Séparation union libre avec enfants

Il me semble que vous n'apportez pas tous les éléments de la situation. Un couple ne se sépare pas comme ça au bout de 20 ans. De plus, si cette femme était aussi insupportable que ça, l'assistante sociale aurait carrément retiré les enfants (qui ont des repas chaux et pas de distance géographique à parcourir chaque jour) à ce couple. Quand au crédits à la consommation peut-être servait-il à faire manger toute la famille. Peut-être était-il fort pénible à cette femme de demander de l'argent à votre fils qui manifestement ne savait pas gérer un budget... Je suis placée pour le savoir parce que cette femme c'est moi. Les ages sont criant de vérité le reste beaucoup moins. Mais ça ne peut pas être une coïncidence, c'est impossible. J'ai nourri votre fils, payé ses factures, gobé ses âneries pour ne pas faire de vagues. Par contre quand il a commencé à bien me battre, quand les crédits à la consommation ont fermés leurs vannes, j'ai commencé à réclamer des comptes. Sur papier. Vous avez confié vos enfants à une autre femme (complètement névrosée par son inceste que prés de 40 ans elle n'a pas résolu)et on voit le résultat maintenant. Je suis allée supplié votre fils sur son lieu de travail (il n'avait pas d'adresse connue) pour faire manger nos enfants et rien d'autre. Votre fils a bu notre argent disponible, humilié toute notre famille sans parler du fait qu'il s'est défilé devant le mariage. Dois-je vraiment parler de la pornographie ? Il reste à savoir si notre avenir n'aurait pas été différent si vous étiez occupé de vos enfants au lieu de vivre votre vie (1 membre de votre famille par continent) comme l'on dit, nous le saurons jamais. Ah, j'ai failli oublié, il me promettait le mariage si je ne travaillais pas...Quand à la maison, j'ai payé seule l'apport et 4 ans de mensualités avec mon argent personnel pendant que votre fils ne s'occupait pas de nos enfants, pas de la maison et de rien qui ne le concernait pas directement.. N'oublions pas qu'il m'a dit le jour de mes 40 ans (où il m'a quitté) : maintenant que tu es vieille et moche, et avec tes gosses, jamais tu ne referas ta vie". Je ne prendrai jamais ce risque. Votre fils s'acquittera de ses obligations financières, j'y veillerai. Il était inutile de me mentir et de faire amie-amie avec moi pour me soutirer des renseignements jusqu'à ce jour. Le plus important : nos enfants ne veulent pas voir votre fils. Ils savent très bien qu'il n'en a rien faire d'eux : même pas une carte pour Noël. Quand à votre fils de 44 ans maintenant, laissez le assumer ses choix, c'est comme ça que l'on grandit et que l'on quitte un comportement infantile pour devenir adulte. A son age, il est temps ! Pensez au mal que vous avez fait à nos enfants en mentant...à eux aussi. Salutations

Pardonnez-moi, j'ai totalement oublié : l'assistante sociale n'a jamais rien dit pour mettre nos ainés en internat. Loin de là. 60 km à parcourir pour l'un et beaucoup moins pour l'autre mais ne nous cachons pas que c'est son année de bac. Donc pas droit à l'erreur. De plus l'assistante sociale ( intervenue à ma demande express) a longuement attendu votre fils quand notre ainée a fait une micro-fugue(100 m) tant elle en avait assez de me voir frapper sans que je réagisse. Il n'est jamais venu. J'ai encore oublié, il me doit 10 000 €, ce qui ne l'a pas empêché de nous laisser avoir faim alors que lui, travaillant dans le bâtiment, a quelques activités non déclarées et est largement soutenu financièrement dans sa lâcheté par votre famille très aisée. J'ai demandé des explications à notre fille ainée concernant les "conseils" qu'elle aurait donné à son père...Elle lui a dit, cet été, de dessouler avant de revenir à la maison. Rien d'autre. Mais bien sûr, elle est libre de penser que nous sommes plus heureux sans lui mais n'a aucun pouvoir de décision. Votre fils était sensé être l'adulte entre elle et lui... Et par expérience, je sais qu'il ne comprends que ce qu'il veut bien comprendre...Transmettez-lui toutes mes félicitations pour se faire payer un gros avocat de la belle ville où il s'est enfuit avec le quart de nos ressources annuelles, par votre famille...Quelle classe ! On voit tout de suite pourquoi il est dans cet état. Soyez tranquille, peu d'avocats dans ma région veulent travailler avec l'aide juridictionnelle mais si il y en a un seul de compètent, je le trouverai. Que de médisances pour tenter de faire passer la lâcheté d'un seul homme. Il vrai que s'il avait eu le courage de plus approcher de l'alcool, nous aurions continués à être assez heureux. Pensez-vous sincèrement que nos enfants auront encore envie d'aller voir la famille de leur père ? J'ai d'affreux doutes mais ce sera avant tout leur droit. Très très fort votre capacité de duplicité pendant plus de 6 mois. Mais n'imaginez pas un seul instant que je vous aie donné l'essentiel de mes éléments de défense, mais beaucoup trop, ça c'est sûr, j'avais confiance en vous. N'oublions pas que votre fils a su accepter un arrangement amiable très profitable pour lui mais en refuser un autre qui lui était beaucoup moins profitable mais qui aurait ménagé nos enfants. Dernière chose : il a donné en moyenne 270 € mensuel alors qu'il en gagne hors black : 2300 nets. Quand au crédit, vous me faites rire : il est atrocement dépensier, il s'est d'ailleurs excusé par lettre de l'être. Il ne faut pas croire toutes les choses souvent imbéciles que raconte un homme qui est en faute... Énorme faute : parti du jour au lendemain... En période d'examens des enfants ! ...Et dire qu'il a lu Raymond Abellio....Un bonheur la belle-famille surtout quand on n' a plus... Mon caractère que vous baptisez d'agressif s'est surtout matérialisé par un pulsion de vie normale. Parce que face à un pervers narcissique on a en fait deux choix : se suicider (il a failli arriver à ce que je le fasse, il ne manquait plus grand chose) ou résister (ça nécessite un petit peu de force de caractère). Mes regrets seront d'avoir été beaucoup trop patiente et optimiste avec un homme qui n'en valait pas vraiment la peine. Quand à la maison, elle vient d être évaluée encore et toujours bien en dessous de son prix d'achat : tout est commencé (pas toujours bien) rien n'est fini...ça a un prix ! Avant de croire n'importe quoi, pensez à nos enfants. Ils sont l'avenir. Vous avez été totalement absente de nos vies pendant 20 ans, et c'est tout ce que vous trouvez à faire !

