En contrat CAV dans un lycée parisien depuis septembre 2006, je percevais jusqu'en septembre 2009 des aides logement, bénéficiais de la réduction sociale téléphonique et ne payais pas la taxe d'habitation. en juillet 2009, 79 € de RSA m'ont été attribués pour soit-disant "mieux vivre"
En octobre 2009 les aides logement ont été tronquées de 150 €par mois, je n'arrive pas à obtenir l'attestation de réduction téléphonique bien que la CAF m'ait affirmé à deux reprise me l'envoyer de suite, et je dois payer la taxe d'habitation. Résultat, je vis bien plus mal qu'avant. En réponse aux demandes d'explication sur mon dossier, la CAF m'a dit ne pas être en mesure de me répondre et après déplacement auprès de cette CAF, il m'a été expliqué que c'est la machine qui calcule...
Bizarrement, venant de renouveler ma demande de CMU-C, je n'ai encore aucune réponse alors que mes droits se terminent au 31 décembre 2009. J'en bénéficiais car mon contrat CAV est un RMA, la partie RMI ayant toujours été versée à l'éducation nationale. Le RSA va t'il en plus me priver de la CMU-C???
Je vois mon pouvoir d'achat se réduire en peau de chagrin, c'est à dire que je vis avec moins d'argent qu'en étant au RMI. En faisant le calcul, je constate qu'on vit mieux sans travailler (je vais avoir 59 ans). Fou non?
En fouillant le Web, j'ai trouvé un article de presse de Ouest France daté du 26 novembre 2009 dont l'intitulé est : "RSA: le cas de la charolaise suscite un amendement". Le cas de cette dame (identique à mon cas) semble avoir été résolu directement et instantanément par le bureau de Mr Martin Hirsch, mais je n'ai trouvé aucune trace de l'amendement en question. Avez-vous des informations à ce sujet. Pourquoi cette information passe sous silence? Peut-elle faire jurisprudence?
Merci d'avance de la lumière que vous pourrez faire sur ce cas qui ne doit pas être isolé.