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Statut particulier des para-medicaux en Algerie. - Page 33

Question anonyme le 22/05/2009 à 18h53
Dernière réponse le 19/09/2014 à 23h37
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2981 réponses pour « 
statut particulier des para-medicaux en Algerie.
 »
Réponse de IDE
Le 09/02/2011 é 13h28
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Le SAP a ratissé large à Constantine Les paramédicaux se mobilisent avec un taux de suivi de 84% 02-02-2011 image Photo : S. Zoheir De notre correspondant à Constantine Nasser Hannachi «Ya Abbes, chibh tabi houa el assas ! [le paramédical étant l’essentiel].» C’est le slogan scandé hier par les paramédicaux lors de leur premier jour de débrayage. Le taux de suivi a atteint 84% à l’échelle de la wilaya et touché, outre le centre hospitalier Ben Badis, des établissements de santé de proximité à Hamma Bouziane, Mentouri et des EHS au Khroub et à Zighoud- Youcef. On peut confirmer le bon suivi du mot d’ordre surtout au CHU avec près de 98% de mobilisation. Quelque 450 paramédicaux y ont observé une marche pacifique revendiquant leur statut, notamment «frappé de la motion LMD», dont une copie ne leur a pas été remise pour consultation comme consigné au terme des négociations ayant eu lieu entre le Syndicat des paramédicaux (SAP) et le ministère de la Santé. Cependant, un service minimum a été garanti dans toutes les structures de soins, selon la coordinatrice nationale, Mme Khelifi. Celle-ci déplore toute cette latence observée dans le département de la santé qui n’a pas daigné rendre compte du statut avant sa promulgation et son entrée en application. «C’est le syndicat qui a négocié avec le ministère. On est les seuls habilités à défendre la profession et le personnel. Le SAP existe depuis septembre 2004», martèle notre interlocutrice. Et de renchérir : «Nous voulons que le statut entre en vigueur dans les délais impartis, avec en prime l’intégration du système LMD, tableau A, catégorie 11. Il est inadmissible que d’autres parties s’expriment à notre place.» Sur un autre plan, Mme Khelifi désapprouve les «supputations» qui tentent de ternir l’image de ce corps indispensable à la santé. Et surtout «les fax d’intimidation arguant que la grève est illégale alors qu’un préavis en a été brandi». Pour sa part, M. Jemam, chargé de l’organique au sein du bureau de Constantine, attire l’attention sur le fait que «l’arrêté interministériel entre le SAP et le ministère de l’Enseignement supérieur devra nous inclure dans le système LMD pour espérer une augmentation de 40% dans le régime indemnitaire au lieu de 25%, comme c’est le cas maintenant», a–t-il insisté avant d’ajouter : «Les paramédicaux sont les derniers à attendre la concrétisation de leur statut qui demeure sur les bureaux de la fonction publique. Nous sommes demeurés patients depuis trois ans. C’en est trop !» «Si d’ici là le ministère persiste dans son mutisme, une grève illimitée sera actionnée le 8 février prochain», a menacé le SAP, section de Constantine qui prend la défense des droits de plus de 2 000 professionnels.
