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J'ai un QI de 160. Que puis je en conclure ? - Page 41

Question anonyme le 13/02/2011 à 15h42
Dernière réponse le 22/12/2024 à 20h50
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J'ai un qi de 160 et j'aimerais savoir qui suis je ,que puis je en conclure concrètement ?
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1246 réponses pour « 
j'ai un QI de 160. Que puis je en conclure ?
 »
Réponse de The_monkey
Le 30/12/2017 é 09h27
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« Au fond du coeur, l'homme n'est que méchant ; mais au fond du coeur, la femme est mauvaise. » (devinez d’où vient la romance) “La femme est l'unique vase qui nous reste encore où verser notre idéalité.” Puisque vous citiez Marx.. parlons de la vision religieuse de la femme ! Je croisai l’autre jour « l’antichrist », perplexe, entre frappadingue à dompter et satan incarné dans la luxure qui plus est réclame des baffes sensuelles sur les cimetières naturels. (l’immoral n’est qu’une mauvaise reflection du moral, au miroir granulé) Les 50 pompes comme nouveau magasine à te me décomplexer le SM soft. Bref, s’il y a un truc à percer dans la question du jour, « pourquoi les femmes s’en prennent plein la géométrie !? » Je me met les féministes ou les misogynes à dos ? et il y a l’équivalent strap-on, les deux peuvent faire mal ! Je vais plutôt essayer d’en donner une approche évolutionniste puis démontrer que tout le monde s’implante. Approche évolutionniste : Il était une fois, une société primitive, où la reproduction s’opérait un peu comme la sexualité des puces. (d’où la syntaxique moderne « ma puce ») Le dimorphisme, en polygamie masculine faisait des individus de sexe masculin des sauvageons. Les lucy, pour s’adapter ont donc appris à faire avec, mieux à attirer les plus costauds pour au moins être peinardes. La civilisation a amené les femmes à developper des stratégies de contrôle social, indirectes. La coopération fut prépondérante pour leur possibilité de selection masculine. La reaction masculine fut simple, pour accéder à la fertilité visible, ils se sont mit à suivre tout un tas de procédures mythiques dans le but d’atteindre la femme dans les règles de l’art (sous peine de sanction sociale). Ce que l’on nomme parade nuptiale. Cette adaptation masculine « frustrante » explique bien comment les hommes ont horreur d’avoir à se plier à toutes ces exigences pour ce qui est un désir qui leur paraît simple, et notamment de le contourner dès que possible. La dégradation de la femme est devenue une approche « naturelle » de les atteindre, de fait les femmes tendent à sanctionner cette « tricherie ». Pour autant, les femmes sont dans une réelle volonté d’enfanter (statistiquement) ce qui amène leur altitude à créer de l’attrait et à inciter à cette volonté de tricherie dans la démonstration de domination entre chevaliers. Elles se regardent donc entre elles différemment (ce que Freud fut limité à saisir dans ses mucqueuses ) que les hommes sur leur aura de toile d’araignée (insecte cannibale) à regarder les unes des autres, ce qui tombe dans leur filet en transversale. Prenons un peu de recul maintenant, ne voyez-vous pas que la femme opère une selection dans le renforcement de développement de réduction/complexité comme l’intelligible ? Tout le monde se plante : Il y a presque autant de femmes qui consomme du porno que d’homme. Et les questions de domination chez la femme à la recherche du male alpha spécialisé à leur mythe grec supportaire sont pour les non-surdoués en tout cas, très envahissantes. D’où « l’égo de pénibilité recquise » chez les femmes. Les hommes sont soit dans la critique intéressé du sourire percé dans ce cadre de domination soit dans le support de mythe aisément détruit par la lucidité feminine en tant qu’individu intéressé mais faible pour la survie de la famille envisagée. Il a un sadisme féminin qui s’opère au travers de valorisation des mythes, de même qu’il y a un sadisme masculin en opposition de transgression et de saloper les toilettes. Et ce n’est pas sans constater tous les jours toutes ces courbures masculines parlant de bienveillance dans la prédation aux apéritifs féminims, autrement renforcés discrètement de la gente opposée. En d’autre termes, il y a une cécité courante chez les hommes de voir la femme idiote et vice versa. Ce que je trouve assez suspect, dans le sens où la théorisation est privilégiée et l’incrémentation de relation élaborées d’un équilibre de la bipolarité sexuelle entre circuits de séduction. Il ne va sans dire que le scientisme a amené a l’utilitarisme de la fusion des opposés dans l’eudémonisme qui rendent aussi bien les hommes que les femmes dans leur impuissance à appréhender la relation universelle sur-jacente, pire à la court-circuiter par des vérités premières de confort (charnel VS famille ?). La religion est généralement qualifiable de médiocre sur le romantisme, en tant que français nous devrions quitte à s’y intéresser rétablir ce que signifie le mélange universelle des potentiels opposés dans la génération réelle de tornades frontalière chaotico-ordonnées singulières. Ce qu’il faudrait comprendre, est que si la dissociation des genres engendre cette complexité, c’est qu’elle est en quelques sorte une projection du fonctionnement universelle dans la distinction et la selection de vérités mises en abîmées de l’allergie encore et toujours du A et non A. De fait, il est possible de se dégager des « théorisation de couple fonctionnelles » à l’avantage d’une réelle appréhension de la contre force mutosique. Bref ? chien violeur et chienne dressé ou inversion des genres ? Pas fini la provoque la dessus jusqu’au 23 siècle ? il y a des femmes exceptionnelles et des hommes d’exemption, que j’invite à contredire mes analyses normatives. Un dernier mot, sur l’evolution qui abouti à son contraire en répulsion, C’est exactement cela qui m’a poussé à généraliser l’évolutionnisme à la réalité ! Quand à l’histoire cyclique parce qu’on ne la connait pas, il y a le principe de mémoire de cicatrisation, qui fait que le multicellulaire à une réactivité de type intuitive à ce qui s’est déjà produit, mais les cyniques, vous diront par fierté que demain on serait aussi con qu’eux !
