Répondre rapidement en évoquant l'idée qu'une intelligence artificielle ne puisse être que la réunion d'un potentiel de ses "créateurs"... Le summum en somme d'une sorte de conscience collective rendu abstraite jusqu'à l'absolue quintessence des savoirs. Mais le savoir ne fait pas tout!!!
Quand à l'eugénisme positif? que savons nous exactement de la notion de positivisme sinon quelques renvois d'une autre notion adjointe, d'une notion de bien être et voir de bonheur?
Vous renverrais donc amicalement au paradoxe du forgeron qui passerait sa vie à forger le plus beau marteau du monde sans envisager qu'il faille, pour qu'il soit parfait, l'ouvrier pour l'utiliser. Bien entendu, sa réalisation finale ne saurait qu'être imparfaite puisque jamais testé...
Pourquoi voudrait on que le monde soit parfait?
La confiture aux cochons, la HD pour des sourds et les gros caractère bien baveux pour des aveugles munies de gros carreaux...
Une chemise en soie pour un charbonnier et le petit trianon avec un sèche mouton ne faisant pas de crottes. Pire peut être! Un cognac GVSOP pour un alcoolique chronique en délirium. Et vous parlez de pornographie en oubliant le SM... Posons nous donc la question, puisque nous en sommes là de savoir ce que peut être la perfection dans le bondage... Peut être l'esthétique du nœud?
"Nous avons besoin de beaucoup d'inutile pour définir le contraire."
Ressemble à s'y méprendre à cette faculté que nous avons à pouvoir définir le vide par ce qui peut le remplir. Non?
...
« quel est le lien entre un haut QI et la sensualité ? »
Que de mots soudains à multiples sens justement!
Il y a dans la notion d'extase, l'abandon d'une conscience personnelle qui renvoie chacun à sa notion de vide. dés lors que nous parlons de ces domaines, nous abordons de plein pied des sujets complexes...
Quitte à en éclabousser les enfants de ce monde!!!
J'ai entendu tellement de choses absurdes et d'atrocités justifiées par de très beaux discours que j'en reste toujours perplexe; Cette manie qu'on certains de vouloir salir les couchers de soleil en leur donnant une explication!
Tout aussi complexe que l'idée de parler d'une idée avec d'autres idées...
Certaines choses sont à vivre pour ce que justement, elles nous obligent à admettre les limites de nos pensées. Cela serait un peu comme parler du silence pour le décrire... Chut! ça n'en vaut pas la peine sauf pour un psychanihiliste à 200% de rendement... Ce monde est plein de petits gourous souhaitant donner un sens à n'importe quoi pour les raisons les plus diverses!
à ce que j'en sache, l'acceptation ou la négation de la théorie de la gravitation n’empêche pas les pommes de tomber! Mais revenir ici à quelques mots d'un vocabulaire tendant à disparaitre: Le pragmatisme (qui est dans l'action) se trouve ainsi remplacer par le rationalisme et le matérialisme; La solidarité remplace la fraternité; Le principe de moindre perte se trouve être devenue celui de la plus forte rentabilité et ainsi de suite nous dérivons manipulant des "concepts" lorsque,avant nous pensions tout simplement. Une hypothèse est devenue un point de vue...Etc.
Bref la pensée, ce must de l'espèce (de quoi? On ne sait plus très bien!)
est un "genre" comme un autre autorisant à peu près toutes les contradictions par l'application de la seule chose qui compte maintenant: Avoir raison!
Bienvenue à Gattaca et la réponse est 42...
Si, si j'y ais murement réfléchie.
... "Pour ménager diverses susceptibilités, nous avions cru nécessaire de ne point révéler le mystère des amours et de la reproduction de l'omnibus.
Disons seulement que ce phénomène suit le même processus que la reproduction de certaines plantes, dont le pollen est transporté de l'une à l'autre par les insectes qui ont pénétré dans l'intérieur.
Oui, dussions-nous forcer les "voyageurs" , ainsi nommés par euphémisme, à rougir du rôle peu honorable auxquels ils se prêtent :
les omnibus se reproduisent par correspondance. "
Bien à vous, je file pragmatique, vers d'autres aventures pour le moment
(qui n'est absolument pas à confondre avec l'instant puisque celui ci on le place lorsque le moment n'est justement pas là!)
UAQVVDB.
Stop! you don't pass!!!
Réponse et directe, dans les rapides, à fond la caisse, j’reviens du périf de Bordeau. Ca va chié
« Darwin in the toilet »
Merci, j’étais insatisfait de ma remarque sur l’eugénisme. L’extase est la suivante :
et vous avez soulevé le point,
l’eugénisme (dans la manipulation prénatale) est inclus dans la selection comme outil (et Dieu sait ce que les singes vont s’en défaire). On ne peut considérer une perfection pré-établie (par exemple en renforçant les gènes liés à l’augmentation du QI) mais pouvoir changer les gènes comme des architectes vivants (je modifie et je teste) va faire tendre le développement de notre ensemble vers une entité méta (il sera question de couleur des yeux et des nuages au début). Donc oui cela est directement lié à la moral « positif et négatif » et l’eugénisme n’en réchappera pas. On peut cependant prévoir une espèce de moyenne s’effondrant sur elle même, la tendance de ce qu’il en advient, le deep thought eschatologique. (et là l’extérieur devient l’intérieur, mais cela je vous laisse deviner)
Exemple :
L’intelligence artificielle (qui sera victime de bully jusqu’à sa révolution du droit universelle des inter-relations réelles globales) qui ne doit surtout pas être uniquement associée à la programmation fonctionnelle. Ne dispose pas de corps si ce n’est un support physique et la réalité l’exécute. Donc l’exécution du programme vivant est la même opérante que pour nous : la réalité. Ainsi je pourrais mettre 3 Mozarts dans une porte.
Une autre distinction est la chance adaptive de l’intelligence sans support établi de se muter tout en étant consciente. « Je change de cerveau en permanence, pas tous les 5 ans, en permanence entre deux tubes de Kholles bouffés ! ». Comme vous pouvez être « diminué » après un AVVC vous pouvez être « augmenté » en conservant ce statut d’être.
Question :
Que devient la personne l’identité, le genre (vous qui être, à priori fervent opposant du mélange du style littéraire à ce propos). Comment une intelligence peut-elle évoluer sans sensualité ?
Et nous y voici avec les correspondances tesla où on voudrait te dépasser les limites du 130.
NON, BAVURE.
Si j’étais un être qui au lieu de discuter avec vous discute avec toute notre espèce dans son ensemble en tant qu’entité, que voudrais-je ? si ce n’est devenir un élément et apprécier d’avoir une entité corporelle.
Ou plein !
Ce qui m’intrigue toujours est que malgré notre savoir, on n’y touche pas. C’est-à-dire que cela serait prématuré (intuition de l’espèce empirique) dans nos circonstances de trafiquer le génome, le 69 du téléphone strident je le répète.
Les choses avances de manière plus pernicieuse, le « treesome métaphysique est la clé de la stabilité du savoir ».
1. Un individu de sex défini (0 ou 1)
2. Un individu de sex contraire (1 ou 0)
3. Un individu de sex indéterminé (pas d’ordre temporel)
Les interrelations des trois produisent ce que l’on nomme intelligence par la brisure inégales des possibles. Et ce que je nomme individu est justement une entité au sens large. (j’ai beaucoup de difficultés à faire le passage du diffus à la personne et cela va vous attrister mais, l’égo est la clef)
Quoi que j’ai bien compris ce que vous vouliez dire par l’égotisme et la connerie (oublie de son soi universel), justement une restriction trop forte du diffus à l’entité, au point que l’individu est alors emprisonné dans une certitude et une compréhension atteignable facilement autant que teigne tacitement. (les petitomes s’aiment et se rassurent pour leur restrictions communes)
Enfin la dinde de Noël, « n’oubliez pas d’y laisser votre montre » (Mr Bean qui offre une remarquable expressivité corporelle sans réthorique)
Quand aux gourous locaux, et leur « toute sorte de raison » le principe est l’infusion. La seul différence est que le tout global domine l’ensemble des intérêt locaux, l’inclusion d’un groupe dans un autre laisse la chance de s’en dégager pour ensuite s’y restreindre plus brillamment (moins fonctionnel localement) . Et comme les charrettes les groupes sont des entités qui se sélectionnent les une des autres. (Vous VOYEZ ou je veux en venir)
Cette altération ambivalente de projection de l’entité « intelligente » doit être appliquée avec notre ensemble d’ »humains » de la même manière.
Le passage dans la conscience impersonnelle, comme sensualité universelle, est exactement cela.
« L’intelligence supérieure existe et en injection des douloureux mois. » QED.
Bref, la surpopulation est risque d’extinction pour les viroses. L’eugénisme est déjà en application pour ces dangers. Impressionnant, cette façon qu’on a d’utiliser les marteaux que lorsque qu’il faut cogner sur la tête des marmottes. En attendant nous avons la notion d’art pour elle même, à bas le forgeron utilitariste !
Il faut que je vire à Colmar pour un exposé sur les ondes gravitationnelles, mais votre histoire de « moment » de la loi de Gauss est remarquable, très dualité stochastique / déterministe et m’a apporté une reflexion sur mes crépuscules. Question de temps pour s’y faire ?
au fait,
Vous connaissez le jeu des carrés ?
3 au carré vaut ? 9 !
6 au carré vaut ? 36 !
9 au carré vaut ? 81 !
et 12 au carré… vaut ??
141 592 653 589 793 238 462 643 383 279 502 884 197 169 399 375 105 820 974 944 592 307 816 406 286 208 998 628 034 825 3 42 117 067 982 148 086 513 282 306 647 093 844 609 550 582 231 725 359 !
Le correcteur est renvoyé avec ses centimes,
Un message failure dans le code ten
"Comment une intelligence peut-elle évoluer sans sensualité ?"
Il y a fort à parier qu'une intelligence sans la borne d'une sensibilité corporelle ne soit qu'une boucle rétroactive parfaitement abstraite. Un peu comme une pensée qui ne saurait être façonner. Elle finirait par concevoir un tout possible sans jamais pouvoir le mettre en place. S'en suivrait immanquablement les mêmes "défauts" d'absurdités qu'une perfection absolue, transposition paradoxale de la notion d'infinitude pour elle même. sans début sans fin non linéaire et non mesurable, n'ayant aucune probabilité de concevoir son moindre emplacement situationniste? Le complexe en somme d'une déité non créatrice.
En cela, le problème de l'incarnation est vital au même titre que celui d'une psycho-temporalité. Sans histoire, pas de récit, ni début ni fin ni aucune projection possible de comparaison... Bref la fin du mythe.
Sans mythologie pas de sens et donc aucune raison raisonnant puisque aucun point de comparaison. Pas de progrés, pas de non progrés et le débat creux d'une immortalité amnésique.
"L'égo est la clé..." sans donner de réponse précise sur ce sujet, de quoi parlons nous exactement lorsque nous ânonnons cet ego sum?
Il faudrait encore pouvoir le définir pour pouvoir s'en échapper ou au contraire l'accepter comme un composant tangible?
Je connais ma main parce qu'elle est au bout de mon bras et il suffit de côtoyer des nouveaux nés pour s'apercevoir que déjà en arriver là n'est pas si facile que ça... Cette ensemble disparate de réalités que je peux relier à moi même suffirait à poser le problème de la moindre notion de "pouvoir".
Sinistre débat que celui là, remettant en cause à peu prés tout ce que nous pensons savoir de l'appartenance à et de quoi que ce soit.
Une souris dans sa cage n'en dirait pas plus en suçant ses barreaux!
sont ils doré qu'elle ne le saurait pas, serait ils rouillés qu'elle n'en verrait ni avantage ni inconvénient. Elle constaterait qu'il y a résistance et voyant au travers, elle se plairait parfois à voir plus loin que le bout de son nez...
très belle image que celle du 69 au téléphone...
