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Licenciement par discrimination

Question anonyme le 05/01/2009 à 19h09
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En guise de témoignage à la triste réalité du licenciement discriminatoire, je joins la lettre que j'adresse à mon persecuteur et ses acolytes. Le but étant pour moi de participer à lever le voile incidieux qui recouvre le visage de ce fléau en mettant en évidence l'une des formes sous lesquelles il peut apparaitre. Il est évidentque j'intente une action pour lutter mais je souhaiterais recevoir en retour conseils et appui. NB: L'emploi caricatural du terme chich kébab dans mon exposé vient du fait que mon persécuteur l'utilisait de manière répététive pour m'humilier. voici ce témoignage: ECONOMIE, ETHIQUE & MORALE Ou CHICH KEBAB PRODUITS DERIVES ET DERIVES HUMAINES M onsieur XXXXXXXXXX Je résume ma lettre du 4 Septembre 2008 en votre possession : « Vous m’avez licencié sans motif, six mois, jour pour jour après m’avoir débauché de mon ex employeur, faisant croire à une fin de période d’essai. De surcroit, vous-même et vos acolytes avec lesquels vous semblez partager une complicité certaine, avez usé de toutes les manœuvres possibles et imaginables pour le faire y compris avec le recours à la DISCRIMINATION." A défaut par vous de répondre en toute conscience et en Homme libre et responsable à ma lettre résumée ci-dessus et me donner, fusse entre nous, les raisons de mon éviction des effectifs de la Banque Populaire, vous m’autorisez à penser que vous l’avez peut être fait dans le cadre d’un « plan d’ensemble de rigueur » tendant à la réduction des coûts de fonctionnement à l’intérieur de votre périmètre d’intervention. Auquel cas me direz vous, responsabilité collective oblige, vous ne faites qu’obéir à une décision « de stratégie globale » tant elle s’inscrit dans le temps et engage la haute sphère de la Banque populaire dans la lutte contre ce qu’il est convenue d’appeler à présent « crise financière » Pourquoi pas, sachant cependant que d’autres, ayant certainement des choses de notoriété publique à se faire pardonner (affaire Kerviel), en ont décidé autrement. Référer vous à l’article Financial careers du 3/11/2008 que je vous ai envoyé, ou il est dit que la société générale a opté pour le maintien des effectifs malgré la réduction de 83% de son bénéfice net. Il faut croire qu’en matière financière, par les temps qui courent, et la crédibilité dont jouit le secteur, les mêmes causes ne produisent pas les mêmes effets bien qu’ils se réalisent dans les mêmes conditions. (Allez voir si tout cela n’est pas du chich kebab direz vous) La finance dite moderne dont vous semblez être, le peu que je connaisse de vous, un « sous produit dérivé » s’ingénie à la création d’innombrables euphémismes rivalisant de douceur et d’ironie du style : réduire la voilure, restructuration, compression des effectifs, dégression etc, pour finalement légitimer des décisions de gestions frauduleuses, immorales voire criminelles aux effets catastrophiques mais dont les causes demeurent inavouées pour le commun des mortels. Je m’autorise en tant que victime de tels procédés à demander à votre imminence de m’en donner quelques unes parmi ces causes qui font qu’aujourd’hui l’industrie (Economie réelle) est affectée après que la bourse et la banque aient merdoyé et continuent de merdoyer. (Permettez-moi cette terminologie, c’est du français argotique). Si je vous le demande, c’est pour vous amener à appréhender les causes véritables de cette tragédie, en votre âme et conscience, en cette date hautement symbolique de déclaration universelle des droits de l’homme sans même attendre un quelconque jugement d’où qu’il vienne mis à part celui que votre conscience vous impose, et vous contraindre à mesurer par vous-même l’injustice et la gravité de votre acte ignoble et les scénarios qui l’entourent. "À propos du terme merdoyer, je vous fais un aveu sincère, je suis amoureux de la langue française et s’il fallait une preuve, elle vous est offerte par le plaisir que je prends à vous écrire. Je trouve que la langue française, moi qui en utilise 5 dont 3 couramment sans fausse modestie (Français, Arabe, Berbère, Espagnole et Anglais) rend compte sans hypocrisie ni discrimination de toutes les situations dès lors que « ce qui se conçoit bien s’annonce clairement et les mots pour le dire viennent aisément ». Elle s’est enrichie à travers les âges en adoptant des termes venus d’ailleurs comme elle a contribuer à l’enrichissement d’autres langues. Le but étant de communiquer et rendre compte de la réalité. C’est une langue tolérante qui incite ses utilisateurs à la tolérance. Pensez-y et devenez tolérant en acceptant autrui ! N’oubliez pas qu’un mono culturel est par définition plus pauvre qu’un individu possédant plusieurs cultures !" Ceci dit, et vous saisissez, je vous le demande, le sens profond de cette parenthèse, je reviens à notre sujet, pour vous vous livrer, humblement, comme piste de réflexion mon opinion et ma vision à moi du remue ménage auquel nous assistons. Je le fais d’un point de vue purement conceptuel et caricatural (pour ne pas trop me prendre au sérieux) car sur le pan technique, il y a tellement d’explications à la crise, que chacun peut s’en approprier une au risque de prendre les effets pour des causes et inversement. La pensée économique, à travers certains auteurs, ainsi que des livres saints, nous enseignent que seul le travail humain est créateur de richesse. « Tu gagneras ton pain à la sueur de ton front ». C’est le travail humain qui génère la valeur sous ses différentes formes. Autour de nous se trouvent des biens qui font notre richesse matérielle (des marchandises ou services marchands) qui ne sont autre que « du travail humain cristallisé » nous explique un grand penseur. La valeur de ces marchandises nous rappelle-il est le temps de travail qu’il faut pour les produire (temps socialement nécessaire). Cependant, le travail humain (force de travail) créateur de valeur, est lui même une marchandise au même titre que n’importe quelle marchandise (chich kebab), il s’achète et se vend sur le marché. Seulement, la force de travail est une marchandise qui a la faculté de créer plus de valeur qu’elle ne reçoit en contre partie de celle qu’elle crée. Le profit vient de là, il est une nécessité à la croissance (reproduction élargie) et au développement de la société humaine. C’est le partage du profit qui interpelle et non sa réalisation. Ce n’est pas un discourt de syndicaliste que je vous tiens mais une réalité historique indéniable. Voici exposé de manière très sommaire au risque d’être même un peu réductrice, le postulat auquel je demande votre adhésion, un peu comme vous avez adhérez au postulat d’Euclide en géométrie plane qui démontre par l’absurde que si 2 droites parallèles venaient à se rencontrer alors elles ne seraient pas parallèles. J’espère que vous me suivez jusqu’ici si non appelez M XXXXXXX et Mme XXXXX en bonne complice pour vous venir en aide. Si vous adhérez, et il est difficile de ne pas le faire, vous conviendrez dans ce cas qu’il n’est pas possible d’anticiper la création de valeur. Une marchandise existe ou n’existe pas au temps T° par le temps qu’on y a dépensé pour la créer. Autrement dit, elle n’existe que pace qu’on y a passé du temps pour la produire. C’est ce que je vous disais sur ma lettre du 4 septembre. Je vous en rappelle les termes : « Sans vouloir vous faire un cours, ni inverser les rôles, (vous avez 50 ans, j’en ai 28) Sachant ce qu’implique chacun des concepts ci-dessus : (Prospection, Service, Fidélisation), en terme de temps et de la stratégie à mettre en œuvre pour y aboutir, je vous demande de réfléchir selon la bonne et vieille formule du retour sur investissement puisque cette schématisation a au moins le mérite d’être impartiale. Autrement dit, puisque l’investissement c’est le temps que je passe à prospecter, servir et fidéliser le client et non mon salaire comme vous vous plaisez à me le rappeler, quelle quantité de ce précieux produit en faudrait-il pour que mon action se traduise par une contribution optimale au résultat de notre centre de profit ...................? » Ne pouvant anticiper la création de valeur, vous ne doutez pas une seconde, qu’il n’est même pas autorisé de penser à l’utiliser de manière anticipée. On ne vend pas la peau de l’ours avant de