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Statut particulier des para-medicaux en Algerie. - Page 36

Question anonyme le 22/05/2009 à 18h53
Dernière réponse le 19/09/2014 à 23h37
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Tout les articles concernant notre statut particulier
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2981 réponses pour « 
statut particulier des para-medicaux en Algerie.
 »
Réponse de missou43
Le 16/02/2011 é 15h05
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Depius que nous quitter m.benhamouda qui avait le malheur de tous les travailleurs rien n'a marcher avec ce traitre qui dirige l'UGTA je faisais parti un jour mais apres avoir vu ce que le president de la republique a fait avec eu qu'il sont le seul alié du gouvernement il asigné et condanner amort les travailleurs algeriens et depuis si ont veut evaluer la situation depuis le temps des entreprise ferme des usine dans la meme situation immaginer des usine comme l'ex SOMACO destabilisee puis fermer puis vendu aune personne c'est vraiment de la foutese laisser moi tranquille svp j'en ai marre de sce pays on assez ..........................................................................................................................................................................
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Réponse anonyme
Le 16/02/2011 é 15h24
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Oui pour la démission collective des 90 000 paramédicaux de l'algérie toute entière et mettons ces menteurs au pied du mur
Référence(s) :
infirmière fière et résistante
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Réponse de youyoudoula
Le 16/02/2011 é 17h44
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Grevé illimiter jusqu’à l` obtention de notre statut particulier. avec le service minimum bien sure.
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Réponse anonyme
Le 16/02/2011 é 17h49
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En y réfléchissant un peu, je crois qu'il est grand temps pour que notre syndicat saisisse l'occasion et adhère à la coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD), histoire de se racheter au soutien donné pour briguer le troisième mandat présidentiel...... Ce mouvement citoyen et pacifique dans lequel se retrouve toutes les franges de la société algérienne et nous en sommes une partie de cette société, alors messieurs de la résidence, partageons la lutte du peuple en en tant que syndicat de professionnel et adhérons à cette manifestation, ceci est aussi un moyen pour la radicalisation de notre mouvement et de rentrer dans l'histoire de la nouvelle Algérie qui naitra bientôt.
Référence(s) :
infirmière fière et résistante
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Réponse de forttete
Le 16/02/2011 é 18h18
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Oui des sanctions vont encore tomber et tous le monde a peur puisque dans les prochains jours y'aura morts d'hommes de femmes et d'enfants la ghachi et messaoudi les deux traitre du sap vont ce rejouire mais tu sais il n'auront rien ses batards de syndicaliste de la derniere pluie et vous allez voir cheres collegues la suite
Référence(s) :
le fou qui vous aiment
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Réponse de forttete
Le 16/02/2011 é 18h48
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Bonjour cher(es) collegues akbou et fiere des ses para musicaux si vous me permetez de dire ca ils ce sont reveilleaient mais en retard juste pour faire plaisir a ghachi et son kamis et de son djelbab et de ca salle barbe avec qui soignent les malades si malheureux mais si ca la vie et le fameux messaoudi qui me fait rire cheres collegues il fait meme des gardes administratives au niveau du chu de bejaia. il n'est pas inquiter lui et il ne sera pas inquiter dans les jours a venir. dommages vous ne les connaisser pas si deux malfaiteurs qui se disent des syndicaliste .en tous cas bejaia ne sera pas fiere de ce malheureux syndicaliste parlant bien sur de rachid. mais il ya des gens a qui vous devaient faire confiance mais ils travaillent dans des defferents syndicats. tel monsieur touati nadir snapap de eph d'amizour. que je salue au passage et monsieur ziani eph amizour ujta. ce grand monsieur et sans oublie monsieur badis(eph akbou) a qui je rend un tres grand hommage ( il et malade si dernieres jours mais il tien bon comme meme ) il reviendra en force malgrer ca maladie faite confiances cher(es)colleguesy'aura du nouveau dans 10 jours et vous serais tres fieres