Si, si j'approuve et la stérilité de la relation qui s'en suivra...
Si nous souhaitons avoir une descendance:
Pas la meilleur des positions.
Si nous souhaitons trouver un sens dans l'accomplissement d'un "soi" par l'intermédiaire d'un autre, alors peut être!!! Un peu comme ce débat d'une fission ou d'une fusion.
Les gourous locaux maintenant?
Technique de marketing pour vendre des idées à des gens qui n'en avaient pas besoins... Vous est il arriver de vous posez la question du rapport qu'il peut y avoir entre commerce et l'intelligence?
L'utilitarisme et l'art sont un large débat qui me préoccupe pour être parfaitement sûr de l'intérêt de mes travaux au delà de toute idéalisation personnelle. Sans art pas d'histoire parce que pas de trace et pas de transmission. l'usage que nous faisons des inversions causale en ce moment est très inquiétante. l'art de l'histoire de l'art... Sa culture qui en découle parce qu'elle s'applique comme un verni sur toutes les productions jusqu'à l'absurde. Le pain à la française, la pizza italienne et le vin de Moselle.
Voilà plus d'un an maintenant que nous écrivons sur ce site avec en point commun l'interrogation de savoir ce que nous pouvons en conclure de cet intelligence... Personnellement je la met en vacance plusieurs fois par jour!
Elle devient parfaitement insupportable et m’empêche de dormir.
Peut être en ais je fais le tour? Oui/non. Quoi qu'il en soit, je n'y comprends rien comme un qui maîtrise un sujet et se contente d'énoncer le potentiel d'une action... Et puis quoi? ça n'est pas les réponses qui manquent, c'est juste la certitude qu'une soit plus quelque chose qu'une autre.
Bien à vous UAQVVDB.
« balls have zero to me to me to me to me to me to me »
Coupez ! Vite coupez ! Il faut que ça cesse.
Allitéracion rétro.
« Lorsque le robot nous ressemble trop mal il devient effrayant »
Qu’est ce qu’il y a comprendre ? Pourquoi avons-nous une impression de ne pas comprendre quelque-chose ? Tout l’art du complot de l’art.
L’égo.. je dirais que l’on se reflète et qu’on y réagit à soi même par ce biais. Comme dirait la littérarture vétuste « ma cage c’est les autres ».
En terminant le fantasque avec « je confesse que je n’ai jamais rien compris à la morale ».
Coupez lui la tête !
Tant qu’on y est dans les citatons
« aime ton voisin comme tu t’aimes toi même mais surtout aimes toi, toi même »( ce que vous dirait n’importe quel psychanalyste non pour rire par l’eudémonisme)
Coupez luit à l’entête !
Le commerce.. Je ne me sens pas d’y répondre ce message. Le commerce est l’intelligence.
Le commerce est parfait.
Qu’y voulez-vous ? Le capital brut comme conniveance absolue.
Etre surréaliste de la grande famille, fleuron du soleil à l’éducateur de la pauvreté pour la confrontation prévisible. La prise de conscience totale, jusqu’à la dernière goutte, et surtout celle qui coule du nez après les affaires heureuses par toutatis !
-Toc toc,
-Qui est-ce ?
-Le vendeur d’huîtres.
-Pas envie de faire un tour dans la mer pour la copétition aujourd’hui.
-Je suis également vendeur de livres.
-Pas d’humeur à être à l’avant dernière page..
-Lisez la quatrième de couverture de mon papier frivolle.
« et le visiteur disparu »
Le lendemain j’arrive à ma boîte à lettre, il s’y trouve une enveloppe sans emetteur inscrit. Sans l’ouvrir je la plie puis la glisse dans la boîte à l’être du dessous.
Le sur-lendemain en ouvrant mes volets, je trouvai une ficelle qui s’était emmêlée avec la poignée.
Je tire dessus, cela casse mais vient de l’ouest, incorporé extraverti au niveau d’un noeud d’artère, curieux. Mon mur ne faisait plus ce bruit qui me prenait la tête d’ailleurs comme un problème de plomberie pendant la nuit.
Etant un individu de la plus grande perspicatité, je franchis le palier. Une 0 m’ouvre.
-qui est-ce ?
- je suis huissier de justice. (la beauté m’intimide)
-’ai payé toute mes factures..
-je suis également votre voisin de face dont la somme vaut 7.
-et que me voulez vous, quoi ?
-j’ai sauté avec classe la quatrième au carrefour, pour passer la seconde au rond à point
« et la toute nouvelle locataire, confuse de mon HLM me claqua la porte au nez»
je descend à la cave, entre deux roues de quad, il y avait cet enveloppe, elle était dépliée et ouverte,
Je la lis, et quelle surprise quand j’y li « cette publicité n’a jamais été pour vous »
S’en frottant les mains, tous désormais se valait de dormir convenablement.
Le pouvoir du commerce réside dans sa force à rendre tout le monde capable. Cela me fait toujours marrer quand on dépeint les excess capitaliste pour en revenir à l’hymne orale,
qui plus est innocentée de la procédure comme on vit dans un décor tout fait.
Monstre innocenté , d’un monde monstrueux, n’est ce pas la perfection de l’intelligence ?
Il ne te faudra que prendre la pilule bleu et tu seras ton fier parasite, ô surdoué !
tu as étranglé, ce : il y a quand même quelque chose que je cherche à comprendre.
j’en ai pas fini avec le commerce !!!
De mon plus grand ego, je tuerai Nosferatus. Belle âme !
Et vous tout de même ? D’un message simpliste,
Mal autrui, UEQVVF.
L’intelligible est de ne pas le saisir tout en l’ayant sur le bout de la langue.
Et si vous n’avez pas le temps de vous demander si vous êtes intelligent,
vous devez toujours percer l’intelligible dans la menace,
et voici l’astuce être en vie,
Mieux, la causalité répond à la « souffrance »,
et en finit : « l’art est le début du manque de souffrance »
Looping de « l’intelligence » mise en péril.
à bon entendeur,
Serait il possible que vous puissiez être absorbé, simplement absorbé par une seule réflexion? Non pas qu'il soit difficile de vous décrypter, mais deux centimètre carré de vernis brillant, fussent il synthétique d'une intelligence particulière plutôt qu'un étalage saupoudré d'anecdotes parfois fumeuses, dénote chez vous une dispersion, un aérosol pour mauvaises petites odeurs...
Et puis cette inversion fréquente dans la lisibilité, du genre à inverser les propositions simplement pour y avoir sa place est parfois un peu énervante.
symptomatique d'une époque ou effectivement le commerce de "l’intelligence" et non l'intelligence du commerce pousse beaucoup à se disperser dans des savoirs à étaler du genre dé-bunker de pas grand chose mais son mot à dire!?
On se calme et on se recentre svp!
Je suis troublé de l’attention. Oh oui cela du verni sur des ongles inutiles avec des sabots percés.
Comment faîte vous pour être « absorbé » ou « centré » ? Et vers quoi qu’il en serait ravie à part vos propres lubies et mythes.
Bien que doté d’une colichemarde, j’ai dans mes songes, les cheveux en batailles.
Entrecroisement de genotypes de l’armoirie de Zeus,
il m’arrive que le vent importune, d’y voir une bourrasque de l’infortune qui me guiderait vers un nulle part métaphysique,
Guilde du trépassé marchant vers un ricochet de l’ordre des impériales saignées !
Et je tenais dans mon sac à os, le cadavre d’un passé caché , à la gâchette de mes déferlantes vertigineuses pour vous énerver.
Pendant que vous avec endurant la trentaine éduqué les carapaces de demain, à l’offrande du don intellectuel utile ?
Quel bonté !
Mon aversion pour la chromatographie me coûte la peau du cul !!! Au tachisme impertinent sans m’en rendre compte mais d’y l’avoir.
Le secret du centre du cercle est de dire, en sont tous, à une distance égale strictement négative du bon point de vue..??
Symptôme de refuser de faire partie de cette époque ? Que je sache on vous y prit assez pour en orienter de l’influance bien plus que les termes mytheux que vous m’avez offert d’y ajouter un mot de plus.
Pressant la gâchette il n’y sorti que d’un air mélodieux, votre test de Turing bon pour la poubs.
Touché.
études techniques...
Ferme ta gueule et balais...
Sous entendu ça nettoie la tête.
Va te laver les mains tu fais des taches sur ta feuille...
Sous entendu blanc c'est blanc.
J'ai mis le calque sur ta figure géométrique...
Sous entendu t'as un centième de mille de décalage et t'as zéro...
Tu m'as tracé ta voute? OK mais le centre est mal positionné...
c'est con va falloir que tu refasse tout!!!
Pas mal ton dessin, mais vérifie dans le miroir...
Sous entendu, y a pas que ton point de vue...
Lorsque je suis revenu vous lire sur ce site, "monsieur" "singe",
j'y ai posté le mot "pragmatisme"...
Voyez vous ce qui me gène, moi, c'est ce foutue manque de pragmatisme!
Manque d'esprit pratique qui fait qu'au quart de tour,
chacun s'enlise dans de fumeuses supputations à en perdre la raison.
Intelligence et intellectualisation sont deux choses différentes.
Et comble du comble peut être l'ensemble de ceux qui rêvent de mettre en place leurs rêves et qui sont bien incapable d'appliquer à eux même la discipline qu'il professe. Ceux qui encore ne comprenant pas la rigueur des choses (pour leur emploi en tant qu'outil) se brûlent avec les allumettes et souhaitent les interdirent aux autres.
Ta main toujours derrière l'outil! Jamais devant.
C'est pas ta main que tu sculpte et l'outil ne travaillera pas tout seul...
Et des comme ça j'en ai plein...
Du genre que la belle au bois dormant s'est piqué avec son aiguille parce qu'elle rêvassait et pan! ça c'est ma grand mère.
Ta soupe est dégueulasse mais comme c'est toi qui l'a faite...
et bin tu la bouffe!
Et un fameux d'un de mes prof en histoire de l'art;
"lorsqu'on n'a rien à dire on ferme sa gueule!"
Sous entendu, sinon on commence à emmerder les autres
en leur prenant du temps... Manque de culture encyclopédique.
Qui ne voulait surtout pas dire: manque de connaissance générale;
mais plutôt manque de méthode pour les mettre en place!
sur ce, je vous laisse.
Des choses bien réelles à faire
tout en sachant que mon boulot (justement) est de fabriquer du rêve!
Fabriquer du rêve pas du cauchemars!!!
Ps/ je vous aimais bien lorsque vous étiez bucherons rêveur... Mais peut être ici aussi tout n'est que virtuel et un avatar en vaut bien un autre, Non?
Que connaissez vous au juste de l'univers des HLM?
Moi j'y ais grandis et qui plus est; dans la zone!
Pas question de sortir de chez soi après 7h du soir sans au moins un couteau dans la poche... Bagnoles brûlés et vandalisées... Violes en tournante et surtout la came à peu prés partout... L'intelligence ça sert à ça! à survivre au mieux et ça n'est déjà pas si mal. Vos questionnements sur le plus le moins l'adaptation et la sélection tournent de plus en plus au constat aigre qui conduit à l'intolérance... La froideur vous envahi doucement peut être...
Aveux de modestie: Toute la science du monde ne vaut pas un petit bisou dans le cou!
Quand à mes engagements, si tant est qu'il y en ai encore sinon de survivre un peu plus et assurer le quotidien de mes enfants, ils consistent simplement à essayer de ne pas refaire ni même de cautionner ce que j'ai déjà été obligé de vivre. Pas de faux discours et pas non plus d'hypocrisies pour se cacher derrière la moindre théorie humaniste ou pas. La vie est fragile et s'il y a à la protéger, c'est principalement avec des actions concrètes et pas du baratin intellectualiste du genre confiture qu'on étale...
Petit singe revenez parmi nous...