l’avoir tué. " Pour caricaturer, Imaginez, j’insiste sur ce terme , que pour vous restaurer, vous preniez un chich kebab avant même qu’il n’ait été produit et que de ce fait vous calmiez votre faim. Est-ce possible ? Bravo vous avez du répondre « évidemment que non c’est du bon sens ! » En cela vous avez l’esprit mathématique. J’espère que vous continuez à suivre, même si à bon escient, je caricature pour vous donner la nausée un peu comme le fait Sartre dans son livre la nausée» (je ne me compare pas !) Eh bien, des financiers « mafieux, joueurs de casino » ont réussi à le faire. Comme pour venir étayer mon argumentation, par ironie du sort, au moment où je suis en train de développer mon opinion , un flash d’information télévisé vient de dévoiler l’affaire MADOFF pour un scandale de 50.000.000.000 de Dollars ou Natixis et d’autres y laissent des plumes. Qu’importe me direz vous, il n’ y a qu’à licencier pour se rattraper ! Permettez moi de prendre un raccourci et vous éviter un développement et des démonstrations faciles à comprendre pour qui en possède la culture financière comme vous, en disant que ces escrocs là, ont fait croire à de la création de valeurs (simuler la création de valeur) à travers des outils et des concepts juridiques malicieusement élaborés, puis ils ont placé (réaliser ou vendre) ces chimères pour engranger des plus value (profits) faramineuses. Comme ils savent que la réalité les rattrapera, ils ont refilé à d’autres le risque et les désastres provoqués par leur haute voltige. Vous devez certainement en connaître les mécanismes en tant que financier chevronné, c’est pourquoi je vous laisse le soin de vous documenter sur les innombrables méthodes et instrument de spéculations financières. Néanmoins, je vous en cite quelques uns pour la compréhension de ce qui va suivre : par exemple les « produits dérivés » basés sur le cours des actions, le marché des changes, les taux d'intérêt, le différentiel entre deux prix, on parle même « de produits dérivés de produits dérivés » ou bien « la titrisation » surtout quand elle ne porte que sur le transfert de risque à l’exception des créances elles mêmes. A ce niveau, puisque vous me permettez (entre financiers que nous sommes) le raccourci au niveau de l’argumentation, je vais abuser de votre bonté pour m’autoriser à faire simple, et emprunter un nouveau raccourci pour aboutir cette fois ci à une observation tout à fait fondamentale à mon avis. Par la même, j’entends préciser le sens de l’un des messages que je vous ai adressé par courriel le 23/10/2008 à travers lequel je blâmais non pas le métier de banquier, qui je le rappelle est respectable comme tout métier, mais la façon de l’exercer et de le concevoir. Je vous en rappelle les termes : « En regardant l'actualité chaque jour, je ne peux m'empêcher de deviner les raisons véritables de votre décision et quelque part de réfléchir aux causes profondes du remue ménage qui secoue le monde. Sans aucune prétention de ma part qui viens à peine de faire mes premiers pas dans le monde de la finance en votre compagnie et sans vouloir me comparer à vous qui excellez dans ce domaine, je voudrais, si vous me le permettez, vous faire relire ma lettre du 4-09-2008, ou, sans le faire exprès et naïvement, j'ai évoqué les raisons de ce remue ménage. Sachez Cher monsieur que vous y contribuez bien activement, non pas parce que vous êtes banquier qui reste un métier respectable, mais parce que vous ne savez pas ce qu'est ce métier. » Voici mon observation : Le banquier est celui qui est en quête d’emplois à des ressources dont il dispose. Il ne crée pas d’emplois à des ressources dont il ne dispose pas. C’est l’économie réelle qui crée des emplois, dans le sens d’affectation de ressources que peut lui procurer la banque, la bourse ou le simple épargnant Autrement dit, le banquier honnête est celui qui fait de son métier celui d’utiliser des ressources réelles, c'est-à-dire de valeurs dont il dispose au niveau de ses fonds propres et des dépôts qui lui sont confiés, à des emplois réels c'est-à-dire de valeurs effectives dont l’existence est avérée et non soumises à des aléas dont on n’évalue pas raisonnablement le risque. On ne crée pas