberculose multisensible et facilement guérissable en 6-9 mois). Et ils se rendaient bien compte qu'ils m'ont précipité dans la torture avec la mort ou invalidité! Ils pouvaient au moins essayer de me laisser un message chez un francais à Paris qui recevait le courrier et les appels pour moi (avant mon évasion ils lui ont téléphoné pourtant pour se renseigner sur moi). De plus mon père est mort de tuberculose à Moscou quelques années après mon retour en Russie - une année avant cela selon la radiographie ses poumons étaient sans traces de maladie. Je soupçonne qu'il s'est contaminé de moi quand je suis rentré tout malade de France (ou on m'a invité comme un des meilleurs élèves d'un établissement universitaire francorusse). Date de l'événement automne 1999 - hiver 2000 Le même récit rimé pour mieux attirer l'attention par vertu de democracie directe et montrer certains aspects de mon histoire: En chateau Goulag hexagonal Moi, j'étais boursier du gouvernement français, Un jeune homme comme Edmond Dantes, Dans ce pays plein de pedés et des collaborateurs volontiers, Par amertume j'ai marié la précarité (presque même avec une certaine amitié), Pire est la misère de l'amitié à la française "raffinée", Malheureusement la tuberculose finalement m'a touché, Je me retrouve alors à l'Hôpital du Parc de Taverny en Val d'Oise, mais... Qu'est-ce qu'ils m'ont fait!, D'abord la médisance mélangée avec envie des infirmières vieillissantes et obsédées, Je ne fais pas partie de votre harem, Madame, vous savez, Même que je n'étais qu'un pauvre étranger, Je ne vous paie pas par ma dignité en Christ Rachetée, Le personnel Lepenisé, lumpenisé eux-mêmes, sans la paix, La pneumologie, pourtant sur leur coeur le "Mein Kampf" est imprimé, cela se sait, Après les trois mois de convalescence passés c'était encore pas assez, Sur mon chemin est un jeune prêtre polonais, Qui en parlant en contraste avec de bienveillance, finalement essaie de m'attoucher, Lui qui travaillait tout le temps avec des petits enfants à la crèche juste à coté, Le caractère de ses mouvement même envers moi le trahissait: Un intérêt, l'aproche particulier vers des enfants malcomprenants, Cela se sent, vous comprenez, Je l'ai soupçonné et j'essayais d'en parler aux gens, La paroisse de Taverny, encore Sodome réincarné, Une vieille nonne s'est rapidement activée, On dirait c'est une mère des aliens, Celle qui visite des malades sans sincérité, Et vote toujours pour maréchal Petin, Elle court se plaindre aux médecins à l'Hôpital du Parc, toute acharnée, Disant comme quoi c'est moi, et pas lui évidemment, qui l'a scandalisé, choqué Par mon comportement indigné, Néanmoins comme le comportement de Suzanne biblique de ma part, je dirais, Mais les méchants au Parc par là ont réalisé Que je ne suis qu'une brebis sans un troupeau aucun à coté en mes journées françaises, Mon médecin traitant, une certaine Anny, me dit alors avec un grand dedans, en recevant le droit de me juger, Que je dois partir tout de suite en hiver sans abri, même me sentant encore pas bien, toute ma souffrance méprisée, Une grande bouche ouverte béante pour avaler, Et quand j'ai dit que c'est méchant (avant on s'est bien accordé ensemble différemment) elle s'est sournoisement emportée, Elle part précipitée pour me prescrire un neuroleptique et une consultation d'un psy, sans cause enragée, Actrice s'est armée des mécanismes administratives comme d'un scalpel de guillotine en main de sa mauvaise volonté, Probablement la récidive de collaborationnisme dans l'air s'est propagée, L'épidemie à la française, pire que la phtisie, dont on crève pour l'éternité, La psy arrive après et se présente comme une infirmière de cardiologie et une pratiquante catholique, c'est pas vrai, Et comme je ne me laisse pas faire par ses duperies - elle est complètement fâchée sans se cacher, Elle dit finalement exactement cela:"mais vous savez: mon chef Satan chez vous m'a envoyé!" - C'est pour à tout prix me déstabiliser - Et elle clignote à l'infirmière surveillante de pneumologie qui se retrouve en ce moment à son coté, Comme quoi c'est marrant pour les deux bonnes femmes la comédie pour sbires crachant, complètement affolées, Après elle est partie toute mécontente, Elle dit que je dois être "dangereusement intelligent" si je ne me suis pas fait, Et moi je vais chez le pneumologue de service en cette journée, un certain Vincent, Pour dire que le neuroleptique m'humiliant je dois cessé (presque sans commencer), Lui, bien malveillant même à mon arrivée avant, me répond que dans ce cas il part téléphoner Pour m'envoyer en psychiatrie (est-ce que je devais céder à prix de ma santé?!), Alors je m'évade sans attendre qu'on m'y jette en état terrorisé, Je reste en rupture de traitement nécessaire un certain temps, le vital danger, Même sans abri encore malade, j'ai la pleurésie avec épanchement, un prisonnier d'après la guerre froide cruellement torturé, En France sans famille comme un orphelin sur le glacial plancher, une personne injustement accusée, La peur de me readresser dans le système médical français sans argent comme une chaîne me cernait, Fascistes en droit de me corriger pour mon orthodoxe chrétienne mentalité en pleine sincérité, Sodome, les 120 journées, Le film où ils ont handicapé Ceux des orphelins qui ne se sont pas soumis à leur perversité, À vie, vous vous félicitez, le peuple français, de bizutage mortel d'un boursier, la francophone et hospitalière hospitalité, La rupture de traitement a fait la tuberculose de nonrésistante la résistante, la résistance trafiquée Par collaborateurs malignisés, La maladie comme bête sur l'arène ancienne de Collysée Qu'ils ont artificiellement dopé, Le cirque des galants français, Et quand en retrouvant le reste de mes forces je retourne en Russie mortellement blessé Probablement par ma tuberculose mon père s'est contaminé, Après il est mort par ce fait, Et les méchants maniaques même maintenant essayeraient de me malinterpreter, Ce qu'ils ont fait déjà quand de Moscou je les ai appelé, Même on dirait qu'ils se glorifient comme des "dog's hunters" volontiers et des superpoliciers, Des chasseurs aux têtes des indiens, les skinheads officialisés et surcivilisés Par son passeport français Qui dans ce cas même sans visa ouvre les frontières de l'enfer pour mafia en mal consolidée. Dédicace à Anny DARDOUR qui travaille maintenant comme pneumologue à l'Hôpital d'Aincourt (groupe hospitalière de Vexin) avec les meilleurs recommandations de l'Hôpital du Parc de Taverny je suppose, POUJOL Vincent qui était avant un simple pneumologue et maintenant est même devenu le chef de service de pneumologie en Hôpital du Parc de Taverny en Val d'Oise (il travaille aussi dans l'Hôpital privé de PARLY II Chesnay, Yvelines), et aussi le silencieux ancien chef de service pneumologie VETTERL François qui est devenu maintenant même le directeur adjoint de l'Hôpital du Parc de Taverny en Val d'Oise. Khokhlov Dmitri né le 13.10.1972
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