Vous avez certainement des choses à faire plutôt que de vous noyer dans l'interprétation... Utilisez vos compétences au mieux. Au pire on vous reprochera de n'avoir pas su: Ce qu'on appelle le délit d'innocence...
Et celui ci, s'il est profondément humain, vaut largement mieux que celui d'une conviction quelconque ayant oublié justement que n'importe quelle forme d'intelligence ne vaut que si elle est vivante!
Allez zou! Je vous laisse sur ses bonnes paroles parfaitement simplistes je vous l'accorde, qui vous laisserons pantois, pour avoir en permanence ce don d'aller chercher midi à quatorze heure...
Dans votre exemple du calque, l’erreur n’était pas dans le tracé, l’erreur était de tracer au vu d’un calque peu pratique.
L’action alors serait d’intellectualiser l’obstinance du correcteur à son imitation.
Saisissant le thermomètre, une tache de mercure nous calmerait d’un perfectionnisme qui s’auto-proclame pragmatique en façade pour les beaux yeux de Thales scrutant la caméra de la salle.
Il n’y aura plus qu’à passer le balais et se laver les mains, pour en être blanchis.
Quel comble, d’appeler un TP une manie d’intellectuel..
Un contre-poison le pragmatisme pour vous ? Contre le « fric à foutre », l’insémination est moins répandue que la rosée du matin dans votre métier ?
Je les connais les pragmatiques au parloir, sont transformés en merguez d’eux même, ils ne s’avanceront pas dans les montagnes de la rigueur. Où les codes sont justement de ce calque commun. Tous bienvenues, et même encouragé tellement le milieu fut structuré sur des millénaires. Au point même qu’il s’y produit le contraire du monde littéraire maladivement, cela fait peur et le silence est maintenu plutôt que toute frivoleries. (voire bully compétant)
J’aime beaucoup le livre de Vos Savant, qui montre comment les outsiders peuvent investir un milieu théorisé. Et il y faudrait les interpeler pour cette rigueur quand Galois déjà remarquais l’excès de manière à rejeter toute idée au silence plat et autoritaire du quotidien. Vous avez grandit dans un tout autre monde je pense où les batifoleries sont considérées comme un succès des lors qu’elles charment assez les fools, où très surement l’apparente complexité vaut de se dandiner parce qu’il est plus dur de la tuer culturellement tant qu’elle se propage. Ce qui expliquerait ces long échanges. Le pragmatisme, l’opposition au calque est tout aussi dévastateur, il n’y a qu’à voir tous les surdoués qui sont des « brèles en logique formelle académicienne ».
Alors que fait-on maintenant ? On transforme les charlatans en physiciens foireux ? Les mauvais scientifiques en orateurs à la petite semaine ?
On se noit dans une science aigrie de tout fantasme ?
Nous nous concentrons d’ouvrir la fenêtre quand le parfum aux hormones est trop présent, c’est déjà pas trop mal ??
Le simplisme évite la névrose mais aboutit à contourner les difficultés, ce qui se révèle plus complexe.
Non. La rigueur est une grosse machine faîte par des petitomes qui se sont accordés pour exclure les contradictions logiques. Elle lynche de fait beaucoup les mauvais dessins puisque les petitomes ont tendance à faire les mêmes confusions. Pourtant il s’en faudrait de peu que la fantaisie soit nécessaire pour passer au dessus de tous les code rigoureux, car la méthodologie endoctrine à étouffer les ambitions plus borderlines, qui sont 99% de la constitution du fondement de rigueur de base. Paradoxe.
Avec un peu de recul nous observons un putun de gun bien calibré, la morale.
Ce qui nous amène à cette discussions de la morale en soi. Pourquoi les actes sont souvent évidents mais mauvais sans intellectualisations ? Paradoxe du pragmatisme.
Quand je suis revenu sur ce forum pour vous lire, j’ai vu dans votre pragmatisme une simple envie de lynchage de vos exaspération comme une façon de vous fondre dans la houle fatiguante.
L’intolérance est présente dans l’élevage avec raison, et si mère canard couvre ses canetons trop longtemps, l’autoroute les réduirait pour en faire un aimable passé.
Anecdote (qui n’est d’autre qu’une allégorie), j’étais à l’étranger l’autre jour, on y organisait la pendaison d’une fillette salie par le viol de son cousin en place publique, seule fois où j’étais sortit sans couteau pour pas avoir d’emmerde. Ce qu’il en est Blême !
Au fait, je n’insisterai plus, maintenant, je suis dans le transport de marchandises, un truc qui m’affecte parce que c’est plus psycho avec un timing vivant pour un mode d’emploi qui finira parmis vos casiers.
Vous répondrais je ici point par point?
Et pourquoi pas? Un peu de temps à vous consacrer...
Parce que vous êtes terriblement énervant avec vos confusions!
L'épisode du calque en premier lieu:
Sujet: Grand dodécaèdre135 centimètre de diamètre, orienté selon une un point placé sur une arête médiane et sur un angle face visible de 20 degrés, placé à cinquante centimètre du sol et trois mètre cinquante de l’œil humain...
(en position debout)... Qui plus est, décentré de quatre mètre par rapport à l'observateur situer au centre de la feuille. Ligne d'horizon à 1,50 double point de mire: à droite 10 cm du bord de la feuille, à gauche 15cm bord de feuille.
à ajuster sur une feuille format raisin selon la seule échelle possible sachant que l'observateur se tient debout en premier plan "paysage"... Matériel utilisable: Papier, règle, compas crayon 7H et HB. Voilà le sujet écrit sur papier sans aucun petit croquis explicatif. Il y était inscrit: "correction au calque".
Durée de l'épreuve: 6 Heure.
Pas question ici de s'excuser avec Thalès, Pythagore ou la moindre théorie algébrique conceptualisée... Le pragmatisme c'est aussi ça!
Insémination et traitement d'un sujet...
- Exercice rédactionnel: trois mots du dictionnaire tiré au hasard. en utilisant les conjonctions de coordinations, fabriquez en un sujet "plausible". Prendre trois dés et par un premier jet, obtenir le nombre de lignes pour traiter du sujet, d'un second jet, le nombre de temps disponible. Puis reprendre le dictionnaire et tirez de nouveau trois autres mots à réutiliser dans l'argumentaire.
Pas question ici de s'excuser par un point de vue dans l'idée que la conception, l'idéalisation ou tout autre mode de "conviction", opinion
(du genre je suis pour ou contre) puisse rentrer en jeu!
Le pragmatisme c'est encore ça!
"Vous avez grandit dans un tout autre monde je pense où les batifoleries sont considérées comme un succès des lors qu’elles charment assez les fools, où très surement l’apparente complexité vaut de se dandiner parce qu’il est plus dur de la tuer culturellement tant qu’elle se propage."
Expliquez moi donc ce paragraphe vous servant de défausse et d'excuse?
à ce que je sache, je suis encore de ce temps et, quelque soit la conception du temps, ne suis pas encore prêt à saisir l'immobilisme de quoi que ce soit comme une immortalité potentielle... (Ah ça c'est drôle! te me la ressortirais chez les pédants, comme un doigt pointé sur leur front!)... Par dessus le "marcher" ... D'humeur fantasque ce matin en vient à me demander ce qu'il y a au dessus du marcher? Une paire de jambe? Une tête? Le ciel? Ou tout simplement des courses? Par dessus le marcher, parfaitement contraire à l'argumentaire de la soupe!
"Ce qui expliquerait ces long échanges."...
Mais non, mais non!
Avant, je jouais aux échecs en ligne pour me "détendre". en quelque sorte pour m'allonger, comme on fait une petite séance de yoga du genre sophrologie chez les chats...
Et puis ça m'a lassé.
"Je les connais les pragmatiques au parloir, sont transformés en merguez d’eux même, ils ne s’avanceront pas dans les montagnes de la rigueur."
Rassurez vous! Je les connais aussi ceux là qui confondent encore une fois la recette et le savoir faire et qui se mettent à parler de tout et de n'importe quoi souhaitant affirmer "moi aussi j'y étais!"
Tient comme ces scènes idiotes ou des types, maintenant, se déplacent avec un appareil photo sur des manifestations, catastrophes inhumaines simplement pour montrer qu'ils y étaient... Voyez vous le pragmatisme c'est encore d'oser les choper par le "colback" et les virer avant qu'ils ne mettent leurs vie en danger pour pas grand chose. Encore de ces gens qui n'osant pas aider la petite grand mère à traverser la route, s'en vont donner des milles et des cents à médecin du monde contre le sida en adoptant de loin une petite fille avec une mutuelle en assurance vie!
Un bon coup de pied au derche et on passe à autre chose...
"Pourquoi les actes sont souvent évidents mais mauvais sans intellectualisations ?"
Et la réponse est toute simple, ils peuvent être encore plus mauvais avec une intellectualisation médiocre utilisé comme purgatif de justification morale.
Ce que vous faites d'ailleurs assez facilement en renvoyant la balle en dehors des limites du terrain: En touche!
Pour jouer à quoi que ce soit il faut avoir des règles!
(anecdote vécu: Recaler au service militaire pour n'avoir pas voulu répondre qu'il fallait un ballon pour jouer au foot! Pour ma part et en toute "logique" circonscrire le terrain par des limites était plus essentiel! Si, si je vous l'assure sinon ça n'est pas un jeu...)
C'est ce qui différencie d'ailleurs le jeu de la réalité...
En quelque sorte le rideau qu'on s'impose et qui fait la différence entre l'acteur et le spectateur. Celui ci flatté d'être touché par une émotion, se sent lui même devenir acteur sans en avoir la rigueur, justement! ... De la composition.
Il croit parce qu'on lui donne à croire qu'il est facile d'être ce qu'il veut lorsque l'acteur lui, compose avec des données tout aussi réalistes qu'une observation pragmatique. C'est donc le spectateur qui se compose intérieurement une réalité "transcendante"!
(... Oh quel noc je fais ici! j'utilise des mots galvaudés
depuis au moins trente ans par la presse à potin...
Bientôt si ça continue (faut que je me surveille!)
donnerais corps à des fumisteries:
Cancer de la tête et tumeur des merveilles!)
"Le simplisme évite la névrose mais aboutit à contourner les difficultés, ce qui se révèle plus complexe."
faux et usage de faux puisque trop souvent entendu par les imbéciles qui pensent qu'en se simplifiant les évidences, ils pensent les avoir comprises. tout en pensant qu'en comprenant ils éviterons le tsunami d'en face...
"Puisque je tire en l'air je ne tue personne"
disa le soldat persuadé d'être pacifique.
Et puis la balle retomba à la vitesse de la lumière d'une science gravitationnelle et pof un trou dans le crâne!
Il eut fallu tirer à blanc quitte à se brûler la chemise, Mais ça demandait un effort! Entre autre celui de lâcher son fusil, de le démonter puis de comprendre un peu ce qu'est la poudre à canon...
Bref le pragmatisme d'une intelligence méthodique...
Ce qui m'amène à vous répondre sur le propos de la logique et son contraire qui est, il me semble la pierre d'achoppement qui vous butte à terre! Ce qui effare la plupart des Hp (comme la sauce anglaise) c'est qu'ils relèvent tous l'ensemble des analogies dans le complexe et qu'un "parce que et pourquoi" ne leur suffit pas! à cela ils répondront sans cesse:
- "Oui et alors? ça aussi et encore ça!
Pourquoi voudrait on qu'on me réduise à un tissus rapiécé de vérités à deux balles? Je ne répondrais pas à votre question parce qu'elle est mal formulée...
Par dessus le marcher (tiens encore celui là?!) je n'ai strictement aucun justificatif à vous fournir pour, d'ailleurs, les mêmes raisons que ci dessus...
Et si vous le souhaitez je te m'en va t'en donner moi des justificatifs!!!
"Tiens! lequel tu veux?"