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Réponse de R.E.D
Le 30/12/2017 é 11h26
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Excellente analyse qui me semble à peu près viable sur l'évolution de notre société... Du moins tel qu'elle se présente d'elle même à l'heure actuelle. Maintenant qu'en faisons nous exactement? Devons nous la subir ou bien encore la "dominer", passer à autre chose ou faire comme si tout ceci n'existait pas? Nous sommes bien d'accord que ces affrontements de genres n'ont rien à voir avec la réalité dans la mesure ou la sélection naturelle ne tient la route qu'à partir du moment ou la sexualité s'assume entièrement dans son rôle procréatif? Que se passe -t'il alors lorsque le jeu de la séduction dans l'ensemble de toutes ses rivalités cesse face justement à la réalité des enjeux de la vie nouvellement crée? Pour revenir à cette notion d'évolution: l'enjeu par la suite n'est il pas de s'effacer devant la nécessité de construire un avenir viable pour la prochaine génération: La sienne au moins sa propre progéniture? (ce qu'on pourrait encore percevoir comme une notion de servitude volontaire?!) Dans ce cas, l'inclure dans le processus de construction du sociale comme caractère innée et revoir entièrement le propos du déterminisme sexiste selon les caractéristiques organiques d'une survie de groupe. Si mes conclusions sont au moins logique, il me semble que le propos du développement personnelle, commence seulement lorsqu'on a franchi le stade d'appréhension du réel par la procréation. Nous avons alors à ce stade, aborder le "similaire". Qu'en ferons nous? est la question qui vient après! L'eudémonisme (qui vous a tant marqué) incluait à l'origine cette réalité d'un ensemble obligatoire et non cette notion problématique de l'individualité livré à elle même. Le violeur ou la violeuse, dans tous les cas ne tiens compte que d'un lui même à satisfaire et sur ce point, il est dénué justement d'une notion que je n'aime pas voir écrite: L'empathie. En effet cette notion sous tend un nombre incroyable d'hallucinations collectives tel que la notion d'altruisme positif et négatif n'ayant en fin de compte, comme seule fonction d'expliciter les paradoxes du traitement de la notion d'évolution par la sélection du plus fort! ... Pas la peine d'aller voir plus loin! Le monde est actuellement remplie de théorisation merdique sur le pourquoi et le comment de ce que nous pouvons constater des bizarreries "freaks" que la nature ne cesse de mettre en place! Lorsqu'il y a des patates à bouffer, les intestins se dilatent et tout une société de bouffeur de patates se met à péter des Dieux de la patate! Et alors? Dans l'ensemble des sociétés connus (mis à part peut être la nôtre) le but même de la sexualité ne peut être séparé de la notion d'unification de deux entités; D’où peut être la volonté d'y voir non des contraires mais des complémentaires (comme papa dans maman!) Je me permettrais d'intervenir sur cette fameuse notion d'androgynie primaire que certains ont ressortis de derrière les fagots pour se payer le luxe d'être au moins deux "accomplis" par personne. (ça fait du monde au pieu! 4... Et déjà deux s'il y en a un qui ronfle c'est pas facile!!! Et ça nous pose encore le problème qui semble être majeur aujourd'hui de la notion "d'orientation" sexuel...) Voilà bien le comble de la réalisation toute personnelle de s'apercevoir qu'elle est stérile! Le coup des deux cerveaux et les analyses foireuses sur l'ensemble de la structuration des sociétés animales en terme de structure matriarcale ou patriarcale. Dans la stricte réalité la vie se démerde comme elle peut pour continuer d'assurer ses seules fonctions vitales: Survivre afin de procréer... Et sur ce point tous les moyens sont bons! L'adaptation en est la preuve et non pas la conséquence. Et vous évoquiez plus haut les hommes et les femmes exceptionnels? Ils sont présent à l'état naturel un peu partout dans ce monde lorsqu'ils assument justement une sexualité aboutie et fabriquent un monde en paix pour leurs enfants en se posant un nombre incroyable de questions parce qu'ils ont une intelligence pratique, adaptative qui leur permet de résoudre l'ensemble des problèmes théoriques avec lesquelles les autres s'étripent! Faites des mômes ou bien encore aller rencontrer ces parents isolés pour la raison qu'un "conjoint" est partie se réaliser ailleurs!!! Comment expliquez vous que deux êtres normalement constitués accouchent d'un môme pas normal et décident de s'en occuper quand même? Les cas d'adoptions? Les enfants sauvages et tout le reste? s'il y a "évolution" et c'est un contresens souvent évoqué de l'interprétation des travaux de Darwin par Galton... Darwin lui constata une adaptation au milieu et rien de plus... Ce qui nous amène à traiter maintenant du véritable sujet qu'est comment s'adapter à un monde civilisationnel créé au delà de la notion d'environnement naturel... "Comme toujours il est immensément plus facile de disserter sur de telles méthodes et de faire des lectures à leurs sujets, que de les mettre en pratique." "Pour étouffer par avance toutes révolte, il ne faut pas s'y prendre de manière violente. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l'idée de révolte ne viendra même plus à l'esprit des hommes. L'idéal serait de formater les individus dés la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées. Ensuite on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l'éducation, pour la ramener à une forme d'insertion professionnelle. Un individu inculte n'a qu'un horizon de pensée limitée et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste. Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l'information destinée au grand public soit anesthésiés de tous contenus à caractère subversif. surtout pas de philosophie. Là encore il faut user de persuasion et non de violence direct: On diffusera massivement, via la télévision, des informations et des divertissements flattant toujours l'émotionnelle ou l'instinctif. On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l'esprit de penser. On mettra la sexualité au premier des intérêts humains. Comme tranquillisant sociale, il n'y a rien de mieux. En général on fera en sorte de bannir le sérieux de l'existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d'entretenir une constante apologie de la légèreté; De sorte que l'euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et de la liberté." (1939!) Aldous Huxley. Maintenant on en fait quoi pratiquement? UAQVVDB.
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Réponse de R.E.D
Le 30/12/2017 é 13h00
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Hypothèse: Puisque nous en sommes là pourrions nous imaginer que la préoccupation du "genre" est un objet satellitaire de notre conscience? En quelque sorte un épiphénomène résultant d'une discrimination biologique aléatoire? De cet ordre inconséquent d'une nature complexe propre au fait que nous fassions partie, justement d'une espèce à reproduction sexuée... Pourrait on séparer les préoccupations générales des contingences de la vie de la notion de sexualisation de celles ci? Lorsque nous supprimons le duo controversé désir/plaisir Et la sagesse à deux balles d'Adam Smith: “Ce n’est pas de la bienveillance du boucher, du brasseur ou du boulanger que nous attendons notre dîner, mais plutôt du soin qu’ils apportent à la recherche de leur propre intérêt. Nous ne nous en remettons pas à leur humanité, mais à leur égoïsme”... ( Cette citation me ferait douter de la pertinence de ses autres réflexions! non? Lorsqu'on pense qu'il passe pour être le meilleur économiste fondateur du libéralisme; Ne pas s'étonner de ce que ça donne maintenant!!!)... Et que nous abordons la contingence de la reproduction en elle même... Nous abordons ici le domaine encore très controversé de la notion d'instinct par le petit bout de la lorgnette. Sujet: Nous y revenons toujours l'innée/l'acquit; Culture et nature conditionnement mimétique et impératif biologique. Cette confiture vaut qu'on s'y attarde un peu plus avant de rentrer à nouveau dans les poncifs, justement de genres!!! Roman de gare et comédie humaine. Lorsque nous supprimons la notion de théâtralité, de rideau dans une caverne, d'éclairage indirect, que reste t'il de toute cette culture? Ah voilà que j'ai d'autres choses à faire... Au plus bas de l'échelle, j'ai accroché un hareng saur et sur le mur une poule qui picore du pain dur... Qui dure qui dure. Tic et tac, toc et cloc, elle m'en défait les joints. La souris, le souriceau Qu'importe, grignote mes sabots. Bien à vous et merci pour cet échange de réflexion. UAQVVDB.
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Réponse de R.E.D
Le 30/12/2017 é 13h08
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Ah oui j'oubliais! "On peu vivre dans l'erreur pourvu qu'on ne le sache pas." Sera la connerie du jour!!! Et pour en revenir à ici... Heureusement que nous sommes là pour animer un peu! Y a t'il au moins quelques lecteurs de nos fanfaronnades vertueuses! Que pouvons nous en conclure? Que nous avons définitivement détruit ici le mythe de l'homme intelligent voir même de la notion commune d'intelligence en tant que but suprême... Non?
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Réponse de The_monkey
Le 30/12/2017 é 15h05
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Un paragraphe en bonne résolution ? Une paraphrase en bonne révolution, Un paramilitaire en tonne de démolition, L’instruction par le silence, ah oui le silex est revenu à la tendance ! En ouvrages de goût, en musique, en poésie, en peinture, c'est le goût qui tient lieu de montre ; et celui qui n'en juge que par des règles en juge mal. à prendre dans la demi-mesure !
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Réponse de The_monkey
Le 30/12/2017 é 15h42
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Car il me fut à manier les échalotes, d’un standard vrillant aux étendards balbutiants, que j’eu la croisade d’une aparté, à ce qu’elle fut dans les grillades, à la vrille d’un non sens, comme une vérité en pot d’échappement, j’y suis presque plus qu’avant ! j’approche le sens de l’existence et ce indéniablement, à ce que tous des « autres », furent dans la balade, à moi, il me vient l’idée d’une théorie indéniable, celle qui affirme « je ne comprend pas » comme opposition à l’idée de Russel de ce qu’il n’est rien à nier, pour lui donner raison, il ne me resterait plus qu’à la saisir, la théorie existentielle, d’une mythologie transcendante, à vous blasés, de survie, qu’il ne vous ai jamais vraiment venu à l’idée, de la négation de l’existence de la récursivité, merci également pour ces échanges, dans la pieuvre envahissante d’un mystère qui je le crains pour vous, pourrait n’être que toujours résoluble d’un « moi » dans la preuve.
