Reconaissance de légionellose contractée à l'hopi

J'ai déjà contacté le comité médical supérieur en la personne de (cf courrrier à mon nom) qui m'adresssait à la caisse primaire d'assurance maladie des Hautes-Pyrénnées. Cet établissement devrait, selon la Comisssion Informatique et Libertés me transmetttre les actes codés enregistrées à mon égard sans notion de délais. Ceci me permettrait de reconstituer un parcours de soins pour le monis falscifié par le centre Hospitalier de Lourdes siège de l'épidémie qui m'a vallu deux contaminations succcessives avec des séquelles cardiaques et neurologiques. La direction de cette Caisse Primaire se refuse à me transmettre les soins réalisés à mon numéro d'assuré car elle s'avère juge et parti dans cette affaire pour laquelle les radiologies et sérologies réalisées le furent à l'insue de mon )plein gré orchestré par un impératif qu'est l'article n°94-352 de Monsieur Douste-Blazi à l'époque Président du conseil d'administration du Centre Hospitalier de Lourdes. J 'attends donc de vous d'intervenir sur ce dossier dans les plus brefs délais sachant que le comité médical départemental se refuse à communiquer la déclaration obligatoire qui devrait avoir été produité par la DDASS alors également en charge de la surveillance radiologique de la médecine préventive dans le cadre de la solidarité départementale. Cette action me para^it d'autant plus urgent que le comité de réforme tente de me présenter comme une personnerelevant de la psychiatrie à l'appui d'experts acquis à la peu noble cause du harcèlement.