Ultime chose. Notre situation ne regarde rien ni personne à part nous 5 et la Justice. Les familles font des ravages dans les couples en détresse. Cette situation est difficile pour tous et surtout pour nos enfants qui souffrent beaucoup. En aucune façon, et de quelques façons que ce soit, un AUTRE tiers ne doit mettre son nez dans nos affaires. Auriez vous accepté cela dans la même situation que nous ? Votre fille aurait-elle accepté mon ingérence dans sa vie ? Votre sœur aurait-elle accepté que je lui dise ce qu'elle devait faire ? Votre oncle, alors, accepterait -il que je lui explique comment vivre sa vie ? Votre famille m'a été parfaitement hostile dés la première seconde de présentation, il y a 22 ans. Je n'étais qu'une gamine très timide de 18 ans dont la mère se mourrait et pas une rivale en puissance. Jamais je n'ai rencontré ça ailleurs avec d'autres personnes et jamais dans la belle famille des mes amis où la politesse et le bénéfice d'un accueil très cordial a toujours été de mise. Jamais je ne ferais ce genre de chose aux compagne et compagnons de mes enfants. Que je les apprécie ou pas. La première chose que dûe aux gens qui m'entourent c'est le respect de leur choix et de ne pas leur compliquer de force la vie, avec ce que je ferais à leur place, je n'y suis pas. Vous (au sens familial) avez choisi de ne pas respecter ce membre de votre famille en vous ingérant dans sa vie, surtout et avant tout celles de nos enfants, et la mienne. Après avoir questionné notre fille avant hier, j'ai appris que votre fils avait dit aux gendarmes qu'il voulait rentrer à la maison en octobre dernier, ce que je ne savais pas. Cela ne regardait que nous deux et personne d'autre. Nos enfants ont le pouvoir d'expression aussi fort et aussi souvent qu'ils en ont le besoin mais pas le pouvoir de décision. Et dire que vous avez osé m'assurer que vous espériez une réconciliation.... Combien de fois...au moins une fois tous les soirs depuis des mois !!! La manipulation a ses limites celle du respect dû aux autres. Si votre fils est dans l'incapacité de gérer ses affaires seul comme tout adulte équilibré, il lui appartient de devenir un adulte protégé administrativement afin de gérer au mieux l'avenir de nos enfants. Sinon faites passer aux autres membres de votre famille que respecter un minimum d'intimité de nos enfants qui sont aussi de votre famille n'est pas une option facultative. Mais conditionnera vos relations ultérieures avec eux, qu'ils décideront par eux mêmes. Il serait sage de penser qu'ils pensent seuls depuis un bon moment. Quand à la chasse aux sorcières qui est exercée sur moi, quel est son intérêt à part m'agacer sérieusement et aggraver les choses ? Une fois pour toutes, là aussi, je ne suis en aucune façon responsable de l'alcoolisme de votre fils. Il a choisi de boire bien avant moi et de continuer encore. Et ce n'est pas moi qui lui ai mis son premier verre d'alcool dans les mains... Je vous suggère à tous de laver votre linge sale en famille avant de penser que je suis cause de tous vos problèmes. Et quelques soient mes tords, prétendus ou pas, ma place est propre : j'ai continué d'assumer mes responsabilités envers nos enfants, dans de très mauvaises conditions. Sans faire passer le dessous de ma ceinture avant eux ou vivre à 60 km d'eux. Il m'est venu une étrange question : quand notre fille est décédée, où était votre famille au moins le jour des obsèques ? En week-end (vous comprenez on ne peut pas annuler, c'est prévu comme ça...) ou alors le jour du baptême de notre dernière fille (prévu longtemps à l'avance) en vacances.... Votre fils en rougissait de honte : ma famille s'est toujours donné la peine d'être présente à nos évènements familiaux. Votre fils a semé la zizanie parmi les membres de ma famille...maintenant, je comprends comment il a pu orchestrer ça de main de maitre. Sans la moindre hésitation. Jamais plus un quelconque membre de votre famille ne me manipulera. Jamais. Il est de mon devoir de tout faire pour que chacun de nous 4 reprenne sa vie en main. Votre fils a choisi délibérément de s'exclure de nos vies radicalement. Je veillerai à ce qu'il assume ses choix en totalité. Il lui appartiens de savoir s'il veux les assumer avec honneur ou dans la honte et l'opprobre. Il n'est pas au dessus de lois. L'argent ne permet pas tout. Il n'achète pas l'honneur, ni l'amour profond. Votre fils m'a dit il y a environ 18 mois : "pourquoi veut tu que l'on aille dans ma famille ? C'est du temps et de l'argent du gas-oil perdus..." Et ça je peux le jurer sur la tête de nos enfants. Et pour vraiment en finir : quand on se targue de conseiller quelqu'un, surtout à son fils de ne pas assumer ses responsabilités, on entend les deux sons de cloches des deux paroisses avant de décider quoique ce soit. C'est le principe même de toute décision équilibrée. Bien que vous m'ayez certifié par mail que vous regrettiez cette question dans ces termes... Vous ne saviez pas, vous m'avez dit... Le couple n'est pas une denrée de consommation périssable : il traverse des orages, des cyclones, des inondations mais comme il est vivant, toujours en évolution, il a la capacité de se régénérer. A condition que personne d'étranger ne vienne décider de la façon de le faire. Surtout en promettant un plan hors-sec largement sponsorisé en cas d'obéissance...."Surtout ne te remets pas avec cette fille et on te paie ce que tu veux .... Mais on n'a pas suffisamment confiance en toi pour te prêter une somme conséquente pour te mettre en règle avec la justice...." . Je voudrais vous dire que je serais curieuse de savoir ce que cela donnera avec le temps...Mais je m'en fiche, en fait; et totalement. Qu'aucun de vous ne cherche à utiliser nos enfants car il me trouvera sur son chemin. Quand à nos enfants, je ne suis pas sûre qu'ils aient envie de me juger, ils ont su qui a été là dans les difficultés épouvantables que nous avons traversées et qui ne l'était pas. Ils pensent seuls. Et la petite dernière n'aura pas toujours 6 ans...Elle aussi commence à penser seule.Je les élève comme ça. D'ailleurs bien d'après votre famille. Je ferai ce qu'il faut faire dans l'intérêt de nos enfants et rien d'autre. Il est possible finalement qu'il y aie une jolie vie après votre fils. Qui sait, "qui vivra, verra..". Cependant, je suis fort flattée que vous deviez vous mettre à plusieurs pour tenter de nous vaincre...Que votre fils pense que je suis en relation directe avec Dieu puisque je suis toujours, d'après lui la cause de ses problèmes domestiques(!!!). Pourtant en prenant en charge mes responsabilités, imaginez un seul instant que votre fils n'aie eu besoin que d'un coup de pied aux fesses pour passer le cap du mariage... Lui même serait-il parfait ? Sans aucun tord ? Ayant tout fait pour plaire à votre famille, je suis heureuse d'avoir échoué...Paradoxal ? Non, je peux transmettre la tête haute à nos enfants les valeurs de la vie. Il assumera, j'y veillerai. Et maintenant, je ne crois pas du tout que je proposerai quoique ce soit qui soit en sa faveur uniquemen Je préfère ma place à la votre (sens familial) en général.... Et au fait, on ne reste pas 22 ans ensemble sans une bonne raison : l'amour.... J'ai beaucoup aimé votre fils mais ça ne lui donnait pas le droit d'affamer nos enfants ou de me taper dessus en toute impunité. Il devait s'attendre à une(ou des, à chaque fois) réaction (s) à la mesure de ses actes... Beaucoup de gens autour de nous sont définitivement sortis de leur aveuglement envers lui. L'une de mes très chères amies, s'est sentie obligée, spontanément, de s'excuser auprès de moi de m'avoir présenté votre fils. Mon cœur s'est serré pour elle. Mais plus pour votre fils, mon aveuglement personnel est terminé.

Avec le recul, j'ose esperer que vous vous etes rendue compte de la perversion de votre petit jeu (commun avec votre fils) qui consistait à rentrer dans mes bonnes graces pour m'influencer, me faire croire que je ne valais rien et que les enfants devaient se contenter des miettes que leur père consentirait peut-etre à leur lancer, etc. Que vous aussi ayez tenté de me faire passer pour folle me révulse. C'est un petit jeu qui aurait pû se terminer trés mal pour les enfants et moi. Si je m'étais suicidée puisque j'ai cessé de servir à votre fils (trop vieille d'aprés lui), qui se serait occupé des enfants ? Lui ? Vous ? La seule chose qui vous pré-occupe vraiment est votre générateur qui fatigue et que votre soeur pourrait vous remplacer immédiatement si elle était contente de vous et votre fils ne songe qu'a économiser de l'argent sur le dos de ses propres enfants. J'ai pris le temps de me renseigner un petit peu sur le genre d'enfance qu'à a eu votre fils, posé des questions à des specialistes reconnus en dépendances diverses et variées, reflechis à tout ça, avec plus de serenité. Ce qui en ressortis ? Simplement qu'un grand spécialiste m' a répondu que façe à une mère dépendante sexuellement, qui laissait trainer des revues porno à la portée de ses enfants, qui a renvoyé son fils trés malade dans le but de mieux vivre son grand amour avec le meilleur ami du dit-fils, n'a jamais demandé de nouvelles de ses propres enfants, etc il n'y avait rien a esperer de la vie commune avec le dit fils, qu'une reaction de defense de sa part envers ceux qui tenterait de l'approcher, qu'il prendrait ses proches pour des objets, et les jeterait aprés chaque réaction qu'il jugerait menaçante pour lui...Et accessoirement que ses propres enfants ne pourrait etre que des objets dociles à ses yeux ! Magnifique. Bien sûr, la seule façon de sortir de là, pour votre fils avec ses dependances multiples serait d'etre pris en charge psychologiquement et par medicaments en particulier pour le porno (qui n'est pas une dependance comme les autres mais bien plus forte encore)....Nous conviendrons toutes les deux que cela n'arrivera jamais pour la simple et bonne raison qu'il s'est toujours cru parfait ...Felicitations ! Maintenant, il restera à savoir ce qui se serait passé si vous aviez pris vos deux enfants sous votre bras pour reprendre votre vie d'avant, il y a prés de 25 ans...Vie plutôt luxueuse... Petite precision : Nos trois enfants sont l'avenir, nous leur parents avons déjà un pied dans la tombe puisque nous sommes à plus de la moitié de nos vies...Donc ceux à protéger quand on a un petit peu de jugeotte sont ceux qui sont l'avenir... Maintenant, imaginez un tout petit instant ce que mes enfants ressentent lorsqu'ils savent que pour votre famille, façe au fric, ils ne sont rien...Un coup a devenir eux aussi les objets d'une dependance forte à n'importe quoi, sauf à la vie... Tout autre chose, desormais, je repondrai systematiquement à toute attaque, mais maintenant, plus avec mes tripes mais ma tête...Votre fils n'a pas été capable lui non plus de s'occuper de sa famille, vous etes autorisé à rougir de n'avoir pas su lui donner le sens de l'amour inconditionnel et du devoir mais juste celui du fric. Quand à ce qu'avait droit votre fils...Le droit d'etre un exemple sans faille qui rassure ses enfants...Il n'a pas particulierement reussi professionnellement, il a detruit sa famille, semé la zizanie autour de lui, fait pleurer des personnes agées, contaminé et volé sa compagne, volé et menti à son patron qui vient d'avoir 39 ans, se croit supérieur (à qui ou a quoi ?) ...Magnifique ....Non je plaisante...Quand à nos enfants, dont personne ne s'est donné la peine de demander des nouvelles...(pour une famille...) ils essuient les platres du comportement infantile de leur père...Et une fois pour toute, ce n'est pas parceque une personne explique posement son comportement, que ce comportement manipulatoire est legitime et bon pour tous. Quel egoisme delirant de decider pour tous en imaginant etre le depositaire du bien et du mal...Je vous laisse definitivement, j'entends la vie qui nous appelle. Maintenant, je sais que pour toucher du bout des doigts la serenité, je dois être loin de votre fils qui a devoré ma vie par sa jalousie de petit garçon envieux, jaloux et rival (avec moi !!!! qui aie été sa compagne dur(ant 22 ans, donc le malaise est grand pour lui), et je m'emploie à m'approcher chaque jour un peu plus de la serenité...

