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Périmé dans un rayon (faute:grave/lourde)

Question anonyme le 14/07/2010 à 11h34
Dernière réponse le 05/02/2016 à 12h02
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Je suis cadre dans la grande distribution ,une présence de périmé dans mon rayon est ce une faute grave ou lourde
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4 réponses pour « 
périmé dans un rayon (faute:grave/lourde)
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Réponse anonyme
Le 23/09/2010 é 13h32
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La presence de perimé dans un rayon et considéré comme cause reelle et sérieuse Mais il reste à determiner la cause de cette présence de périmé,en effet souvent dans la grande distribution et surtout certaines enseignes exercent des techniques frauduleuses ou surchargent de travail leurs employé.Un employé qui qui se verra licencié pour ceci ,aura souvent gain de cause au prud'homme.Il aura juste à monter son emploi du temps,toutes les taches qui sont de sa responsabilité ainsi que son contrat de travail (qui dans de nombreux cas ne respectent pas le code du travail). Donc il est tout à l'avantage du salarié de saisir les prud'homme afin de désigné comme responsable de cette erreur le chef du personnel ainsi que le directeur du magasin(Le sommet de pyramide sera fautif pour cause de mauvaise gestion de personnel et se verra le devoir indemnisé le salarié en consequence ou de le reeintegrer,mais l'enseigne risque aussi de payé une amende consequente en vertue du code du travail pour non respect des loies du celui-ci)les prud'homme connaissent bien les problemes que l'on rencontre dans la grande distribution et des pression voir harcelement moral que les employés subissent.La grande distribution part perdante à 90% dans ce genre de procés.C'est un debut de vrai justice.
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Réponse anonyme
Le 23/09/2010 é 13h41
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Pour des brioches Deux employées du Monoprix Saint-Paul (IVe arrondissement) ont été licenciées pour avoir acheté des brioches démarquées à 1,50 franc. Faute grave, affirme la direction. Le personnel se tait. Le jeudi 26 janvier, 10 minutes avant la fin de leur service, Nadia et Edwige font quelques courses rapides dans le magasin Monoprix de Saint-Paul où elles travaillent. Comme à leur habitude. Toutes deux sont conditionneuses, depuis cinq et quatre ans: elles commandent la marchandise, la mettent en rayon, et parfois tiennent la caisse. Ce qui ne rentre pas dans leurs attributions, mais leur a été imposé. Ce jour-là Edwige s'occupe de l'assortiment du rayon viennoiseries. Elle démarque des paquets de brioches, des cakes, des pains au chocolat, dont la date de péremption approche.Une pratique courante pour écouler les stocks avant la date limite. Elle étiquette les brioches à 1,50 F (au lieu de 14,90 F), pour éviter d'avoir à les jeter. «J'ai toujours procédé ainsi depuis mon arrivée, raconte-t-elle aujourd'hui, jamais je n'avais eu une remarque de la part de mon chef de rayon.» Les deux amies achètent pour leur compte les fameuses brioches à 1,50 franc, se changent et se dirigent vers la sortie. Là, une vigile - qui est également payée pour surveiller le personnel - les arrête, les fouille, découvre les brioches et appelle le directeur. Arrivées dans son bureau, le ton monte. Il leur reproche de procéder à des démarques pour leur propre compte sans en référer à leur supérieur, s'emballe, appelle la police. Les forces de l'ordre fouillent les deux jeunes femmes, puis les embarquent. Quant au directeur, M. Boukhedid, il porte plainte. Immédiatement mises à pied, Nadia et Edwige sont licenciées le 8 février pour faute grave. «Pratiquement sorties menottes au poignet» Un mois après, les deux jeunes femmes n'en reviennent toujours pas. En l'absence de représentation syndicale dans le magasin, par ailleurs franchisé, elles se sont tournées vers la cellule locale de la CGT. Depuis, elles font signer des pétitions aux clients à l'extérieur du magasin, dans l'espoir d'une réintégration... A l'intérieur du Monoprix, peu de choses ont filtré sur l'incident. Tout juste sait-on dans les rayons non