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Anciens quartiers casa ferme bretonne - Page 6

Question de katyC le 30/01/2008 à 00h13
Dernière réponse le 23/11/2020 à 12h25
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Je voudrais avoir des photos dees anciennes villas du quartier la ferme bretonne casablanca.je ne les trouve nulle part dans le web. ayant grandit dan...
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134 réponses pour « 
anciens quartiers casa ferme bretonne
 »
Réponse de labes
Le 15/03/2014 é 11h46
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Bonjour Babeth Je ne remets malheureusement pas un visage sur ton nom. Quand as tu quittée le quartier ? Nous, nous étions 3 soeurs et habitions la grande villa blanche avec balcon à l'angle de la rue des Pluviers et de ta rue, Bilo et Marga y ont vécu aussi après notre départ en 67. Dans la chorale que je fréquentais à Beauséjour il y avait un pilote de ligne, ce n'était pas ton père par hasard ? Le mien était aveugle de guerre. Je vis à Pessac mais ma mère 90 ans vit à Toulouse uprès de ma soeur Colette. Amicalement. Geneviève
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Réponse de Babeth
Le 15/03/2014 é 14h25
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Bonjour, J'étais la voisine des TEZIER, nous sommes très amies depuis l'enfance avec Jeanine. Non, mon père n'a jamais fait partie d'aucune chorale ... . Je suis très amie avec Bilo ... son fils est mon filleul. Je me rappelle vaguement de ta famille, mais en fait nous ne fréquentions pratiquement personne n'allant pas dans la même école. Je suis maintenant à St Raphaël, à la retraite depuis peu que j'envisage de prendre définitivement en Corse d'où je suis originaire ! Retour à la campagne !. Amicalement. Babeth SANTONI
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Réponse de diego65
Le 15/03/2014 é 15h57
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Bonjour je m'appel gerard bardoumes grands parent habitaient face aux teruelle ils avait une petite epicerie j'ai vecu une annee avec eux et ma cousine ruby
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Réponse anonyme
Le 04/05/2014 é 20h18
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Cache-cache la boîte ? Bien sûr que je m'en souviens ... j'y ai joué avec vous ! (Jean-Gabriel Santoni)
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Réponse de labes
Le 05/05/2014 é 20h21
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Tiens donc, mais je ne me souviens pas de toi. Bigre... Nous en avons fait des bêtises dans cette rue. Je ne sais pas si tu as assisté aux courses de kart des frères Lamazouère. Nous nous positionnons à chaque coin de rue pour éviter les collisions.et les soirs de carnaval. Amitiés d'une ancienne. Geneviève
Référence(s) :
labes
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Réponse de Hafid 4
Le 08/06/2014 é 22h24
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Bonjour rejoin nous sur facebook ferm bretonne
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Réponse anonyme
Le 03/08/2014 é 16h41
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J habitais rue des Colibris
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Réponse de Babeth
Le 03/08/2014 é 21h23
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Moi aussi. Qui es tu ?
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Réponse anonyme
Le 12/02/2015 é 19h50
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Salut je suis de casablanca,j'ai véçu a la ferme bretonne de 1965 a 1995 au 45 rue des rouges gorges,la seule survivante est la plus ancienne est madame luise fallanga,j'ai des photos mais ils sont au maroc chez moi a casa ,actuellement je vis a paris.
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Réponse anonyme
Le 12/02/2015 é 20h27
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Salut Katyc,je vais essaye de t'envoye des photos des anciennes villas du quartier la ferme bretonne.parce que bientot il n'aura plus aucune villa le quartier est devenu zone immeuble.ma famille habite au rue des pluviers en face du coc rugby.a bientot Badro.
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Réponse anonyme
Le 17/02/2015 é 14h36
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Salut Katyc,j'ai des photos des anciennes villas watt,je veux bien te les envoyer ou publier,mais je sais pas ou?Badro.
