En août 2008, sortant d'invalidité, je m'inscrivis au chômage. Je perçus des droits. En juillet 2009, j'entreprends les démarches de liquidation de retraite, du fait, que l'on m'y içnvite, pour inaptitude à l'emploi. J'informe mon pôle emploi, qu'à compter du 1er août 2009, je serais en retraite. Juillet 2009: Je reçois avec stupeur, un appel téléphonique de mon pôle emploi. Du fait que je ne totalise que 120 trimestres, j'ai paraît-il, le droit de rester inscrit au chômage. J'insiste bien sur le fait, qu'au 1er août, je serais en retraite. La responsable qui me téléphona me dit: que je bénéficiais d'une loi Sarkosy, qui pouvait bien évidement changer. Aussitôt, un dossier m'est transmit. Je le remplis et je perçois les ASSEDIC. En avril 2010, je reçois une lettre, me demandant de tout rembourser. 5.900 e! Je me rends immédiatement à mon pôle emploi, rencontrer un responsable.Il me demande d'aller à ma caisse de retraite demander si je suis retraité à taux plein. Réponse de la CRAM: Oui! Taux plein 50%, soit: 450 euros par mois, pouir inaptitude à l'emploi. Je retourne au pôle emploi. Le responsable, consulte des textes et me dit: "Vous ne risquez plus rien et ne devez plus rien". Donc à compter du 6 avril, le pôle emploi, ne peut plus prétendre, qu'il ignorait que j'étais retraité. Je suis rétabli dans "MES DROITS" par écrits, le 13 avril 2010. Je change d'adresse. Bien évidement, mon dossier est transmit au pôle emploi de ma nouvelle adresse. Je reçois une lettre, me demandant de rembourser, 8.900 e. J'ai déposé plainte auprès du Ministère de l'emploi et au davant de Monsieur le Procureur de la République. Une erreur au 1 er août 2009, je veux bien! Deux erreurs? Des tas de problèmes sans aucune réponse ni solutions? Je refuse! Sachant que je partais en retraite, jamais je n'aurais demandé au pôle emploi, une prolongation, de mes droits! On m'a induit en erreur, je refuse d'en payer les conséquences.
En cas d'erreur probante du pôle emploi, la réaction se doit d'être mesurée en proportion des préjudices causés. De ce fait, pour stopper radicalement les abus administratifs de cet organisme, la solution est le dépôt de plainte massif au devant du T.G.I. Les conséquences de leurs actes irresponsables, génèrent un danger social et une dérive. De ce fait, cet organisme doit se voir sévèrement condamné, pour éviter des drames personnels, devenant collectifs. Les plaintes auprès du TGI, devraient se multiplier, pour faire réagir le Gouvernement. Ecrivain13
Référence(s) :
Se référer aux possibilités de contestations. Recours auprès du tribunal d'instance et selon le montant à rembourser, auprès du tribunal de grandes instances.