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Droits pour veuve d'un ancien combattant suite nouv.lois

Question anonyme le 30/11/2010 à 15h05
Dernière réponse le 10/09/2014 à 08h53
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Je suis une veuve algerienne d'un ancien combattant,au rangs de l'armée Française pendant la 2éme guerre mondiale (indochine) désir m'orientée exactement ou je pourrais avoir m'adresser ma demande de pension . Dans l'attente d'une reponse oriontatif. Comptons sur votre collaboration . Sallutations
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3 réponses pour « 
droits pour veuve d'un ancien combattant suite nouv.lois
 »
Réponse de 1118
Le 31/01/2011 é 11h05
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BIEN SUR Mme .VOUS DEVEZ CONTACTER LES SERVICES SPECIALISES AINSSI VOUS POUVEZ REJOINDRE LA MINISTERE DES MOUJAHIDINES MENANT DES DOCUMENTS NECESSAIRES CONCERNANTS VOTRE MARI ALLAH YRAHMOU ET MERCI.
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Réponse de hayet_houta
Le 29/08/2012 é 22h10
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Slt je suis la petit fille d'un ancien combatatnat boukheddimi mohamed depuis 1940 aucun signe de vie svp pouvez vous m'aider merci
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Réponse anonyme
Le 10/09/2014 é 08h53
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Rechercher un combattant de la Grande Guerre Vous souhaitez retracer l'itinéraire de votre aïeul combattant de la Grande Guerre ? Vous trouverez ici toutes les pistes de recherche possibles. Le recrutement : les registres du recensement militaire Conservés en série R, ces registres - communément appelés registres matricules - recensent tous les hommes d'une même classe d'âge. Une fiche signalétique fournit des informations familiales et physiques pour chaque individu mais aussi des renseignements complémentaires comme son niveau d'instruction. Elle détaille les affectations, les campagnes militaires, voire les conditions de décès du soldat. Pour consulter ces registres, il convient tout d'abord de connaître l'année de naissance de l'individu. Il suffit ensuite d'ajouter 20 ans pour connaître sa classe (par exemple : un homme né en 1896 appartient à la classe 1916) ; mais il faut surtout connaître son lieu de résidence à l'âge de ses vingt ans pour pouvoir identifier le bureau de recrutement dont dépendait sa commune. Il existait trois bureaux de recrutement dans l'Aisne : le bureau de Laon qui couvre l'arrondissement de Laon et dont le fonds est conservé sous la cote 20 R ; le bureau de Saint-Quentin qui couvre les arrondissements de Saint-Quentin et Vervins et dont le fonds est conservé sous la cote 21 R ; le bureau de Soissons qui couvre les arrondissements de Château-Thierry et Soissons et dont le fonds est conservé sous la cote 22 R. Les registres matricules sont librement communicables 50 ans à compter de leur date de clôture. Les informations à caractère médical sont toutefois occultées lors de la communication en salle de lecture. Si vous ne connaissez pas le lieu ou la date de recensement, vous devez consulter les tables alphabétiques par classe tenues par chaque bureau de recensement. Ces dernières seront mises en ligne en principe en 2010. Le parcours militaire de votre aïeul Le feuillet matricule détaille les affectations des militaires mobilisés. Pour connaître avec précision les lieux où a combattu votre aïeul, vous pouvez utilement consulter les journaux de marches et opérations de toutes les unités engagées au cours de la Première Guerre mondiale. Un partenariat entre la direction de la Mémoire, du Patrimoine et des Archives du ministère de la Défense et le Service historique de la Défense a permis la numérisation de ces journaux qui sont consultables en ligne : www.jmo.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr Votre aïeul est tombé au champ d'honneur Plusieurs sources sont exploitables pour retrouver des informations relatives aux militaires décédés en temps de guerre. Fichier national des morts pour la France Le fichier national créé par l'administration des anciens combattants après le conflit regroupe près de 1,3 millions de fiches des " morts pour la France ". Ce fichier s'avère très utile si vous ne disposez d'aucune information quant à votre aïeul : il fournit éléments d'état civil (date et lieu de naissance) ; lieu de recrutement et numéro matricule ; unités d'affectation ; ses grades ; dates, lieux et conditions du décès. Il permet en outre de connaître avec exactitude la date de transcription de l'acte de décès ou si votre aïeul a fait l'objet d'un jugement déclaratif de décès en précisant la date et la juridiction ayant rendu ce jugement, ce qui indique