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Réponse de The_monkey
Le 30/12/2017 é 19h48
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Je vous aime bien Red, vous avez allumé quelques bougies .. pour l’empathie, je dirais qu’il faut s’y apprécier, être un prédateur, on n’oublie pas de le rappeler ! si ce n’est même l’exiger, gloire à l’art de rue ? quel beau monde, sans bicyclette on te fout en tenu de clown, les bras peu papillons dans une misère même pas impressionannte, Les connards de « belle famille » avec leurs flingues, vous savez, qu’il est préférable des circonstances d’être loin difficile.. allons y, voilà l’intelligence à prendre des risques « inutiles » Le haut QI est une meilleur probabilité de finir comme Urysohn ou Galois, comme des éperdus, à la vaguelette, noyé avant de se rendre compte de pourquuoi, bonne année !?
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Réponse de R.E.D
Le 30/12/2017 é 22h35
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On fera, on fera, les temps sont durs... Et je vous avouerais qu'à part vous et mes enfants: (Nous décryptions, avec ma dernières, quelques manuscrits du sixième il y a encore quelques minutes...) Et bien je m'emmerde quand même pas mal dans mon petit quotidien!!! Bonne année à vous!
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Réponse de R.E.D
Le 01/01/2018 é 10h36
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Le véritable mystère commence lorsque cessent les illusions... Puisqu'il s'agit par tradition d'exceptionnalité de faire des vœux, Je souhaite à tous ceux qui sont ce qu'ils sont, qui ont la "chance" d'avoir une vie exceptionnelle en le sachant (éclopés multiples, singularités du monde... Qu'en fait nous sommes tous!) De lutter une fois de plus contre les pensées réductionnistes, utilitaristes et mercantilistes n'ayant de cesse de regrouper les êtres dans des catégorisations obsolètes... Pour les réduire à la définition d'eux même par tous les moyens. Je nous souhaite donc à tous, non pas d'avoir du respect ou de la considération, vains mots évoquant tout et n'importe quoi, mais bien plutôt de trouver ou de retrouver ce qu'on appelle la "dignité" des fondamentaux de ce qui fait une vie sociale: Une vie "ensemble"! En tout simple! être avec... dans la complémentarité Que les sourds voient mieux pour ceux qui entendent sans retenir, que les culs de jattes portés sur les épaules des aveugles voient l'horizon, que le myope cesse de vouloir regarder de loin en lisant ce que le presbyte ne peux pas voir, que le presbyte rencontre le myope est ainsi de suite ... Et qu'on fasse cesser les catégorisations perfides issues d'idéologies obsolètes!!! Elles ont fait assez de dégât celles ci et son (en manière de blague) contre performantes!!! UAQVVDB.
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Réponse de The_monkey
Le 02/01/2018 é 09h37
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Le collège de France, j’y étais ! Sortie périscolaire en parcimonie d’une préférence pour le projet HAARP (abréviation de Hárpuiai). D’une partie regarde la super lune, de la complémentaire l’ionosphère, et le reste freaking out ? aux tendances à se faire faire du toboggan le jeudi à la Zhangjiajie skywalk, devinons. « Grèce, ô mère des arts, terre d'idolâtrie, De mes voeux insensés éternelle patrie » Le myope n’a qu’à compresser ses yeux pour voir plus loin, pour ce faire tirez les de chaque côté, vous y découvrirez de belles familles qui se recomposent au principe de décomposition sous différents capots de cabrioles inassouvies aux allures de refraction balistique des projections morales d’ordres submergés à la gestion du patrimoine génétique international enfin de la distinction des genres. (Serait-ce un jeu linguistique sur la mondialisation de l’économie ?) "Sous le capitalisme, les gens ont davantage de voitures. Sous le socialisme, les gens ont davantage de parkings " La théorie nous dirait qu’il faudrait lutter contre cette idée de placement de voiture. Rien n’est-il que le West Edemonton Mall est toujours blindé de vitres teintées à la tentation, pour faire mes courses, et acheter mes pattes, je descend en bas de la rue d’ahura Mazda une poule aux oeux d’or, car en effet la lumière aux estuaires potables les rend stériles. Pour cette année, je souhaite que la théorie du tout soit enfin établie, qu’on ait plus à tourner hors catégories avec ces référencement culturelles. Nous n’en sommes pas loin selon les plus éclairés de nos clones. A vrai dire, je crois en la théorie du tout, son existence, pour la simple logique que lorsque l’on cherche on prouve ! Et que lorsque nous trouvons nous nous cherchons. Puis lorsque l’on se recherche on découvre.. L’univers a du moins cette propriété que le mystère est une illusion comme les autres. Pour être un apprenti-sorcier digne de ce nom, il vous faut être alchimiste des illusions, prestidigitateur de l’idée d’un soi hors catégorie. La catégorisation se heurte au foncteur temporel, et d’ailleurs vous remarquerez que dès lors que l’on échappe à cette trinité du passé/présent/futur, la notion de théorie du tout emerge du langage. (à méditer) Cela vous est-il arrivé de vous fondre à l’extérieur, aux aléas de méditation sans sélever ? Certain vous diront qu’il s’agit du Nirvana, moi je dirais plus qu’on est proche de l’insupportable expérience de mort imminente. L’univers établi cette condition d’être et de se demander pourquoi être dans la construction personnelle. Et là j’en vient au raisonnement d’instinct, de genre etc. L’évolutionnisme impersonnel serait directement liés au fait plus général qu’au similaire emphatique qui est que soutenir la survie de groupe augmente vos chance de survie personnelle, il y a la notion de succès et de jeu gagnant qui est orienté dans la stratégie de survie des groupes (on peut donc être qualifiable de peu emphatique et agir pour lui dans le genre que je décris : Ainsi nous aurions la faculté de se satisfaire de satisfaire un groupe. Ce qui au passage explique très simplement pourquoi beaucoup ont une insatisfaction de ne pas être absolument « utile ». La procréation est alors supportée dans l’ensemble par la possibilité de jouir de la satisfaction de l’autre (neurone miroir). Là où les choses se compliquent est l’interprétation solliptique du groupe. En effet, « l’environnement » et aussi bien les autres, m’affectent à ma propre réalisation personnelle au point que nous (confusion du pronom) distinguons les autres du décors parce que nous sommes en mesure de s’imaginer en eux. Pour commencer cette année, je dirais qu’à priori, sans y réfléchir, tout est fait pour que l’on s’égalise des autres sur le sens existentiel. Et c’est là la réelle réflection qui m’extirpe de moi-même en ce moment, la réalisation par l’interaction d’un extérieur nous différencie en « moi » puis cette dissociation se propage en autres qui me change au point de toujours me persuader que je suis avec les autres. En quoi la notion d’existence nécessite de nous mentir à ce point que la différentiation par rapport aux autres est toujours limitée ? Aussi clair que je le peux, quitte à être pris à mes erreurs, Parmi les autres, votre autrui toujours différentiable, Action Monkey
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Réponse de The_monkey
Le 02/01/2018 é 21h05
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Le surdoué a trois pions de plus, Le mauvais gambit est leur second mouvement distrait
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Réponse de R.E.D
Le 04/01/2018 é 13h57