Marie, je suis frappée par la ressemblance de nos situations respectives. mon ex étant parti depuis quatre ans, je rembourse seule les remboursements hypothécaires. Il ne vient jamais voir les enfants, (alors qu'il avait demandé la garde totale), il raconte partout que je l'en empêche. J'ai des preuves qu'il n'en est rien. Il avait pas mal d'argent quand il est parti, (à peu près la somme qu'il aurait dû donner pour payer ses dettes diverses), peu après, il refait un prêt, et encore un peu après, il se retrouve en réglement collectif de dettes (rcd). pas de paiement de pension alimentaire (il m'a fait croire pdt un an qu'à cause du rcd, il n'avait pas de quoi pour la payer ou même un bus pour venir voir les petits. J'ai appris par après, par courrier de l'avocat, qu'il touchait quasiment l'entièreté de ses revenus, à quelques euros près. Celui-ci pour s'expliquer de n'avoir pas payé la pension alimentaire pdt un an a déclaré au médiateur l'avoir juste payée irrégulièrement. Curieusement, ce fût à moi de fournir 'la preuve que je n'avais rien reçu'. Depuis quatre ans, je rembourse l'emprunt hypothécaire, l'assurance incendie, les frais extraordinaires, entretien et réparations de la maison, sans aucune intervention de monsieur qui y est pourtant légalement tenu. J'ai fait les démarches pour racheter ma part, afin de sortir d'indivision, (sinon maison vendue pour payer ses dettes), et je viens d'apprendre que je pourrais avoir à payer l'entièreté du remboursement du solde du crédit hypothécaire, toutes dettes de monsieur concernant les enfants et la maison annulées, bien évidemment. De plus, au cas où j'y arriverais, et où je voudrais protéger les enfants au cas où je décèderais, il pourrait gèrer les revenus des enfants. père démissionnaire qui a tout mis en oeuvre pour jeter ses enfants à la rue, et qui les vampirisera dès que j'aurai disparu. il y a bien la déchéance parentale, mais apparemment, pour les juges, le cas de monsieur pourrait ne pas apparaître assez grave. Et on nous dit que l'autorité conjointe c'est dans l'intérêt de l'enfant.... J'espère que tu repasseras par ici, bon courage, accroche-toi.

Bonjour, j'aurais préféré être le seule à vivre une telle situation. Quand on fonde une famille, on est loin de s'imaginer qu'un jour on devra l'assumer seule. On fréquente un homme charmant, attentionné et on se retrouve avec quelque chose (une chose n'a pas à ma connaissance de sentiments et certainement pas celui de l'empathie) qui s'apparente au mal incarné. On doit lutter pour maintenir un train de vie, se maintenir en vie (avec tous les doutes que l'on a) et s'occuper de nos enfants. Il arrive aussi que le père, décidé à se rendre parfait pour l'audience de garde, après des mois de silence, réapparaisse. Et là c'est encore pire. Car le père en question ne rêve que d'une chose, détruire la mère. Quel est le meilleur moyen de détruire une femme que de diviser la fratrie que sont ses enfants ? Comment ? En jouant, certes les martyres mais aussi en faisant monter la tension entre la mère et ses enfants. Il y a toujours un coup de fatigue de la mère qui a besoin de repos, des enfants qui s'ennuient pendant les vacances faute de loisirs (et d'argent), des factures lourdes à payer, une voiture qui tombe en panne, etc. Et là, bien sûr les enfants en veulent à leur mère de ne pas contrôler les choses, d'avoir besoin de respirer ailleurs qu'au milieu des enfants qui se disputent, et les choses dégénèrent. Bien sûr le père profitant de la situation inédite, joue les héros, encourage les enfants à la révolte ( il dit à ses enfants "bien sûr que je comprends ce que tu vis, elle me faisait vivre la même chose", Freud trouverait là dedans à boire et à manger), et c'est encore pire qu'avant. Votre fille ainée vous reproche d'avoir banalement envie de vivre après une année épouvantable, décide qu'il est naturel de priver ses frères et sœurs de nourriture en décidant de faire une école privée (l'une des plus chères de la région, pas assez chic les écoles publiques) et vous renie de ne pas trouver cette idée géniale. Le mardi, elle vous adore et le mercredi vous jette au feu. Définitivement. Se fiche éperdument de sa petite sœur traumatisée, de son frère qu'elle ignore et bien sûr de vous. Décide de vous trainer chez l'assistante sociale à 5 reprises dans le but de vous salir (sur les conseils du père) et de se donner ainsi une bonne excuse pour aller chez son père qui lui a l'argent dont elle rêve. Votre fils décide de profiter de la situation. C'est ainsi que vous devrez le payer pour un banal coup de main. Votre père ressortira les vieux dossier où bien sûr il apparait blanc comme neige, et se fiche éperdument de ce que vous devenez. Vous retrouvez très seule. Et là le démon de la liberté vient soudainement vous hanter et vous demande "toi qui a toujours tout fait dans les règles, qu'es-ce que cela t'a rapporté ? Prends ce qui te reste de jeunesse et profite en pendant qu'il en est encore temps!". Voilà où j'en suis, chaque jour qui passe me conforte dans cette idée. Le jour où les juges décideront de retirer automatiquement toute forme d'autorité parentale aux parents démissionnaires, sans leur enlever l'obligation de payer, ce jour la société évoluera. Nous sommes toujours dans une société patriarcale, et il me semble pourtant que si le père est l'incarnation de l'autorité, pourquoi échappe t' il en particulier aux sanctions que suscite son comportement lâche? Pourquoi es-t' il toujours impossible de l'obliger à participer à l'entretien des enfants en contrôlant réellement ses vrais revenus ? L'intérêt supérieur de l'enfant, il me semble est de croire en la justice qui se doit d'être respectable et respectée. Que dois-je dire à mon fils que j'avais chargé de nourrir les chiens le soir, qui ne le faisant pas, reçoit bien sûr mes foudres, et qui me répond le plus sereinement du monde "pourquoi tu viens me parler de ça, papa, il ne nous nourrit pas et personne ne lui dit rien ! " Et c'est vrai, comment leur faire respecter la loi après ? Et bien sûr après les statistiques se plaignent de la montée de la délinquance. Comment parler en bien à ses enfants de leur père qui fait tout pour ne pas les nourrir correctement ? Comment ? Un tout petit conseil, qui vaut ce qu'il vaut, laissez leur père là où il est. Il n'y a rien à attendre d'un homme qui fait tout pour ne pas assumer ses obligations, rien d'autres que de nouveaux ennuis. Si vous souhaitez me joindre, ce sera avec grand plaisir : marie.888.experts@gmail.com

Au moins j'ai le mèrite de pas me cacher dèrrière des pseudos moi. Oui je suis la fille soit disant 'indigne'. Je n'ai rien demandè en ce qui concerne l'argent pour mon ècole je me dèbrouille toute seule. La petite est traumatisèe c'est pas de ma faute tu la traumatise plus que quiqconque et je suis dèsolèe de le dire mais c'est la vèritè. Ne te plaint pas que je t'ignore c'est tellment bas ce que tu faits et ce que tu dis que sa ne vaut franchement pas la peine de rèpondre.