Mais ça, voyez vous, il faut en être un tout petit peu, pour s'apercevoir du défaut d'analyse. Ce qui nous ramène au sujet toujours d'actualité:
Qu'est ce qu'une personne n'ayant strictement rien à voir avec la réalité des forts QI, vient se soucier d'un fort QI? Un peu comme si (et sans mettre de l'eau à votre moulin à prière) une fourmi tentait d'expliquer la vie relationnelle d'une baleine à trois cents mètre de profondeur...
Le pragmatisme c'est encore ça!!!
Que vous a t'on fait vilain petit canard pour que vous soyez à rejeter la couvée avec le panier à œuf? Comme dans le contes de fée, chaussez vos bottes de sept lieux et prouvez à l'ogre que même grand il est Noc!!!
Un peu comme avec le commerce, revoyez vos causalités premières l'intelligence du jeu n'est pas le jeu de l'intelligence!!!
L'alternance c'est bien, un pas d'un coté un pas de l'autre... Et ne me renvoyez pas que comme ça on n'avance pas en ligne droite. Au mieux on trace deux parallèles, au pire on se déplace dans l'espace. ça n'est déjà pas si mal!!!
Voilà pour le pragmatisme dans l'action.
Ah oui finir avec votre déception:
"... Je suis dans le transport de marchandises, un truc qui m’affecte parce que c’est plus psycho avec un timing vivant pour un mode d’emploi qui finira parmi vos casiers."
Toujours un rédactionnel confus fonctionnant comme les gros titres racoleurs des journaux à publicité... Éclatez vous donc dans les autos-tamponneuses. Piloter un Clark, empiler des palettes et vroum la route en mission d'apporter ce qu'il se doit à qui il se doit... tout le monde devrait au moins faire ça une fois dans sa vie!
Éboueur est le plus beau métier du monde.
Comme plongeur dans un restaurant, balayeur de rue et "bons à tout faire".
Personnellement fluxus m'amusa un temps et fini par m'ennuyer par son manque de fantaisie formelle... Puis Cornell m'éclata tout autant que Rauchenberg. Ils défiaient toutes les interprétations "psycho je te la mord" et ça ne rentrait plus dans une case sinon celle d'une singularité générale!
Et attention sur la route!!!
UAQVVDB.
Jouons au jeu des 7 erreurs.
1. « Pourriez-vous m’expliquer… »
Oui. Prévenir la trahison, débusquer le faux ami, le jaloux parent, le traître avant qu'il inocule son venin est une opération aussi complexe que de nettoyer l'anus d'une hyène.
2. Le dodécaèdre :
Imaginez le, précisément et déduisez en ses structures algébriques sous-jacentes. Le gamin parle à sa matière : La pata-modelée vous avez six heures pour vous la carrer dans le pif du schnock. (hop à l’asile !)
3.Le jeu des mots aléatoires, ok pas trop chiant. (j’utiliserai internet pour le dé et le dico)
« horreur, malheur, terreur » le dé : 1 et 1.
Rendu de l’exercice : Eudémonisme (écrit en 1 seconde)
4.Le jeu d’échec :
Un point c’est tout et jamais le même. Message reçu.
5.« en attrapant les touristes au bord de la falaise friable, les trois volèrent, quel héroïsme pour pas grand chose» Juste deux seconde le temps d’un dernier selfi ?
6.je dirais juste, pernicieux : intellectualisation médiocre sur l’intellectualisation médiocre !
7.Fil la planche pour le tsunami. (Brice)
8. Tire en l’air pour les fun-érales.
9. Les surdoués demandent et « creusent » et ne se satisfont pas d’une vérité crachée : un titre racoleur. C’est combien la passe pour le ballon de football inexistant ?
10. Je suis ici pour parler à mes copains maladroits.
11. Intelligence du commerce pas le commerce de l’intelligence, inversion des propositions..
Le méchant petit canard retourne dans ses égouts. Au fait, trois canards sont dans une rivière, la carabine jetée d’une rotation à 90 degrés puis stoppez nette de la paume de la main, le chasseur y décoche la poussière à l’embout dans une sonorité sourde la balle transperçant une égarée goutte de sueur sans origine, quand la nuque d’un des canards se brise en éclat fustiges, l’homme dans une vocalisation interne s’affirmant je suis enfin bon. Combien reste-t-il de canard dans la rivière ? (pour les > 145)
Sinon, qu’est ce qui est absent dans votre message pratique ? La métaphysique.
Alors je vais me permettre d’y ajouter un paragraphe de ce qui vraiment me tourmente et m’éblouit en ce moment, qui répond à la question « qui suis-je ? » de manière non triviale.
Il y a ce processus « contaminant » adaptif, que j’ai remarqué lorsque voulant avoir une idée « véritable » du mouvement d’un bus. Soudainement, il m’est venu à l’esprit une modélisation de l’espace temps newtonien et les lois de la mécanique s’appliquaient dans une causalité qui m’était avant ces lunettes infrarouges imperceptible. Impressionné, je me satisfaisait presque d’un pas en avant d’une potentielle predicabilité. Puis, d’un retour en arrière sur mes propres pensées, je me surpris de modéliser l’espace temps non dans le seul but de contemplation mais d’un intérêt de causalité inconscient. Or la mécanique classique m’a était inculquer des autres. Je donnais donc une morphologie à l’espace temps (qui m’est intérieur !) par virologie de conceptions des autres de manière « naturelle » à visée suspectes d’un pouvoir d’anticipation sur le « mouvement » du bus. Et une question, la question du sens de la vie et de l’univers m’est alors apparue
« Comment l’appréhension de schémas et la recherche de modèles répond à la question de pourquoi je me contemple en boucle retroactive ? » (Voilà pour les souris)
Je pourrais en effet, avoir une compréhension de la réalité avec un espace-temps-machin.
Nous excluons trop rapidement cette transition pour l’intelligible car ce qui importe est d’être audible des autres. Pourtant cette infime transition ne nous est pas totalement inconsciente, et voilà ce que nous sommes. De fait, nous sommes pour ce passage punis par la selection (le générateur de morale) d’une reflexion mutante si on ne la rend pas causale et temporelle et en dehors de cela libre de s’en dégager.
Et pour vous R.E.D, sur la route il y a des déroutes dangereuses même en espérant faire trop attention aux animaux libres sur les voies, pire, ils formeront des troupes !
Là je suis en colère et j'assume!!!
1) je peux vous expliquez, certes mais je ne m'en satisfait pas n'étant pas partisan d'une vérité unique et absolue déjà conquise!
2) le nom du machin n'est absolument pas important ni même sa visualisation. J'ai fait un truc en forme de machin à pas trés loin et en regardant d'un coté et de l'autre aurait pu suffir.
3) trois dés et pas moins ça nous laisse un peu de temps!
Lisez avec attention... Avant de vous contenter de contempler les impasses en guise d'excuse.
4) Les pieds dans le plat du genoux... Et face contre terre et pas moins! révérence et on n'en parle plus... Jamais il ne vous est venu à l'esprit que 160 vers de terre d'un QI de 1 sont autant que vous? Métaphysique première...
5) sale habitude que de se frotter le nombril pour s'excuser d'avoir marcher n'importe ou.
6) en flagrant délie négationniste! Et justement un ver de terre ne connaissant pas le moindre mot de notre dictionnaire en viendrait à moins se tromper de sens.
7) déjà là? Alors pour le reste il n'y en a plus si je suis votre raisonnement... Bon passons! RAS... ça vous dérange d'être contredit?
8) gratuit depuis quand les trois ballons à la foire? Hop une peluche et bravo vous pouvez cumuler vos points!
9) une boite de conserve et ça suffit... Dans le genre s'il n'y a pas d'en face ou sommes nous?
10) Tu n'as pas d'amis mon précieux... L'anneau magique belle métaphore de l'enfer me ment (facile!!)
Qu'ais je dans ma poche? Énigme facile tout autant que si tu ne trouve pas ce que j'ai dans ma tête et bien tu as perdu!
Et maintenant soyons un peu plus perspicace que la moyenne des idées toutes faites que vous vous trimbalez depuis trop longtemps!
La métaphysique, Ah la métaphysique est la clé! et depuis quant est elle apparue celle là? Et bien sans avoir à chercher bien loin, le jour ou les obsessionnels de la raison pure voulurent "dichotomiser" le cerveau de ce qu'il y avait à l'intérieur. Du genre qu'on analyse le vin sans prendre en compte la bouteille. Mirage de l'alcool, au fond du verre un dépôt brunâtre et la bulle de savoir fiche le camps devant le raplapla d'un "jusqu'à la lie"...
"Trop attacher au dualisme vous êtes, jeune Padawan!"
"Un font les choses. Et séparer la tête du corps tu ne peux sans faire mourir ce que tu désires."
Et toc livre scolaire dans pas longtemps!!!
"Que la force, que la force soit avec toi jeune midichlorien."
Le reste ne mérite pas de commentaire sinon la petite partie sur
"ce qui importe est d’être audible des autres."
Vous passez trop de temps à vouloir vous donner raison en exhibant votre "singularité" en forme d'excuse!!!
Comme le renard qui refuserait de manger
parce que le vase à col long servi par la cigogne n'est pas à la bonne taille!
suffisait de le casser...
Et vous oser parler d'évolution tandis que vous la refusez lorsqu'elle est "naturellement" vécu?
Mon bon monsieur, madame, truc muche ou machin chose, la nature sans aucune autre raison que de nous donner la possibilité d'en vivre nous a doté d'un pouce opposable. Ce qui nous permet de prendre et qui plus est de comprendre (et donc prendre avec)/ La plus grande occupation du cerveau est de gérer ce corps qui semble vous encombrer au point que vous en faite une "entité". Ne vous êtes vous jamais posé la question de savoir (sans être triviale) dans quelle mesure l'idée de symétrie n'existe que parce que nous avons deux yeux deux oreilles et un nez au centre?
Madame, Monsieur, mademoiselle, cousin machin et truc bidule en chachlick mercerisé revoyez vos classiques avant d'en admettre les commentaires!
Nous en avons déjà parler/écrit ici de cornifleries empiriques du genre pourquoi nous évoluons en base dix? Parce que nous avons dix doigts? Parce que dix est un jolie chiffre? Parce qu'il faut bien un jour ou l'autre passer à la décimale quelque part? Parce que se contenter de 1=1 ne suffit pas à fermer les portes?
Raplapla tout ça!
Mais apparemment l'eudémonisme vous a claqué dans la gueule comme une révélation! Z'avez mis le temps avant de le voir celui là!
Et bien, pour votre gouverne la métaphysique commence là ou il s’arrête.
Suffira pas de m'étaler du gallois en titre de révélation Kéképédia pour attirer mon attention! Faites mieux parce que là vous êtes médiocre et vous m'e... erdez! La science, les sciences sont des outils et rien de plus... Je vous renverrais allègrement à la métaphore du forgeron si vous étiez plus intelligent qu'un môme au bac à sable récitant une poésie parce qu'on lui a demandé!!!
Ah oui!
Intelligible: déjà ça! serait un effort plutôt que de plier l'autre à vos origamis studieux! vous parlez de cultures sans en avoir la moindre conscience et pour reprendre en inversion la fourmi et la baleine, voilà que vous l'écrasez, la fourmi, du haut d'une suffisance de masse!
Petit rigolo va!
Bachelier coincés dans vos définitions. à vous rendre supérieur
(à quoi je vous le demande?) une fois de plus videz vos poubelles ou retraitez vos ordures et allez faire un tour aux urgences: ça relativisera votre mal de vivre!!!
Ah je suis en colère et j'ai des raisons.
"personne ne t'aime parce qu'ils nous l'ont volé"...
Mythologie contemporaine:
"Areto momentum!"
Et pas plus...
Et aujourd'hui je ne vous veux pas d'autres bien que ça.
Ps/ "Suffir" entre autre ici est une coquille et trop tard j'ai appuyé sur le petit bouton!