que son corps n'a pu être retrouvé. La recherche s'effectue grâce au patronyme :www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr Le mémorial virtuel du Chemin des Dames Ce site réalisé par le Conseil général de l'Aisne permet de rechercher un combattant mort sur le Chemin des Dames durant la Première Guerre mondiale. Sépultures de guerre Le ministère de la Défense permet également de rechercher les lieux d'inhumation des victimes du conflit, qu'elles soient enterrées dans les nécropoles nationales ou dans les carrés militaires communaux. La recherche s'effectue grâce au patronyme : www.sepulturesdeguerre.sga.defense.gouv.fr Par ailleurs, un projet élaboré dans le cadre de l'association FranceGenWeb, MémorialGenWeb, a entrepris de recenser les monuments aux morts et de relever les noms des soldats et victimes civiles, français et étrangers, tués ou disparus par faits de guerre, et " Morts pour la France " : www.memorial-genweb.org Les Archives départementales de l'Aisne conservent également de nombreux documents susceptibles de vous apporter de précieux renseignements : l'acte de décès du soldat est en règle générale transcrit sur les registres d'état civil de sa dernière commune de résidence Si le corps de votre aïeul n'a pu être trouvé, le jugement déclaratif de décès permet d'établir un acte d'état civil qui peut ensuite être porté sur les registres, parfois plusieurs années après la fin du conflit. les archives communales s'avèrent extrêmement précieuses. Les maires ont été confrontés à la mort : dès 1915, ils établissent pendant le conflit des plans de localisation des tombes isolées (mentionnant parfois les circonstances des décès), des listes des victimes militaires inhumées dans les carrés communaux ou, après la guerre, des listes des dépouilles exhumées pour être rapatriées par les familles. Ces documents, conservés au sein de la sous série 4 H (Mesures d'exception et faits de guerre) du cadre de classement des archives communales, peuvent ainsi vous permettre de localiser la sépulture de votre aïeul. Votre aïeul a été blessé Outre les informations portées sur le feuillet matricule, certaines pistes peuvent être explorées. Le Service des archives médicales et hospitalières des Armées (SAMHA) basé à Limoges conserve les archives médicales produites par les hôpitaux et formations sanitaires et militaires ayant fonctionné en France et dans les anciennes colonies. Le fonds conservé pour la Première Guerre mondiale des archives des postes de secours régimentaires aux hôpitaux de l’intérieur – en passant par les hôpitaux d’orientation et d’évacuation (HOE) -représente près de 6 kilomètres linéaires de documents. Pour effectuer une recherche, vous pouvez contacter directement ce service à l’adresse suivante : Service des archives médicales hospitalières des Armées 23 rue de Châteauroux -B.P.21105 - 87052 Limoges Cedex 2. Tél. : 05.55.12.12.40 ; télécopie : 05.55.12.12.57 ; Courriel : samha.ssa@fr.oleane.com. Votre aïeul a survécu au conflit Les cartes d'anciens combattants A la fin du conflit, les anciens combattants, regroupés dans de nombreuses associations, militent pour la revalorisation des pensions et la reconnaissance de la qualité de combattant. En juin 1927, l'Office du combattant est créé ; il est chargé de délivrer une carte à tous ceux qui ont passé au moins trois mois dans une unité combattante ou qui ont été blessés. Les Archives départementales de l'Aisne conservent 38 000 dossiers d'anciens combattants conservés sous les cotes 3 R 1 à 731. Ceux-ci contiennent le plus souvent un certificat provisoire, la « carte verte » d'ancien combattant et la carte définitive du combattant. Ils sont également susceptibles de contenir des demandes de renouvellement et des déclarations des états de service (certificat médical, bulletin individuel...). Un fichier alphabétique, conservé sous les cotes 3 R 737 à 748, permet de retrouver la cote du dossier. Les archives communales De nombreux combattants ont été blessés au cours du conflit. De multiples organismes sont créés afin de faciliter la réintégration des grands blessés dans la société civile ; d'autres versent des pensions d'invalidité. Les archives communales peuvent vous permettre de trouver trace de votre aïeul : la sous-série 4 H est susceptible de contenir des documents relatifs aux entreprises de rééducation ou de réadaptation à la vie professionnelle la sous-série 5 Q, consacrée à l'application des lois d'assistance et de prévoyance, contient généralement des dossiers consacrés au suivi des soins médicaux gratuits et des allocations aux victimes du conflit. Attention ! La composition des fonds communaux varie d'une commune à l'autre.
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