Contrairement à toi qui me reproche bien des choses, j'ai toujours été prête à en discuter. Je ne me suis pas cachée à 60 km de la maison, en refusant de parler, je suis venue parler. Tu m'as répondu "je te déteste, laisse-moi tranquille". Je l'ai fais. Tu refuse de parler, tu te mets sur répondeur, refuse de répondre à mes mails, c'est ta décision. En ce qui concerne ta sœur, j'ai toujours veillé comme toutes les mères a ce qu'elle ne manque de rien. Et ce n'est pas toujours facile. Aucun de vous n'a manqué de ce que je pouvais personnellement fournir, que ce soit de l'amour ou des choses matérielles. Quand on se dit adulte, on apprends une chose : a ne pas dénigrer l'autre en espérant qu'il ne dise rien. Il t'appartenait de te passer les nerfs sur une chose et non ta mère. Tu aurais dû essayer de tondre la pelouse, de ranger le garage, ta chambre...Au lieu de continuer le travail de ton père sur moi. Je trouve fort souriante ta façon de parler, quand on sait que la veille de ton départ (où tu n'as pas oublié de prendre soin de tes cochons d' inde que je t'avais offert), tu as osé dire à une psychologue que tu t'inquiétais pour moi, je cite. Tu refuse le dialogue, tu as refusé d'appeler tes frères et sœur, de me donner des nouvelles de toi et de ta scolarité, refusé tout en masse venant de moi. C'est toi que cela regarde, tu as fait un choix. Quand à mon précèdent message, relis le bien trouve le second sens au lieu de ne penser qu'à toi. Tu vas apprendre la vie, les gens qui ne sont pas fiables, qui mentent, les revers de la vie, etc...Tu vas vite comprendre qu'être indépendant ce n'est pas une science exacte, loin de là et élever des enfants, encore moins. Ton père a commencé certaines phrases, tu les as finies, y-a t', il quelque chose d'autre à dire ? ah, oui, je viendrai te demander des explications en ce concerne tes dires. On est jamais mieux trahie que par les siens. Et pour finir, j'ose espérer que ton père ne s'est pas porté caution pour que tu finances une école par prêt étudiant qui n'a même pas les moyens de figurer dans les pages jaunes. Quand on a la chance d'être acceptée dans une chambre de commerce, on en profite, en alternance, en plus ! Un peu de sérieux ! Je n'oublierai jamais ce que tu as fais et encore moins la façon dont tu l'as fait. Tu ressembles beaucoup et à tous point de vue à une jeune femme que tu déteste, physiquement (flatteur) et moralement. Attention, elle boit beaucoup pour oublier ce qu'elle est. Et pour finir tant que j'aurais le courage de penser avant tout à mes enfants, à plus petit que moi. Tant que mes amis me respecteront, tant que ceux qui sont réellement capables d'aimer me donneront un petit peu d'amour, tant que je continuerai à faire du mieux que je peux, en particulier quand je rêve d'autre chose, alors je resterai debout. Tu n'es pas celle que je croyais, le jeune fille que je croyais connaitre aurait fait les choses en face et non dans le dos. Hélas et c'est vérifier, la pomme ne tombe jamais loin du pommier. Il va réussir par toi à ce qu'il n'a pas réussi tout seul, détruire la fratrie, notre famille, vendre la maison, que cette fois, je ne peux vraiment pas garder, félicitations, tu es son bras armé. A l'occasion, pense au chagrin de ta sœur, de maintenant savoir que personne n'est vraiment fiable, son incroyable chagrin. Je te souhaite de trouver ce que tu cherches et de savoir que d'être majeure, ça ne donne pas le droit de détruire les siens. La supériorité, l'indépendance, c'est de savoir s'affirmer en pensant au bonheur des autres. Ton comportement a définitivement changé ma façon de voir les choses, je prends les mesures qui s'imposent. Jamais plus je ne serai la chose qui est rangée à la maison en attendant de servir aux uns et aux autres.

Contrairement à toi qui me reproche bien des choses, j'ai toujours été prête à en discuter. Je ne me suis pas cachée à 60 km de la maison, en refusant de parler, je suis venue parler. Tu m'as répondu "je te déteste, laisse-moi tranquille". Je l'ai fais. Tu refuse de parler, tu te mets sur répondeur, refuse de répondre à mes mails, c'est ta décision. En ce qui concerne ta sœur, j'ai toujours veillé comme toutes les mères a ce qu'elle ne manque de rien. Et ce n'est pas toujours facile. Aucun de vous n'a manqué de ce que je pouvais personnellement fournir, que ce soit de l'amour ou des choses matérielles. Quand on se dit adulte, on apprends une chose : a ne pas dénigrer l'autre en espérant qu'il ne dise rien. Il t'appartenait de te passer les nerfs sur une chose et non ta mère. Tu aurais dû essayer de tondre la pelouse, de ranger le garage, ta chambre...Au lieu de continuer le travail de ton père sur moi. Je trouve fort souriante ta façon de parler, quand on sait que la veille de ton départ (où tu n'as pas oublié de prendre soin de tes cochons d' inde que je t'avais offert), tu as osé dire à une psychologue que tu t'inquiétais pour moi, je cite. Tu refuse le dialogue, tu as refusé d'appeler tes frères et sœur, de me donner des nouvelles de toi et de ta scolarité, refusé tout en masse venant de moi. C'est toi que cela regarde, tu as fait un choix. Quand à mon précèdent message, relis le bien trouve le second sens au lieu de ne penser qu'à toi. Tu vas apprendre la vie, les gens qui ne sont pas fiables, qui mentent, les revers de la vie, etc...Tu vas vite comprendre qu'être indépendant ce n'est pas une science exacte, loin de là et élever des enfants, encore moins. Ton père a commencé certaines phrases, tu les as finies, y-a t', il quelque chose d'autre à dire ? ah, oui, je viendrai te demander des explications en ce concerne tes dires. On est jamais mieux trahie que par les siens. Et pour finir, j'ose espérer que ton père ne s'est pas porté caution pour que tu finances une école par prêt étudiant qui n'a même pas les moyens de figurer dans les pages jaunes. Quand on a la chance d'être acceptée dans une chambre de commerce, on en profite, en alternance, en plus ! Un peu de sérieux ! Je n'oublierai jamais ce que tu as fais et encore moins la façon dont tu l'as fait. Tu ressembles beaucoup et à tous point de vue à une jeune femme que tu déteste, physiquement (flatteur) et moralement. Attention, elle boit beaucoup pour oublier ce qu'elle est. Et pour finir tant que j'aurais le courage de penser avant tout à mes enfants, à plus petit que moi. Tant que mes amis me respecteront, tant que ceux qui sont réellement capables d'aimer me donneront un petit peu d'amour, tant que je continuerai à faire du mieux que je peux, en particulier quand je rêve d'autre chose, alors je resterai debout. Tu n'es pas celle que je croyais, le jeune fille que je croyais connaitre aurait fait les choses en face et non dans le dos. Hélas et c'est vérifier, la pomme ne tombe jamais loin du pommier. Il va réussir par toi à ce qu'il n'a pas réussi tout seul, détruire la fratrie, notre famille, vendre la maison, que cette fois, je ne peux vraiment pas garder, félicitations, tu es son bras armé. A l'occasion, pense au chagrin de ta sœur, de maintenant savoir que personne n'est vraiment fiable, son incroyable chagrin. Je te souhaite de trouver ce que tu cherches et de savoir que d'être majeure, ça ne donne pas le droit de détruire les siens. La supériorité, l'indépendance, c'est de savoir s'affirmer en pensant au bonheur des autres. Ton comportement a définitivement changé ma façon de voir les choses, je prends les mesures qui s'imposent. Jamais plus je ne serai la chose qui est rangée à la maison en attendant de servir aux uns et aux autres.