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Réponse de IDE
Le 09/02/2011 é 13h43
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La grève illimitée largement suivie Les paramédicaux dénoncent les intimidations de la tutelle 9 Fevrier 2011 Mustapha Chérif, membre du bureau national et assistant du secrétaire général du SAP, a dénoncé « les intimidations et les pressions » exercées par le ministère de la Santé contre les grévistes. La grève illimitée des paramédicaux, qui a débuté hier, semble avoir enregistré une forte adhésion. En effet, selon le syndicat algérien des paramédicaux (SAP), qui a appelé à ce mouvement de protestation, « la grève a été largement suivie ». « L’appel à cette grève illimitée, qui a suscité un véritable engouement des paramédicaux, a été en effet largement suivi dans une quarantaine de wilayas puisque le taux de suivi enregistré en début d’après midi a été de 88 a été de 88,35% » a indiqué Mustapha Chérif, membre du bureau national et assistant du secrétaire général du SAP, Lounes Ghachi. Mustapha Chérif, joint hier, a dénoncé au nom du SAP « les intimidations et les pressions » exercées par le ministère de la Santé contre les grévistes. « Le ministre de la Santé a réuni avant-hier dimanche tous les directeurs des établissements hospitaliers de la capitale en leur donnant pour unique instruction de briser la grève » a précisé notre interlocuteur ajoutant que « toute l’administration centrale nous est tombée dessus et les gestionnaires des établissements hospitaliers ont ponctionné les journées de grèves et ont aussi menacé de suspendre des postes supérieurs tous les grévistes». Pour ce membre du bureau national du SAP « nous sommes victimes d’une machination, car au lieu d’ouvrir les portes du dialogue et essayer de trouver des solutions aux revendications légitimes des paramédicaux, le ministère a préféré opter pour la répression. Mais malgré cela nous sommes déterminés à poursuivre le combat jusqu’à la satisfaction de nos revendications ». Ces revendications, pour rappel, portent essentiellement sur l’introduction de la formule du LMD (licence master doctorat), soit une formation universitaire Bac plus 3, avec le tableau A catégorie 11. Le SAP exige aussi la réintégration des cadres syndicaux suspendus depuis des mois par la tutelle et qui sont, depuis, sans salaires. «Cette mesure de suspension constitue une grave injustice à l’égard de la corporation des paramédicaux » dira encore Mustapha Chérif avant d’ajouter que « nous n’avons reçu aucun signe de la part de la tutelle qui observe le silence total alors que le SAP demande l’ouverture d’un dialogue sérieux». Cette grève a mobilisé l’ensemble de la corporation des paramédicaux comme c’était le cas, hier, au CHU de Mustapha Bacha. En effet, dans le plus grand hôpital du pays, le mot d’ordre de grève était largement suivi tant, selon le secrétaire général du SAP au niveau de cet établissement hospitalier l’adhésion a été de l’ordre de 80 à 85%. En effet, selon Touri Kamal, qui a présidé une réunion extraordinaire de grévistes au niveau du siège du syndicat, le nombre de grévistes a atteint le chiffre de 1.650 personnes. Dans son allocution il dira, à propos de la revendication de l’introduction du LMD dans la formation, que « cette revendication s’explique par notre souci d’améliorer le savoir faire des paramédicaux et ce au bénéfice exclusif de la santé des Algériens ». Soutenant que le LMD est en œuvre dans plusieurs pays, dont la France, l’orateur dira que « l’on veut juste un statut et l’intégration des syndicalistes suspendus injustement. A l’occasion nous dénonçons aussi les intimidations de l’administration qui a transmis des instructions aux surveillants chefs médicaux pour qu’ils sévissent contre les grévistes ». Il a ajouté que « le SAP, qui ne fait pas de politique, assure un service minimum comme le stipule la réglementation » avant d’appeler les grévistes à observer un sit-in. Rappelons que cette grève illimitée a été précédée, les 1 et 2 février passé, par deux jours de grève. C’est dire toute la détermination des 90.000 paramédicaux alors que le ministre de la Santé, Djamal