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Réponse anonyme
Le 16/02/2011 é 20h43
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Bnj au debut moi je suis pas un infirmier mais j'ai point de vue ..j'ai constater que les infirmiers sont pas unites c vrai que il sont les pelies de la sante ...meme la societe il ne respecte pas infirmier il sont cru que ce luis la il connu que faire injection ...la societe ou bien meme les ministre de la sante cru ca....il connu pas que l'infirmier fait tous les actes au l'algerie acte para medical et les actes medical meme churugicales c pour ca mes amis les infirmiers il faut faire vos changement pour vous arriver avos fierte et vous respecte ...votre travaille est noble et hummanitaire mais l'infirmier ila le savoir de vivre avec une fierte...je vous aime les infirmiers ..vous inquietes plus il viende vos jours inchallah le mont de farmlii viendra infirmier .......le psycologue abderrahmane
Référence(s) :
le psycologue
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Réponse de IDE
Le 16/02/2011 é 21h17
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Mes chères consœurs et chers confrères je vois que l'usure commence a faire ses effets alors nous tombons pas dans le piège parce que le ministre il attends patiemment cette état là . et la division arrange bien le ministre parce que sans solidarité et sans union notre cause tombe a l'eau et notre statut ne verra pas le jour ou bien il ne sera pas selon nos revendications alors soyons unis la mains dans la mains jusqu'à aboutissement de nos revendications qui sont légitimes. laissant tout ce qui nous divise derrière nous au nom de la corporation (corps paramédical)
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Réponse de momohabaz
Le 16/02/2011 é 22h07
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Je vous salut tous cher frère et soeur bon courage a tout les grévistes PM ,un grand bravo ,je croit que cette fois ci les rideau on tomber et l'heure de vérité a sonner la mobilisation est général tout le monde sont sensible et très conscient et déterminer je veut transmettre un méssage a monsieur le ministre et tous les ministres qui on sucsedé durant ces 20 derniére années ,si le systéme LMD EXISTER quelle serait le niveau du PM actuel et quelle serait son role réellement est ce que cela serait bénéfique pour la santé donc si l'état de la sante est ainsi ça ne serait que les conséquence du retard cause par les dirigeants qui non pas voulait admettre la veritee la reforme n'est pas dans la dalle de sols et le béton mais dans la formation ,le recyclage et la formation continue pour le médical ainsi pour le PM je tient aussi a résponsabilisais les chefs de services car eut aussi ont une grande part de résponssabélite donc monsieur le ministre ne peut que acceptes nos revendications qui sont légitimes et qui vont travailler que la santé et la santé de la population,dont notre société ne demande que ça ne perdons pas encore du temps le système le la santé actuel est très malade un hopital dou ça piéce maitresse briser et malade ne peut vous donnez les résultat souhaites donc un HOPITAL PERFORMANT =UN INFIRMIER PERFORMANT cela implique que le système LMD est une nécessité absolut
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Réponse anonyme
Le 16/02/2011 é 22h24
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Bsr a tous, moi je dis que mr GACHI est quelqu un sur qui il faut compter, avant je doutais mais maintenant; je suis sur que tout va aboutir,moi meme du SAPj'allais demissione avant la greve .maintenant, il faut une union solide. en ce qui concerne les gens qui parlent de l UGTA, je ne sais pas s'ils font expres ou naif. IL YA RIEN POUR RIEN
Référence(s) :
IDE AZAZGA
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Réponse de IDE
Le 16/02/2011 é 23h43
