Mon père est décédé en 2010 en Algérie. En France, il laisse 4 enfants reconnus hors mariage et ma mère est française. Nous avons tous les 4 la double nationalité.
Quand il a été en retraite, il s'est marié en Algérie. Il n'a pas eu d'enfant avec sa femme.
Elle hérite de tous ses biens, y compris des droits par rapport aux moudjahid, alors que c'est ma mère qui s'est fait cuisiner par la police française, qui s'est pris les coups alors qu'elle était enceinte...Comment se fait-il que les lois algériennes déshéritent les enfants d'un défunt au profil de sa nouvelle femme ? J'ai l'impression que mon père m'a renié pour sa nouvelle femme.
Bonjour
votre question est trés importante
j'aimerais bien vous répondre mais je vous conseil de consulter un avocat en algérie et lui donner tout document comme les actes de naissances ,des photos...... confirmant votre lien
Ce qu il faut savoir , qu elle est la loi de l algérie charria ou non? Si c est le cas une femme non mariée et avec des enfants hors mariage ne sont pas considérés comme légitimes et cela est interdit la bas, faites très attention si vous allez en Algérie avec votre nationalité algérienne vous risquez à mon avis d avoir des soucis! Prudence et renseignez vous plutôt aupres d Un avocat ici en France qui est spécialisé dans le droit international.
Bonjour
tout simplement que les enfants nés hors mariage (enfants naturels) ne sont pas reconnus comme héritiers par le droit Algérien et le 2 eme épouse avec il marié en Algérie a peut être fait un acte de mariage, donc elle est seule ou pas avec d'autre héritiers( reste à vérifier s'il a des frères ou leurs enfants ou des sœurs en collatérale..)
si vous voulez hériter il faut que votre mère régularise son mariage devant un juge Algérien
Me RABAHI Notaire à Alger
tel:021.32.61.88. 05.58.79.93.78
e-mail: notaire.rabahi@gmail.co
Mon avocat et même le juge en Algérie nous ont dit le contraire. De plus j'ai la double nationalité, et j'y suis allé l'année dernière, et tout c'est bien passé. Alors si c'est pour des réponses qui ne mènent nulle part...
M° RABBAT bonjour,
Je vous remercie de l'intérêt que vous portez à notre affaire, j'étais tout à l'heure au téléphone avec mon avocat à Alger, et lui même, sachant que mes parents n'étaient pas mariés à la mairie (ou non) m'affirme que mes frères et moi sommes les héritiers directs de notre père. Sa femme n'a droit qu'à un huitième !
Mon frère a vu un juge à Alger qui lui a affirmer la même chose : alors ? Y a-t-il deux poids deux mesures ?