Ould Abbès, qui semble avoir fermé toutes les portes du dialogue et qui a déposé au niveau de la direction générale de la Fonction publique un projet de statut particulier pour cette catégorie socio -professionnelle, ne cesse de clamer que les revendications des paramédicaux sont prises en compte. Le débrayage « totalement injustifié » selon le ministère de la Santé Le ministère de la Santé , de la Population et de la Réforme hospitalière, continu de considérer que le mouvement de débrayage , déclenché hier par les paramédicaux, à l’appel de leur syndicat, le syndicat algérien des paramédicaux (SAP), n’a aucune justification . « Les grèves du 2 février, ainsi que celle de ce jour, 8 février 2011, sont totalement injustifiées et ont été déclarées illégales par la justice, car non fondées » a, en effet, relevé le ministère dans un communiqué rendu public hier. Le ministère a indiqué, de ce fait, que les établissements publics de santé sont « opérationnels » et que les professionnels de la santé sont « mobilisés » pour prendre en charge les citoyens. Et même s’il ne l’a pas explicitement souligné dans son communiqué le département ministériel de Djamal Ould Abbas considère que le mot d’ordre de grève n’a pas été suivi par les paramédicaux et au moment où les initiateurs de cette grève évoquent un taux de suivi de 88, 5%. Lors du précèdent mouvement de grève, déclenché par le SAP les 1 er et 2 février, le ministère a donné un taux de suivi oscillant entre 0 et 15%. Le ministère rappelle dans son communiqué que le nouveau projet de statut avec LMD (licence-master-doctorat) et la classification à la catégorie 11 a été déposé à la Direction générale de la Fonction publique avant le premier février et ce, « conformément aux engagements pris par le ministère auprès de l’ensemble du corps des paramédicaux, ainsi que les engagements pris par le ministre de la Santé ». Par : Kamal Hamed
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Réponse de IDE
Le 09/02/2011 é 13h55
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Http://www.elwatan.com/dessins-du-jours/img/HIC/2011/20110209.jpg
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Le 09/02/2011 é 14h01
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GRÈVE LARGEMENT SUIVIE HIER Les paramédicaux paralysent la Santé «Les ponctions sur salaires décidées par l'administration, les menaces et les intimidations du ministère de la Santé n'auront pas raison de notre détermination d'aller jusqu'au bout de notre action», soutiennent les paramédicaux. La grève à laquelle a appelé le Syndicat algérien des paramédicaux (SAP) a été largement suivie. Hier, la paralysie a été perceptible au niveau des hôpitaux, polycliniques et autres centres de soin de proximité de santé publique. À la polyclinique des brûlés à Alger, le débrayage a été suivi à hauteur de 95%. Un infirmier au niveau de cette structure de santé ne voulait plus croire aux déclarations du ministre de la Santé selon lesquelles les préoccupations des paramédicaux ont été prises en charge. Pour lui, ce ne sont que des simples promesses voire des paroles destinées à être trahies à l'avenir. Au niveau national, le taux de suivi avoisine les 88%, nous a déclaré le secrétaire général du SAP, Ghachi Lounes. Et notre interlocuteur de confirmer que l'administration a usé de tous « les moyens illégaux pour parvenir à casser la dynamique de grève. Pour le SG du SAP les paramédicaux n'ont pas reçu notification d'une quelconque décision de justice décrétant leur grève illégale. Au niveau de l'hôpital Mustapha Pacha à Alger, le service était au ralenti en ce premier jour. Une centaine de paramédicaux se sont rassemblés au Centre Pierre et Marie Curie. Ces derniers n'arrivaient pas à comprendre les menaces de ponction sur salaires et les intimidations de l'administration de l'hôpital à leur encontre. Ils regrettent surtout la manière avec laquelle le département de Djamel Ould Abbès répond à leur action, « pourtant garantie par la constitution ». Les paramédicaux soutiennent, à cor et à cri que leur grève ne souffre d'aucune irrégularité. D'autant qu'un préavis a été déposé dans les normes requises