L'invalidité IIe cat permet effectivement un travail à temps très partiel (Régles de cumul indemnité + salaire)
Mais vous exprimez très clairement (au besoin par lLR+AR) à votre employeur que vous désirez cesser toute activité professionnelle dans l'entreprise.
La visite de reprise, aprés invalidité IIe cat, auprés du médecin du travail est obligatoire.
Elle permet de constater (2 visites à 15 jours d'intervalle) l'inaptitude au travail dans l'entreprise et donc entraine le licenciement avec les indemnités adéquates.
Le médecin du travail ne peut pas vous "obliger" à travailler ne serait-ce que quelques heures. Comme pour l'employeur exprimez lui clairement votre refus.
S'il persistait vous pouvez contester son avis en vous adressant à l'inspecteur du travail.
doc.bedel Médecin du travail
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Merci de votre réponse. Je n'ai pas pu me rendre à la visite de pré reprise. Je viens d'avoir les résultats d'une IRM - Le ménisque du genou droit est fissuré à plusieurs endroits. Nouvelle opération prévue. Malgré l'invalidité 2° catégorie qui a débuté le 1er juillet, le médecin de famille a fait une prolongation de mon arrêt de travail d'un mois. Etant donc encore en maladie, la visite à la médecin du travail a été annulée. Merci de me confirmer si tout est ok ,,,,
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C'est OK Mais :
Quel intéret d'un nouvel arrêt de travail ?
Cela retarde la procédure d'inaptitude, le licenciement, et peut etre aussi la mise en route de la complémentaire pour la pension d'invalidité.
doc.Bedel
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Lorsque j'ai vu le docteur de la médecine du travail en juin (a refusé de me recevoir car en j’étais encore en maladie), il fallait que l'invalidité soit débutée.
Il m'a laissé entendre qu'il était possible que je retravaille quelques heures. Malgré que je boitais, à sa mimique c'était de la comédie.
Au résultat de l'IRM, genou droit avec multiples fissures, donc le doc de famille a fait une prolongation, (j'étais à nouveau convoquée début juillet).
Personne ne savait me dire, s’il fallait retourner à la visite du travail en vue d’être licencié pour inaptitude, bien que l’employeur souhaite que je travaille quelques heures par jour, la médecine du travail aussi, comme avec l’histoire du genou s’était impossible, mon toubib a jugé utile de faire une prolongation de maladie. N'ayant pas de bon contact avec la médecine du travail, je ne peux pas parler "librement et directement". Pour ce toubib, je refuse de travailler (j'ai 35 ans de cotisations), je joue la comédie ect. Alors que je me sens épuisé, vidé, toutes les articulations me font souffrir. Je veux du repos, éviter les contrariétés, les jugements (cela m'épuise), et j'ai du mal à me concentrer et à réfléchir.
Une fois opéré, revisite à la médecine du travail (si plus en maladie). Si l’inaptitude est prononcée, je dois donc m'inscrire au chômage. ??
Est-ce que le chômage peut m'obliger aussi à retravailler quelques heures par jour ??
Pour le médecin de famille et mon psy, pour l'instant j'ai des "petits" problèmes de santé (hernie cervicale, ménisque du genou droit fissuré, le gauche n'est pas nickel, et les chevilles sont douloureuses et gonflées. Résultat moral en berne. A été prononcé lors d'une visite, le mot "fibromyalgie", mais jamais vu de spécialiste.
Tant que je ne suis pas licencié, je bénéficie de la mutuelle de la société, qui me couvre les dépassements honoraires pour l’opération. Pour la prévoyance salaire, je les ai informé de mon invalidité dès que j'ai reçu les titres de pension. Au premier décompte que je recevrai en août, je le leur transmettrai.
Mais vu que je suis à nouveau en maladie, je m'y perds dans les papiers.
Serais-je payé en invalidité ou en maladie ???? Avec la complémentaire prévoyance ou pas ??? Au secours.....
Merci de vos réponses.
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J'ai oublié de demander une chose : Est-il obligatoire d'être licencié, je peux rester dans les effectifs de la société ?? Est-ce un avantage ou un inconvénient ?? Ayant 57 ans, si je suis licencé et qu'un jour on me supprime l'invalidité 2° catégorie personne ne voudra de moi (surtout dans l'état ou je suis). Les questions se bousculent dans ma tête.
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