Je suis grand-mère et mon fils m'interdit de voir ma petite fille depuis qu'elle est née, je sais qu'il existe une loi pour le droit des grands parent...
Oui je l'ai ai connu... mais je ne me souviens pas d'eux.. par exemple
À 20 ans.. et surtout un gars... il y a moins de chance qu'il retourne voir grand-maman. c'est pas certain à 100%, mais moi j'attendrais pas 20 ans... pour que les choses reviennent et je n'irais pas en cours non plus.
L'important c'est de faire des relations saines. En 20 ans.. il risque de s'en passer des choses. La vie est courte... vous le savez.. vous avez vu grandir vos enfants vite... ce sera ainsi pour les petits enfants...
Bravo j'étais persuadé que mon interlocuteur était une Femme,et en plus vous êtes jeune, effectivement vous n'avez pas une vision très juste de la situation. Je souhaite que vous n'ayez pas à faire face à ces problèmes ,mais de grâce ne jugé pas la Grand Mère que je suis ,chaque cas doit être pris en considération.
Je suis une jeune maman... tout simplement...
Je souhaite seulement que vous arrivez à régler vos différents
dans le pardon... (libérer votre colère ou votre haine) pour ensuite vous
concilier sans attendre 20 ans... Pour le moment ça vous fait de la peine... c'est normal... mais ça ne vous fera pas de peine pendant 20 ans... je serais surprise et je ne vous le souhaite pas. Je souhaite plutôt que les choses se règle dans le pardon pour vous. Ce n'est pas facile à faire. C'est un gros travail... à faire sur sois... mais c'est pour vivre dans le bonheur et je crois que c'est important. Je ne veux pas vous juger... j'essaie de vous amener à voir les deux côtés de la médaille. Quand je disais d'aller consulter... c'est pour vous aider... car seule.. c'est rare qu'ont y arrive. Pas parce que vous n'êtes pas normal... c'est le fait de guérir ses blessures une fois pour toute. Savoir vous protéger éventuellement... Je sais qu'elle genre de souffrance vous pouvez avoir, pas à 100% mais en partie.
Moi je vais consulter car j'éprouvais beaucoup de haine et de colère envers ma belle-mère... je n'aime pas me sentir comme ça... alors je travaille sur moi.
Elle me rejette, et j'ai beaucoup été rejeté dans ma vie... ce qui fait que je suis plus sensible que certaine personne au rejet. Je dois faire une démarche de pardon pour commencer. Pas seulement pardonner à elle, mais aux autres personnes qui me l'ont fait vivre. J'ai essayé de me concilier avec elle... mais elle m'a toujours ignoré ou si elle le réglais c'était pour son fils. Elle n'a jamais respecté aucune de mes demandes. Elle a décidé qu'elle ne voulait plus me voir... (elle ne m'aime pas, elle a le droit) par contre le respect... c'est plus important que tous. Même si je m'exprime au ''je'' avec elle... elle ne prend rien. C'est très rare ce genre de personne, enfin j'espère. Mon amoureux ne veut plus l'a voir non plus. Elle a dit qu'elle ne voulait plus rien savoir de moi. Elle a vu mon enfant que 2-3 fois. Je suis actuellement enceinte, nous ne l'avons pas avisé puisqu'elle ne veut rien savoir de moi et nous ne l'aviserons pas non plus de mon accouchement. Hé oui j'éprouve encore de la colère envers elle. C'est un long processus. Quand quelqu'un t'ignore au lieu d'essayer de régler les choses.. c'est plus difficile à prendre... ça c'est mon côté de la médaille. Au moins, elle n'a jamais eu de relation avec mes enfants... donc aucun droit. J'ai voulu que ça se règle mais elle ne veut pas. Alors nous irons certainement pas porter nos enfants chez elle...
Vous êtes surprenante ,ce qui ne modifie en rien ma façon de voire les choses.Vous donné un exemple qui est vieux comme le monde l'éternel différent avec sa Belle Mère,et oui je reconnais certaines sont possessives envahissantes,voire méchantes ,je ne me reconnais dans aucunes par contre je ne comprend pas votre obstination concernant la relation entre la Grand Mère et les petits Enfants . Dans votre cas il semble existé un vrai problème je ne le conteste pas ,donc vous avez coupé les ponts avec elle je pense que c'était raisonnable . Mais moi c'est le contraire c'est ma Belle Fille qui avait l'intention de gérer ma façon de vivre c'est tout aussi anormal . Ce n'est pas de la haine que j'ai vis a vis d'Elle ,c'est de l'angoisse j'ai déjà expliquée pourquoi. De plus j'ai proposé de discuter avec Elle afin d'éviter à mon Fils son Mari de continuer à être le tampon étant donné qu'il l'aime mais qu'il m'aime aussi.