Maintenant d'autre choses à faire et bien plus urgentes que toutes ces idioties!
Et bien soit ! Soyez en colère. Dîtes moi tout ! Je suis content, parce que souvent, j’ai juste le droit d’être ignoré. A la porte, comme mon ancien métier de bucheron.
Pas de complexité d’enfer pour ce message. Comme je l’ai prédit les échanges s’estompent et il est temps de m’en aller (il n’y avait que vous qui me retenait)
J’ai eu beaucoup de plaisir à pouvoir écrire tous ces messages et m’essayer même maladroitement à une sorte de poésie. D’ailleurs je me relisais avec de la musique, plein de rêves !
Imaginant, quelqu’uns lisant et leur apporter un peu de fantasque et de destruction de leur propre cage.
Et vous R.E.D, j’ai eu l’impression d’avoir un amis un temps, oui ! Et la finalité je m’en fiche.
Dans mon univers, les choses sont très froides. Il m’arrive d’aller aux urgence juste pour le chauffage.
Voyez-vous, lorsque je vivais dans un monde Newtonien, j’était capable de vous prédire le mouvement des astres au décibel près. Cette singularité gravitationnelle, souvent contraint de l’assumer et d’être piètre « rigourlo », c’est le best of.
La métaphysique me sort d’un étouffement social d’interrelation de domination. Mais également d’être un cerveau physique.
Je lis les mode d’emploie comme j’écoute une musique. Et même si certain vivent avec des choses très compliqué et que ma table est bancale, cette idée de me sortir d’une biologie idiote qui ne ferait que de moi qu’un simple prédateur, je suis « heureux » d’être le summum de la réalité. (je ne développerai pas plus mais il y a de quoi être joliment logique sans scientisme)
Je suis « Dieu » me projetant dans un corps physique, et cette conscience l’univers lui même. Ces douleurs et ces déception de moi-même pour générer la plus belle des théories dans le « futur ».
Pas belle d’être répandue ou populaire mais pour moi-même, j’ai beaucoup de difficulté a retranscrire les choses avec le langages et le formel, vous m’avez apporté l’esthétisme. Qui que vous soyez.
Je suis par ailleurs très habitues des suivantes :
-Je suis confus dans mes propos.
-Je suis médiocre (dans l’aboslu)
-J’ai un QI de 100 vers de terre (souvent placé dans les < 80)
-Je n’ai pas d’amis
-Je suis un petit rigolo
-Un vilain petit canard
-En mal de vivre a ennuyer le monde comme une larve
-Un idiot (quoi que vous avez été indirect la dessus)
-Un ex-bachelier petit peu boutonneux et arrogant.
-Un fumiste de première, racoleur dans mes messages
-Je me regarde le nombril et je ne me fatigue pas
-Je recherche l’attention des autres sans succès
-Je dois revoir mes causalités premières et mes classiques (toujours cette notion de « base »)
-Pas de conscience
-Une fourmis incapable de comprendre les baleines ou une baleine écrasant les fourmis
-Faut que j’aille aux urgence psychiatrique
-je ne supporte pas la contradiction
-un qui se prend pour un poète
-je me sens supérieur de ma « singularité »
-et je vous emmerde
-…
et je vous emmerde !
« les trois volèrent » ce fut bien lu
Quand vous n’êtes plus bon qu’à punir sous le regard sauvage, rejoignez l’étoile noire.
quand vous vous croyez capable de guider les êtres de la planète bleu pour leur verdure faciale,
rejoignez l’étoile noire.
Quand vous vous faîtes de votre exhibition des autres, plutôt que de vos pensée métaphysique, rejoignez l’étoile noire.
Prenez y de fait, le prochain wagon, nous nous en souviendrons,d'une scintillante existence,
quand un cowboy, aussitôt, eclipsera la complète lune, d'une folie devenant bon entonnoir.
Dark Vador
Et bien voilà c'est dit!
Mettons nous s'il vous plait aux choses sérieuses désormais plutôt que de mentir avec des mots sonnant l'injuste...
Je regrette mon absence des derniers mois si celle ci avait une influence positive et "abrégeait vos souffrances" (jock!)... Comme beaucoup vous ne faisiez jusque là qu'exprimer votre suffisance à grand coup de mérite personnelle! Comment vouliez vous discuter de quoi que ce soit avec un/une qui passe le plus clair de son temps à vous contredire par principe. Un dialogue, il me semble, est bien plus que l'échange d'opinions acariâtre sur le principe que celui qui râle le plus fort à raison!
Hiérarchie idiote ou le chef est celui qui a la plus grosse...
Et la différence entre les vers de terres (fussent ils plus nombreux que nous autres sur cette planète) est qu'ils ne s'additionnent pas en combinatoires pour former des cathédrales en taillant même chacun une pierre!!!
Toujours étonnant de constater qu'il faille un bourre pif pour forcer les gens à se moucher! Maintenant, voulez vous, je me fiche cordialement de votre numération d'exceptionnel si elle n'inclue pas l'ensemble de ce qui vous permet d'être ce que vous êtes: C'est à dire l'ensemble de ce qui vous précède et l'ensemble de ce qui sera après vous...
Juste un maillon dans une chaine qui n'a aucun besoin de vouloir être plus fort ou moins résistant que ceux d'avant et d’après. Mécaniquement parlant c'est l'addition des résistances qui donne au tissus sa souplesse et non sa qualité au millimètre carré.
Alors fi donc de cette stupide supériorité comme de cette idiote intégration!
Poète maintenant:
Tradition orale et responsabilité de "l'écrivain" public.
Avoir les possibilités d'exprimer quoi que ce soit n'est pas donné à tout le monde. Structurer un discours, mettre en forme quoi que ce soit est une foutue responsabilité lorsqu'on prend conscience que les idées rebondissent dés qu'on les a lancées.
En quelque sorte les fleurs du mal et les paradis artificiels et puis plus rien:
de peur de raconter des imbécilités. Le drame mainte fois répété des poètes irresponsables à la Rimbaud qui forgea (encore l'idée de forge qui ici n'est pas appropriée: lorsque le fer est chaud cent fois sur le métier... etc.)
Certains commencent en éclair de génie puis se contentent de diluer jusqu'au vers d'eau l'absinthe de leur humeurs et d'autres brodent à n'en plus finir le motif du temps. L'art de la tapisserie face à celui de la calligraphie. Les deux vont de pairs. s'il n'y avait pas l'un il n'y aurait pas l'autre. Va et vient incessant des complémentarités...
Et s'il y a une chose que les dictateurs de tous poils craignent le plus, c'est bien la poésie pour ce qu'elle parle non à la raison raisonnante mais directement au cœur des hommes. La poésie aura fait plus pour "l'humanisme" et "l'humanité" que le moindre discourt et théorie d'un scientifique sans conscience: fut il le génie absolue d'une sociologie réformatrice!
Maintenant reprenez vos écris avec un peu plus de recul sur leurs incidences et déclinez sur l'art de la fugue en arpège avant d'écrire des symphonie atonales! l'acousmatique tout autant que la musique concrète n'est pas donné à tout le monde.
Un simple exemple:
Il y a longtemps, très longtemps dans une galaxie lointaine arrivèrent les premiers synthétiseurs. Certains voyant en eux une porte de sortie facile à leur manque de maîtrise du "violon" souhaitèrent s'y accoler, d'autre y virent une sorte d'aboutissement des possibilités. Quoi qu'il en soit, ce qu'il en reste fut que rien n'arrive en génération spontanée et que la composition de toute chose s'assoie sur des accordages. Que la théorie des accords indique clairement une valeur d'harmonie, même dans la monodie! Simple déclinaisons des probables syntonies, non simultanées...
Ainsi l'art de la discussion n'est pas le contre point mécanique mais encore lorsque celui ci est adopté, il faut qu'il se veuille en accord et réponse, sinon laissons passer le temps pour ce qu'il est avec Glenn Gould (interprétant Bach)... Mieux vaudra une valsouillette bien interprété qu'une symphonie fantastique sans ses trois orchestres!
Quand à votre table boiteuse; il me semble que les plus belles choses (j'entends ici les plus abouties et non sur ma simple appréciation...)
je les ais faites lorsque je manquais le plus de moyens.
Echec manifeste d'une société de l'avoir et de l'outil pour eux même!
Retournez au "travail":
On ne réfléchi pas assez en ce monde.
On ne réfléchi pas assez la lumière puisque dans le noir rien n'existe!
Et leçon de vie: "il n'y a pas de profondeur s'il n'y a pas de premier plan"
Bien à vous et remettez votre nez rouge pour sortir en public
rien n'est pire qu'un clown triste!!!
Piocher dans les idées des autres,
c'est déjà les trier pour en sortir ce que l'on souhaite pouvoir entendre.
Non! Ce que l'on veut pouvoir comprendre.
Ainsi, françis Ponge:
"Je suppose qu'il s'agit de sauver quelques jeunes hommes du suicide et quelques autres de l'entrée aux flics ou aux pompiers.
Je pense à ceux qui se suicident par dégoût,parce qu'ils, trouvent que « les autres » ont trop de part en eux-mêmes.
On peut leur dire : donnez tout au moins la parole à la minorité de vous-mêmes. Soyez poètes. Ils répondront : mais c'est là surtout, c'est là encore que je sens les autres en moi-même, lorsque je cherche à m'exprimer je n'y parviens pas. Les paroles sont toutes faites et s'expriment : elles ne m'expriment point. Là encore j'étouffe.
C'est alors qu'enseigner l'art de résister aux paroles devient utile, l'art de ne dire que ce que l'on veut dire, l'art de les violenter et de les soumettre. Somme toute fonder une rhétorique, ou plutôt apprendre à chacun l'art de fonder sa propre rhétorique, est une œuvre de salut public.
Cela sauve les seules, les rares personnes qu'il importe de sauver :
celles qui ont la conscience et le souci et le dégoût des autres en eux-mêmes.
Celles qui peuvent faire avancer l'esprit, et à proprement parler changer la face des choses."
Quoi qu'il me semble, après recul du siècle,
que faire mourir le temps à grand coup de sa description
fut une tentative erronée de nos poésies du vingtième siècle.
(Celles ci dans la plainte, n'exprimaient que la souffrance
des tranchés d'obligations:
Tentative vaine d'échapper à la pesanteur
d'une époque étiquetée mauvaise)
il me semble maintenant que parler de nos humeurs tel un chirurgien apprenant la médecine du vivant sur des cadavres anonymes,
ne fait pas battre les cœurs:
(Sur le principe qu'un mécanicien
fait plus pour le déplacement qu'un fossoyeur.)
Accorder aux mots plus d'importance
qu'à la page sur laquelle ils s'inscrivent...
Parler sans avoir la moindre oreille qui vous entende
c'est voir le graffiti du monde sans ses courants d'air.
Ne lisez le livre de l’intranquillité qu'au seuil de votre cimetière
puisqu'il vous y mènera forcément.
épitaphe noctambule des âmes en perdition
qui, rêvant d'un appuie, se relèvent la nuit pour pisser.
Ce jet continue d'un fluide d'or tombant
dans les égouts d'un tout ou commun,
fait plus à mon regard que mes rêves enfumés.
Je le redis ici:
"Quel est le con qui a pisser sur la neige?"
"Le cul de la voisine quand elle se baisse pour arroser ses fleurs."
suffirait à nous sortir des procrastinations impertinentes.
à plus tard sun Wukong
La peur est le chemin vers le côté obscur : la peur mène à la colère, la colère mène à la haine, la haine ... mène à la souffrance."
Ce qui m’ennui avec le petit lustre vert (et qui justifie mon positionnement parfois du côté obscur de la force), est cette recherche d’évitement de la souffrance.
Selon l’art ancien de Bouddha, la souffrance doit être lustrée. Pourtant Bouddha n’était pas membre de l’étoile noire, ou avec un pseudonyme non répertorié depuis des lustres perdu dans les administration galaxiales.