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Peut être est ce là une des particularités du vivant: de vouloir systématiquement penser et concevoir le monde selon ce qu'il en comprend... En projection!!! C'est ici que s'arrête l'empathie et que commence le mauvais croc en jambe. Balancer un coup de poing, faire tomber l'autre ou se taper la tête dans le mur afin de voir si l'en face réagira ou non. (Qualification ou pas du "similaire" jusqu'au "semblable".) Et nous revenons à nos délires du genre: "Si la bouteille à un goulot et que celui ci sert en oculus, tout ce qui rentre ou pas, tout ce qui sort ou non procède du même principe". Il en est de cette logique, de cette logique démente particulière comme de celle d'un enfant qui arrache les ailes d'une mouche pour voir si oui ou non la mouche pourra voler sans. Et le voilà qui fière de sa "découverte" envisage par la suite de se fabriquer des ailes pour lui aussi voler. Aurait il pu arriver à la même conclusion sans passer par l'application de son test de départ: Arracher des ailes? Je n'en suis plus très sûr aujourd'hui. Voyez vous c'est un peu comme un chirurgien qui prendrait conscience de l'importance de la vie devant un cadavre. La curiosité de nous mettre la main dans la gueule du lion juste histoire de se prouver que le lion existe bel et bien... Cette lutte intestine entre la perception de "ce qui est" et le besoin de s'y brûler, le fil du rasoir qui fait qu'on teste la vie jusqu'à la mort: Nature ou culture? Innée ou acquit? Difficile de démêler l'écheveau, non? Mais revenons un peu à toutes ces histoires de capitalisme et autres billevesées. Qu'est ce le capitalisme sinon une mutualisation d'une monnaies d'échange afin d'en tirer un bénéfice commun? Revoir l'idée que sans cette utopie caractéristique de la pensée "sociale" dont le but était de rendre le "pouvoir" "d'agir" aux participants, rien de ce que nous connaissons actuellement n'aurait exister. Ni les parking ni les voitures... Au commencement donc de cette vaste aventure il y avait deux termes: La mutualisation et la coopération. En découle le terme "d'actionnaire". Personnellement je n'ai rien contre selon que "qui ne dit mot consent". Le capitalisme englobe par essence le terme d'"activisme". Mettre en commun nos ressources quel-quelles soient est le propre de toute "communauté". Le rapport de "pouvoir" est lui aussi parfaitement sain dés qu'on le pense en terme de "mutualisation" des "compétences". Et voilà qu'en raccourci nous arrivons rapidement aux problèmes liés à la rédaction des lois. Lorsque celles ci garantissent un ordre hiérarchique pour lui même et non plus une répartition des véritables compétences de chacun à un instant précis, nous nous retrouvons rapidement dans l'impasse lorsque nous constatons justement que l'incompétence se trouve légitimé par la notion d'ordre législatif. Les problèmes de concurrences liés à la notion hiérarchiques n'apparaissent principalement que lorsque l'insatisfaction des participants au chantier commun fait ressortir l'incompétence d'au moins un participant ayant accepté le poste de gestionnaire, d'organisateur général... Ou bien encore sur un autre plan de "gouvernement" (au sens large). Ceci réduit à ses plus simples effets se retrouvera dans la cuisine lorsqu'il s'agira d'un d'éplucher les patates, de deux de les couper à la bonne taille et de trois de les mettre à cuire correctement. Si l'une de ses actions n'est pas effectuer correctement, le résultat sera nul et remettra en cause l'ensemble même de la "mutualisation". Mais pourquoi écrirais je cela? Revenir au propos du "surdoué". S'il en est un , il peut à sa convenance rentrer dans n'importe quel type de pensée et donc accepter de tenir n'importe quel place dans l'organisation du "travail" (personnellement je préfère employer le termes de "tâche") collectif (j'allais écrire dans n'importe quel rôle! Mais ceci n'est pas un jeu...). Il peut donc parfaitement accepter d'être un participant polyvalent... Qui plus est sa particularité, lui permettra d'avoir le recul intellectuel nécessaire pour apprécier la mutualisation, dans la mesure ou même en étant à un "poste" qu'on pourrait jugé comme "subalterne" (selon des critères de "réalisations" "personnelles") il trouvera encore la ressource d'y trouver un "intérêt"... Ah Dieu, comme ce jargon me déplait! Et c'est alors qu'il devient gênant pour l'ensemble de nos collectivités légalistes de privilèges en tous genres! Ce fameux "droit divin" qui fait que certains d'entre nous s'arrogent le pouvoir de diriger les autres pensant mieux ou plus complètement que certains. Se faire passer pour un con est tout aussi déplaisant que de se voir monter sur une estrade parce qu'on en a les "compétences". Question donc de "dignité" dans le partage. Mais pourquoi écrivais je cela? Le problème de l'intégration des singularités vient en fait qu'on accorde à certains des caractéristiques générales pour la raison qu'elle se doivent d'être universalistes. L'ordre "universel" c'est que les choses sont ce qu'elles sont et ne peuvent changer sans qu'on accepte de se soumettre à un ordre supérieur... Et ainsi de suite, d'une "transcendance" à une autre... (Ah démon que me chantes tu là? Voilà bien un mot que j'abhorre: Transcendance!) ... Tant de choses à revoir qui font qu'on saute insidieusement dans le propos d'une concurrence et la loi du plus fort!!! Et voilà pour aujourd'hui... La réalité qui fait qu'il ne peut y avoir de démocratisation... (comprendre démocratisation non dans l'absolutisme d'un détournement du genre "opposition" du peuple par rapport à un "pouvoir extérieur à lui, mais bien plutôt dans l'idée qu'en dehors du peuple il n'y a rien puisque nous en faisons tous partis...) Sans mise en commun des compétences singulières. Et donc l'idée même de démocratisation ne peut exister sans l'idée de mutualisation, de coopération et donc de "capitalisme"... (Revenir encore sur le terme capitalisme dans son essence qui comprend en racine le terme du "capital" de ce qui est capital: "Ensemble de ressource"... Après tout, tout le reste n'est qu'une déclinaison malheureuse d'interprétations nauséeuses, Non?) Échec et mat lorsque le roi sacrifie son peuple!!! Personnellement, pour avoir balayer plein de fois lorsque d'autres ne pensaient pas l'action assez valorisante pour eux (orgueil ou vanité?) J'en ai conclu que vider les poubelles est la condition capitale pour que le monde sente moins mauvais! Ps/ Qui a dit que le nirvana contenait encore la moindre conscience de "soi"? UAQVVDB.
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Réponse de The_monkey
Le 06/01/2018 é 02h36
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Avant même de répondre à la question « le travail est-il bien ? » Il vaudrait la peine de se demander pourquoi, en règle général « travailler est nécessaire ». Quelle importance secondaire que l’on puisse y trouver un intérêt ou non dans la question primordiale « qui suis-je » ! Pragmatique : soit on est dedans et on fait ce qu’il faut, soit on a un peu de temps pour se demander pourquoi on est dedans. Soit on coupe la tête au perfectionnisme en conurbation illusoire. Voici l’explication métaphysique : Sans une contrainte mortelle, comme ce fait de vivre dans une nature quasi-imprévisible et dangereuse, nous ne pourrions à ce stade avoir de création théorique en mitose de connaissances universelles. Car en effet, l’exigence sociale de travail représente l’état atteint de développement en logique de l’espèce. Ainsi dans le but d’aller « plus loin » il faut que cela repose sur ce qui est déjà acquis de la communauté. Il va de soi, que le plus grand nombre risque de réitérer les mêmes arguments logique déjà atteint par le groupe social. Ce qui en terme d’entropie est nul. La selection imposée par la menace de mort indirecte (et sans personne en étant uniquement responsable que le groupe lui même) par le manque de support des autres en cas de « manque de ressources vitales » force l’individu à un conformisme et à assimiler le savoir déjà acquis du groupe inéluctablement. Aussi l’injustice au niveau individuel est dans la tache de contre-exemple, vous y verrez que leur existence même contraint universellement tous les autres. Le problème survient lorsqu’un individu (par exemple un « surdoué ») a dépassé très nettement le « savoir moyen » où qu’il s’y concentre, ce qui se manifeste par la perception de contradictions récurrentes entre les yeux et la bouche. Le conformisme pour survivre à la constipation sociale devient alors réducteur et engendre évidemment un gâchis par rapport à la règle universelle d’entropie. Que ce produit-il ? Soit le travail est recalé en tant que besogne (et l’individu appliquera souvent la loi de parcours minimum de la lumière) avec un développement hors catégorie sociale de son entropie personnelle (la seule réelle réalisation personnelle alors) Soit il reste à trouver un intérêt à la tache à accomplir, ou transverse à la cuisine de patates chiante. Une autre catégorie plus typique