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Question anonyme le 20/03/2009 à 01h13
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Vous avez entre 18 et 26 ans, et l'aventure de la création d'entreprise vous tente ? Aides, accompagnement personnalisé, protection sociale... tout ce vous devez savoir avant de vous lancer. Vous avez entre 18 et 26 ans, vous êtes étudiant et la grande aventure de la création d'entreprise vous tente... Lancez-vous. Vous pouvez bénéficier d'aides pour construire et financer votre projet tout en poursuivant vos études. Sachez toutefois que le statut de créateur peut avoir une incidence sur votre protection sociale et votre bourse d'études. Aides... sous conditions Tout comme les chômeurs, les étudiants créateurs d'entreprise peuvent bénéficier de l'Accre (aide aux chômeurs, créateurs ou repreneurs d'entreprise). L'âge est le seul critère déterminant si vous avez entre 18 et 25 ans révolus pour en bénéficier. Si vous avez entre 26 et 30 ans, vous devez être ou avoir été demandeur d'emploi non indemnisé, inscrit à l'ANPE durant au moins six mois au cours des dix-huit derniers mois. Dans le cas où vous avez été indemnisé, vous obtiendrez l'Accre en qualité de demandeur d'emploi conformément aux conditions énumérées page 42. L'Accre vous permettra d'être exonéré de charges sociales (assurance maladie, maternité, invalidité, décès, vieillesse et veuvage, accident du travail et allocations familiales) pendant un an, cette exonération pouvant être prorogée jusqu'à vingt-quatre mois lorsque l'entreprise créée ou reprise a le statut de « micro-entreprise ». Un accompagnement personnalisé L'Accre ouvre droit aussi à des mesures d'accompagnement telles que les chèques-conseil (qui financent en partie des prestations de conseil personnalisé) ou le dispositif Eden (Encouragement au développement d'entreprises nouvelles), qui permet d'obtenir un prêt sans intérêts remboursable dans un délai maximal de cinq ans. Ce prêt est attribué sous réserve que le créateur soit âgé de moins de 30 ans, ou éligible aux nouveaux « services-emploi jeunes » ou encore qu'il ait été embauché à ce titre et qu'il ait perdu cet emploi. A noter que ce dispositif vient d'être légèrement modifié (décret n° 2007-1396 du 28 septembre 2007) pour être étendu aux personnes, quels que soient leur âge et leur statut, créant une entreprise au sein d'une zone urbaine sensible (ZUS) et aux allocataires du complément de libre choix d'activité. Depuis le 1er décembre 2007, la demande en vue de bénéficier de l'Accre doit être adressée au centre de formalités des entreprises (CFE) dès le dépôt de la déclaration de création ou de reprise d'entreprise ou, au plus tard, dans un délai de quarante-cinq jours. Le dossier est ensuite transmis à l'Urssaf, qui statue dans un délai d'un mois suivant le dépôt de la demande. Protection sociale : un nouveau régime Si vous avez plus de 20 ans et moins de 28 ans, vous êtes obligatoirement affilié au régime social étudiant (sauf à être assuré social à un autre titre ou en qualité d'ayant droit d'un assuré social). Dès la création de votre entreprise, vous serez affilié au régime des travailleurs non salariés si vous exercez en qualité d'artisan, commerçant, profession libérale, gérant majoritaire de SARL ; ou à celui des assimilés salariés si vous exercez en qualité de gérant minoritaire ou égalitaire de SARL ou de SELARL (société d'exercice libéral à responsabilité limitée), de président de SAS ou de Sasu (société par actions simplifiée unipersonnelle). Si vous avez moins de 20 ans, vous êtes en général affilié au régime général de la Sécurité sociale en qualité d'ayant droit de vos parents. La création de votre entreprise vous fait perdre ce statut et vous oblige à adopter le statut social correspondant à votre nouvelle activité. Par ailleurs, en aucun cas vous ne pouvez cumuler le régime social étudiant avec celui de votre activité. Notez que, si vous êtes bénéficiaire de l'Accre, vous ne serez tenu de régler les cotisations sur les revenus de votre nouvelle activité qu'à partir de la seconde année. Bourse maintenue si fréquentation assidue Si une bourse d'études vous a été attribuée en fonction de critères sociaux, et notamment parce que vous avez des ressources faibles, vous pouvez en principe travailler à