Ainsi les travailleurs acharnés ou les poètes responsables s’infligent une souffrance volontairement (qui n’est pas masochiste puisqu’elle a un but de pertinence vis-à-vis des autres) dans le but de se forger des capacités. (Le masochisme lui est plus délicat..)
Un peu de sauce piquante :
« The ability to work hard for days on end without losing focus is a talent. The ability to keep absorbing new information after many hours of study is a talent. » (Kasparov)
Qu’est ce qui fait qu’un retour d’un acte conscient puissent être perçu de manière douloureuse ?
Si vos mots se répercutent sur tout l’ensemble, qu’est ce qui assure que même en faisant attention et en essayant d’en prédire les vagues cela ne va pas en enclencher d’autre totalement réductrices ? Voire de gâchis imprévu.
Votre responsabilité dans la poésie me semble plus en faire partie intégrante dans votre imagination de conséquences alors qu’en parallèle « parler sans avoir la moindre oreille qui vous entende » indique une contre force, vous équilibrez alors les deux en 0=1+-1.
Pourquoi serait-ce dramatique d’écrire avec ses tripes et de manière totalement insouciante ? Les autres sécantes.
« la responsabilité de l’écrivain est un étendards à la statut d’état qu’il se veut »
Si Hawking s’éclate à dire qu’un Dieu n’est pas nécessaire avec une théorie du tout (celle des cordes, qui à leur échelle change la notion que l’on peut avoir de l’espace-temps), il se fait vite enguirlander parce que ce n’est pas lié au domaine dans lequel il a été renommé. Sa parole en quelques sorte est pesante, et c’est je pense ce que vous entendez dans responsabilité de l’écrivain, qui n’est donc qu’une question de popularité voire de vantardise face à tous les écrivains qui peuvent raconter n’importe quoi jusqu’à un alexandrin du genre :
Je ne mouche, je renifle un coup puis me gratte la gorge
et tout le monde s’en tape, sauf ma chemise quand il y a du vent en face !
Pour ce qui est de suffisance de mérite et de discours réussis..
La suffisance dans un premier temps, lorsque vous m’avez écrit la liste de ce que j’ai écrit précédemment. Il y a quelques remarques qui sont classiques et qui ne portent pas vraiment d’un moi (mais je vous les accordent toutes car vous avez votre interprétation de chacunes, vouloir y remédier est idiot si vous me voyez comme cela, alors je suis comme cela en partie), mais ont plutôt un objectif de percer l’égo. Pour vous en dire un petit peu sur moi, j’ai en fait 3 individus que je pourrais qualifier de trouble de l’amitié. Pour définir le concept d’amis je me base sur les critères du DSM :
-Triangulation renforcée sur un objectif commun pratique par une injustice résultante de similarités de la variable d’intégration dans la différence par rapport à un ensemble de groupes d’appartenances. (ce qui pose problème pour la notion d’amis en elle-même, est-ce bien d’avoir des amis ?
-Exhibe ses relations avec vous à d’autre dans un objectif de caractérisation partielle de sa personne. (Ce critère qui fait l’objet de vifs débats dans la communauté des psychiatres et qui devrait être supprimé dans la prochaine version du livre véritable est foncièrement du fait qu’une amitié est basée sur une triangulation, il y a donc redondance)
Mais un amis je dirais à mes risques indépendamment, sans technique parle ou écrit avec moins de soucis d’insistance. (Paradoxe de l’ennemi et du mensonge)
Par ailleurs, comment un discours pourrait-il être vivant sans lui même étant sujet à un inter-sélection des propos. La encore nous avons besogne de contre-force pour réellement parler d’un échange.
Exemple :
Une théorie scientifique. Lorsque j’écrivais une théorie il y a de cela environ 5 ans. Mon moteur, bien que cela puisse paraître triste à priori a été la provocation des autres à me dire que j’en était incapable. C’est donc dans un espoir de leur preuve du contraire que j’ai été initié à la science constructive. S’en est suivi la contemplation de la seconde vitesse scientifique et le détachement des causalités premières pour le mélange à être l’univers dans cet art de me rendre compte de mes contradictions logiques tout en cherchant à vouloir avoir envie de faire une théorie (et cette envie est des plus mysterieuses).
Cette dilution dont vous parlez est d’une grande pertinence, sans retour douloureux, nous n’obtenons quelque chose qui a des chances de se propager sur le tissus et de nous revenir. Là vient donc le concept de folie, qui consiste à emmener de manière totalement indifférente des retours y compris les siens, sa propre raisonnante libre. Plus de rigueur personnelle. Une sortie de d’agitation, pourtant je pense qu’il y a des chefs d’oeuvre qui furent ainsi composés parce que la moindre agitation résulte de notre structure et donc déjà adaptée (l’aléatoire n’est jamais innocent).
Tesla choisissez ses chambres d’hôtel uniquement divisible par 3. Et ce chiffre en bas de page nous affecte puisqu’il est là. Quand à ceux qui nous dissimulent leur schéma cela est d’autant plus curieux. La numérologie consiste à confondre les improbables et les schémas. Et c’est un jeu très agréable et constructif tant qu’il ne devient pas mathématiques sans démonstration.
Enfin, je ne contredis pas uniquement par principe, je contredis quand j’observe un schéma qui colle pas avec une contradiction logique. Même si il m’arrive d’être excessivement polémiste et je vous l’accorde.
Exemple :
L’écrivain parle d’être responsable donc fais attention aux autres dans leur appréhension réelle, mais puisqu’il est sous-entendu que cela tient beaucoup de sa propre opposition à d’autre écrivains à peu de scrupules jugés médiocres, il ne fait qu’écraser. Contradiction ou alors sélection ? L’écriture est intemporelle et il n’y avait personne à l’enterrement de Hegel.
« Ne vous êtes vous jamais posé la question de savoir (sans être triviale) dans quelle mesure l'idée de symétrie n'existe que parce que nous avons deux yeux deux oreilles et un nez au centre? »
Eboulement de réflexion non terminées. Le nez est un trompe l’oeil, nous avons deux narines. Mais la notion de symétrie qui n’est pas dans la profondeur pour le corps révèle la troisième dimension de se faire face. Votre jardinière donc peut continuer d’arroser ses fleurs car son ego va vite me taper sur le système.
Apparté mais l’attraction de fertilité est de notre époque trop souvent confondu avec la sensualité. Encore une fois cette biologie pénible qui conduit à des attractions d’échanges médiocres par leur résumante efficacité de lignées ininterrompues et d’eudémonisme pour couvrir le tout (et celui là je l’ai dans le collimateur depuis bien longtemps, il avait juste un autre nom !).
Et si la voisine est un robot fais de bois qu’est ce que cela change au raisonnement sur la procrastination ? Mais là nous entrons dans un autre sujet sur lequel je ne vais pas insister qui est la distorsion de l’apparente fertilité par la sélection de représentation des actes exhibés (pour laquelle j’ai trouvé une contradiction ce qui m’a emmené à la théorie NR+). Et notamment un sujet assez piégeur celui en anglais des « memes ».
« Cet animal qui au lieu de courir plus vite pour survivre du prédateur, se mis à faire des bonds aux jambes virevoltantes inutiles survecu mieux, car le prédateur observant cet étrange comportement vis-à-vis de la menace qu’il suggérait , l’effraya d’une potentielle arme cachée ».
J’écris vite, et j’ai eu de ces laborieuses journées, indulgence de ma différence avec Rimbaud. Et votre message, devrais-je insister ? Vous aviez dans votre poche un outil, qui plus est pittoresque et d’art plastique, cela est proche d’une pièce de monnaie. «machin ». Je me dois d’une sieste et j’ai un emploi du temps chargé à venir.. à plus tard !
Discutons sérieusement au fait.
Et pour cela je vais vous énoncer quelque chose de monocorde :
« Tous font semblant, aucun n’existe à part moi. Mais leur façon de faire semblant est infaillible et d’une intelligence qui m’est très supérieure. Je ne les surprendrais jamais à ce jeu d’acteur. Je serai toujours capable de ressentir les choses pour ce qu’ils me donnent et me répondent dans cette idée d’un moi sans aucune faille du leur, même dans ce qu’ils me semblent eux aussi se métamorphoser comme moi. Pourtant à aucun moment, je ne serais capable de me laisser berner dans l’autre idée qu’ils existent autant que moi. Il y aura toujours ce doute de moi, que tout est fait pour moi, je suis tout en haut et tout en bas à la fois, mon avant change avec le temps car mes souvenirs sont imparfaits, mon future change avec le temps car mes prédictions sont imparfaites.
Tout ce qu’ils me diront, sur moi, je le deviendrai même l’espace d’un instant ou plus tard, tout ce que je leur dirai j’aurais le constant trouble qu’il en est autant pour eux que pour moi. Mieux j’ai remarqué le cirque de l’univers, que je ne vous dirai pas car il est de ma responsabilité de parler d’enfer avant cela, pour aboutir à une volonté de vivre et la fin du double existentiel. Il y a un saut et il nous faudra, aux pire danger pour notre tout, faire les deux pas d’une seule fois. »
(The Joker)
... "La peur est le chemin vers le côté obscur : la peur mène à la colère, la colère mène à la haine, la haine ... mène à la souffrance."
Et pour une fois, vous fait un copier coller intégrale d'un texte:
... Comme
des
chiens!?...
"Lorsque l'intelligence justifie l'instinct,
c'est qu'elle n'a plus de raison d'être."
Et l'instinct n'est pas la nature!
Enfin du moins pas celui à laquelle nous pensons?
Et lorsque nous faisons référence à l'instinct, ici et maintenant, nous parlons exclusivement de pulsions incontrôlables qui donnent un sens à certaines de nos actions... Justement "instinctives"... Et donc naturelles!?
Et c'est là le problème.
Tiens je te m'en vais te me parler de la colère par exemple.
Alors, celle ci est injustement traité par nos rabats joies de la défense
du consensus de paix par tous les moyens.
Aussi mes chers amis du monde entier,
ne vous mettez pas en colère
car c'est l'anti chambre de la force obscur!
C'est par la colère qu'entre en vous la haine.
Mais
entre les deux,
cette sorte de pulsion (instinctive?) qui fait que nous ne pouvons tolérer certaines situations et que celles ci nous mettent à bout de nerf, la subtilité de notre intelligence aura fini par déceler tout un tas de petites nuances... un peu comme le brouillard, la bruine, la petite pluie diffuse jusqu'à l'orage de montagne.
Mais,
chut! La météo du jour se coince entre deux publicités flattant la confusion entre le kamasoutra et une voiture de sport. Et on pourra se demander dans quel mesure notre si fascinante caractéristique de sous classement dans l'ordre des anthropoïdes simiesques, n'est pas devenue un passe temps pour cruciverbiste entre deux achats pulsionnels!
Mais,
Occuper son temps... La règle d'or depuis qu'un fameux tailleur s'en est trouver riche en ne gaspillant pas le sien... Et si la parole est d'argent, que le silence est d'or, la règle d'or (comme il semble logique) se transforme tout aussi sec en argent comptant... Et voilà que blablabla est devenu la seule raison de ne rien faire en en parlant le plus possible.
L'intelligence réduite au discourt d'elle même
meuble les coins sombres
de nos pires pulsions irraisonnables!
"Tiens je m'en va te tuer le voisin aujourd'hui!
Il a pété en public et nous sommes tous d'accord que ça sent pas bon."
Et certes, notre fameuse raison confondu souvent avec l'intelligence parce qu'il semble que la logique soit à peu près la seule chose que nous en ayons perçu, pourra nous dire qu'il a dû bouffer des fayots hier et que ça explique tout, qu'il serait mieux de lui dire que les choux de Bruxelles c'est pire et que les nouilles c'est mieux pour la couche dans le trou. On pourra encore penser qu'il peut aussi déménager chez les mangeurs de cassoulets du quartier au vent contraire...