à la tutelle. Le service minimum a été assuré à travers tous les établissements de santé. Pour ces raisons et bien d'autres, le personnel du paramédical est déterminé à aller jusqu'au bout de son action, soit jusqu'à la satisfaction entière de ses doléances. C'est peine perdu d'avance, soutient-il, que de croire que c'est par ces pressions que le ministre pourrait venir à bout de notre détermination. «Aujourd'hui, nous constatons que le ministère au lieu de nous répondre par des mesures concrètes à même de mettre fin à notre bras de fer qui n'a que trop duré, le voila qu'il préfère la politique du bâton», annoncent-ils, avant d'affirmer, sans amertume, que le département de Ould Abbès a réagi à notre mouvement alors que le bon sens aurait été d'agir par une réponse de fait à nos revendications socioprofessionnelles. Ces doléances n'ont rien à voir d'avec la politique. Et là, les paramédicaux voulaient, à coup sûr, rétorquer au premier responsable du secteur qui avait, lors d'une déclaration faite à la presse au cours de la conférence nationale sur la politique de la santé organisée du 3 au 5 février à Alger, déclaré qu'il ne voulait point de « la politique au sein de son secteur ». Sur ce même registre, les revendications du corps médical sont : la promulgation de leur statut particulier et leur intégration dans le tableau « A » catégorie « 11 », la réintégration des cadres syndicaux suspendus, un salaire digne et une meilleur considération. Inutile de rappeler dans ce sillage, que le personnel paramédical a été exclu de la conférence sur la santé. Une exclusion interprétée par les praticiens de la santé publique de « ridicule » et « d'inique ». Enfin, les paramédicaux réclament, également, à être intégrés dans le système LMD (Licencemaster- doctorat) pour bénéficier d'une formation (Bac+4). Amokrane Hamiche
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Réponse anonyme
Le 09/02/2011 é 14h08
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Walah ghir hbeeeeeeel Policier est classé dans la 8 doivent recevoir un salaire estimé à 36000 DA ALLAH YBERK BIDOUN HASSAD infirmier est classé dans la 10, doivent recevoir un salaire estimé à 22000 DA ALLAH LA YBAREK FI YAMEK YA FILS DE ABBAS
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Réponse de algeriano
Le 09/02/2011 é 14h34
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BRAVO à tout les PM d'algerie pour leurs solidarité et unions,continuez jusqu'a l'obtention de notre STATUT COMPLET,avec LMD+catigorie 11 +un salaire de dignité+ des différentes indemnités...LA GREVE est dans la bonne voie pour le 2e jour et en parfaite réussite avec un taux estimé à + 90 / pour cent,le SAP ALLEZ en avant restez solide et férme jusqu'a l'arrachement de nos droits ligitimes,one-two-tree viva les paramédicaux.........
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Réponse anonyme
Le 09/02/2011 é 16h43
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Mille fois bravo les collègues, nous avons encore réussi à résister aujourd'hui à toutes les pressions de ces pauvres administrateurs qui n'avaient aucune conviction dans l'exécution des ordres de leur supérieur Ben Promesse.Nous sommes un corps défendant sa dignité, son honneur et son existence en tant qu'acteur incontournable dans le système de la santé algérienne alors tenons encore bon ET POURSUIVONS NOTRE CONTESTATION
Référence(s) :
infirmière fière et résistante
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Réponse anonyme
Le 09/02/2011 é 17h37
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Continuons mes collégues, on est sur la bonne voie
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Réponse anonyme
Le 09/02/2011 é 20h11
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Tu es completement à coté mon fils il faut etre à joure comme il le faut oui je suis d'accord il y a des minables parmies les paramedicaux tel que par exemple le surveillant du bloc de kouba larbaoui mohamed l'ignorant leche botte des prof
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Réponse de MENAA
Le 09/02/2011 é 20h23