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Réponse de UGO 33
Le 22/02/2015 é 14h05
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J'ai changé d'adresse je suis a DAX dans les landes
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Réponse de labes
Le 07/03/2015 é 11h51
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Pour les anciens du quartier (extrait de mon livre perso) Jeux entre amis dans le quartier 'Ferme Bretonne" Avant de débuter nos devoirs dans la salle à manger avec ma grand-mère, Nanie Zorah nous préparait le goûter pain et chocolat mais parfois elle nous faisait cuire sur son « canoun » des petites crêpes épaisses dont le chocolat fondait en leur cœur. Quel bonheur. Nous avions aussi droit, de temps à autre, à un épi de maïs grillé arrosé d’un filet d’eau salée, j’adorais croquer dans ces grains d’or qui souvent nous restaient collés aux dents. Après goûter et devoirs nous avions le droit d’aller nous amuser. C’est à cette période-là (1958)qu’une nouvelle voisine arriva dans le quartier, elle devait avoir huit ou neuf ans et s’appelait Ghyslaine MACARA, elle fut mon amie, ma confidente, ma sœur… Nous étions inséparables. J’allais également jouer dans le jardin de Monique Nouveau, à deux maisons de la mienne. Monique était une gentille fille mais avait pour habitude de toujours vouloir tenir le rôle de la maîtresse lorsque nous jouions à l’école sur les marches de son perron, j’en avais parfois assez d’être l’élève, alors je retournais dans la rue rejoindre les autres copines ou copains, Odette Carassus et son frère Jeannot, Amina El Fayache (que l’on disait être la nièce du président tunisien Bourguiba), Ghyss et ses frères Carlos et Thierry, Eric était encore un bébé, Margareth Nichols qui m’apprenait des pas de danse classique dans son jardin et son frère Billo que l’on trouvait si beau, les trois frères Aziz, Nassir et l’aîné dont j’ai oublié le nom et les trois frères Lamazouère et leur soeur. Nous avions aussi un camarade Jean-Yves Lunardi que l’on appréciait énormément. Il avait une maladie dégénérative et nous l’avons vu en peu de temps passer du vélo que son père lui apprenait à faire dans la rue à la position assise sur une petite chaise en paille pour jouer aux billes avec nous, puis un jour il perdit l’usage définitive de ses jambes. Nous avions huit-dix ans… Au bout de la rue des Pluviers habitaient les familles Kholl et Seghers mais nous ne fréquentions pas vraiment les enfants qui étaient plus âgés que nous. Vers 1962 une nouvelle famille vint s’installer dans le quartier, nous eûmes alors deux nouvelles amies Colette et Marie-France Figueras dont leur papa était amputé d’un bras. Colette avait sa meilleure amie Babeth Camou qui habitait plus bas dans le quartier et aussi Anne Defretin qui avait sa maison proche de celle de Janine Tessier et des Antoni. Notre jeu préféré lorsque nous étions nombreux s’appelait « cache-cache la boîte ». Nous devions jeter le plus loin possible une boîte en fer, celui qui s’y collait devait partir la rechercher tête baissée et la ramener à son point de départ alors que tous les autres allaient se cacher dans le quartier. A chaque fois que l’on en trouvait un, il fallait courir vers le but et taper trois fois la canette par terre. Naïve, je me faisais souvent avoir car lorsque je partais à leur recherche, ils revenaient tous au but, je perdais donc et m’y recollais une nouvelle fois. Mais nous n’étions pas de méchants amis alors au bout de trois ou quatre fois un des nôtres se proposait pour prendre ma place. Les adultes nous appelaient les filles des rues. Nous adorions le jour de Carnaval qui nous permettait de nous déguiser et d’aller le soir sonner aux portes des villas pour récupérer des piécettes ou friandises en récitant notre phrase fétiche qui débutait par « carnavali , chichibani ». Je revois encore notre amie Claude Lamazouère dans son costume de ramoneur avec sa petite échelle dans le dos et sa bouille