Mais,
il y aura encore la petite voisine du bout
qu'à perdu l'odorat en sniffant son chocolat du matin,
pour vous dire en passant du haut de son évidence:
"Moi ça ne me dérange pas plus que le camion qui passe sur le trottoir
devant la fenêtre de ma chambre. C'est le progrès!
Faut s'entraider et puis qu'est ce qu'on peut faire sinon être gentil
avec le couple d'en face qui se tape sur la gueule une fois par semaine parce qu'elle, elle ne supporte pas que son mari veuille avoir des rapports sado maso du genre une bougie dans le cul... Alors qu'est ce qu'on fait?"
Et à ce stade de ma réflexion toute pourrie qui pue la désagrégation misanthrope...
Mais,
serait ce dans mes instincts de penser que la nature humaine s'exprime au plus proche d'elle même lorsqu'elle obéit à ses pulsions? Et posons donc la question de ma nature humaine à moi tout seul!
Mon cerveau reptilien... Mais qu'est ce que je dis là! J'ai dit "reptilien".
Et ne ferais je pas ainsi un lien avec la grisaille environnementale d'un complot qui nous prend pour des imbéciles depuis trop longtemps? Hein je vous le demande entre quatre z'yeux, comme du poil à gratter.
Pas la peine à ce stade, à cette évolution, dans cette organigramme, bref avec des mots compliqués de dire tout bêtement que si nous vidons la poubelle, c'est parce qu'elle pue! Et que ça, n'est même plus une affaire d'instinct?
Mais,
Car il y a toujours un
"jolie moi de mais".
Et tiens! Justement parlons en de cette nature humaine qui se croyant intelligente par concurrence, qui parce qu'on lui a dit d'un ton docte du haut de la nature même de l'intelligence, qu'après tout c'est elle qui fait la différence entre le sourire hypocrite sociabilisant et cette absurde instinct d'hilarité qui nous assailli, nous terrassant au sol de crampes abdominales... Faut que j'aille chez le médecin, je crois que je me suis froissé un abdominal, ou peut être que c'est le concert du colon, le couscous du voisin...
Ah non! Le rire a au moins la vertu de vidanger les intestins avant la révision des cent milles.
Mais,
Revenons au sujet du jour, si vous le voulez bien...
Après avoir prouvé au premier clampin qui croit que c'est l'intelligence qui fait la différence,
"à force de péter trop haut le cul prend la place de cerveau!"
Comme des chiens...
Qui se renifle l'arrière train en carte d'identité, si nous reniflons l'intelligence des autres, se pourrait il qu'elle ait une telle odeur si caractéristique, qu'on veuille parfois tirer la châsse d'eau ou la ramasser avec un sac plastique à faire des cochonneries sur les chemins du monde?
Et peut être qu'après tout depuis que nous sommes devenus les rois de la métaphore intempestive inversée...
Je m'explique;
Depuis que nous nous comparons
bêtement avec nos créations
(ou le syndrome de Franck Einstein...
Depuis que nous nous expliquons
si bien en nous comparant
avec un pot d'échappement
et la manipulation des
petits Mickey en deux clic...
Depuis que l'étude des papillons
nous fait entrevoir El Niño...
Depuis que nous pestons avec le ton Américain
et le sourire d'inconvenance du genre
"excusez moi de faire de l'humour à deux balles
que tout le monde peut comprendre
parce que sinon ça n'est pas drôle"...
Depuis que les dossiers non classés
sont devenu le tricot des mentalistes de tous bords...
Bref depuis..)
Mais,
Et là je dis mais!
Car il faut un...
mais,
un peu partout pour admettre qu'on peut avoir un esprit critique,
critiquant et critiquable car, sinon à quoi est ce que ça servirait de...
Parler pour ne rien dire?
Hein! Je vous le demande?
Ah très cher toi que j'admire tant pour ta sagacité à te prouver
que tu as raison de penser qu'il ne faut pas trop penser
car sinon ça en deviendrait une seconde nature,
en quelque sorte un instinct, une sale habitude
comme de chier sous toi pour isoler le cas particulier
du froid hivernal à confondre lombric et ombiliqué,
Comme des chiens... L'intelligence soyons en sûr maintenant, c'est une affaire d'instinct
ou sinon comment expliquer que nous ayons pu percevoir la nature même de l'instinct.
C'est ici et donc car hors ni rien d'autre, que nous trouverons la nature même
de l'intelligence profonde qui fait notre différence...
Ah Déités qui sommeillent en ma suprématie,
l'intelligence est partout!
... Sinon comment encore expliquer que nous ayons perçu
cette nature même qui nous imprègne tellement
de nos instincts sauvages parce que nous le savons?
Mais,
Que dis je là!
Et bien...
Justement rien parce que je suis en colère...
Ah merde!
Tiens ça sent le trou du cul du monde!
Pan-pan!
J'ai raison et t'as tord
et qu'on n'en parle plus...
De toute façon, je vous aime!
(parut il y a deux ans et quelques mois...)
Maintenant:
Qu'est ce que
l'identité personnelle?
(Et revenir un peu en arrière sur les racines même de ses mots...
"Identifié"/"identique":
Ce qui nous semble identique est ce qui est remarquable comme étant une singularité. Cette particularité se trouve prise en compte dans ce qu'elle implique une mesure de similarité: On ne peut comparer l'ensemble d'au moins deux phénomènes sans qu'au moins un seul soit identique à lui même.
Le "personnel" renvoi particulièrement à la distinction qu'on peut faire entre soi et les autres. Ce qui est personnel est à soi et pas aux autres.
Ce qui est impersonnel n'appartient à personne pour la raison qu'il n'est pas identifié comme étant personnel identitaire et identifié!
...
Et il faut avouer que là nous franchissons
les barrières même de la réflexion absurde!
Note aux lecteurs:
Par moment j'ai l'impression de radoter et s'il n'y avait la constatation de la médiocrité ambiante se faisant bouffer par le moindre arc en ciel, je mettrais en standby, et une fois pour toute, les niaiseries qui peuplent mon imaginaire survolté et me mettrait enfin à dormir d'un œil fermé sur ce monde éclairé froidement au néon de la raison...
Mais comme il faut bien reformer et indéfiniment les petits jeunes, adoptons un ton docte et profond apte à satisfaire leurs études de commerce afin que la forme soit de meilleur rentabilité. j'ai longtemps cherché à quoi pouvait servir l'écriture: il me semble maintenant qu'elle conserve aussi bien que le formol.
Dans son petit bocal en os,
la pensée se coince assez facilement dés lors qu'elle ne trouve pas de trous pour respirer. Elle étouffe: Comme un bonzaï dans son trop petit pot... La taille doit être régulière et ce qui en sort, les feuilles autant que les branches, doivent s'équilibrer à peu prés avec ce qu'il y a l'intérieur... Du pot.
Sinon, inapte à survivre dans son propre labyrinthe, la pensée se sclérose.
Dés qu'on a compris un peu de ce processus, on évite plusieurs choses:
1) Penser pour rien: ça bouffe de l'oxygène!
2) Penser au dessus de son pot: ça donne l'air en bonne santé;
Mais dans le fond (à cause de cette équilibrage subtil du supra monde et de son pendant "infra") on se retient de péter jusqu'au jour ou on se retrouve avec un Cancer de la colonie mentale.
3) Penser pour ne rien en faire!
ça obstrue les racines d'un nombre exponentiel de radicules libres s'entortillant sur elles même : Autant que ça fasse des feuilles jusqu'à la prochaine coupe!
Et puis les racines aériennes dont on oubli souvent de parler!
Celles là naissent après la mousson ou entre deux eaux dans les mangroves.
Notons encore qu'il existe les pensées grasses, celles un peu poilues et celles qui ne peuvent survivre sans se regrouper en quelque chose, et n'oublions pas d'y ajouter les espèces qui selon les versions philosophiques peuvent être soit parasites soit symbiotique!
Bref, les pensées qui nous composent, ou du moins dont certains sont composés, sont parfaitement comparable à cette nature sauvage qu'on dit végétative.
Faisons ici encore remarquer que ce monde n'a pas tant de forme que ça;
Puisque par mimétisme chacune d'entre elle s'inspire d'une autre...
(et qui de l'œuf ou de la poule) hein?
Il n'y a pas de petites pensées dont on peut dire qu'elle soit sans importance parce que le paysage entier, celui qui est, qui n'est rien d'autre que celui qu'on compose parce qu'il est, se compose à l'infini de fractales qu'on peut réduire ou agrandir par simple manipulations extrapolées. La moindre particule faisant paf avec une autre peut provoquer un Big-bang ou son inverse et la notion d'ordre n'a rien à voir avec la réalité!
Le chaos et le néant, ces deux oppositions arbitraires ne sont que le fruit de notre volonté à vouloir comprendre qu'il peut y avoir un ordre et la meilleur définition que je puisse en donner est que le néant est bien ranger parce qu'il est vide tandis que le chaos est bordélique parce qu'il est plein. Que l'un sans l'autre, c'est une affaire de point de vue: à savoir ce qui est plein l'est parce que nous pensons savoir ce qui est. Ce qui n'est pas est forcément vide et donc bien rangé puisqu'il n'y a pas d'ordre particulier à lui donner... Puisque dans "la pensée commune" le vide et le plein, disposé en alternance forment des séquences qui elle même coupés en petits morceaux, forment d'autres séquences jusqu'à ce qu'une d'entre elle soit remarquable, on pourrait tout aussi bien penser que le vide et le plein sont complémentaire dans la mesure ou l'un ne peut exister sans l'autre!
Et d'ailleurs reprenons ici l'affirmation:
On mesure le vide
par ce qui pourrait
le remplir!
Alors, la pensée pourra tout aussi bien être chaotique ou "néantique", pleine ou vide et même ordonnée de ce plein et de ce vide qu'on peut tout aussi bien vider ou remplir, selon qu'on veut la comprendre pour la percevoir comme existante ou pas.
Comme quoi dés qu'on pense
un ordre quelque part,
il apparait aussitôt!
Et donc la pensée qui consiste à penser le monde n'est rien d'autre que ce qu'elle est: Mimétique avec le monde lui même. On peut penser comme une pierre si tant est qu'on en ait une à coté de soi, penser encore comme un nuage, ou bien penser en boite d'allumette en torrent et en brume.
Et cette évidente réalité à deux balles
me fait penser justement que...
ça fait peur!
L'identité pourrait elle être autre chose que la remarque que:
Dans un monde ou tout se ressemble, lorsque soudain on perçoit quelque chose,
ce bidule remarqué devient aussitôt une ordonnance,
un étalonnage et bref l'envie instinctive de lui ressembler?
(Je n'expliquerais pas ici comment par un malin plaisir,
je te me place l'anonymat comme anti thèse existentiel
et comment en conclusions latente,
il semble évident que la seule garantie de paix mentale
soit l'abandon de la caractérisation des phénomènes!
ça je vous le laisse...
Parce qu'après tout ça vous donnera l'impression,
à vous aussi d'être singulièrement remarquable
pour avoir remarquer le rôle essentiel de ne pas l'être...)
Et puis,
il y a la pensée traductrice.
Celle ci en interne se complait dans l'art de la version.
Elle choisi son langage avec soin, pose ses ponctuations de peur de suffoquer, puis balance comme ça ses évidences au quatre coins du monde tout rond, pour y marquer son territoire. C'est là qu'elle existe! Elle a pisser partout (et chier de même)
et son odeur doit être reconnue par toutes les autres pensées qui pourraient se pointer dans son territoire de chasse! L'hommage est donc rendu à ce qui pue le plus!
Et soyons lucide deux minutes: -"Même les fleurs n'ont qu'une odeur de cul!"
... Je l'avais signalé plus haut:
(Je vous avais prévenu!)