sont ceux qui ont une envie de « reconnaissance » par le statut sociale (motivé initialement par la procréation mais également le principe de meilleure résistance dans la hiérarchisation des valeurs d’utilité en cas d’onde de choc de bulles chanteuses) Ceux là, vont vouloir « monter » quelque part « socialement », indéfiniment. On y retrouve cette fameuse « oligarchie » (au coeur des débats en occident) des tout puissants confortables qui s’arrangent pour avoir un contrôle toujours plus grand au vu de leur capacités à apprécier de « monter ». (Si. Les super prédateur égotistes existent) Et il faut dire ce qui est, on y trouve souvent des travailleurs acharnés, et c’est là le reproche à faire au mérite personnel. « ils travaillent trop mais mal ». Je m’explique revenons en à cette règle universelle de l’entropie. L’emmagasinement de pouvoir potentiel par le capital concentré sur une minorité d’individus poussent au cannibalisme d’information. (il n’y a qu’à voir la lutte sans merci que se livre les grandes entreprises dans la seduction violente d’exhibition des formes arrondis). Un super prédateur à la fonction d’éliminer les bruits parasites, d’auto-destruction de l’espèce par cancer. L’inconvénient est le basculement dans la limitation d’entropie à large échelle, si je deviens riche en inventant une super théière et qu’ensuite j’applique des techniques de bourrage de crâne pour qu’un maximum d’individus littéralement « tombent amoureux de ma théière » je pompe leur énergie qu’ils auraient put appliquer à developper leur entropie. (même si l’on pourrait aboutir à la théorie du tout de la théière, un message volant aurait plus de satisfaction en consigne) En d’autres termes je risque de devenir vraiment néfaste à l’espèce. (la réorientation des revenus du pompage peut cependant être réutilisé ailleurs pour l’entropie et on en vient là à la difficulté d’altruisme réel qui reste de nos jours médiocre car trop focalisé de se refaire une belle tronche morale au bistouri, quand un super prédateur se refait des dents gentillette, je vous dit pas la gueule après, ca fait flipper !) Pour provoquer un changement donc réel, il ne s’agit d’y appliquer des révolutions à la bataille de polochons et des rapports de forces constant à la réthorique de grand-mère, nous nous retrouverions toujours avec d’autres qui prennent les relevés du café passé dans ma théière. (enfin pour le moment si, si, si je crains que l’équation de Voltera est des plus belle mais mérite d’être consolidée) Le processus de transformation qui va rendre le capitalisme obsolète est en cours, et inexorablement l’entropie suit sa course à la singularité. En effet les individus les plus « cannibals » poursuivent assez naturellement leur stratégie de « succès «  pour la simple raison qu’ils trouvent cela bon de « monter ». Si l’on détruit cette logique qu’il est sur le plan de la logique formelle bien de « réussir au sens moderne» alors automatiquement les choses se rééquilibreront sur une autre polarité qui ferait moins de sacrifiés physiques élémentaires. (ce qui de tout temps, diversifie..) Vous allez me dire que c’est impossible de mettre à bas le liasse vegas principle ? d’où rien n’en sort. Je vais vous répondre que cela est au contraire très facile, injectez y la SQL suivante. Tout idée de « monter » repose sur une confusion qui m’a d’ailleurs à moi aussi était familière, celle de l’eschatologie. « Nous n’avons qu’une vie, et les autres je peux très bien en avoir littéralement rien à faire qu’ils tripassent » et ils y en aura toujours qui n’en n’auront rien à faire pour le très cher axiome que le seul art est de contenir les révoltes d’une vampirisation crescendo (même avec de la réthorique contraire en vue de confiance de « the people »). Qui ne dit mot consent, il n’y a qu’à vous censurez à la Orwell ? Mais si maintenant, je démontre par des propos indéniables et que je le prouve de manière irréprochable que l’entité est sélectionnée en fonction de l’entropie générée. Alors la logique individualiste meurt. Parce qu’alors la notion de succès se complique au delà de la matière, du matérialisme. La seule force du capitalisme réside dans la biologie. à méditer, non ? Le succès au sens moderne est plus une sorte de Karōshi que de nouvel ordre mondial. Mettre un point d’honneur à la métaphysique si vous désirez « changer les choses », et ne pas se laisser prendre à la théorie d’ennemi à abbatre facilement (nous sommes tous sujet à des souffrances qui tombent de nulle part, la nature, l’intelligence sera toujours de s’y intéressé dans l’invisibilité des phénomènes) . Car si un roi et un fou ne peuvent mater, un fou d’une autre couleur converti en opposition est suffisant dans quel milieu hostile que ce soit. Quand à pourquoi faire mieux que ce qui existe déjà et y trouver ses limites, là on en vient au vivant dans l’éternelle mitose de l’établi, ce qui donnerait au sens de la transcendance non récursive : La clôture algébrique de la realité dont nous sommes les racines et les autres une forme de compositum. Mais je vous avouerai que j’ai maintenant une meilleure idée de qui je suis dans ce que les autres en moi ne sont plus qu’une illusion pour qui fabriquer des ailes me donnerait une vision plus percante dans mes lunettes 3D. PS : la mémoire de l’eau est controversée, mais mieux que des HH0 ensembles, il y aurait une structure évoluante !
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Réponse de The_monkey
Le 06/01/2018 é 07h28
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Nospheratu a deux penchants la peste et l’écharpe, Le reste à sa grandeur, ou l’écharde de ne pas l’executer. Ce sera soit lui ou le Mothman, abordons les réelles questions, du surdoué Galilée menacé pour la science, au scientisme du QI maintenant en réformes recherchées, aux allures parallèles de la ruine de l'âme toutes aussi hésitantes désormais, Il nous faut prendre les problèmes de fond, très vite, pour les champs de maïs déjà arborés. Coup de cymbales.
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Réponse de R.E.D
Le 08/01/2018 é 12h08
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"Mais si maintenant, je démontre par des propos indéniables et que je le prouve de manière irréprochable que l’entité est sélectionnée en fonction de l’entropie générée. Alors la logique individualiste meurt. Parce qu’alors la notion de succès se complique au delà de la matière, du matérialisme." Excellente analyse (dans le sens ou celle ci me parait pertinente et j'aurais bien du mal à ne pas y adhérer.) Voilà donc le paradoxe de la "sélection" sociale actuelle parfaitement formulé... Le "corps" social ne peut se morceler sans créer "d'hémorragie interne". C'est encore pourquoi la globalité pense en absorbant l'entropie sachant parfaitement que celle ci vient de facteurs échappant à la logique prédictive: Qu'elle nomme chance/hasard ou tout autre notion de destiné... Ce qui nous donne donc, lorsque je suis le raisonnement, que le prédateur (qui n'est, en réalité, qu'un charognard par anticipation...) se pensant responsable (et/ou) conscient d'exercer un pouvoir quelconque, se trouve aveuglé par sa sueur dans l'effort. Il pense effectivement que l'effort qu'il fournit pour assurer sa survie suffit à légitimer sa position. Par extension, toute œuvre volontariste se trouve alors assimilé à une "prédation" assumé assurant à son auteur une valorisation... Du moins dans notre type de lecture du lien hiérarchique actuel. Voilà peut être une des raisons pour laquelle il faudra séparer le "volontarisme" de l'acte comme seul justification d'une réalisation "personnelle". La "méritocratie" à ses limites comprise en elle même lorsque le mérite se trouve dénué du soucis communautaire... et concret!!! (formulation peut être trop condensée!!???) Mais revenir encore à cette notion de "mise en perversion" de ce qu'on appelle ici un haut QI (ou d'ailleurs tout autre type de désignation...) Il faudra bien comprendre qu'indubitablement, une analyse assez poussé par une intelligence "neutre" de par le fait qu'elle se contente d'analyser simplement sans inclure (ou le moins possible) de présupposés d'ordonnance ne peut qu'arriver à cette conclusion: "Il n'y a pas d'intérêt personnel puisque aucun ne peut être soi même sans les autres". Ainsi nous