maquillée de noir de charbon. Ma sœur Colette dans son habit de loup que ma tante lui avait confectionné, il ne manquait ni la queue ni les petites oreilles et moi bien sûr en petit chaperon rouge avec mon petit panier. Un des habitants du quartier n’appréciait absolument pas nos facéties alors nous lui coinçons un bout de bois dans sa sonnette. Un jour il sortit avec son fusil en nous menaçant. D’autres fois avec les copines nous nous amusions à cache-cache minuit dans le garage de la maison, ou plus tonique aux gendarmes et aux voleurs. C’est ainsi qu’un jour en voulant faire le mort, je me suis laissée tomber sur le dallage du jardin, en poussant un cri je me suis relevée aussi sec en me tapant sur tout le corps et en cavalant vers la salle de bain pour me passer toute habillée sous la douche car ça me piquait atrocement. Je m’étais affalée sur un nid de fourmis rouges… Nous adorions aussi nous projeter dans le monde des princes et princesses, ma sœur Coco, Ghyss , Margaret et moi empruntions des vêtements à nos mères. Ghyss avait une magnifique cape noire venant des anciennes soirées de sa maman. Nous fabriquions nos châteaux avec les chaises de la maison que nous descendions dans le jardin et que nous recouvrions de couvertures, cela faisait illusion. Le soir Zorah nous surveillait jusqu’à la dernière chaise remontée car mémé s’était heurtée à l’une d’elle en rentrant dans son studio. Notre vie au Maroc se poursuivait dans l’insouciance sous ce ciel toujours bleu azur et son soleil bienfaisant. Les soirs d’été lorsque le chergui soufflait et que la chaleur devenait suffocante, mes sœurs et moi prenions nos matelas et un drap et allions dormir sur le balcon, assommées par les parfums envoutants de la végétation luxuriante. Les couchers de soleil étaient flamboyants, les nuages rosés par l’astre décroissant dans des couleurs de flammes nous offraient de véritables tableaux féériques chaque soir. Puis la nuit surgissait noire et remplie d’une multitude d’étoiles, on distinguait très bien la voie lactée par ciel clair. 1966 - Notre bande d’amis s’agrandit, les jeunes gens et jeunes filles des différents quartiers se regroupaient, nous avons ainsi organisé nos premières surprises parties. Avec Ghyslaine nous apprenions les pas de danse grâce aux émissions françaises qui passaient à la télé. Notre famille fut l’une des premières à en posséder une dans le quartier. C’est ainsi que nous leur avons tous appris, le twist, le madison, le sirtaky et le hully gully. Je connus mon premier émoi amoureux pour un jeune homme du nom de Jean-Yves Aguilar. Il passait souvent avec son copain Christian Bombois sur leur mobylette bleue. J’en pinçais vraiment pour lui et je peux dire qu’il fut mon premier coup de foudre. Ma mère qui connaissait mon petit coup de cœur était toujours étonnée de me voir me précipiter sur le balcon dès que j’entendais au loin le bruit de la mobylette car j’étais sûr que c’était lui, et je ne ratais jamais mon coup. Bons souvenirs à vous tous Geneviève
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Réponse de mcesmat
Le 07/03/2015 é 17h52
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Salut Genevieve merci pour cette remorisationde ton journal je suis marie therese carassus la sœur de odette et de Jeannot voisine de el fayacheta lettre me touche enormement car cette enfance est inobliable dans ce beau quartier je vais souvent au maroc je sius toujours en contact avec la famille bougja lahousine bambou aziz je pense souvent aux et q estce q ils sont devenu j ai revu madame phalanga et j ai recu chez moi therese Paya je sais pas si tu le connais j ai tres contente d echangeais ce petit mot avec toi ces bons souvenirs Amitiees marie therese
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Réponse de labes
Le 08/03/2015 é 10h36