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Actualités : IL SERA ORGANISÉ LA SEMAINE PROCHAINE Sit-in des paramédicaux au niveau du ministère de tutelle Le mouvement de protestation du personnel paramédical ne faiblit pas. Le Syndicat algérien des paramédicaux (SAP) a décidé d’organiser, la semaine prochaine, un sit-in au niveau du ministère de la Santé. Salima Akkouche - Alger (Le Soir) - Les paramédicaux ne comptent pas mettre fin à leur mouvement de protestation avant l’aboutissement de leurs revendications socioprofessionnelles. Pour mettre la pression, le Syndicat algérien des paramédicaux (SAP) a décidé d’organiser, au cours de la semaine prochaine, un rassemblement au niveau du ministère de la Santé. «Nous avons fait appel à l’ensemble du personnel à travers le territoire national pour prendre part à ce rassemblement», a déclaré M. Gachi, porte-parole du SAP. Une action à travers laquelle la corporation veut montrer sa colère. Au niveau des structures hospitalières, la mobilisation est toujours aussi forte. «Nous n’allons pas nous arrêter. Ils veulent nous confisquer nos droits légitimes, nous ne l’accepterons jamais», affirment-ils. Des sit-in et des marches sont organisés chaque matin à l’intérieur des hôpitaux. Le personnel en grève illimitée dénonce le silence et «le mépris» de la tutelle. Les protestataires revendiquent, entre autres, le droit d’accéder aux écoles supérieures des sciences médicales à travers l’introduction du système LMD dans leur formation. Des études supérieures qui leur ont été refusées jusque-là. «Nous voulons améliorer notre niveau de formation, ce qui se répercutera sur la qualité du service», ont-ils déclaré. «Si le ministre de la Santé a réellement signé des textes juridiques avec le département de Harraoubia, qui nous permettront d’accéder aux études en master et doctorat, pourquoi le cache-t-il ?», s’interrogent les manifestants, qui, visiblement ne croient pas aux déclarations d’Ould-Abbès. Ce dernier a affirmé à plusieurs reprises que tous les textes juridiques permettant l’introduction du système LMD dans la profession paramédicale ont été signés et déposés au niveau de la Fonction publique. Les paramédicaux attestent que cette situation de crise leur est «désagréable ». Elle l’est aussi pour le malade qui est pénalisé. Les paramédicaux lancent un appel au ministre de la Santé pour trouver une solution à leurs problèmes. «On va mal Monsieur le Ministre», ont-ils pesté. S. A.
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Réponse de IDE
Le 16/02/2011 é 23h50
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Grève des paramédicaux : Le SAP décide d’un sit-in devant le siège de la tutelle 16 February 2011 09:00:00 Rabéa F. Taille du texte: Decrease font Enlarge font image Les paramédicaux ont décidé d’organiser la semaine prochaine un sit-in devant le ministère de la Santé. La date de ce rassemblement sera décidée prochainement par le bureau du Syndicat des paramédicaux (SAP). Cette action, la première du genre depuis l’entame de la grève le 1er février, est pour le syndicat «une manière de répondre au mutisme de la tutelle», souligne le SG du SAP du CHU Mustapha Pacha à l’issue de la marche à l’intérieur de l’enceinte hospitalière qui a regroupé des centaines de paramédicaux. Cette manifestation n’a cependant pas empêché les services de fonctionner. Les paramédicaux s’acquittaient de leurs tâches avec un brassard autour du bras sur lequel est inscrit «En grève». Mme Bensaad, infirmière au service de chirurgie infantile, travaille normalement tout en précisant qu’elle est en grève. «Ma conscience ne me permet pas de ne pas prodiguer les soins aux enfants qui affluent des régions environnantes, ce serait criminel de les laisser à leur sort», a-t-elle soutenu. Un professeur en médecine qui est venu apporter son soutien aux paramédicaux a affirmé que les infirmiers professionnels qui partent à la retraite ne sont pas remplacés. «Ce sont les faisant fonction comme les femmes de ménage, qui font des injections et autres soins. Ces paramédicaux qui sont sur cette place en train de revendiquer un statut et un salaire digne ont raison de se battre. Dans mon service, les urgences sont assurées à 100%. Je défie quiconque de soutenir le contraire», affirme-t-il tout en se disant révolté contre une certaine presse qui a rapporté le décès d’un malade suite à la grève des paramédicaux. Le SAP s’est dit ouvert au dialogue avec la tutelle mais avec une invitation officielle. «Nous ne cherchons pas le pourrissement, bien au contraire nous voulons un dénouement heureux à notre situation», ont affirmé en chœur les paramédicaux rassemblés devant la stèle après avoir fait le tour de l’hôpital, les banderoles en main. De son côté, la tutelle a, dans un communiqué, annoncé que les doléances des paramédicaux sont prises en charge. Il s’agit de l’intégration du système LMD dans le cursus de formation, la classification à la catégorie 11 et la réintégration des collègues suspendus de leur travail. Avant la dispersion des paramédicaux qui doivent rejoindre leur poste de travail, M. Touri a fait savoir que la paye du mois de janvier est toujours bloquée au CHU de Mustapha.