Contrairement à toi qui me reproche bien des choses, j'ai toujours été prête à en discuter. Je ne me suis pas cachée à 60 km de la maison, en refusant de parler, je suis venue parler. Tu m'as répondu "je te déteste, laisse-moi tranquille". Je l'ai fais. Tu refuse de parler, tu te mets sur répondeur, refuse de répondre à mes mails, c'est ta décision. En ce qui concerne ta sœur, j'ai toujours veillé comme toutes les mères a ce qu'elle ne manque de rien. Et ce n'est pas toujours facile. Aucun de vous n'a manqué de ce que je pouvais personnellement fournir, que ce soit de l'amour ou des choses matérielles. Quand on se dit adulte, on apprends une chose : a ne pas dénigrer l'autre en espérant qu'il ne dise rien. Il t'appartenait de te passer les nerfs sur une chose et non ta mère. Tu aurais dû essayer de tondre la pelouse, de ranger le garage, ta chambre...Au lieu de continuer le travail de ton père sur moi. Je trouve fort souriante ta façon de parler, quand on sait que la veille de ton départ (où tu n'as pas oublié de prendre soin de tes cochons d' inde que je t'avais offert), tu as osé dire à une psychologue que tu t'inquiétais pour moi, je cite. Tu refuse le dialogue, tu as refusé d'appeler tes frères et sœur, de me donner des nouvelles de toi et de ta scolarité, refusé tout en masse venant de moi. C'est toi que cela regarde, tu as fait un choix. Quand à mon précèdent message, relis le bien trouve le second sens au lieu de ne penser qu'à toi. Tu vas apprendre la vie, les gens qui ne sont pas fiables, qui mentent, les revers de la vie, etc...Tu vas vite comprendre qu'être indépendant ce n'est pas une science exacte, loin de là et élever des enfants, encore moins. Ton père a commencé certaines phrases, tu les as finies, y-a t', il quelque chose d'autre à dire ? ah, oui, je viendrai te demander des explications en ce concerne tes dires. On est jamais mieux trahie que par les siens. Et pour finir, j'ose espérer que ton père ne s'est pas porté caution pour que tu finances une école par prêt étudiant qui n'a même pas les moyens de figurer dans les pages jaunes. Quand on a la chance d'être acceptée dans une chambre de commerce, on en profite, en alternance, en plus ! Un peu de sérieux ! Je n'oublierai jamais ce que tu as fais et encore moins la façon dont tu l'as fait. Tu ressembles beaucoup et à tous point de vue à une jeune femme que tu déteste, physiquement (flatteur) et moralement. Attention, elle boit beaucoup pour oublier ce qu'elle est. Et pour finir tant que j'aurais le courage de penser avant tout à mes enfants, à plus petit que moi. Tant que mes amis me respecteront, tant que ceux qui sont réellement capables d'aimer me donneront un petit peu d'amour, tant que je continuerai à faire du mieux que je peux, en particulier quand je rêve d'autre chose, alors je resterai debout. Tu n'es pas celle que je croyais, le jeune fille que je croyais connaitre aurait fait les choses en face et non dans le dos. Hélas et c'est vérifier, la pomme ne tombe jamais loin du pommier. Il va réussir par toi à ce qu'il n'a pas réussi tout seul, détruire la fratrie, notre famille, vendre la maison, que cette fois, je ne peux vraiment pas garder, félicitations, tu es son bras armé. A l'occasion, pense au chagrin de ta sœur, de maintenant savoir que personne n'est vraiment fiable, son incroyable chagrin. Je te souhaite de trouver ce que tu cherches et de savoir que d'être majeure, ça ne donne pas le droit de détruire les siens. La supériorité, l'indépendance, c'est de savoir s'affirmer en pensant au bonheur des autres. Ton comportement a définitivement changé ma façon de voir les choses, je prends les mesures qui s'imposent. Jamais plus je ne serai la chose qui est rangée à la maison en attendant de servir aux uns et aux autres.

J'ai réussi à t'avoir au téléphone. Tu n'as rien trouvé à me reprocher, de tangible. Je t'en remercie. Aucune réponse à mon mail. C'est ton droit. Par contre, fais bien attention, car clairement tu commence à avoir le même comportement que ton père : "je refuse de discuter quand je ne le sens pas et je raccroche le téléphone". Bien sûr, ce n'est pas ça qui fait avancer les choses, c'est juste infantile de croire qu'il n'y a jamais de conséquence à ses actes. Par contre, je ne perdrai jamais plus de temps à ce petit jeu cruel. En ce qui concerne ta sœur, je t'invite à bien réfléchir à tes paroles et à tes actes, car elle, après avoir demandé ta présence, ou au moins le son de ta voix, ne demande plus rien. Même si le traumatisme est le même. Il ne suffit pas de critiquer sa mère, la rejeter pour des paroles (qui ne sont que des paroles) que tu estimes malheureuses, il faut encore faire la différence entre les actes et les mêmes paroles de quelqu'un qui avait le droit de penser un -petit -peu à elle, pendant les grandes vacances. Qui étaient aussi un peu mes vacances à moi aussi. Si effectivement, tu as un peu d'honneur, que tu respectes ta parole, tu vas vite t'apercevoir que la vie réelle est dure. Qu'il y a la théorie et la réalité. Qu'il ne suffit pas de vouloir pour avoir. Puisque tu refuse sans vraies raisons, toutes formes de contacts, je te souhaite une excellente continuation.

J'ai réussi à t'avoir au téléphone. Tu n'as rien trouvé à me reprocher, de tangible. Je t'en remercie. Aucune réponse à mon mail. C'est ton droit. Par contre, fais bien attention, car clairement tu commence à avoir le même comportement que ton père : "je refuse de discuter quand je ne le sens pas et je raccroche le téléphone". Bien sûr, ce n'est pas ça qui fait avancer les choses, c'est juste infantile de croire qu'il n'y a jamais de conséquence à ses actes. Par contre, je ne perdrai jamais plus de temps à ce petit jeu cruel. En ce qui concerne ta sœur, je t'invite à bien réfléchir à tes paroles et à tes actes, car elle, après avoir demandé ta présence, ou au moins le son de ta voix, ne demande plus rien. Même si le traumatisme est le même. Il ne suffit pas de critiquer sa mère, la rejeter pour des paroles (qui ne sont que des paroles) que tu estimes malheureuses, il faut encore faire la différence entre les actes et les mêmes paroles de quelqu'un qui avait le droit de penser un -petit -peu à elle, pendant les grandes vacances. Qui étaient aussi un peu mes vacances à moi aussi. Si effectivement, tu as un peu d'honneur, que tu respectes ta parole, tu vas vite t'apercevoir que la vie réelle est dure. Qu'il y a la théorie et la réalité. Qu'il ne suffit pas de vouloir pour avoir. Puisque tu refuse sans vraies raisons, toutes formes de contacts, je te souhaite une excellente continuation.