résolvons les soi-disant problèmes d'intégrations des "forts QI" en renvoyant la responsabilité de cette intégration sur la teneur inacceptable de la structuration de nos sociétés... En explicitant ici le fait qu'une société fondée sur la valorisation des "individus" pour eux même, n'en est pas une; sinon la manifestation d'une sorte d'anti matière ou d'un suicide collectif... Et même si la théorie des lemmings fut un fake Walt Disney... L'idéologie rapportée qu'une surpopulation engendre par elle même sa régulation en acceptant son autodestruction comme "naturelle"... (Ref à l'équation de Voltera) sous entend la répartition en deux classes principales d'intérêts opposés: Dominant/Dominé; Bétail/éleveurs et ainsi de suite... végétariens carnivores. supposant alors que toute ordonnance du "social" se trouve être dans ce qui se trouve considéré comme manifestation d'une supériorité: L'ultime prédation; Une socialisation basée sur ces principes ne peut que conduire à la banalisation du "cannibalisme"... (Kronos?) Échec donc de l'idéologie du type qui se donne à bouffer lui même pour donner à manger à plus nombreux que lui! Maintenant une réflexion toute personnelle sur le propos de la croissance démographique sur un territoire limité: En admettant qu'il faille que chaque personne puisse avoir à faire avec une production quelconque de biens, la transformation générale crée par cette production additionné ne peut que conduire à la dévalorisation de toute production. Il faut donc qu'une partie importante de cette population nombreuse accepte de ne pas produire par contrainte (vu que le modèle idéologique se trouve être le mérite par la productivité) ou que l'ensemble de cette population accepte de produire moins en trouvant d'autres critère idéologiques de valorisation de la personne. Dans tous les cas, la production de biens conduit immanquablement à un encombrement de l'espace vital générant une sélection naturaliste par adaptation qui transforme tout entité en coprophage/charognard. Lorsqu'on globalise la réflexion (dans le sens ou une globalisation n'est pas une généralisation... Nuance!) certaines dérives de nos sociétés "productivistes" peuvent ainsi s'expliquer, non? "La seule force du capitalisme réside dans la biologie. à méditer, non ?" L'idée qu'il failles séparer le biologique d'une intelligence quelconque, dualisme primitif résumé dans cette aberration revisitée: "Puisse les Dieux nous donner un esprit sain dans un corps sain." date au moins de sa ressortie évolutionniste: "Comme les philosophies historisistes des Lumières, les évolutionnistes postulent l'unicité du genre humain et l'universalité du mouvement historique qui embrasserait l'humanité tout entière. En revanche, ils n'expliquent plus la diversité sociale et culturelle par des déterminismes environnementaux ou climatiques accidentels, comme chez Montesquieu, mais ils érigent au contraire l'histoire en tant que principe explicatif des différences entre les sociétés humaines." Le principe d'inclure un fait quelconque dans le déroulement "historique" sous entend une conception de narration descriptive du temps décrit (revoir le propos des différences entre oralité et écriture! L'oralité sous entend que tant qu'il y a de la vie, y a de la mémoire! L'écriture, elle, se passe très bien du vivant. En sautant les générations elle se place comme transcendance d'un savoir et n'en à rien à foutre de ce qui vient après! Son seul soucis est l'immortalisation de la pensée des hommes); le postulat de départ est que l'esprit rationnel est le propre de l'homme et que tout concorde à dire que "l'explicite" "législatif" "déterministe" et donc "scientifiquement" "méthodologique" est l'aboutissement ultime d'une évolution de l'espèce... Ce qui sous entend un finalisme...morbide. Et la boucle est bouclée! Maintenant comment agir? Puisque telle est la question soulevée! Personnellement, j'ai opté pour une pédagogie assez rêche insistant lourdement sur la complémentarité des tâches sans fragmentation résiduel. Quelques études sur le sujet, proposition de postes tournants multi-compétences et coopération, m'ont au moins prouvé qu'il y avait fort à faire concernant le déboulonnage de la structure hiérarchique intimement lié à celle du mérite par la "domination". (Revoir encore la structuration mentale engendré par le "finalisme".) La notion de travail se trouve être complétement à revoir selon ses définitions industrielles de séparation des tâches en vue d'une performance productiviste. Le loisir, même s'il fut, durant un temps, nécessaire à la transition modale nécessaire libre de contrition volontaire (par conditionnement) n'est plus la panacée pour occuper un temps volontairement libéré de la contrainte de production. Celle ci assistée par les fonctions mécaniques ressemble de plus en plus à du stakhanovisme!!! Et se méfier du Stakhanovisme tout autant du fordisme... Il semblerait que nous en soyons à la notion "d'échange" en économie parallèle non productive. Je m'explique: La production de bien monétaire ayant été spéculative, la séparation entre la valeur spéculative d'un bien et l'usage de ce bien sont maintenant totalement séparé. Il reste encore quelques traces d'un ancien système consistant à lier l'objet à sa valeur ajoutée (surtout en pénurie d'argent liquide!) Mais dans l'ensemble, nous en arrivons au stade ultime de la surproductivité: La dévaluation générale... Y compris même le prix de la vie!!! Quelques rares conservateurs auraient tendance à vouloir revenir au commerce de la rareté en orchestrant des pénuries sur le principe de la fenêtre cassée... Celles ci ne s'exercent plus que sur les trop nombreux territoires déjà mis en difficultés par les usages expansifs de nos théories suprématistes (idéologies à remettre dans leur contexte... comme on ferait un tour au cimetière à la Toussaint...) ... Coprophage: de l'idée qu'il faille éliminé les déchets, les encombrants quitte à les recycler... En être humain digne de ce nom?... ... Cannibalisme: et nouvelles ritualisations... De l'importance de la pensée magique encore celle là! Et peu importe les idéologies rapportés sur cet état de fait... Dans la stricte réalité, on s'en fout sinon qu'elles légitiment chaque fois quelques critères d'éliminations... Je dis;- "il semblerait" Puisque dans l'ensemble la valeur monétaire se trouve être encore présente en elle même par l'endettement générale... Ce qui m'amène à dire qu'il suffira d'accroitre le ration de la dette générale pour que la suprématie de la valeur monétaire s'écroule physiquement afin de revenir à une notion pure de monnaie d'échange. Il s'en suivrait immanquablement que l'ensemble de nos critères de "sélections sociales" et l'ensemble même de notre "culture" (revoir ici la notion de culture au travers de la compréhension des applications d'un évolutionnisme). Pour autant, le principe d'une décroissance dans tous les domaines n'est pas applicable sans perte humaine encore bien plus grande que l'épidémie de crétinisme généralisée de notre époque. Il reste à traiter un autre jour de cette idée farfelue qu'une population éduquée fasse moins d'enfant en reprenant complétement le propos d'une éducation sans idéologie de réalisation d'un soi hypothétiquement "spirituel"...) Il semble plus naturel de concevoir un monde expansif ou lorsqu'on a trop à bouffer, et bien on fait comme les microbes, on se multiplie!) Ce qui nous donne encore comme seule possibilité d'organiser une famine générale du genre "Dieu reconnaitra les siens en Saint Barthélémy"... Ce qui n'est souhaitable pour personne y compris pour les idéologues la souhaitant eux même!!! La probabilité que notre conscience collective (remplie d'implicite) nous fasse le coup de Godzilla écrasant tout sur son passage en générant d'elle même sa propre catastrophe est la plus vraisemblable afin de dédouaner chacun de sa responsabilité d'un meurtre nominal! (Et tient! Revoir encore le catastrophisme et l'eschatologie de nos dernières années...) Stop donc pour aujourd'hui. Dans l'attente d'une réponse ,d'un complément d'information ou de nouvelles pistes... Et oui! Le capitalisme ne cesse de mourir dans un barouf d'honneur faisant des sacrifiés à n'en plus finir... Et personnellement j'attends sa fin la plus rapide possible et pas la mienne! UAQVVDB.