Mon obstination... elle ne respecte jamais aucune demande et ne veut pas me parler. Comment voulez-vous que j'aille porter mes enfants là-bas.. si elle n'est pas capable de me parler et respecter mes demandes. Voilà pourquoi...
Si un jour mes enfants demande à la connaître, ils auront le droit... pour le moment trop jeune pour que la demande soit fait. Oui c'est vrai qu'il y a des belles-filles spéciale... Avez-vous écrit une lettre à votre belle-fille pour commencer? Moi ma belle-mère...j'avoue la rencontré pour régler les problèmes c'est un dialogue de sourd... même par lettre c'est un dialogue de sourd mais c'est moins pire. Les mots sont souvent mieux dit par lettre... ont a le temps de bien réfléchir. Oui ma belle-mère... est spéciale malheureusement... et très possessive de son fils. Ont ne peut rien y faire c'est ainsi. Elle est trop fusionnel... elle a dessiner des dessins de elle entrain d'allaiter son fils.. alors que je vivais avec mon amoureux... si ça vous donne une idées. C'est une artiste... mais elle a même accrocher le cadre d'un dessin d'une femme enceinte nu dans sa chambre. Elle se dessine et se voit partout. C'est assez spéciale. J'ai des enfants, j'aime les arts aussi.. je ne comprends pas ce genre d'obsession. Trop envahissante oui, trop fusionnel aussi.. c'est pour ça aussi je ne veux pas envoyer mes enfants là-bas.
Finalement je crois qu'on devrais échanger vous votre Belle Mère moi ma Belle Fille ,nous ne sommes pas plus gâtée l'une que l'autre ,la vie est mal faite. Je comprend votre réaction,mais soyez certaine que j'aime mon Fils d'ailleurs il ne devait pas être trop mal à la maison qu'il a quitté à 29 ans,et j'aime mon Petit Fils ,mon intention n'a jamais été de dictée leur façon de vivre,mais je dois avouer qu'en ce qui la concerne Elle ,il faudra du temps pour retrouver une complicité,ou tout simplement une amitié. Bon courage
Je voudrais apporter mon témoignage.
Je sors d'un divorce difficile, mes enfants en on beaucoup souffert.
Je n'ai a mon sens pas reçu le soutien et l'amour que j'aurai souhaité recevoir de mes parents durant cette période difficile. Je tiens également a préciser que j'ai eu une enfance peu heureuse a la limite de la maltraitance psychologique et physique.
Depuis de nombreuses années, j'exprime mon mal être a ma mère qui le minimise systématiquement.
Mon divorce a été un déclic et j'ai décidé d'éloigner tout ce qui m'était toxique et donc d'éloigner ma famille.
Ça n'est pas un choix facile, mais il faut l'avouer je me sens beaucoup mieux.
Mes enfants n'ont pas a subir mes décisions, ils sont innocents, je laisse donc mes parents prendrent mes enfants une fois par mois.
Mais voilà, mon aîné ne veut pas y aller, je dois le forcer a chaque fois et aujourd'hui mon cadet ne veut y aller non plus.
Ils me disent être mal a l'aise lorsque leur grand mère me dénigre.
Cependant, mes parents me menacent d'entamer une procédure pour voir mes fils.
Je n'ai absolument pas envie de repasser par la justice, j'ai donné avec mon divorce et je sais que mes enfants vont encore souffrir...
Mais que faire?
Obliger mes enfants pour satisfaire des grands parents qui jusqu'à mon divorce n'avaient pas beaucoup de contact avec mes enfants?
J'ai peur de ne pas être crédible auprès d'un juge, mon divorce est juste prononcé...
J'évite le conflit au maximum avec eux, mais la c'est du chantage.
Merci de vos témoignages
Si la mamie c'est engueuller ac sa fille en lui disant quelle avait pu de fille ect la mamie peut elle casser les couilles pour voir sa p'tite file en sachant quelle es suicidaire et tt merci
Non ce n'est pas les grands-parents qui ont des droits, mais les petits-enfants.
si les petits enfants ne veulent pas y aller... il y a pas lieu d'aller les porter chez les grands-parents. La loi stipule que ce sont les PETITS ENFANTS qui ont des droit et non les grand-parents. Aucun juge va envoyez les petits enfants aller voir sur grands-patent à contre-cœur. Si la mamie se sert de suicide.. sa fille peut aussi dire.. qu'elle a un problème de santé mentale... ce qui est vrai...