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Réponse de galien
Le 17/02/2011 é 00h26
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Bonjour il ne faut pas trop esperer pour que le statut particulier est soit pret et deposer a la fonction public, je ne croie pas car croire c est un demi probleme ilsufit avoir conscience pour avoir ce quand veut LA GREVE cest la solution de tout les questions ATTENTION le mois de juin 2011 est presque arrivee
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Réponse anonyme
Le 17/02/2011 é 08h28
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Bjr tlm je veux just une proposition a mes confrere infirmier . du moment que l'administration des hopitaux a commencé a des sanction envers des infirmier voir mon hopital que le dj a suspondu 4 de mes colegue greviste je vois que donner une dimission collectif n'es pas la seul solution puisque nos chere confrere en parallele vont exercé leur boulo ds les clinique privé il faudrai meme arreter le travaille ds ces clinic en soutenant notre greve puisque les malades s'oriente vers les clinic en trouvant la porte ouverte il faut que les citoyen algerien presse sur le gouvernemnt pour qu'il trouve solution (soutenant nos confrere)
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Réponse anonyme
Le 17/02/2011 é 11h36
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Paramédicaux de toute l’Algérie unissez-vous,pour une fois montrons que nous sommes dignes .je suis sure que si nous restons mobilisés,alors l'aube ne serra que proche.n'ayez pas peur ,car la peur est dans leur camp. Hissez le niveau et merci à tous. PM d'AKBOU BEJAIA
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Réponse anonyme
Le 17/02/2011 é 11h47
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Bonjour a tout les paramédicaux.chers collègues on est certain plus que jamais qu'on ne peut avoir nos revendication (statut particulier) sans avoir recours aux grèves et surtout avec de tels responsables qui je ne sais pas pour qui nous prennent.par ailleurs on estime que les citoyens soient compréhensifs COLLEGUE
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Réponse anonyme
Le 17/02/2011 é 11h52
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Mr d'amizour je te salue d'abord ,moi je ne suis ni du sap et encore moins de l'ugta ,qd a mr touati nadir que je salue également c un ami que je respecte et que je connais depuis 1985.le message que je veux passer si aujourd'hui j'adhere à cette greve c parcequ'elle vient un moment trés sensible. pas pour les beaux de x ou de y salutations respectueuses.
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Réponse de IDE
Le 17/02/2011 é 11h53
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ELLES SERONT MISES EN APPLICATION DANS LES PROCHAINS JOURS De nouvelles mesures pour calmer la rue 17 Février 2011 - Page : 3 Lu 3535 fois Apaiser les tensions actuelles Benbada, Louh, Harraoubia, Djoudi, Ould Abbès et Moussa sont autant de ministres chargés de redonner à l’Etat sa crédibilité. En réponse à la requête du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, plusieurs membres du gouvernement ont donné des directives aux responsables de leurs différents secteurs au niveau des wilayas et des institutions économiques. Cette initiative tend à apaiser les tensions actuelles et à pondérer le comportement des responsables envers les citoyens en général, et les travailleurs plus particulièrement. Parmi les mesures prises, il y a l’allègement des procédures administratives ainsi que «la prise en considération des préoccupations relevées par la population», indiquent certaines sources à la presse. Dans ce contexte, le ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales, a été le premier, selon les mêmes sources, à avoir pris les mesures nécessaires dans ce sens. Cela par des instructions fermes aux maires d’être mieux à l’écoute des besoins et des préoccupations de leurs administrés, comme d’être particulièrement attentifs aux préoccupations des jeunes chômeurs. Le ministère a pareillement appelé à ne pas minimiser les revendications exprimées par cette frange de la population. Il est ainsi recommandé de travailler en coordination avec les divers secteurs afin de répondre au plus grand nombre de sollicitations des jeunes chômeurs. Pour sa part, Tayeb Louh, ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, a instruit les différents responsables de son