Madame, Monsieur,
J’ai l’honneur de vous informer que je suis né le 26.10.1981 à Mostaganem, et que je n'ai jamais changé d’adresse, et que mon dossier de certificat de la nationalité française a été déposés en date du 16/06/2003 au prés du CONSULAT GÉNÉRAL DE FRANCE A ALGER, et je n'ai rien reçu. J’ai renouvelé le dossier à Paris (service de la nationalité - Château des Rentiers), ils m’ont répondu le 19.5.2008 qu’un certificat de nationalité Française a été rétabli le 28.5.2004 sous le n°751/2004 au Tribunal d’instance de Montpellier (Hérault) – dossier 1533/2003. Ils m’ont conseillé de réclamer mon CNF au Tribunal d’instance de Montpellier, Donc j'ai envoyé une lettre et ils m’ont répondu le 30.06.2008 me réclamant un acte de naissance, et un acte de mariage (premier mariage 18.3.1985) or je suis né le 26.10.1981. Bref j'ai envoyé plusieurs lettres avec "acte de naissance" et "acte de non mariage" a Montpellier et ils m’ont rien envoyé sur cette erreur de mariage et sur mon CNF.
En bas de la correspondance du 19 mai 2008 de Paris; figure la mention « si vous n’en avez pas été destinataire il vous appartient de le réclamer auprès du Tribunal d’Instance de Montpellier », ce que j’ai fait bon nombre de fois, avec le Greffier en chef, mais j’ai appris que ce dernier a pris son congé annuel pendant le mois de juin-2009 par l’intermédiaire d’une personne dont j’ignore la qualité et l’identité mais qui était chargée de répondre aux divers communications lui parvenant "Tribunal d'Instance de Montpellier service nationalité" , alors j’ai essayé et réessayé à plusieurs reprises de le contacter ou de consulter son intérim mais en vain. A chaque appel la même personne me répondait à chaque fois avec désobligeance qu’il fallait appeler pendant le mois de septembre ce qui a été fait.
En effet, lors de mon premier appel la même personne m’avait confirmé que l’objet de ma demande et en cours d’envoi. Au second appel elle m’informe que mon dossier était en cours de traitement et qu’il ne fallait pas appeler dorénavant au risque de ne plus traiter mon dossier.
Je vous prie de bien vouloir me faire connaître mes Droits.
Veuillez agréer, Madame, Monsieur, L’expression de ma haute considération.
MERCI.