le risque, on ne le vend pas non plus, on essaie de le gérer. Tout comme la banque ne crée pas de valeurs même si elle est amenée à créer de la monnaie. Elle ne fait que réaffecter la valeur créée par l’économie réelle vers cette même économie réelle. (Je nuance en précisant que la banque crée de la valeur pour les services réels qu’elle rend à ses clients : ouverture et tenue de compte, accréditif, financement de projet ou du BFE etc ….) J’espère que vous comprenez que mon propos n’est pas de récuser des concepts tels que : risque, crédit, création de monnaie ou titres, en tant qu’instruments financiers mais de critiquer l’usage qui en est fait parce qu’il conduit à des dérives incontrôlées. Je suis sur que vous êtes d’accord avec moi pour dire que ni la monnaie ni un titre ne constituent en soit une valeur. Ce sont seulement des instruments de mesure et d’échange de valeurs et à vouloir en faire des valeurs et les substituer à la force de travail revient à les dénaturer et donc à tromper, spéculer, mentir, voler, trahir, licencier comme vous venez de le faire. Je continue sur mon raccourci, pour vous dire qu’à partir de ces dérives, (simulation de création de valeurs entrainant des emplois fictifs), le pas est franchi et voila que l’on parle d’actifs toxiques que certains proposent de racheter en guise de sauvetage du système bancaire. C’est la toute dernière invention en matière d’euphémismes financiers pour encore une fois justifier des spéculations et des risques créés de manière inconsidérée. En fait il n’ya pas d’actifs toxiques, ou des dépréciations de valeurs, la vérité est qu’il n’y a pas de valeur du tout et donc pas d’actif du tout. On est tout simplement face à un déphasage entre un monde virtuel apparaissant à travers de beaux bilans habillés comme de jolies mariées bien présentés, bien fardés, de surcroit bien notés et approuvés par des commissaires aux comptes et des agences de notation qui n’ont rien vu ni dans le bilan lui-même ni encore moins dans le hors bilan par faute d’inventaire physique. (Inventaire physique signifiant existence réelle des valeurs enregistrées à l’actif et non seulement l’existence des supports bidons qui pourraient l’attester) Encore un dernier raccourci et voilà que la réalité (la dimension temps) se fait jour, les beaux actifs de bilans s’avèrent des poupées gonflables qu’il faut déprécier, provisionner, et bien évidemment traduire en perte les faux profits distribués ou en attente de l’être au niveau des faux fonds propres et situations nette. En fait il ne s’agit pas de pertes au sens de destruction de valeurs, mais d’un réajustement par élimination de valeur fictive comptabilisées à l’actif. Dans le même temps, il ne faut surtout pas décevoir l’actionnaire, alors on tente de lui faire croire que générer du bénéfice est une simple formalité. Alors on cesse d’être banquier pour devenir bourreau : ON LICENCIE, DESTABILISE, DISCRIMINE et HUMILIE Là encore, je ne réfute pas le licenciement comme thérapie à des situations ou tout autre remède serait inopérant particulièrement en économie réelle ou le risque a une signification noble mais pour autant ..... ( je vous laisse continuez) Pour terminer, je vous donne, en guise d’élargissement du débat et de manière sommaire quelques concepts d’une pratique bancaire venue d’ailleurs la banque islamique qui s’implante de plus en plus dans les pays européens y compris en grande Bretagne. Je ne le fais pas par conviction religieuse, loin s’en faut, mais pour vous dire que la diversité culturelle existe partout y compris dans le monde de la finance et que, encore une fois, la diversité est source de richesse. La France a gagné des batailles et la coupe du monde un peu grâce à la diversité. Voici quelques principes du Système Financier Islamique(SFI) qui se résument dans le rejet de la spéculation financière immorale: 1) L’argent n’est pas une valeur en soit 2) (Erriba) L’intérêt est interdit à fortiori l’usure. L’argent ne génère pas de l’argent. Un peu comme la vache ne peut bouffer de la vache. Elle devient folle. L’affaire Madoff qui vient enrichir le palmarès des stupidités financières en est une bonne illustration. Il promettait parait-il des taux