Vous êtes une fille formidable, la roue tourne et le mal que l'on fait au autres vous reviendras un jour.Quelle cruauté. Ne vous inquiété pas vous payerais et au prix fort.
La vie est courte les Grands Parents qui sont séparés de leurs petits Enfants à condition bien sur que ces derniers désirent la présence des Grands Parents ressentent de part et d'autres un manque . La loi indique qu'il est possible de faire intervenir Juge et Avocat cette démarche est couteuse et traumatisante .
En ce qui me concerne mon Petit Fils qui à 8 ans désire venir à la maison ,il habite dans une localité éloignée et je pense qu'il faudra plusieurs années avant qu'il ne puisse venir seul. En ce qui me concerne je ne me suis jamais imposée chez mes Enfants donc la situation reste dans les mains de ma Belle Fille ,je comprend très bien que mon Fils préfère ne pas contrarié sa Femme ,mais ça fait mal.
Bonjour,
Je suis mamie et malheureusement j ai dû passer par la justice pour voir ma petite fille que j ai vu naître.
Vos parents peuvent demander de faire appliquer l article 371-4 qui est le droit des grands parents.
Je vous conseille de consulter cet article et peut étre que ça vous rassurera en lisant que si les enfants ne souhaitent pas y aller ou qu ils sont néfastes pour le bien etre de vos enfants cela leur seront refusés ou alors ils les verront 1 fois par mois en lieu neutre.
Aprés tout dépend de l àge de vos enfants. Prenez conseil auprés d un avocat.
Bon courage
A bientôt kris
Bonjour
Je sais ce que vous pouvez ressentir,car moi j ai vu ma petite fille naître et à 3 mois ma fille m empéchait de la voir.
J ai donc consulté mon avocate et j ai demandé de faire appliquer l article 371-4 le droit des grands parents.
Faites le sinon vous vous en voudrez toute votre vie et qui sait peut étre votre petite fille un jour vous le reprochera.
Aller voir cet article sur internet celui ci s appelle le droit des grands parents, et ça marche moi je les ai et je suis heureuse de voir ma petite fille.
Bon courage kris
Nous à Québec c'est pas les grand-parents qui ont des droit mes les petits enfants... et à 3 mois.. ils ne sont pas en âge de donner leur réponse. Donc avant l'âge de 3 ans vous ne pouvez rien faire. Moi ma mère me ferait ça... sérieusement... ça serait fini à vie avec elle. Non seulement je déménagerait loin pour la faire chier... !! Oubliez pas ce ne sont pas vos enfants... mais vos petits enfants.. rien de plus. Je pense que c'est plus important de rétablir la relation avec vos propres enfants avant. J'ai deux filles.. je l'ai aime... pis mon dieu que je l'ai aime trop pour aller à la cours... pour des niaiseries comme vous faite!!!
http://www.educaloi.qc.ca/capsules/le-droit-des-petits-enfants-detablir-une-relation-avec-leurs-grands-parents
Mais je n ai pas à me justifier des droits que j ai obtenu par le JAF.
Se sont les enfants qui empéchent leurs enfants de leur laisser le choix de voir leurs grands parents.
maintenant ce que les gens comme vous peuvent penser je m en balance, tout ce que je sais ,c'est que ma petite fille est épanouie quand elle est avec moi et quand on partage des activités.
Car pour info elle ne s en occupe pas correctement, ni hygiéne ni vestimentaire et c est bien pour cela que le juge pour enfants a mis en place un suivit.
donc a bon entendeur
Seulement cas exeptionnel lorsque les parents ne s'occupe pas bien de leur enfants... pour ce qui est du reste... je n'aime pas voir les grand-parents... semer le trouble avec leur propre enfants... Franchement... moi j'aime trop mes enfants pour ça...
Bonjour
Lisez bien l article 371-4 des droits des grands parents qui ne sont pas la pour nuirent à leurs petits enfants .
Conflits familiaux, les droits des grands-parents
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La vie de famille n’est pas toujours un long fleuve tranquille… Mais dans certains cas, les désaccords entre parents et grands-parents se transforment en véritables conflits, provoquant parfois la rupture du lien entre les grands-parents et leurs petits-enfants. Pourtant, la loi protège les droits des grands-parents. Rappel du contexte législatif et des éventuels moyens de conciliation, pour que la vie de famille reprenne son cours (presque) tranquille.
