Bonjour, ma mère a été opérée d'une hanche à 76 ans, elle a fait pendant le scellement de la prothèse une désaturation avec oedème pulmonaire. Le rapport opératoire n'en dit pas plus. Elle a du etre sous oxygène plus de 24 heures. Elle a 80 ans et a à présent besoin d'une prothèse à l'autre hanche. Que faire sans risquer de nouveau un oedème qui peut lui etre mortel ? Une mini invasive serait-elle moins dangereuse ? Merci
Bonjour,
L'accident qu'a fait votre maman est dû à la mise en place de la tige au niveau du fémur sans doute la tige fémorale a été cimentée.
la voie d'abord n'intervient pas dans ce type de problème.
Si la tige a été cimenté la première fois il faut alors préférer une tige non cimenté de l'autre côté, le risque de problème pulmonaire étant moindre mais non nul.
Dr Jacques Lenfant
J"ai subit une prothèse de hanche à droite, 76 ans
Je suis atteinte de la maladie de parkinson,qui évoluera on ne sait comment.
J'ai fait une demande dossier complet il y a 4 mois .car j'ai de nombreuses difficultés à marcher et les places de parking sont souvent trop éloignées.
Dossier accusé de réception complet mais plus rien depuis.
Ma hanche est bien ' opérée il y a 1 an , mais pour ma maladie dossier médical fourni, réponse par téléphonne : On attend qu'un médecin puisse venir dans ma ville, il n'y a rien a voire le constat est là !l'avis médical aussi...En attendant il faut faire de nombreux trajets en voiture pour trouver une place de stationnemnt pas trop éloiignée, et les emplacements sont souvent pas assez larges pour monter dans ma voiture.
Madame,
!
vous dites que vous ^etes atteinte de la maladie de parkinson, votre médecin ne vous a t'il pas dit que ce serait dangereux dans un temps prochain de conduire vous même votre véhicule, à moins que vous ne demandiez une place handicape pour votre véhicule conduit par une autre personne.
Référence(s) :
j'ai vécu ces moments difficiles pour avoir eu une cousine atteinte de parkinson, et un jour qu'elle conduisait il a été sur le point de faire une (brochette de cyclistes) j'ai eu le temps de redresser le volant.
Quelques temps plus tard elle m'a averti que son médecin ne voulait plus qu'elle conduise.
J'ai été dans l'obligation de lui rappeler le souvenir de ce jour là.