temps partiel et continuer de percevoir cette aide. Mais attention, la création de votre entreprise ne doit pas vous empêcher de suivre vos cours car vous avez une obligation d'assiduité à respecter. Par ailleurs, sachez que les revenus issus de votre nouvelle activité au titre de l'année N risquent de vous faire perdre votre bourse pour l'année N + 2. « Il n'y a pas vraiment de culture entrepreneuriale dans nos écoles » Il nous a fallu un an pour préparer la création de notre entreprise, racontent Florence Bourreau-Guerinière et Pascal Loisel, cogérants de Crysalide. Une année que nous avons passée à rencontrer des professionnels du handicap et des artisans spécialisés... ainsi qu'un avocat et un expert-comptable ! Il n'y a pas vraiment de culture entrepreneuriale dans nos écoles Pascal Loisel est diplômé de l'Ecole nationale supérieure des arts appliqués et des métiers d'art Olivier-de-Serre, NDLR, nous sommes avant tout des créatifs, alors nous avons fait appel aux compétences de nos familles et de nos relations pour les aspects administratifs. En mai dernier, nous nous sommes associés à parts égales et nous avons autofinancé 80 % de notre capital (6 400 euros), le reste venant du fonds privé Petit Poucet (1 600 euros). Florence est encore étudiante en architecture à l'Ecole nationale supérieure de Paris-la Villette. Pour elle, la pression est double : elle doit obtenir son diplôme alors que nous avons déjà engrangé des commandes et remporté un appel d'offres de la SNCF. «Deux de mes professeurs m'ont conseillé, l'un en marketing, l'autre en finance » Mon idée de négoce de vins, je l'ai eue après avoir réalisé une étude de marché pour un grand cru classé, explique Sébastien Chevrier, gérant de Vindiamo. Je venais d'entrer à l'Ecole supérieure de commerce (ESC) de Bordeaux et je ne connaissais alors rien à l'univers viticole mais j'ai très vite compris que c'était là où je voulais être. Une seule stratégie s'imposait : profiter de mes études pour créer des contacts, maîtriser le langage de la vinification et découvrir les techniques. Deux stages de six mois chacun (l'un en cave, l'autre en négoce) sont venus compléter ma première expérience. J'ai vu l'opportunité de créer une vraie marque dans l'univers du vin. Mais le plus dur restait à faire : convaincre mes fournisseurs, les viticulteurs du Bordelais, et trouver des clients. Heureusement, mon projet a été très bien accueilli par le corps enseignant : deux de mes professeurs m'ont conseillé, l'un en marketing, l'autre en finance. Et c'est l'administration de l'école qui a attiré mon attention sur le prix de l'initiative du Crédit agricole. Mon business plan a remporté le concours et cela a grandement facilité les choses auprès de mon propre banquier, qui a donné son feu vert pour un prêt de 30 000 euros prêt étudiant, NDLR. Les commandes ont suivi grâce à l'ESC, qui a été un vivier de contacts : c'est comme cela que j'ai décroché la vente de 200 bouteilles destinées à un dîner de gala organisé par la chambre de commerce française à Milan. Sans cet environnement, je n'aurais jamais pu démarrer mon activité en janvier 2007, soit six mois avant d'être diplômé ! «Nous avons intégré un incubateur, ce qui nous a permis de tenir jusqu'à la création de l'entreprise » Nous nous sommes rencontrés à la fin de nos études Marc Aiguillé le gérant est ingénieur Ensem et Abdellah Boulouize son directeur associé a un master en mécanique et ingénierie, NDLR alors que nous faisions des recherches au sein du même labo, le Femto, en Franche-Comté. Les technologies que nous utilisions intéressaient beaucoup certains grands groupes industriels. Encouragés par les responsables du labo, nous avons intégré un incubateur durant un an et demi. Cela a été très bénéfique : d'abord, nous avons été salariés au titre de porteurs de projet, ce qui nous a permis de tenir jusqu'à la création de l'entreprise ; ensuite, nous y avons suivi des formations aux techniques de management, en marketing, sur la propriété intellectuelle, etc. La contrepartie est qu'il a fallu défendre inlassablement l'avancement de nos travaux devant des commissions. Aujourd'hui, tous nos efforts sont payants et nous venons même d'être désignés « lauréat national » du concours Talents 2007 !
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