Par : Tout est dit
Les droits des grands-parents : le point sur la législation
Voir ou correspondre avec ses petits-enfants, c’est un droit pour les grands-parents, et ce droit est protégé par la loi. Dans l’article 371-4 du Code civil, relatif à l’autorité parentale, on trouve en effet le texte suivant : « L’enfant a le droit d’entretenir des relations personnelles avec ses ascendants. Seul l'intérêt de l'enfant peut faire obstacle à l'exercice de ce droit. Si tel est l’intérêt de l’enfant, le Juge aux Affaires Familiales fixe les modalités des relations entre l’enfant et un tiers, parent ou non. ».
De plus, grâce au décret d’application du 23 décembre 2002, les parents sont désormais informés de ce droit, inscrit sur le livret de famille.
En pratique, cela signifie que les grands-parents ont un droit de visite et d’hébergement de leurs petits-enfants, ainsi que le droit de correspondre avec eux. Ils ont aussi le droit de participer à leur éducation, sans néanmoins se substituer aux parents.
A noter qu’à l’inverse, les grands-parents ont une obligation alimentaire à l’égard de leurs petits-enfants. Si les revenus des parents sont insuffisants, les grands-parents seront tenus de les aider financièrement, dans la mesure de leurs ressources bien sûr.
Les droits des grands-parents sont applicables pareillement dans les cas suivants :
- Divorce des parents
- Enfants naturels
- Enfants adoptés
Sur décision de justice, il arrive que les grands-parents ne puissent plus exercer leurs droits de visite et d’hébergement, en cas de :
- Refus de l’enfant de voir ses grands-parents
- Mauvais rapports entre les parents et les grands-parents risquant de perturber l’enfant du fait du climat de crise
- Caractère dangereux pour l’enfant des rencontres avec ses grands-parents
- Grands-parents inaptes à veiller et s’occuper de l’enfant.
Si elle est inévitable, la procédure judiciaire doit être engagée – de préférence par l’intermédiaire d’un avocat – auprès du tribunal de Grande Instance. Celui-ci saisira le Juge aux Affaires Familiales, qui examinera l’intérêt de l’enfant. Avant de rendre sa décision, le Juge ordonnera en général une enquête sociale, voire psychiatrique.
On le voit, cette procédure peut être longue et traumatisante pour l’enfant, et la voie judiciaire ne doit donc être utilisée qu’en dernier recours.
Les autres possibilités de médiation
Idéalement, les adultes responsables d’un enfant devraient toujours garder à l’esprit le bien-être de l’enfant, et pour ce faire, éviter de le mêler à leurs querelles d’adultes.
Si la situation s’envenime malgré tout, on peut tenter de faire appel à un tiers de confiance dans l’entourage, pour dépassionner les choses.
On peut également recourir au service d’un médiateur familial, tiers impartial, indépendant et qualifié. Grâce à des entretiens confidentiels et à la rédaction d’un projet d’entente, le médiateur a pour objectif de résoudre un conflit familial, y compris un conflit intergénérationnel. On peut trouver les coordonnées du service de médiation familiale le plus proche de chez soi sur le site http://www.mediation-familiale.org/.
Autre possibilité en cas de litige persistant : le conciliateur, nommé par le Président de la Cour d’Appel. La conciliation a pour objectif de résoudre un conflit de manière amiable et équitable, sans passer par la case procès. Il s’agit d’une procédure entièrement gratuite et qui ne nécessite pas l’assistance d’un avocat. Après une ou plusieurs réunions, le conciliateur rédige un procès-verbal formalisant l’acco mais il n’a pas de pouvoir contraignant.
Pour obtenir la liste des conciliateurs, il faut prendre contact avec son Tribunal d’Instance.
Enfin, et par l’intermédiaire d’un avocat, on peut demander au Tribunal de Grande Instance la désignation d’un médiateur judiciaire. La médiation judiciaire s’inscrit dans une procédure exercée devant le juge, qu’elle ne dessaisit pas, afin de résoudre un litige civil.
Le rôle du médiateur n’est pas de déterminer les responsabilités, mais d’amener les personnes à renouer le dialogue pour trouver un accord durable et acceptable par les deux parties. Le médiateur n’a pas de pouvoir contraignant, mais les acteurs du litige sont obligés de se présenter devant lui. Au terme de la médiation, le juge homologue l’accord et à défaut, statue sur le litige.
voici ce que dit le droit des grands parents
bon courage kris