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Bsr a tous les para medicaux greviste et non greviste un geste tres humanitaire pour le menteur de l'etat c'est pas comme ca les revolutionnaires du 1er novembre et les anciens moudjahidines n'ont pas des trahisons comme toi vive nos martyres mais attention ton bouchon va disparaitre et dehors comme les autres tu ganeras rien de tout nous sommes tous des algeriens on a le droit a la devise proriete du peuple . pourquoi les enseignants ont obtenus leur droit toute revendications a ete corrigees par leur respensable (ministre et syndicat ) les agents des P T T recoivent j'usqua 50.000.00 da un medecin recoit 34000.00 c'est une honte un receveur de dans une commune recoit une prime de 9000.00DA un para medical responsable d'un sous secteur polyclinique service ne recoit aucune prime mais c'est grave les P M algeriens sont des extras terrestres des juifs des corps etrangers dans leur pays ou est la justice ou est l'egalite ou le nationalisme vous etes des musulmans je regrete vous etes des indigenes des avars des diables des crapaux des sangulants etc... remplir le compte en devise en DA comme moubarek et zine el abidine notre algerie est partagee entre les grands responsables ou est notre part ???????? avoir peur du DIEU parceque tous le monde va mourir rien n'echappe a la mort apres lamort c'est une autre vie ya ni president ni general ni obama ni la mecque ni pelerinage pour effacer toute la fortune volee toi ou autre l'essentiel on mange et en vie mefier vous vous etes sage vous necessitez pas les conseils DONNER LES DROITS QU ILS Faut A CES PARA MEDICAUX QUI souffrent de la cheete des produits de premiere urgences (nouriture ) la greve va continuee ne t'inquiete pas tu va ceder le pouvoir comme tes precedents aujourd'hui ou demain soit un remaniement ou mort ou changement du gouvernement ou demmission du rais seul le dieu qui est au courant mefier vous prendre vos precautions donner leurs droits normalement un para medical c'est le pelier pierre angulaire de la sante le medecin ne peut rien faire sans le para vmedical et vi versa ils ont mare de vos promesses etre seriuex c'est mieu que la franchise mes chers para medicaux la feuille de route est la greve est une solution ideale pour nes menteurs voleurs trahisons des martyrs nous sommes de vrais algeriens on est fiere de l'etre AMAZIGH AMAZIGH ET BERBERE MUSULMANS JE LE SUIS VIVE LALGERIE MON PAYS DAMOUR VIIVE NOS MARTYRS ............ BONNE CHANCE A TOUS LES PM DALGERI E QUE DIEU AVEC VOUS UN GOUVERNEMENT FAIBLE VA DISSOUT COMME NOS VOISINS TUNISIENS ET LES EGYPTIENS MAIS LE RAIS VA SORTIR TETE HAUTE PATIETEZ PATIENTEZ PATIENTEZ
Référence(s) :
JACK MENAA GRANDE KABYLE BERBERE
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Réponse anonyme
Le 09/02/2011 é 22h20
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Aux responsables du SAP.pourquoi votre site est fermé aux revendications des PM,et vous avez le culot de publier dans un forum qui vous appartient pas .pourquoi vous avez fait la sourde oreille aux syndicats AUTONOMES des fonctionnaires,vous jouez un rôle machiavéliques moyenâgeux.vous essayez d'absorber la colère des paramédicaux pour un résultat que dieu seul connait son issu.l'avenir nous le prouvera.
Référence(s) :
paramedical mecontent
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Réponse anonyme
Le 09/02/2011 é 22h24
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Ouled abbas= moubarek ( kif kif ) mais nous en est des algeriens en algerie en aura notre statut afont pour la greve mais frere ne pas baissé les bras sais notre dernier chance.
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Réponse anonyme
Le 10/02/2011 é 06h11