alimentaires que deux filles ont été licenciées. Les versions les plus décousues circulent sur le sujet. «Elles ont volées non?» interroge une vendeuse. Seul un chef de rayon s'indigne: «Les démarques de ce genre c'est courant, dit-il. Je ne comprends pas pourquoi elles ont été jetées de la sorte. C'est moche, elles sont pratiquement sorties menottes au poignet.» Accepterait-il de témoigner en leur faveur? «Ne vous y trompez pas, les gens ont la trouille pour leur emploi, moi le premier. Je désapprouve l'attitude de la direction, mais je ne bougerai pas.» Une petite phrase qui explique tous les silences gênés. La prudence s'érige ici en vertu. A la papeterie, une ancienne tranche: «Les démarques c'est l'affaire des chefs. Moi, je demande toujours l'avis du mien avant de faire quoi que soit, c'est le plus sûr moyen de ne pas avoir d'ennuis.» Derrière une porte au rez-de-chaussée du magasin, un escalier mène à l'étage de la direction. Une secrétaire fait barrage et s'insurge: «Pourquoi voulez-vous voir le directeur? Si elles ont été licenciées, c'est qu'il y a bien un motif. On ne renvoie pas les gens sans raison.» L'évocation d'un possible licenciement abusif la laisse sans voix: «Ça existe?» demande-t-elle, visiblement déconcertée. Les échanges avec la direction s'arrêtent là. Dans son bureau, monsieur Boukhedid, affirme avoir d'autres chats à fouetter. «A croire qu'on voulait nos têtes» Un peu plus tard, au siège de Monoprix, le responsable du personnel, gêné aux entournures, s'esquive: «Nous n'avons pas la mainmise sur nos franchisés.» Au courant des licenciements de Saint-Paul, il pense que la direction du magasin a voulu faire un exemple: «Il arrive fréquemment que des salariés profitent ou fassent profiter leurs collègues de rabais assez généreux, et pas toujours justifiés. Nous ne pouvons pas cautionner de telles pratiques. Il est cependant regrettable que ces deux employées soient renvoyées pour des brioches à 1,50 franc.» D'autant plus regrettable que cet usage était ancien dans le magasin: «Notre chef de rayon a prétendu ne pas être au courant. C'est impossible, ça fait quatre ans qu'on pratique de tels rabais sur la viennoiserie», explique Edwige. Mieux, le 26 janvier un autre salarié a acheté des brioches à 1,50 franc, et n'a pas été inquiété. «A croire qu'on voulait nos têtes», tranche-t-elle. Ecoeurée, elle déballe ses griefs: sa hantise de découvrir un produit périmé en rayon, «parce que là, pour le coup, la sanction tombait», ses engueulades avec son chef qui lui demandait d'aller en caisse et lui reprochait ensuite de pas s'être occupée suffisamment de ses rayons. Avec son CAP de comptabilité, Edwige se demande ce qu'elle va faire. Comme Nadia, qui elle, a fait de la couture, avant d'entrer au Monoprix: «Quand je pense que pendant cinq ans je me suis levée tous les matins à 5 heures pour être à 6h30 au boulot, que j'ai dû trouver une nourrice qui accepte de prendre mes enfants à cette heure-là. Tout ça pour gagner le Smic et être renvoyée de la sorte.» La réintégration? Aucune n'y croit. «Vous avez entendu les employés, pas un ne bougera. Pourquoi voulez-vous que dans ce contexte, la direction cède?» Nadya Charvet
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Le 26/03/2015 é 19h03
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Ma patronne me reproche d'avoir laissé des produit périmé en vente, je ne comprend pas comment j'en j'ai laissé passé car je regarde souvent. Je fais attention. Bref elle m'a envoyé un recommande ... J'ai étais 15 jours en arrêt maladie a cause d'un accident de trajet et comme par hasard ca arrive a mon retour. Le pire c'est que avant mon arrivé dans l'entreprise j'avais également trouve des produit perime. Enfin je sais qu'elle veut que je parte depuis décembres c'est la que le harcèlement moral a commencé
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Réponse anonyme
Le 05/02/2016 é 12h02
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Bonjour, Ma femme etait responsable d'un hardDiscount, ella a été licencié pour faute lourde à cause d'un fromage en DLC d'une journée. Elle a saisi les prud'hommes mais elle a perdu, elle a donc fait appel. A suivre mais cela fait deja 2 ans?!!!
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