Ma fille, tu n'as pas eu d'honneur, tu n'as pas respecté ta parole de vivre seule, de ne pas prendre partie entre ton père et moi. Tu t'es laissé achetée pour une école qui n'a rien de plus que celle que l'on t'a proposées ailleurs. A part d' être dans la capitale de la région, ce qui a le mérite d'être chic et d'avoir les copines sur place, qui elles ont bien travaillé à l 'école ! École privée qui réduit toujours plus les moyens de vie de tes frère et sœur afin de te la faire payer. Donc de garder un maximum de ressources paternelles égoïstement. Je viens d'avoir connaissance des conclusions de ton père. Tu peux rougir de honte de contribuer à un document qui réduit les moyens de vie de ton frère et de ta sœur (100 € pour deux), à tenter de mettre dehors ta propre mère. Je doute fortement que l'éventuel retour de ton père ici inclus ma présence. Tu n'as pas la moindre excuse de faire une telle chose. Mentir encore et toujours, rougis de honte. Tu as parlé dans ton message dans ce forum de "moyens bas, qu'il ne fallait pas que je me plaigne si tu m'ignore".. Que vient tu de faire à part de poignarder ta mère dans le dos ? Ma petite chérie, d'après toi, je t' empêchais de voir ton père qui tout d'un coup te paie une école privée alors qu'il a refusé de contribuer à tes soins de santé et a volé tes remboursements de mutuelles, donc vos cadeaux de Noël à tous les trois...Il avait surtout très peur que tu lui demandes une pension alimentaire qui aurait été haute (jurisprudences) et à lancer sur toi une OPA. Tu fais donc un BTS...il y a 15 jours, tu étais en fac... Tu change souvent d'avis mais soit sûre que désormais en ce qui me concerne, tu n'as plus le choix. Je te remets ton message si aimant, et garderai de toi l'image suivante, la veille de ton départ tu m'as dis "maman, tu repasses quand, j'ai plus rien à me mettre, moi"....A 18 ans ! J'avais une fièvre de cheval. Conformément à ce que j' imaginais, tu t'assumes avec l'argent de ton père....Honneur, où ça ? De plus, j'ai noté que tu n'as pas rectifié le message de ta grand-mère où il est dit que tu as dis à ton père de partir, j'en conclus désormais que c'est vrai : "qui ne dit mot, consent". Il est honteux que tu te serve de ta sœur de 6 ans, en disant "je veux renouer des liens avec elle" alors que tu ne lui a jamais parlé de ton départ (préparé), refusé de lui donner un coup de téléphone, d'envoyer une carte. Elle a culpabilisé pendant des semaines de ton départ. Fille indigne, toi ? Maintenant, j'en ai bien peur. Je sanctionnerai ton comportement. Quelle brillante influence à l'entourage de ton père sur toi.... Rougi de honte ! "Au moins j'ai le mèrite de pas me cacher dèrrière des pseudos moi. Oui je suis la fille soit disant 'indigne'. Je n'ai rien demandè en ce qui concerne l'argent pour mon ècole je me dèbrouille toute seule. La petite est traumatisèe c'est pas de ma faute tu la traumatise plus que quiqconque et je suis dèsolèe de le dire mais c'est la vèritè. Ne te plaint pas que je t'ignore c'est tellment bas ce que tu faits et ce que tu dis que sa ne vaut franchement pas la peine de rèpondre."

Ma file, j'ai pris connaissance des conclusions de ton père. En dehors du fait que tu lui prêtes main forte pour jeter ta mère ta mère en dehors de sa propre maison, maintenant que j'ai cessé de lui servir en raison de mon age, j'ai pris connaissance de bien d'autres choses. Ma porte t'était ouverte, tes gamineries m'indiffèrent. Tu veux jouer à la "grande" joue. Dans ce cas, tu seras toute seule. Tu m'as déclaré la guerre pour un motif que je connais pas, que toi-même tu es incapable d'expliquer. Donc j'ai attendu et j'ai vu. Bien évidement, j'ai fini par comprendre que tu as utilisé le mail de la mère de ton père pour me répondre dans ta réponse ci-dessus. Qu' a t' elle fait de son fils, ton père, quand il n'a plus pu travailler comme un âne dans le rêve que lui avait décrit une voyante aveugle, après lui avoir fait arrêter ses études d'architecte, pour nettoyer des écuries ...elle l'a mis dans l'avion pour la France, il lui était inutile. Les nouvelles qu'elle a données (tous les 5 ans, ça être la durée de vie d'un générateur) étaient toujours quand elle voulait de l'argent. C'est à ça que désormais, tu t'associe ? Oui ? Dans ce cas, effectivement, nous n'avons plus rien à nous dire. Toi et ton père êtes le raccourci vers celle qui justement a de l'argent. Quand tu auras retrouvé quelques qualités de cœur, donnes des nouvelles. Comme ton père, tu as voulu entrer en rivalité avec moi. C'est un sérieux problème, je ne sais pas pourquoi. Le seul endroit où il est censé d'entrer en rivalité avec quelqu'un , c'est dans le monde du travail. Et encore, tous les coups ne sont pas permis. Il y a l'honneur. Dans toutes les secteurs de la vie. Qu'as tu fais du tien ? Aie au moins la décence de ne pas mêler ta sœur, qui ne comprends rien, de 6 ans à ça. Je te donne rendez-vous très bientôt, car là, je serais libre de parler. Et je ne crois pas que cela sera en ta faveur. Tu as voulu te servir de ta majorité toute neuve pour nuire aux tiens ? Tu sais ceux qui eux, ont toujours été là pour toi, alors prépare toi. Et pense à une chose, tes imbécilités (aucun autre terme ne convient) ont fait pleurer ton grand-père. ROUGIS DE HONTE

Quand je te vois sur internet si peu soucieuse de ton comportement, je me demande beaucoup de choses. Ensuite je me souviens de mon comportement sous influence...encore dernièrement il m'a fallu des mois pour comprendre que contrairement aux apparences, certaines personnes ne me voulaient pas du tout du bien. Bien au contraire, ces personnes me poussaient gentiment au suicide pour que leur membre soit tranquille avec leur cher argent. A l'avenir, quand tu oseras dire que tu ne veux pas quitter les gens que tu aimes sur Facebook, tu n'oublieras pas de dire que tu m'as vendue pour combien ? 30 deniers ? La liberté ne s'achète pas, elle se gagne...en travaillant ! Pas en trahissant. Bien évidement, vue ton attestation, je vais devoir faire quelque chose. Et je n' oublierai jamais que dans ton attestation, tu n'es que la fille de ton père...Tu lui prêtes main forte pour nous mettre dehors la petite et moi. Je ne l'oublierai jamais. JAMAIS. IL me semblait pourtant que tu avais affirmé ne pas vouloir choisir... Je ne sais pas ce que je t'ai fais à part d'être pauvre. Mais je crois que c'est suffisant à tes yeux, oublieux du fait que j'ai toujours été là pour toi. Je t'invite à ne jamais plus te mêler de cette histoire, tu es majeure, indépendante, tu assumes tes choix et tu t'occupes d'eux seuls. Quand aux coups bas,félicitations tu as passé ta maitrise du premier coup. Maintenant, avant de ne penser qu'à toi (je te rassure, jamais tu n'as vraiment fais autre chose) pense à tes frère et sœur, qui eux n'ont pas encore vendu leur mère pour 30 deniers. Qui eux sont capables d'amour. Nous avons à parler de ton nom de famille, je te l'ai transmis par sens des responsabilités et amour (c'était un choix courageux à l'époque, pas une facilité légale et lâche), pour que tu fasses ce genre de choses. Les Fi... ont bien des défauts, mais ils ont toujours assumé leurs responsabilités jusqu'au bout, jamais ils n'auraient fait de fausse attestation en justice pour noyer leurs mère et sœur. A l'avenir, je t'invite à ne plus parler au nom de ton frère. Il est mon fils et jamais je ne me serai permis ce genre de choses. Je dois dire aussi que jamais je n'aurais pleurniché pour pouvoir brader ton honneur en justice. C'était et ça devait rester une affaire d'adultes. Dans ma famille, nous ne sommes pas le genre à faire la guerre au fond du lit de leur tante, en se plaignant, nous assumons et ne trahissons pas. Dans ma famille, il y a des gens susceptibles mais pas de menteurs, il y a des gens impulsifs, mais ils sont tous courageux, pas des lâches qui gardent leur argent pour eux seuls parce qu'ils sont incapables de comprendre que les autres ont aussi des besoins qui ne sont pas les leurs. La générosité est un acte courageux, pas idiot. De plus faire une attestation mensongère sur le fait que tu vis chez ton père, alors que c'est faux mais qui te permet de flatter ton complexe d'enfant unique : tout pour moi, rien pour les autres ! Pas trop gênant ? Voilà comment tu te comportes "je m'en fous que mon père ne donne de l'argent qu'à moi, je m'en fous de mettre mon frère, ma petite sœur à la rue, ma mère aussi, elle a dit qu'elle ne croyait pas en moi (tu n'es pas Dieu,mais un être à aimer avec ses qualités et ses défauts), je m'en fous que mon frère et ma sœur ne mangent pas à leur faim, l'essentiel pour moi et de faire ce que je veux..." Regarde toi en ce moment et vomis. Tu es et tu restes ma fille. Quand enfin, tu vas atterrir, noter subitement de toutes petites incohérences dans le comportement des gens qui t'influencent, quand ils vont commencer à découvrir leur but réel au bout de plusieurs mois, quand enfin tu vas t'apercevoir que ce n'est pas un nouvel ordinateur qui fait le bonheur à long terme, mais de pouvoir partager ses richesses, quand enfin tu vas t'apercevoir que ton honneur n'en peux plus d'être malmené, quand enfin tu comprendras qu'être adulte c'est admettre que les autres ne soient pas parfaits, (j'ai commencé à réellement être adulte quand j'ai su que mes parents n'étaient pas parfaits et en plus mortels...) quand tu sauras qu'il n'y a rien de plus précieux à mes yeux que TOUS mes enfants, quand tu sauras qu'il est tellement plus difficile de dire non à son enfant que de dire oui à des imbécilités, quand tu sauras que la majorité oblige à aider les autres et non à les enfoncer dans leurs faiblesses de santé ou autres, quand tu sauras que je t' aime plus que tout, et que contrairement à toi je donne aux autres personnes le droit à l' erreur, à l'imperfection, alors tu pourras retrouver ta place parmi nous. Réfléchis bien avant de dire non, et regarde le passé pour te donner des fondations solides pour l'avenir, regarde qui est fiable et qui ne l'est pas à long terme. L'amour, le vrai c'est celui qui résiste aux épreuves les plus dures, pas celui qui dit exister sans preuve. "Il n' y a pas de véritable amour sans preuve d'amour", souviens toi-en dans tous les domaines de la vie. Le seul domaine où tu peux et dois revendiquer une juste place exclusive, c'est le domaine amoureux, pour tous les autres, il y a 7 milliards de gens sur terre. En ce qui concerne tes choix, je te souhaite du fond du cœur de trouver ce que tu cherches. N'oublie jamais que nous sommes là.