d’intérêts (à ne pas confondre avec taux de rendement) à ses « clients » de 12% 3) La valeur travail est le fondement de la richesse, la thésaurisation interdite et l’investissement recommandé. Le partage des pertes, des risques tout comme des bénéfices est donc privilégié. La valeur du travail se trouve ainsi rehaussée. L'épargne thésaurisée étant interdite, l’investissement de l’argent est quasiment obligatoire. Ainsi, il est assez difficile d'établir une comparaison entre le système classique bancaire et le système islamique, les fondamentaux étant différents. Exemples : 4) El moucharaka La banque réalise des profits et des pertes qu’elle répartit avec ses clients un peu comme une mutuelle. La banque accepte de rentrer dans les capitaux propres et dans le fond de roulement nécessaires à la marche de l’entreprise ou du projet. L’intermédiation financière est autorisée 5) EL Moudaraba est un mode de financement ou la banque apporte l’intégralité de l’investissement qu’elle perd en cas de non aboutissement. La perte du responsable du projet se limite à son travail 6) Ijar est une forme de leasing : la banque facture de la location et non de l’intérêt 7) Halal la banque n’intervient que dans les projets ou il n’ya pas de conte indication religieuse et moral. Par exemple la banque n’intervient pas dans le financement des maisons de passe, de jeux du hasard, de débit de boissons alcoolisées etc.…. (Je le cite au passage et encore une fois sans aucune conviction religieuse) 8) El Mourabaha. Pour les financements à court terme, le Système Financier Islamique propose généralement que la banque s’engage à fournir des biens selon un contrat de gré à gré prévoyant la revente au client avec une marge bénéficiaire fixée d’avance. Ce qui évite au client de souscrire un emprunt avec intérêts, comme dans une banque classique. Ce mode de financement est de loin le plus pratiqué dans les banques islamiques déjà existantes à travers le monde. 9) le Baïmouwajal est un système de financement de projet où la banque permet un paiement différé. Les frais de ce crédit sont aussi fixés d’avance. Sorte de crédit in fine, sans paiement des intérêts, la banque autorise en fait un paiement différé, et les frais sont aussi définis au départ. 10) Pour compléter, je vous renvoie enfin à lire Muhammad Yunus « dit banquier des pauvres » (à la fois prix Nobel de la paix et de l’économie). Vous verrez, à condition de vous débarrasser de vos préjugés, qu’il y a des choses passionnantes à découvrir pour un mono culturel que vous êtes. Vous vous rendrez compte que le centre du monde n’est certainement pas là ou vous l’imaginez. Voilà une opinion ou un point de vue que je vous invite M. ......... à débattre publiquement si vous en avez le courage. Invitez-moi à la Banque Populaire en ancien collaborateur accompagné d’une personne qui s’est associée à ma profonde douleur en cette circonstance, en sa qualité d’ancien cadre financier ayant exercé au service de très grandes multinationales françaises et étrangères sur un espace géographique très vaste et actuellement en retraite. Venez aussi nombreux que vous le souhaitez avec évidemment Mme XXXX et M. XXXXX et le représentant du personnel que vous avez dissuadé de me venir en aide durant les horribles moments de mon éviction dXXXXXX. Je terminerai en vous disant que votre décision de me débaucher pour me virer après m’avoir humilié et discriminé, alors que je débute dans ma carrière, en même temps qu’elle assombri mon espérance et terni ma vision d’une certaine espèce humaine, me donne néanmoins une bonne raison de vivre. J’en fais part à M. Le PDG de la Banque Populaire an sa qualité d’autorité devant émettre un avis officiel Copie : 1.Le personnel de l’agence ………. en témoignage de sympathie et reconnaissance au soutien moral qu’il m’a apporté durant les durs moments de mon éviction 2.Le comité d’entreprise de la BP et Natixis pour éveiller les consciences sur la dure et pernicieuse réalité de la discrimination 3.La CGT Bobigny 4.La HALDE pour que triomphent les valeurs morales 5.Madame …………. (lutte contre la discrimination) 6.Maitre ………pour que triomphe la justice des hommes
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