département et des agences de l’emploi de diligenter toutes les demandes en souffrance. M.Louh a, d’autre part, exigé l’amélioration de l’accueil des jeunes chômeurs et demandeurs d’emploi, comme de prendre en considération leurs dossiers. En guise de suivi de ces instructions, M.Louh a ainsi effectué des visites surprises aux différentes agences de l’emploi, afin de constater par lui-même la qualité de la prise en charge de cette catégorie de personnes. Dans ce même contexte, le ministre de l’Habitat et de l’Urbanisme, Noureddine Moussa, a réitéré la nécessité d’accélérer les finitions des quartiers achevés. Il a notamment mis l’accent sur leur aménagement et la distribution, dans les plus brefs délais, des logements. Il a aussi prié les responsables des départements concernés, de travailler en coordination avec les autorités locales, pour rassurer les citoyens bénéficiaires de ces habitations, et les informer des délais de remise des clés. De son côté, El Hadi Khaldi, ministre de l’Enseignement et de la Formation professionnels, a demandé la régularisation immédiate des stagiaires et des travailleurs qui attendent leur dû depuis 2009. Quant au ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Rachid Harraoubia, il a exigé plus de flexibilité et de compréhension de la part des médecins envers leurs étudiants. La même chose pour M.Ould Abbès, ministre de la Santé, qui a demandé aux responsables des centres hospitaliers et des hôpitaux de faciliter les procédures d’admission des malades. Il a aussi, demandé aux responsables au niveau de son ministère de recevoir les représentants du syndicat des paramédicaux. Le ministre du Commerce, Mustapha Benbada, est aussi en tenue de combat. C’est à lui qu’échoit la tâche d’introduire sur le marché les mesures concernant la disponibilité des produits alimentaires et la régulation de leurs prix. Encore faut-il que le département de l’Agriculture dirigé par Rachid Benaïssa, puisse fournir une production suffisante en produits divers pour remplir le couffin de la ménagère. Du côté du ministère des Finances, c’est Karim Djoudi qui doit veiller à ce que les subventions puissent parvenir à leurs bénéficiaires et que les entrepreneurs publics et privés puissent traduire sur le terrain les encouragements à l’investissement. Des aménagements sont contenus dans la loi de finances pour faciliter le recrutement et la création de l’emploi. Le ministère est chargé de répartir les revenus tirés de l’exportation des hydrocarbures. Ils permettent au gouvernement Ouyahia de dégager 1200 milliards de dinars en tant que transferts sociaux. C’est ce qu’avait affirmé depuis une semaine, Kamel Aïssani, directeur des transferts sociaux et de la protection sociale au ministère des Finances. Ces transferts sont l’équivalent de 15 milliards de dollars. Le ministre de l’Intérieur, Daho Ould Kablia, est aussi en première ligne. Nardjes FLICI
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Réponse de IDE
Le 17/02/2011 é 12h37
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La grève des paramédicaux se poursuit Les infirmiers s’insurgent contre Ould Abbès El Watan, 17 février 2011 Ould Abbès dégage», «Promulguez notre statut», «Statut et dignité», ce sont là les slogans scandés par le personnel paramédical depuis le 8 février dernier, date de l’entame de leur action de protestation illimitée. Depuis cette date, les hôpitaux et les polycliniques du secteur public fonctionnent au ralenti, mais cela ne semble pas inquiéter nos responsables en haut lieu. Les pouvoirs publics, à leur tête le ministre de la Santé et de la Réforme hospitalière, n’ont pas daigné se rapprocher de ces travailleurs, s’inquiéter de leurs préoccupations et tenter de trouver des solutions au fond des problèmes posés. Ould Abbès ne fait que multiplier les communiqués incendiaires, irritant ainsi les grévistes. Face à l’indifférence et au mépris affichés a leurs encontre, les paramédicaux ont opté pour la poursuite de leur mouvement de protestation tout en promettant sa radicalisation dans le cas ou la tutelle continue à se confiner dans son mutisme. Manque de considération Rencontrés dans les différents hôpitaux (CHU Mustapha, ex-Maillot, Belfort, Kouba...), les infirmiers pensent qu’ils ne sont même pas considérés comme des diplômés d’Etat mais comme de simple «farmli». Ce mot est vomi par les fonctionnaires de ce corps. «Si vous saviez comme les paramédicaux ont horreur de ce mot. Nous