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Bonjour mes consoeurs ainsi que mes confrères , c'est un plaisir et un honneur d’être un paramédical en voyant cette engouement qui s’accentue de jour en jour cette solidarité du notre corps presque toutes les wilaya en répondue présent , moi qui suit en relation avec plein d'amis des autre régions maintenant on pourra dire que la peur a changé de camp même ses menaces dignes des années soviet ne nous font plus peur ( les fameuses réquisitions l'arrachage des banderoles les menaces a peines voilés de quelque directeur par tous heureusement l'envois de faux malades pour les intimidations , etc etc . les retraits sur salaires , sur salaire avec passages à la commission de disciplines hi hi hi . une proposition qui nous à été soufflé par un ami de l’hôpital maillot c'est une démission collective de tout le personnel le même jour et le même moment. une chose et sur nous allons gagné inchallah l'infirmier
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Réponse de djams15
Le 10/02/2011 é 11h07
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Bjrs c'est une reussite totale BRAVO les gars et encore plus de persévérance la fin de la HOGRA approche .s'ils veulent amputer sur la salaire qu'ils le fassent on a l'habitude car depuis longtemps que le PM vit au dessus du seuil de pauvreté ajouté a ça le mepris et la HOGRA avec un grand H, REGARDER NOTRE CHER MINISTRE IL PANIQUE DU JOUR AU LENDEMAIN ET IL FINIRA TOT OU TARD PAR LACHER DU LEST ..BON COURAGE ET MERCI
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Réponse de IDE
Le 10/02/2011 é 14h20
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Grève des paramédicaux : Les grévistes durcissent le ton 09 February 2011 09:00:00 Rabéa F. Taille du texte: Decrease font Enlarge font image Photo : Makine F. Au deuxième jour de grève des paramédicaux, rien ne semble altérer la détermination des grévistes. Paradoxe : au moment où la tutelle et le syndicat appellent au dialogue, sur le terrain chacun campe sur sa position. Le Syndicat algérien des paramédicaux (SAP) exige toujours la satisfaction des revendications à savoir, la mise en œuvre du système LMD et le classement à la catégorie 11 alors que le ministère de la Santé prévient de l’illégalité de ce mouvement. Au niveau du CHU Mustapha-Pacha et du CPMC (anti-cancéreux), les paramédicaux sont sortis hier de leurs services pour protester contre ce qu’ils appellent le mutisme de la tutelle. «Nous voulons un engagement par écrit de la part de la tutelle concernant la satisfaction de nos demandes», affirme un infirmier spécialisé dans la transfusion sanguine au CPMC. Plus haut, un rassemblement a été initié face à la direction générale. Les paramédicaux demandent carrément l’intervention du chef de l’Etat. Malgré l’interdiction du rassemblement, le retrait des affiches collées, les infirmiers sont sortis nombreux protester contre «la pression et l’intimidation» dont ils se disent victimes. Certains chefs de service ont menacé les paramédicaux d’effectuer des ponctions sur salaire avec risque de rétrogradation. Au niveau des différents pavillons, le service minimum est assuré. «Les malades lourds sont bien pris en charge», reconnaît un professeur. Au niveau de la polyclinique de la rue Nécira Nounou à Belouizdad, les infirmiers sont à leur poste. La vaccination des tout petits se fait normalement. «Les autres tâches sont accomplies comme d’habitude», affirme le médecin chef de service de cette unité de soins. Les malades, quant à eux, souhaitent un dénouement heureux à cette crise qui perturbe certains services. Au CHU Mustpha-Pacha, l’un d’eux estime ridicule que l’on octroie à certains fonctionnaires des salaires faramineux et à d’autres des paies de 20 000 dinars. Un patient sur une chaise roulante dit ne pas comprendre que le ministère de la Santé fasse des promesses sans lendemain. «Il est inconcevable qu’on laisse un corps de la santé aussi important se débattre sans qu’on lui prête une oreille attentive», estime ce quinquagénaire venu pour sa séance de chimiothérapie. En tout état de cause, le SAP est déterminé et campe sur ses positions. Il réitère sa disponibilité pour un dialogue franc avec la tutelle et pour la mise en œuvre du système LMD au niveau de la Fonction publique. Côté tutelle, tout en confirmant l’illégalité de la grève on rappelle que les revendications des paramédicaux sont prises en charge. Le département de Djamel Ould Abbès se dit «convaincu que la concertation et le dialogue sont les seuls à même de permettre de concourir à l’amélioration des conditions socioprofessionnelles».