Quand je te vois sur internet si peu soucieuse de ton comportement, je me demande beaucoup de choses. Ensuite je me souviens de mon comportement sous influence...encore dernièrement il m'a fallu des mois pour comprendre que contrairement aux apparences, certaines personnes ne me voulaient pas du tout du bien. Bien au contraire, ces personnes me poussaient gentiment au suicide pour que leur membre soit tranquille avec leur cher argent. A l'avenir, quand tu oseras dire que tu ne veux pas quitter les gens que tu aimes sur Facebook, tu n'oublieras pas de dire que tu m'as vendue pour combien ? 30 deniers ? La liberté ne s'achète pas, elle se gagne...en travaillant ! Pas en trahissant. Bien évidement, vue ton attestation, je vais devoir faire quelque chose. Et je n' oublierai jamais que dans ton attestation, tu n'es que la fille de ton père...Tu lui prêtes main forte pour nous mettre dehors la petite et moi. Je ne l'oublierai jamais. JAMAIS. IL me semblait pourtant que tu avais affirmé ne pas vouloir choisir... Je ne sais pas ce que je t'ai fais à part d'être pauvre. Mais je crois que c'est suffisant à tes yeux, oublieux du fait que j'ai toujours été là pour toi. Je t'invite à ne jamais plus te mêler de cette histoire, tu es majeure, indépendante, tu assumes tes choix et tu t'occupes d'eux seuls. Quand aux coups bas,félicitations tu as passé ta maitrise du premier coup. Maintenant, avant de ne penser qu'à toi (je te rassure, jamais tu n'as vraiment fais autre chose) pense à tes frère et sœur, qui eux n'ont pas encore vendu leur mère pour 30 deniers. Qui eux sont capables d'amour. Nous avons à parler de ton nom de famille, je te l'ai transmis par sens des responsabilités et amour (c'était un choix courageux à l'époque, pas une facilité légale et lâche), pour que tu fasses ce genre de choses. Les Fi... ont bien des défauts, mais ils ont toujours assumé leurs responsabilités jusqu'au bout, jamais ils n'auraient fait de fausse attestation en justice pour noyer leurs mère et sœur. A l'avenir, je t'invite à ne plus parler au nom de ton frère. Il est mon fils et jamais je ne me serai permis ce genre de choses. Je dois dire aussi que jamais je n'aurais pleurniché pour pouvoir brader ton honneur en justice. C'était et ça devait rester une affaire d'adultes. Dans ma famille, nous ne sommes pas le genre à faire la guerre au fond du lit de leur tante, en se plaignant, nous assumons et ne trahissons pas. Dans ma famille, il y a des gens susceptibles mais pas de menteurs, il y a des gens impulsifs, mais ils sont tous courageux, pas des lâches qui gardent leur argent pour eux seuls parce qu'ils sont incapables de comprendre que les autres ont aussi des besoins qui ne sont pas les leurs. La générosité est un acte courageux, pas idiot. De plus faire une attestation mensongère sur le fait que tu vis chez ton père, alors que c'est faux mais qui te permet de flatter ton complexe d'enfant unique : tout pour moi, rien pour les autres ! Pas trop gênant ? Voilà comment tu te comportes "je m'en fous que mon père ne donne de l'argent qu'à moi, je m'en fous de mettre mon frère, ma petite sœur à la rue, ma mère aussi, elle a dit qu'elle ne croyait pas en moi (tu n'es pas Dieu,mais un être à aimer avec ses qualités et ses défauts), je m'en fous que mon frère et ma sœur ne mangent pas à leur faim, l'essentiel pour moi et de faire ce que je veux..." Regarde toi en ce moment et vomis. Tu es et tu restes ma fille. Quand enfin, tu vas atterrir, noter subitement de toutes petites incohérences dans le comportement des gens qui t'influencent, quand ils vont commencer à découvrir leur but réel au bout de plusieurs mois, quand enfin tu vas t'apercevoir que ce n'est pas un nouvel ordinateur qui fait le bonheur à long terme, mais de pouvoir partager ses richesses, quand enfin tu vas t'apercevoir que ton honneur n'en peux plus d'être malmené, quand enfin tu comprendras qu'être adulte c'est admettre que les autres ne soient pas parfaits, (j'ai commencé à réellement être adulte quand j'ai su que mes parents n'étaient pas parfaits et en plus mortels...) quand tu sauras qu'il n'y a rien de plus précieux à mes yeux que TOUS mes enfants, quand tu sauras qu'il est tellement plus difficile de dire non à son enfant que de dire oui à des imbécilités, quand tu sauras que la majorité oblige à aider les autres et non à les enfoncer dans leurs faiblesses de santé ou autres, quand tu sauras que je t' aime plus que tout, et que contrairement à toi je donne aux autres personnes le droit à l' erreur, à l'imperfection, alors tu pourras retrouver ta place parmi nous. Réfléchis bien avant de dire non, et regarde le passé pour te donner des fondations solides pour l'avenir, regarde qui est fiable et qui ne l'est pas à long terme. L'amour, le vrai c'est celui qui résiste aux épreuves les plus dures, pas celui qui dit exister sans preuve. "Il n' y a pas de véritable amour sans preuve d'amour", souviens toi-en dans tous les domaines de la vie. Le seul domaine où tu peux et dois revendiquer une juste place exclusive, c'est le domaine amoureux, pour tous les autres, il y a 7 milliards de gens sur terre. En ce qui concerne tes choix, je te souhaite du fond du cœur de trouver ce que tu cherches. N'oublie jamais que nous sommes là.

Oublie ma demande sur Facebook. Je ne serais jamais une amie mais ta mère. Il arrive que les amis vont et viennent mais des mères, ont en a qu'une.

La maman ne va pas bien, elle est blessée. La jeune fille s'est sauvée et elle a bien fait. Le papa je ne sais pas, mais si on ne peut pas compter sur lui, il faut juste en avoir conscience. Il ne faut pas dire de telles choses à sa fille. on peut être révoltée et blessée mais ce que fait un enfant dans une telle situation, il le fait dans l'unique but de respirer. il ne faut pas le lui reprocher : c'est comme ça qu'on s'en sort. Qu'elle soit manipulée, c'est possible, qu'elle s'en rende compte, peut être pas : vous l'étiez vous même il y a peu de temps. il faut faire la paix avec elle et ne pas lui reprocher de traumatiser sa petite soeur. il faut qu'elles se voient, c'est vital pour la plus petite, qui ne doit rien comprendre du tout. Après, pour tout le reste, il y a un moment ou il vaut mieux faire dans son esprit le "solde de tout compte", sinon, on ne peut pas recommancer autre chose.