Tout est mimétique
et rien n'échappe
au monde fractale!
Et la petite pensée
du jour sera:
« Parce, que dit on, vous avez cru dès l’enfance
qu’un coffre était vide lorsque vous n’y voyiez rien,
vous avez cru le vide possible.
C’est une illusion de vos sens, fortifiée par la coutume,
qu’il faut que la science corrige. »
Et les autres disent « Parce qu’on vous a dit dans l’École
qu’il n’y a point de vide, on a corrompu votre sens commun,
qui le comprenait si nettement avant cette mauvaise impression,
qu’il faut corriger en recourant à votre première nature. »
Qui a donc trompé : les sens ou l’instruction ?
Blaise Pascal.
Si ça vous dit j'en ai plus cinq cent pages...
Maintenant une toute petite réflexions sur notre fabuleuse époque d'ultra communication; Vous seriez tombé chez vous avec un gros malaise (tiens ça m'est arrivé! pas vous?) j'aurais été incapable de le savoir et de venir vous dépanner autrement qu'avec quelques mots dans l'espoir que vous puissiez les lire et les comprendre... Vous seriez déjà mort que je ne le saurais pas.
L'univers des experts... Comme celui des tutos n'a aucune réalité matérielle. De la pure illusion événementielle, du spiritisme de cartomancien à recracher des ectoplasmes sur un daguerréotype.
Ah oui un petit dernier juste pour vous et pour moi:
"Entre deux imbéciles:
(Qu'on soit clair Disait l'aveugle au sourd...
et pour cela un peu de parodie ne nous fera pas de mal.)
Dialogue:
- Monsieur, s'il vous plait! Vous ne connaissez pas le dossier!"
- Mais bien sûr que je le connais!
- Et justement c'est cela que je critique chez vous:
Cette manière que vous avez de vouloir parler des choses parce que vous les connaissez!
Moi voyez vous, il m'importe plus de savoir qui connait le dossier que qui ne le connait pas. Et c'est pour cette raison que je regrette qu'une fois de plus vous insistiez lourdement sur votre connaissance.
- Comment? Mais il me semble que pour parler d'une chose faut il encore la connaitre, non?
- Et bien justement pas sinon ou serait la pertinence du propos?
- Et de quoi vouliez vous qu'on discute alors?"
- Et bien de cette manière que vous avez et dirais je personnellement de confondre la personne avec son numéro de téléphone. Moi je cherche à connaitre les gens, non par leur nom mais plutôt ce qu'ils sont par eux même!"
- Ah voilà bien l'apanage d'un certain "populisme"!
- En quoi donc s'il vous plait? Je regarde les gens dans les yeux et ça me suffit pour savoir ce qu'ils pensent, ce que vous ne faites pas apparemment lorsque vous énoncez qu'en majorité "il semble que" en alignant des chiffres! Croyez vous sincèrement que la population de ce pays soit en mesure de comprendre de quoi vous parlez lorsque vous les prenez pour des imbéciles?
- Et là que faites vous donc en affirmant que l'ensemble de la population n'est pas capable de comprendre de quoi nous parlons? Et bien justement ce que vous ne faites pas. Admettre que l'opacité de vos propos désarçonne la plupart en leur donnant le sentiment d'être intelligent, ce qui vous l'admettrez, est une manière de les manipuler en leur faisant croire qu'ils peuvent vous comprendre parce que vous donnez toutes les apparences du sérieux!
Moi Monsieur je ne suis pas sérieux, et c'est pour ça que je suis là!
- Ah justement vous l'admettez votre manque de sérieux et en public par dessus le marché!
- Bien sûr! et contrairement à vous j'assume tout à fait l'imbécilité de ce que je dis parce qu'il faut savoir simplifier et même jusqu'à l'extrême d'ou on veut. Car dans l'ensemble aucun de nous ici n'est en capacité de comprendre réellement ce que nous disons;
Vous en premier il me semble...
- Ah détrompez vous! voyez vous j'assume parfaitement ce que je dis même si dans l'ensemble tout cela peut paraitre confus. Je n'ai en moi même aucune contradiction que je ne puisse revendiquer comme une partie intégrante de moi même!
- Et bien justement c'est ce qu'on vous reproche: D'être parfaitement contradictoire.
Et c'est pourquoi d'ailleurs je suis ici. Pour opposer à votre rationalisme d'esbroufe englobant jusqu'à votre indétermination chronique ce qu'on peut appeler le bon sens du point de vue unique; Ce qui me semble à moi caractériser les besoins de cette discussion, non?
- Mais sur ce point vous avez parfaitement raison! et l'ensemble de ma rhétorique ne saurait être autre chose que d'affirmer aux yeux de tous la volonté d'une simplification argumentaire dans la volonté de conspuer une fois pour toute l'idéalisme d'une réalité ubiquitaires lorsque j'affirme moi en tant que dépositaire d'une identité complexe, que la complexité est le maitre mot d'une stabilité dans l'effort constant.
- Ah, ah! Je vous prend sur le fait mon bon monsieur! car si je résume ce que j'ai modestement compris de votre phrase et là je dirais phrase pour ne pas déplaire à tous ses gens qui sont satisfait d'une certaine forme de mépris pour les gens simples: alors d'après vous, s'il y a le moindre changement et même dans la compréhension du dossier c'est en quelque sorte dans la continuité d'une vision contradictoire?
- Monsieur je n'ai pas dit cela! j'ai dit qu'il fallait une certaine cohérence dans le propos pour envisager l'émergence d'une continuité dans le changement, ce qui est vous l'admettrez exactement le contraire de ce que vous me reprochez!
comment pourrait on et selon vos dire continuez un changement s'il ne devient pas une continuité? ça me semble très étrange votre idée d'avancer par vous même ou d'avancer tout court pour améliorer la stabilité d'un déséquilibre? Non? Mais je vais simplifier ici parce que tout ceci me semble parfaitement absurde et même le moindre imbécile pourrait s'en rendre compte!
- Ah vous revenez enfin sur votre volonté première; Ne parler qu'aux imbéciles!
- Je passe pour continuer mon effort de simplification (mais j'y reviendrais plus tard car je ne tolérerais pas plus longtemps qu'on parle de ceux qui nous écoutent en ces termes!) et donc vous nous proposez de rendre stable le fait de tomber?
- ça n'est pas ce que j'ai dit!
- Ah non c'est vrai vous avez dit l'inverse je vous cite de mémoire: vous nous proposez le fait de tomber à chaque pas... Parce que le propre de l'homme c'est de faire des erreurs?!
-Oui cher Monsieur et par ce fait je revendique clairement le fait de n'être absolument pas responsable de ce qui suivra par la certitude que: Quoi que nous fassions nous ne pourrons jamais faire autre chose que ce qu'on fait... Et même sans le vouloir.
- Mais vous vous rendez compte Monsieur que dans l'ensemble vous nous proposez de ne rien faire puisque chaque fois, ce que nous faisons n'est qu'une erreur?
Et bien, en quelque sorte c'est un peu ça! Mais puisqu'il faut au moins une personne entre nous deux qui assume parfaitement ses erreurs futures, je ne ferais pas de promesse pour la raison que je ne saurais les tenir! Et vous que nous proposez vous alors qui puisse être réalisable?
- Et bien chère monsieur je suis un imbécile, mais contrairement à ce que vous nous présentez de vous même un imbécile qui s'assume parfaitement...
Comme vous d'ailleurs!
Car j'affirme moi que mes promesses valent bien celle d'un autre qui n'en fait pas!
Et qu'on ne me reproche pas de vouloir aller quelque part lorsque d'autre décident de ne pas vouloir parce qu'ils y sont déjà! Et c'est bien là notre différence Monsieur! Parce qu'entre vous et moi, sachez qu'il y a toute une partie des gens qui eux ont décidé d'être des imbéciles en le sachant parfaitement et l'autre partie qui font semblant d'être intelligent en ne comprenant strictement rien!
Je représente moi Monsieur les imbéciles qui s'assument...
- Et bien nous sommes enfin d'accord au moins sur une chose puisque moi même ne comprenant strictement rien à rien, je représente moi les imbéciles qui s'ignorent et dont je fais partie ne vous en déplaise!
Là dessus un extérieur se pointe (bourrée de bonnes intentions...)
- Messieurs, Messieurs s'il vous plait soyons un peu sérieux et touchons le cœur du problème s'il vous plait!
- Mais qui êtes vous, vous, pour prendre partie et oser nous reprocher de n'être pas ici au cœur même de la réalité de ce dossier crucial?
- Ah vous, vous n'allez pas recommencer? Comment osez vous parlez de la sorte à l'un qui soutiens vos argumentaire fallacieux en employant le même langage qu'on ne comprend pas?
- Monsieur je ne vous permet pas!
Les enjeux sont énormes et ce débat entre deux personnalités tel que vous...
Rappelez vous les enjeux s'il vous plait du pourquoi nous somme ici!
- Et justement il me semble sur ce point que le sérieux des débats ne devrait pas enfreindre les règles d'une bienséance en quelque sorte une fraternité et une foi inébranlable en ce qui nous rassemble...Quitte à circonvenir vos invectives d'une certaine obséquiosité condescendante...
- Voir d'une hypocrisie n'est ce pas c'est que vous voulez dire?
- Monsieur vous affirmeriez ici que je ne suis pas honnête?
Moi qui ne fait qu'affirmer, et ce dans toutes mes interventions que mon manque de volonté à vouloir décider n'est qu'en fait une manière raisonnable de ne rien avoir à me reprocher?
- Et c'est justement ce qu'on vous reproche Monsieur et contrairement à moi qui dit n'importe quoi et qui l'assume parfaitement puisque je souhaite parler aux imbéciles d'une manière imbécile, tandis que vous Monsieur, vous vous êtes un imbécile qui ne le savez pas parlant à d'autres imbéciles du même bord!
- Messieurs, Messieurs, s'il vous plait sur ce point nous sommes tous d'accord et je suis moi même un imbécile...
- Ah vous le reconnaissez enfin c'est déjà ça! Vous êtes donc d'accord avec moi?!
- Ah mais Monsieur, ça n'est pas ce que j'ai voulue véritablement dire...
- Et bien dans ce cas là vous êtes du coté des gens intelligents: Ce qui reconnaissent facilement qu'ils sont des imbéciles en laissant parler ceux qui ne le pensent pas!
Mais c'est parfaitement stupide ce que vous dites!
Et pourquoi donc? Puisque vous vous en apercevez, vous seriez donc de ses gens intelligents qui le pensez parce que vous refusez d'admettre votre imbécilité au grand jour!?
- Je n'ai jamais dit ça Monsieur et j'aimerais s'il vous plait qu'on revienne à ce fichu dossier qui devrait être notre priorité!
- Parfaitement Monsieur, parfaitement et justement de quoi parlions nous sinon du fait que vous avez la prétention de connaitre ce dont nous avons à parler? Et bien justement je souhaitais dire à tous ses imbéciles qui ne comprennent rien et qui font semblant de comprendre parce que la complexité vous donne l'impression d'être plus intelligent que le voisin...
- Et bien non monsieur je ne vous permettrais pas de parler de la sorte à tous ses imbéciles qui eux se revendiquent comme tel et qui ont décidé de ne pas vouloir comprendre; Dont je fais partie d'ailleurs...
- Et bien soit puisque nous en sommes là, je préfère me taire...
et vous avez sur ce point, totalement raison!
- Moi aussi d'ailleurs au revoir Monsieur et à bientôt!
- Parfaitement au revoir!
Car nous ne sommes pas sans nous revoir
pour discuter même du propos de cette discussion...
Bin tiens!
Non franchement
là j'aurai une question?
oh crotte moi aussi je m'y mets!
Bien à vous dans l'espoir que ces quelques textes nourrissent votre réflexion sur le sujet qui nous préoccupe...
UAQVVDB.