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Réponse de IDE
Le 10/02/2011 é 14h29
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Actualité (Jeudi 10 Février 2011) Ils ont organisé des marches et des sit-in à travers le territoire national Les paramédicaux poursuivent leur mouvement Par : Rédaction de Liberte Lu : (553 fois) Plusieurs actions de contestation sont organisées à l’intérieur des CHU et autres établissements hospitaliers. Le mouvement de grève illimité déclenché par le Syndicat national des paramédicaux (SAP) bat son plein à travers les différentes wilayas du pays. Ainsi, les travailleurs du secteur paramédical en exercice au niveau des différentes structures hospitalières ont observé, hier à Tlemcen, leur seconde journée de grève. Les médecins aussi, en solidarité avec les grévistes, ont observé trois heures de grève pour soutenir le mouvement en question. Malgré le service minimum assuré au niveau des services d’urgence, les malades venus pour prendre rendez-vous pour leur programmation d’accueil dans les différentes structures, notamment le service radiologie très prisé pour l’exploration, n’ont pu obtenir gain de cause à cause de ce débrayage. Ils sont invités à revenir après la fin de la grève. À Mascara, les paramédicaux n’ont pas eu la même attitude. Ils ont marché en rangs dispersés. Les paramédicaux à Chlef ont massivement répondu au mot d’ordre de grève, hier, au niveau de l’ensemble des établissements sanitaires publics dans toutes les communes de la wilaya. Selon des sources du secrétariat du SAP de la wilaya, un taux de 80% de mobilisation a été enregistré au niveau des structures sanitaires en question à savoir les EPSP, les polycliniques et les centres de santé où sont affectés des agents paramédicaux. Par ailleurs, la deuxième journée du débrayage a été ponctuée, hier à Sétif, par un sit-in observé face au siège de la direction du CHU Saâdna-Abdennour qui compte, à lui seul , plus de 700 paramédicaux. Selon les représentants du syndicat, le taux a été de 80% au niveau de la ville chef-lieu de wilaya, alors que les structures sanitaires d’Aïn El-Kébira ont débrayé à plus de 85%. Les paramédicaux du CHU Ibn-Badis de Constantine ont poursuivi, hier, pour leur part, leur mouvement de grève illimité. Le taux de participation était de 100% pour ce deuxième jour, affirme le syndicat. Dès 9 heures du matin, les grévistes ont marché à l’intérieur du CHU depuis leur services jusqu’à la direction, après avoir observé un sit-in devant l’entrée principale de l'établissement, imitant en cela leurs collègues de la wilaya de Sétif. À Mila, le coordinateur de wilaya par intérim du SAP, Mahat Tahar, a annoncé que 364 sur les 396 membres de la corporation des paramédicaux exerçant localement ont adhéré au mouvement de protestation. Selon ce syndicaliste, le taux de suivi du débrayage a atteint 90,91% mais que le service minimum sera assuré durant toute la durée du débrayage. La grève au niveau des EPH et EPSP de la wilaya de Skikda a connu une large adhésion. Le taux avancé par un représentant du SAP est de 95% de participation. D’autres paramédicaux affiliés aux autres syndicats ont rejoint massivement le SAP, témoignera un membre du bureau de la wilaya de ce syndicat bureau de la wilaya de ce syndicat considéré comme le plus actif dans le domaine des revendications socioprofessionnelles. Cependant, les représentants des travailleurs ne disposent que d’un bureau de wilaya provisoire, ce qui pose un problème de communication. Les taux avancés sont, en effet, parfois contradictoires d’une structure à une autre, alors que la Direction de wilaya de la santé est restée injoignable. Au niveau de la wilaya d’Oum El-Bouaghi, le deuxième jour de grève des paramédicaux a été marqué par l’adhésion des EPH d’Aïn Fakroun et de Meskiana, avec 66 grévistes pour le premier cité et 13 pour le second. Au niveau des autres EPH, l’on a enregistré 78 grévistes à Aïn Beïda, et 106 à Aïn M’lila sur un effectif de 276 paramédicaux, ce qui donne un taux de participation de 38,40%. Pour les EPSP, il n’a pas été enregistré de changement par rapport au premier jour, a-t-on pu apprendre auprès de la direction, cette fois. À Tizi Ouzou, la grève des paramédicaux a été poursuivie encore massivement hier, avec un taux de suivi évalué à 80% par les syndicalistes. Selon le chargé de la communication du SAP, M. Krirèche, “les paramédicaux ont répondu massivement à l’appel de notre syndicat. La grève est maintenue dans plusieurs localités, notamment à Iferhounène, Aïn El-Hammam, Boghni Tigzirt…”. Selon notre interlocuteur, des actions de rue sont prévues la semaine prochaine, notamment une marche pacifique à travers les artères de la ville de Tizi Ouzou. Une grève qui sera encore maintenue, aujourd’hui jeudi, selon ce syndicaliste.