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Bonjour Marie thèrèse, Que devenez-vous tous ? j'ai quitté le Maroc tellement précipitamment en 1967 que j'ai perdu de vue beaucoup de mes amis. J'ai gardé longtemps contact avec Ghyslaine mais depuis une dizaine d'année je ne l'ai pas revu, elle est dans la région d'Albi. J'ai eu des nouvelles de Margareth et son frère et de Jacques Rouard qui est toujours au Maroc. Moi je vis dans la région de Bordeaux J'ai gardé d'excellents souvenirs de mes années au Maroc et c'est pour mes enfants que j'ai fait ce livre, je les ai amené dans le quartier lors de nos vacances en 2000. Touts mes amitiés à tous. Geneviève
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Réponse de mcesmat
Le 12/03/2015 é 17h19
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Bonjour Genevieve je viens de voir ton gentille mot ont est tous a la retraite chacun de sa fonction tu a quitter le Maroc en 1967 c est l annee de mon mariage juillet a la ferme Bretonne avec un fils Cesmat je sais pas si tu a connu cette famille j ai 3 garcons et 4 petits enfants bientôt un 5e j habite un jolie village a 4kms de Salon de provence et 20kms D Aix en provence ma sœur Odette habiteGardanne ma sœur Jacqueline Marseille mon frere Jeannot a Martigues ont est tous a 50kms les un des autres sauf mon frere Paul qui lui est en Bretagne les freres boudja viennent souvent nous voir nous sommes toujours si tu a des nouvelles de Ghislaine ma sœur odette voudrait bien la contactee la frere de Amina habite toujours la maison de ces parents excellants souvenirs de cette enfance un gros bonjour a thity et a tous les anciens de la ferme bretinne amitiees Marie Therese
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Réponse de titif2015
Le 23/06/2015 é 20h30
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Bonjour, J'espère disposer des photos de notre quartier ferme bretonne. Merci
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Réponse de BiloWilliam
Le 30/06/2015 é 11h23
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Bonjour Geneviève Bonjour à Vous anciens de la Ferme Bretonne :-) Félicitations Geneviève pour cette prose qui me replonge au plus près de ce bonheur si présent dans l'esprit de chacun il ne faut pas en douter. Nous étions réunis il y a peu chez ma Sœur avec Jeanne Tézier et Babeth Santoni, et évidemment nous n'avons cessé de parler du quartier. Est-il possible d'acheter ton livre (en plusieurs exemplaires) ? Peux-tu me le faire savoir si possible. Je ne me rappelle plus si nous communiquions avec mon adresse la Poste, mais je n'ai plus cette adresse. Amitiés sincères Bilo
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Réponse de BiloWilliam
Le 30/06/2015 é 11h39
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Bonjour Marie-Thérèse C'est Bilo Je me rappelle très bien de vous qui habitiez en face des Lunardi, le long du passage entre nos deux rues. Passage dont personne ne parle, mais qu'on fréquentait surtout pour aller faire des "bêtises" dans cette villa inhabitée à côté de celle des Rousselot (coureur auto). Tu dis habiter a côté de Salon, et ma sœur Margaret habite a Istres où je vais aller moi même habiter d'ici peu. Peut-être pourrons nous nous rencontrer ? J'ai vu Moncef, chez lui, il y a 5 ans, et avec lui, les Boukja au COC. Amicalement Bilo
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Réponse de labes
Le 30/06/2015 é 11h56
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Bonjour Bilo Je n'ai pas publié ce livre car je l'avais écrit surtout pour ma famille. Je l'avais fait pour maman qui perdait la mémoire c'est ainsi qu'elle a pu découvrir notre vie de quartier, elle qui était si absente de la maison s'occupant toujours de mon père. Il retrace notre vie auprès de cet homme par qui tout est arrivé. Te sers tu de wetransfer ? je pourrai ainsi te l'envoyer par ordinateur . Je suis enfin à la retraite depuis avril, qui sait si mes pas ne pourront me ramener vers votre coin de France. J'ai ton adresse mél. Je vous embrasse tous.
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