La suite
il alla a la gars pour prendre un train vers seville row la ville qui est plus loin du village
charlot : un ticket vers seville row
25 francs tien
merci
il entra dans le train assis sur sa place
dans quelque minute le train marcha aprés un vieux homme est assis a coté de charlot .........
Les Tuvache : une famille composée de 3 filles et un garçon (charlot)
-Les Vallin : fermiers, habitant côte à côte avec les Tuvache. Ils ont 4 enfants (une fille et 3 garçons dont Jean)
- Les D'Hubières : M. Henry D'Hubières et son épouse lesquels n'ont pas pu avoir d'enfants et chercheraient à en avoir un par adoption chez l'une des deux familles de paysans.
-Charlot : fils unique des Tuvache. Il a été refusé en adoption pour les D'Hubières.
-Jean : c'est le cadet des Vallin ; les D'Hubières avaient eu la chance de l'adopter
le temps c'est l'mparfais et la passé simple le lieu est des chaumières prés d' un village des bains l'évenement principale c'est l'adoption 'un enfants par les d'hubrières
BONJOUR J'AI BESOIN DE VOTRE AIDE IL ME FAUT TOUS SA AU DISCOUR DIRECTE mais je n'y pas vraiment!! Le travail que j'ai à faire c'est que aprés 20 mme d'hubiére se souvient de ses 1ére contacte avec les tuvaches et les vallins jusqu'à l'adoption de jean et elle raconte tous sa dans une lettre à son amie. et dans lettre je dois employer le discour directe et indirecte svppppppp Aidez moi et faites un résumé de tout sà que je puis-ce l'écrire avec le 1er pronom personnelle
Les Vallin étaient à table, en train de manger avec lenteur des tranches de pain qu'ils frottaient parcimonieusement avec un peu de beurre piqué au couteau, dans une assiette entre eux deux.
M. d'Hubières recommença ses propositions, mais avec plus d'insinuations, de précautions oratoires, d'astuce.
Les deux ruraux hochaient la tête en signe de refus ; mais quand ils apprirent qu'ils auraient cent francs par mois, ils se considèrent, se consultant de l'oeil, très ébranlés.
Ils gardèrent longtemps le silence, torturés, hésitants. La femme enfin demanda :
- Qué qu't'en dis, l'homme ? Il prononça d'un ton sentencieux :
- J'dis qu'c'est point méprisable.
Alors Mme d'Hubières, qui tremblait d'angoisse, leur parla de l'avenir du petit, de son bonheur, et de tout l'argent qu'il pourrait leur donner plus tard.
Le paysan demanda :
- C'te rente de douze cents francs, ce s'ra promis d'vant l'notaire ?
M. d'Hubières répondit :
- Mais certainement, dès demain.
La fermière, qui méditait, reprit :
- Cent francs par mois, c'est point suffisant pour nous priver du p'tit ; ça travaillera dans quéqu'z'ans ct'éfant ; i nous faut cent vingt francs.
Mme d'Hubières trépignant d'impatience, les accorda tout de suite ; et, comme elle voulait enlever l'enfant, elle donna cent francs en cadeau pendant que son mari faisait un écrit. Le maire et un voisin, appelé aussitôt, servirent de témoins complaisants.
Et le jeune femme, radieuse, emporta le marmot hurlant, comme on emporte un bibelot désiré d'un magasin.