Bonjour à tous, bien longtemps après je vous donne quelques nouvelles et autres éclaircissements. Ma famille a subi de nombreux difficultés qui n'avaient pas lieu d'être. Les enfants en ont beaucoup souffert. Le pauvre fils de 43 ans évoqué dans la première question, qui est parti sur les conseils de notre fille... (quelle honte de se servir de son propre enfant pour échapper à ses responsabilités) avait en fait une autre maitresse depuis environ 2 ans avant son départ. Ce qui expliquait son agressivité, sa violence, et autres événements désagréables. En d'autres termes nous faisions ménage à trois.... depuis longtemps. Ce qui ne l'a pas empêché d'essayer de me faire interner...Ben oui j'étais en colère... Donc coupable, donc folle...C'est sa logique à lui. Évidement les restaurants, sorties en tous genres, et dernièrement voyage en Égypte coutent chers et visiblement expliquent pourquoi votre pauvre fils de 46 ans maintenant, a délibérément dissimulés ses ressources (salaires, primes, travail au noir et revenus de madame, le tout sans aucune honte) dans le but de donner une pension alimentaire minimale à nos enfants. Quel père il fait : il pense déjà à lui et consent quelques miettes incontournables à ses enfants... Votre fils qui ne donnait jamais une contribution juste et régulière durant notre vie commune (pas une fois il n'a donné son salaire comme il l'a raconté : nous n'avions pas de compte commun, son salaire a toujours été versé sur son compte personnel, donnait environ 400 € mensuels, quand il les donnait, et y compris pour son propre entretien) a négligé de parler au JAF par exemple de son travail au noir (ses carnets retrouvés par hasard dans le garage évoquent de façon détaillée entre 20 et 25 000 € à l'année, bien sûr si je savais qu'il faisait du travail au noir, jamais il ne m'a parlé de sommes pareilles mais du quart), de ses vrais salaires environ 30 000 € annuels, de la voiture de fonction servant aussi au travail au noir, du téléphone professionnel, servant aussi pour les clients au noir, de la pierre qu'il "commandait" chez son patron, de l'outillage professionnel servant chez les mêmes clients, des primes de congés payés, des primes patronales (on approche des 10 000 € pour l'année 2010). Avec les revenus de madame, on doit tranquillement approcher des 90 000 € annuels. Visiblement ce n'est pas assez pour donner une juste contribution à l'entretien de nos enfants. Dont deux d'entre eux mangent au resto du cœur. Un grand coup de chaussure de travail dans le dos parce que je ne voulais pas lui obéir à largement réduit mon champ professionnel : mes vertèbres se déboitent dés que je porte plus de 10 kg. Merci chéri ! Le pauvre fils qui se faisait tranquillement entretenir avec mes crédits à la consommation pendant la vie commune (et me disait si si je t'assure, je te rembourse le mois prochain....et causait de nouveaux problèmes pour ne pas avoir à le faire), logé à l'œil pendant 5 ans, fait des leçons de morale à nos ainés : je vous assure, je n'ai jamais beaucoup d'argent pour vous ! et n'a même pas honte. Il les monte contre moi sans se demander simplement ce qui est bon pour eux. Les perturbe pour le plaisir de me nuire. Tant pis pour les enfants. Quand à vous, "la nouvelle madame", connaissant les gouts luxueux du pauvre fils, il ne serait pas étonnant que vous ayez disons, quelque chose qui ressemble à une fortune personnelle (héritage conséquent, pension alimentaire élevée...), et bien sûr, il me parait raisonnable de penser que vous êtes à son entière disposition : travaillez vous ? Il est sage de penser que non. N'ayez jamais l'imprudence d'être pauvre, vous perdriez tout intérêt au yeux du pauvre fils. Saviez-vous que dans un mouvement de colère et durant la vie commune, il m'avait dit : si tu veux que je sois là, tu payeras pour ma présence ! A la réflexion, ça faisait très cher pour ce que c'était... Peu avant son départ figurez vous qu'il m'a très largement sondée pour savoir ce que je "pouvais espérer " sous forme d'héritage d'une de mes tantes fortunée : combien tu pourrais avoir ? elle a déjà fait ses papiers, tu as la preuve ? et ton père, combien il a à te laisser ? J'en conclus qu'en fait, il devait chercher à savoir laquelle de nous deux pouvait lui rapporter le plus. Classe non ? Saviez vous qu'il m'a menacée à plusieurs reprises de revenir vivre ici ? Je vous le jure sur la tète de mes enfants. Il semblerait que vous me dénigriez devant nos enfants ? De quel droit ? Et vous même seriez-vous une mère parfaite ? En êtes-vous absolument sûre ? Ayez donc le courage de venir me rencontrer, je vous parlerai de la vie commune que nous avions, ballottée entre l'alcoolisme du pauvre fils, son attrait maladif pour la pornographie, ses dépenses exponentielles, et ses travaux dans la maison qui ont fait hurler de rire les agents immobiliers venus estimer la maison.: c'est la maison de mac gyver ici, disent-ils... Le réparateur du lave vaisselle, à notre fils : eh petit, c'est ta maison ici alors c'est toi qui le branche le lave-vaisselle, moi je touche pas à ça... Magnifique non ? A l'heure actuelle par exemple, je cherche désespérément une prise fonctionnant dans la cuisine, un seau pour mettre sous le siphon (fait avec 4 sortes de couleurs) de la cuisine qu'il a tenu à monter : ça fuit de partout, les fusibles sont carrément un budget mensuel. Quelques fois ça me désespère totalement. D'avoir injecté autant d'argent personnel pour un résultat pareil. Autre sujet, on va parler du fameux mof. Ben oui. Pour m'éviter une trempe, c'est moi qui l'aie inscrit à ce concours. Au moment de l'exposition à Strasbourg, nous étions dans une allée quand arrive le staff de jacques lang avec les membres du jury. Tout d'un coup le pauvre fils se fait attraper par l'épaule par un homme qu'il reconnait aussitôt, c'est un membre du jury, certes, mais aussi un des ses anciens profs de son école de paris. Cet homme très pressé évidement lui dit immédiatement, je n'ai pas le temps, j' ai reconnu la façon dont tu as fait tes cartouches d'identification pour le dessin et sur l'emballage de la pierre (c'est lui qui les lui avait apprit), je t'ai sur-noté, la taille ça ne va pas, le dessin tu m'as habitué à bien mieux, tu as ce diplôme grâce à moi, je t'ai donné les points qui manquaient (prés de 3), tu vas me donner ta parole d'homme -c'est la 1ere fois que j'entendais cet idiome- que tu le repasses à la prochaine session, sinon je te l'enlève tout de suite ton mof ! j'attends ! Bien sûr le pauvre fils a juré et ne l'a pas repassé. C 'est faux ? Faites de nouveau examiner la pierre et vous verrez... Le pauvre fils est un imposteur. Madame, je ne vous envie pas, finalement, c'est peut-être une bonne chose qu'il ne soit plus dans mon lit mais dans le votre. Terminé d'avoir peur d' être contaminée par des mst. Yes. Faites attention à plus aisée que vous, le pauvre fils connait son intérêt et sera toujours sur la même longue de celle qui lui apportera plus...j'en sais quelque chose. C'est aussi un expert pour détourner sa culpabilité sur les autres. Par exemple, prenons pour exemple les fameux frais de vétérinaires dont il m'accuse, pure hypothèse d'école admettons que ce soit vrai, le pauvre fils oublie bien sûr le nombre de chèques (venant de crédits à la consommation) que je lui faisais pour lui éviter l'interdiction bancaire. Il appelait et j'allais à sa banque faire des chèques jusqu'à 400 €, sans retour, et sans aucune explication. Qui en ferait autant ? J'ai d'ailleurs remboursé un de ses prêts sans jamais savoir à qui ou à quoi il avait servit. Dis-moi, la sœur du pauvre fils, de quel droit tu t'es occupée de cette histoire qui a nuit à nos enfants ? Nos enfants sont comme les tiens, ils ont droit au meilleur. Puisque tu t'es autorisée à vomir sur moi, qui ne t' ai jamais rien fait, à peut être contrarier ton rêve d'œdipe, plus que tardif, il faut que je te pose une petite question, comment fais- tu pour ne pas être heureuse ? On ne l'es pas quand on fait ce genre de choses. Envisage de ne plus nuire à nos enfants. Occupe toi des tiens et envisage la triste éventualité que dans aucun domaine, tu ne sois un modèle. Toute dernière vérité, il y a bien longtemps, quand nous habitions dans le grand Est, au début des années 90 et que le pauvre fils a décidé de descendre vivre dans le Sud, je lui aie demandé :pourquoi descendre là bas alors que ta famille est dans l'Est ? Il m'a répondu : parce que j'ai trop peur de leur ressembler un jour alors je m'éloigne d'eux. Bien sûr, il n'a jamais oublié de profiter des avantages jusqu'à un passé proche de ces gens à qui il ne voulait pas ressembler. Bien sûr, une telle réflexion peut expliquer pourquoi il ne leur donnait rarement de nouvelles. Et pourquoi nous avons vécu ensemble...j'étais son prétexte à dos large. J'oubliais, tout ça je le jure aussi sur la tête de mes enfants.