sommes des techniciens supérieurs, nous assistons les chirurgiens dans les blocs opératoires, les praticiens lors des consultations. Notre tâche ne se limite pas à la réception des dossiers des malades», fulmine une infirmière. Dans la cour de l’ancien hôpital Maillot (Debaghine actuellement), les infirmiers – leur blouse blanche porte une petite inscription : «paramédical en grève» – discutent de leurs problèmes. Pour rendre visible leur mouvement, ils ont marché hier dans l’enceinte de l’hôpital avant de s’arrêter devant la stèle érigée à la mémoire des praticiens et infirmiers mort lors des inondations de Bab El Oued. Le ras-le-bol est palpable. «Malgré les sanctions qui ont touché certains de nos collègues et les pressions exercées sur nous par l’administration, nous tenons bon. Nous avons appris que des grévistes ont été rétrogradés et d’autres ont été destinataires de réquisitions les obligeant à demeurer dans leurs services respectifs. Cela est contraire aux lois de la République», lance un infirmier, qui s’interroge sur le droit à la grève et sur l’exercice de l’activité syndicale ! «Ould Abbès doit comprendre que les infirmiers ont eux aussi le droit de se révolter et d’exiger l’amélioration de leur conditions de travail», note un syndicaliste. Les infirmiers expliquent qu’ils sont au chevet des malades à longueur de journée, qu’ils travaillent sous pression et dans des conditions catastrophiques : «Nous préparons les cures de chimiothérapie, nous assurons les gardes, nous accompagnons les cancéreux en phase terminale… et nous sommes les plus mal lotis. M. Ould Abbès ne devrait pas nous sous-estimer», s’énerve une infirmière. Scandalisé par les déclarations du ministre de la Santé, un autre paramédical rappelle à qui veut l’entendre que les infirmiers ne sont pas des robots ni des minables. Dans les jardins de l’hôpital Mustapha, tout y passe. Chacun y va de son commentaire. Pouvoir d’achat érodé «Nous subissons, en plus de la pression, toutes les insultes du monde, s’il y a un petit problème dans les services c’est le paramédical qui paye. Alors que les salaires que l’on nous donne c’est à peine s’ils nous permettent de survivre», s’indigne un infirmer qui rappelle à Ould Abbès qu’avec 25000 DA on ne peut pas subvenir aux besoins d’une famille modeste, notamment avec la cherté de la vie. «Nous ne demandons pas la charité, nous voulons un salaire digne et nous voulons des responsables compétents à la tête des services. L’administration n’est pas à notre écoute, elle est plutôt du côté de la tutelle», s’insurge un infirmier. Selon les paramédicaux que nous avons interrogés, la nouvelle grille des salaires n’a rien changé à leur situation. «Si on a recours a des grèves, c’est que rien n’a été appliqué», nous dit-on. A propos du statut des paramédicaux, le porte-parole du SAP souligne que «le projet de statut dont a fait part le ministre et déposé à la Fonction publique… ne peut aboutir et est sans aucune valeur», dès lors que ledit projet n’avait pas ce que le syndicat appelle «l’ancrage juridique», puisqu’il n’était pas appuyé par le protocole d’accord LMD liant les ministères de la Santé et de l’Enseignement supérieur, ni par le décret sur la formation des paramédicaux. Les infirmiers tiennent enfin à décliner toute responsabilité quant aux risques d’enlisement de la situation et que toute «la campagne médiatique menée tambour battant pour casser la dynamique du SAP a échoué et a eu l’effet inverse». «Les paramédicaux sont la cheville ouvrière de tous les services, le ministre doit comprendre cela comme il doit savoir que nous ne renoncerons pas à notre grève si nos revendications ne sont pas prises concrètement en charge», note M. Ghachi, du SAP. Nabila Amir
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Réponse anonyme
Le 17/02/2011 é 15h00
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اليس هذا المواطن هو الذي يدعي ان الممرضين لا يفعلون شيئا انا اقول لك ايها المواطن فبدون الممرض الطبيب لا يستطيع فعل شيء فهو يحرث منذ طلوع الفجر الى ما بعد غروب الشمس دون وجبة ساخنة ولا غرفة للاستراحة ولا الجلوس حتى عى كرسي مريح والعطلة غير موجودة وان وجدت فبالتقسيط لانه لايوجد مستخلف هذا غير المواجهة مع اولياء المرضى وفي النهاية يتلقى اجرا زهيدا لذا ايها المواطن عليك ان تقف مع الممرض على الاقل من اجل الخدمات التي نقدمها في البيوت دون مقابل رغم انه ممنوع ومع ذلك نحن نغامر من اجل الانسانيةومع ذلك اقول -مايحس بالجمرة
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