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Réponse de IDE
Le 11/02/2011 é 09h02
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Trêve de 02 jours dimanche et lundi prochains Trêve dans la grève des paramédicaux Taille du texte normaleAgrandir la taille du texte le 11.02.11 | 03h00 Réagissez Imprimer Envoyer à un ami Flux RSS Partager En grève depuis deux semaines, les paramédicaux feront une trêve dans leur mouvement dimanche et lundi prochains. Ils regagneront leurs postes de travail en attendant les décisions du conseil national qui se réunira lundi prochain. Une réunion programmée au lendemain de la séance de concertation prévue pour dimanche prochain entre le ministère de la Santé et le Syndicat national des paramédicaux (SAP), a déclaré, à El Watan Week-end, le secrétaire général du SAP, Lounès Ghachi. «Dans la mesure où la réunion avec les représentants du ministère est prévue pour dimanche, nous allons donc faire une trêve de deux jours pour évaluer les propositions et les réponses de la tutelle. S’il y a du nouveau, chose promise par le ministère, il se pourrait que nous n’allons pas reprendre notre grève», explique-t-il. Le SAP veut l’intégration dans le tableau A catégorie 11, l’intégration de la formation paramédicale dans le système LMD et la réintégration de six collègues suspendus. Sans la satisfaction de ces points, les paramédicaux reprendront, selon Ghachi, leur grève. «Nous sommes plus que déterminés à poursuivre la grève si les propositions de dimanche sont négatives. Le personnel du paramédical ne se laisse pas faire, en dépit des intimidations enregistrées dans plusieurs wilayas, notamment à Béjaïa et à Oran», précise Ghachi. «Nous avons, affirme le syndicaliste, enregistré un taux de suivi de plus de 90% à l’échelle nationale.» Au niveau des hôpitaux et des structures sanitaires, notamment celles d’Alger, la grève est massivement suivie. A l’exception du service minimum, l’activité est sérieusement perturbée. Les infirmiers, les agents de laboratoires et les kinésithérapeutes notamment tiennent quotidiennement des piquets de grève à l’intérieur de leur établissement. Nassima Oulebsir
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Réponse de solit1
Le 11/02/2011 é 12h57
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Je viens d'apprendre sur France 24 que la fortune de Moubarek s'éléve à 60 milliards de Dollars,il dépasse donc de loin Bill gates et les autres pendant que le simple citoyen Egyptien vit avec un dollar par jour!J'aimerai savoir à combien s'éléve la fortune de Bouteflika et celle de ce fils de pute de Ould Abbes! Si nous voulons réussir dans nos revendications"Statut Particulier des Para-Médicaux",nous devons radicaliser notre mouvement,aller plus loin,manifester,passer au stade de la violence,et même aller au stade de ne pas assurer même les urgences,une démission collective!Ces fils de putes ne sont audibles qu'à la violence et aux émeutes comme leur semblables de ben ali et moubarek!Vive les Para-Médicaux,car ce sont eux qui s'occupent de toute la merde de la Santé Publique et ce sont eux qui sont les moins payés!Réagissez bon de Dieu!
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Réponse de fraidi
Le 11/02/2011 é 15h26
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هُناك ﻣﻦ ﻳﻨﺎﺿﻠﻮﻥ ﻣﻦ أﺟﻞ ﺍﻟﺘﺤﺮﺭ ﻣﻦ ﺍﻟﻌﺒﻮﺩﻳﺔ... ﻭﻫﻨﺎﻙ ﻣﻦ ﻳﻄﺎﻟﺒﻮﻥ ﺑﺘﺤﺴﻴﻦ ﺷﺮﻭﻁ ﺍﻟﻌﺒﻮﺩﻳﺔ
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Réponse de fraidi
Le 11/02/2011 é 15h50
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علينا أن نتموقع لنحدد الهدف كي نسعى لتحقيقه
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statut particulier des para-medicaux en Algerie.
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