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Réponse de R.E.D
Le 08/01/2018 é 12h32
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Une lutte, encore? Fascinante intellectuellement mais tellement déplorable et, encore une, fois "contre productive"! Nous abordons maintenant seulement les matériaux bruts ayant forgé cette édifice ethnocentrique... Non? "De la production de l'image miroir pour les enfants sauvages." serait un excellent titre, il me semble... Puisqu'on me demande d'être ce que je ne suis pas, qu'on me prête des intentions qui ne sont pas les miennes, qu'on interprète l'ensemble de mes actes sans les voir en eux même... Comment qu’ ça s’ fait qu’ les taciturnes, Les fout-la-faim, les gars comm’ moi, Les membr’s du « Brasero nocturne », Gn’en a pus d’un su’ l’ pavé d’ bois ; Ceuss’ qu’ont du poil et d’ la fierté, Les inconnus... que tout l’ mond’ frôle, Souffrent c’ qu’y souffr’nt sans rouspéter Et pass’nt en couchant les épaules ? C’est-y que quand le ventre est vide On n’ peut rien autr’ que s’ résigner, Comm’ le bétail au front stupide Qui sent d’avanc’ qu’y s’ra saigné ? Comment qu’ ça s’ fait qu’ la viande est lâche Et qu’on n’ tent’rait pas un coup d’ chien Et qu’ moins on peut... moins qu’on s’ maintient, Pus on s’ cramponne et pus qu’on tâche ? (Car c’est pas drôl’ d’êt’ sans coucher Pour la raison qu’on est fauché, Ou d’ pas s’ connaître eun’ tit’ maîtresse À caus’ qu’on est dans la détresse !) (L’ droit au baiser existe trop Pour les rupins qu’ est débauchés, Pour les barbes, pour les michets ; Le sans-pognon..., lui, bais’... la peau !) (Pourtant, vrai, on sait c’ qu’est la Vie Qui s’ traduit par l’ mêm’ boniment Qu’ dans la galette ou l’ sentiment On vous fait jamais qu’ des vach’ries !) Donc, comment qu’ ça s’ fait qu’on fait rien, Qu’on a cor’ la forc’ de poursuivre Et qu’ malgré tout, ben, on s’ laiss’ vivre À la j’ m’en-fous, à la p’têt’-bien ? Oh ! C’est qu’ chacun a sa chimère Et qu’ pus il est bas l’ purotain, Pus qu’y marin’ dans les misères, Pus que son gniasse est incertain, Et qu’ moins y sait où donner d’ l’aile, Comme en plein jour l’oiseau du soir, Pus qu’y se r’suc’ dans la cervelle Deux grains d’ mensonge et un d’espoir ! Espoir de quoi ? Dam’ ! ça dépend : Gn’en a qu’espèr’nt en eun’ Justice, D’aut’s en la Gloir’ (ça, c’est un vice... Leur faut dans l’ fign’ trois plum’s de paon !). Mais l’ pus grand nombr’... l’est comm’ mézigue, Y rêv’ d’un coin qui s’rait quéqu’ part, N’importe, y n’ sait, où, pour sa part, Y verrait flancher sa fatigue : Un endroit ousque, sans charger, Ça r’ssemblerait à d’ la vraie Vie, À d’ l’Amour et à du manger, Mais pas comm’ dans les théories. Un soir d’été, deux brins d’ persil, Eun’ tit’ bicoque à la campagne Et quéqu’ chose à s’ mett’ dans l’ fusil (C’est pas des châteaux en Espagne !) Car y vient eune heure à la fin Où qu’ chacun veut vivre en artisse : L’ rupin... à caus’ des rhumatisses Et l’ pauvr’ pour bouffer à sa faim. Voui ! D’ la guimauv’, du sirop d’ gomme Pour chacun en particulier ; Mais v’là l’ chiendent, v’là l’ singulier, On vourait ça pour tous les hommes ! Jehan RIctus: 1897.
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Réponse de R.E.D
Le 09/01/2018 é 14h01
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J'écris, j'écris pour tout autre chose et refaisant je m'aperçois qu'il faudrait que je vous envois deux définitions qui me semble à remettre au goût du jour! Les définitions du jour seront les suivantes: Le prosélytisme: Il désigne l'attitude des personnes qui cherchent à « susciter l'adhésion » d'un public, public susceptible de devenir alors, pour tout ou partie, « prosélyte », c'est-à-dire nouvel adhérent à leur foi. Par extension, le prosélytisme désigne le « zèle » déployé afin de rallier des personnes à une doctrine. Une doctrine (mot attesté en 1160, du latin doctrina, « enseignement », « théorie », « méthode », « doctrine ») est un ensemble global de conceptions d'ordre théorique enseignées comme vraies par un auteur ou un groupe d'auteurs. Puisse les ressources de mon esprit faire la distinction entre enseignement et prosélytisme, et encore déjouer le jeu des doctrinaires! bien à vous haut QI!
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Réponse de The_monkey
Le 10/01/2018 é 10h45
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“Le suicide, cette mystérieuse voie de fait sur l'inconnu.” “La pensée du suicide est une puissante consolation, elle aide à passer plus d’une mauvaise nuit.” Le suicide est une mise en danger en se sortant d’un paradigme qui prédit l’action destructive au plus haut point. Est-ce que la mort de l’individu qui se jette du pont permet de conclure qu’il s’agissait d’un suicide ? Pour ce faire, regarder ce qu’il tenait dans sa main gauche ? a-t-il été poussé ? S’il était inconscient du danger, alors il n’était que curieux et appeler cela un suicide est une leçon pour les autres. On a donc un acte qualifiable ou non d’auto-destruction qui se base sur une approche morale. A vrai dire le suicide serait une « experimentation » de l’autre qui a défaut de ne pas être satisfait des méthodes connues (qu’il connait) tentent ce qui est évité rationnellement. Les individus donc au comportement suicidaires sont des pionniers potentiels par l’exaspération. Il faut dire qu’il y a aussi un attrait entropique à l’inconnu, comme s’approcher du rambarde très haute pour voir « l’effet que ca fait », le sentiment de vertige instinctivement signale le risque d’une rambarde faible ou d’une bourrasque faible dans le changement des paramètres mais suffisant. Alors la question évidente est pourquoi la prise de risque est vue comme parfois bonne et le suicide mauvais. Simplement parce que par définition l’action qualifiable de suicidaire consiste à une approche d’un acte rare ET notifié comme mauvais dans sa propre destruction, aussi les possibilités d’obtenir un gain d’information unique sont nettement grandis. Evidemment plutôt qu’un all-in vous avez toujours la possibilité de faire une plus grosse mise que la moyenne de manière irrationnel, ce qui au moins ne vous exclura pas de la partie et très probablement vous donnera une bonne leçon. Maintenant prenons un peu de recul du gouffre, voulez-vous ? La mise en danger se base sur la biologie et la prédiction, comme refus de maintenir ses « biens » et qui plus est faire le contraire ! Pourquoi diable se sortir de la stratégie de comportement sécurisant. Et là on en vient à l’exaspération au sens métaphysique. Dans l’ensemble des possibilités, le paradigme repose sur la pondération aux écarts types appréciés de la dualité rationalité positif contre mémoire négative et vice versa (acquis/inné ?). A la différence du sacrifice, le suicide serait réflexif, donc a priori personnel, la fascination de mort de l’autre repose sur la possibilité d’accès à un control sur soi d’un chemin esquivé qui est tenté. Un peu comme passer sous les banderoles « danger miroir» que l’on retrouve beaucoup chez les plus jeunes de nos semblables. Il y a une valorisation de l’individu qui cherche l’entropie plutôt que la réitération qui provoquera l’admiration et l’imitation en cas de transcendance des chemins barricadés de même qu’il y a en cas d’échec un renfort de la rationalisation dans la vue d’éviter le comportement qui se révèle véridique en fonction des résultats escomptés et notamment au travers du blame d’attitude « idiote ». Que de l’excellence jusque là. Maintenant si je vois la dissociation universelle récurrente : soit X qui devient A et B, A statistiquement suivit par les autres est positif, B l’opposé, que je dissocie A et B en AA AB BA BB, alors l’univers va automatiquement pondéré pour l’inclusion dans sa suite « supérieure » des statistiques de réussite de survie, aussi il pourrait s’avérer que le mieux est BA sans pour autant savoir pourquoi puisqu’on ne « connait pas la bonne suite universelle » donc ceux qui ont fait le choix B se retrouvent jusque là avec le meilleur « succès moral potentiel». Bref ensuite on continu comme cela, tout est pondéré par la socialisation et le « connu » à un niveau fini. Alors question ceux qui vont sortir « vainqueur » avec un BBBBBBA qui sera le standard ensuite de l’humanité, suicidaire ou géniale à la capacité de prédiction lointaine dans l’imagination et la dissociation universelle ? La question a rétorquée est l’existence de la suite universelle. Et la j’en vient à la dualité. Bien entendu, tout le monde se plante. Exemple du dualisme cartésien : Si l’esprit perçoit le corps, puis que le corps modifie l’esprit, alors l’esprit modifie l’esprit et la boucle ne se boucle jamais au point que le corps est illusoire mais consistant. Nous pouvons très bien supposer que la suite infinie, n’existe pas, mais qu’elle a contraire au moment de sa génération un cran récursif d’avance. Et maintenant la conscience récursive, entre un extérieur au cran d’avance et l’intérieur qui le découvre entre souffrance et satisfaction. Quel est le complot ? que l’état des faits résulte de l’interrelation constant d’interpénétrations des choses. La pensée n’est que la dissociation selective de génération aléatoire auto-conditionnées par un « extérieur » qui en réalité est nous-même. Et c’est bien là le point qui m’ennuie avec votre paysage et le nuancier, comment les nuances s’appliquent-t-elles ? En quoi la moralité et la logique qui serait prédictive de la moralité se distingue dans l’aléatoire ? Avec un recul naif on se dirait que comme ils existent beaucoup de systèmes solaires, certaines civilisations ont eu un capitalisme réussi, d’autre non, certain ont eut une extinction de masse puis la création d’une « transcendance de la dualité socialisme/capitalisme » d’autres ont parcouru les possibles avec une polarisation d’une mutation des deux genres. Et ainsi de suite on se retrouve à ouvrir les yeux dans ce qui rationnellement après oralité des choses semblent « parfait ». Notre distance terre-soleil, la ionosphère etc a créer le passé. L’astuce est que cela ne s’arrête jamais et que notre « conscient » quand elle n’est pas contemplative est conquérante, entre regarder les nuages et créer la mitose du capitalisme. La notion d’entropie serait exactement qu’on ne la « comprend pas vraiment » et là, la boucle est bouclée, parce que la théorie d’entropie n’a alors pour but que de révéler l’obsolescence du matérialisme et tout autre établi. On peut « zoomer » partout et les mathématiques comme la physique théorique expérimentale révèle très bien cela. On voit assez facilement la « fractale » apparaitre mais comment appréhender cette selection de bien et de mal, qui n’est qu’arbitraire jusqu’au rang suivant de « la suite » ? Qui me dit qu’un charlatan va pas mettre dans le concept d’entropie un truc personnelle pour la mettre à l’envers de tout le monde. Serait-ce un charlatan, serais-je nominalement responsable ? Cela conduirait à la fin des temps ou une jolie petite fleur qui sent bon jusqu’à preuve éternelle du contraire ? Nous n’avons aucun moyen de prédire plus que notre imagination « prédictive » qui se révèle être et je dis ca pour vous Red (et peut-être quelque public qui ont suivi un peu) de manière très alambiqué volontairement : Les poupées russes sont saines, et l’effondrement en soi est une illusion prédictive autant qu’historique. La suite ne va pas d’avant en arrière mais des entiers relatifs avec un milieu perçant. Aussitôt la notion d’entité projective au vivant fait l’eschatologie une condition nécessaire et suffisante à ce que longs efforts seraient d’être « conscient » dans une soi disante volonté de pouvoir agir réellement. ah et hourra !
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Réponse de The_monkey
Le 10/01/2018 é 12h04
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J’vais dans mon meubl un petit bér, qu’aucune psaume ne pourrait blair ! j’T dans mon rmoir, k’kun ne pourrait d’viner, Irait s’possiblement, je de né pfoi un coupe à la tepor, m’chat revnant m’ouvrir y rêvait les d’un être mal é fric, une « plainte de Diou » alors je sorbais délimites antre deus zombres, C’est zissant l’chat, et lui partant dans une langue, l’age qu’il ne pi’gerait pas : si j’ai doigt avoir pour l’heure, ce de vrai de piètre que j’ai mes ré me r’procher, à un pas c’est, qu’il me sot ré enl’vais, quelle impotance ? puisque qu’ici sans jamais être moi m’aime, non de pfff’leur que mon hôte me sois dés aléas pour vus, je me demandera alors pour me l’avait donné, ainsiple, sans que crainte, il avé plus qu’à plaisir ceux’que je m’boffre, j’ème ferais par leur, Votre pissant put ni sort, « moi » drames songes, j’y ai pardur la récup si vite qu’a s’en dormir, on volait s’enfendre dire que la réalité je la créps, que toutes diverge dance, vous n’en souriiez que toujours sot, à me dire que je d’vrille,
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Réponse de R.E.D
Le 10/01/2018 é 12h11
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Eh pas de connerie! Même si je partage votre analyse concernant la notion de suicide qui est pour moi les conséquences des échecs de nos sociétés à vouloir intégré, quitte à contrefaire le moindre de ses composants. (Revenir entre autre sur l'idée qu'une société est fondée par les individus et non pas l'inverse!!!) ... Il y a plein de choses encore à faire si nous souhaitons que cette réalité change! Parfois, un tout petit quelque chose vaut mieux qu'un grand n'importe quoi... S'il vous arrivait quelque chose de grave je m'en voudrais pour avoir eu l'impression de vous mettre en péril avec mes gamberges!!! "Et c’est bien là le point qui m’ennuie avec votre paysage et le nuancier, comment les nuances s’appliquent-t-elles ?" La réponse que j'en donnerais est que les nuances font intégralement partis de la réalité. Il suffit d'observer avec attention et non pas de vouloir réduire les choses à l'état de nos connaissances! Il me semble que nous avons souvent parler de la différence entre réalité et réalisme (ou peut être pas encore!) Auquel cas vous devriez vous intéresser aux arts pour ce qu'ils ont toujours produit dans leur temps... E dehors de la notion de goûts personnel ou même d'esthétique qui est une conception limitée un tantinet "romantique" d'un "soi" émotionnel. Aussi donc je vous présente ici l'hyper réalisme: Mouvement issue des innovations technologiques des années soixante concernant la photographie et sa projection. Des petits futés s'interrogeant sur le propos de la peinture et de la production d'images figuratives eurent l'idée d'utiliser un rétro projecteur pour reproduire sur de grandes toiles des images "réalistes". Pour autant et sans naïveté, ils introduiront le principe d'un hyper réalisme en synthétisant justement l'absence de nuances en souhaitant faire ressembler leurs "toiles" à ce qui était possible de faire en reprographie. Des à plat sans profondeur, des reflets sans nuances et des contours le plus net possible. La peinture au rendu parfaitement artificiel et totalement plat en devenait strictement froide d'expression... Tout devient alors "objet" et prétexte à objet puisque l'image vaut par elle même et non par ce qu'elle évoque... Cette sorte de caricature d'exactitude, au moindre détail prêt... Mais dénué d'impact émotionnel. La froideur dérangeante, la mise en avant d'imageries dénués de tout impact d'exceptionnel finira par la suite pour glorifier dans les années 1980 la version déshumanisé d'un quotidien banalement post industriel. Associez l'ensemble avec la new wave cold le parpaing Blanc, le chrome et le néon; vous aurez certainement l'idée un peu plus précise de l'ambiance. Libre à vous encore d'aller piocher quelques infos sur le "nouveau réalisme" faisant la part belle à l'entassement des similaires fournis par la manufacture industrielle. Ce mouvement qui se souhaitait un tantinet provocateur n'eut en fait comme impact auprès du grand public que la banalisation d'un consumérisme qui n'attendait que cela pour se développer librement. L'absence de nuance, encore exploité en contradiction de la notion d'unicité et de singularité mit en valeur la notion du blanc absolu et la prétention de certains à pouvoir comprendre par l'explication des techniques et matériaux la valeur de l'action humaine... Je vous demanderais de conclure par vous même les implications lorsque tout ceci fut vulgarisé à des vues de diffusion commercial de masse! Copie de copie de copie uniformisant par la production de masse l'objet de l'objet de l'objet et ainsi de suite jusqu'au rayonnage des hypermarchés. Oui! Vous devriez vous intéresser un peu plus aux arts et non pas à leur histoire officiel d'inutiles disciplines luxueuses. En règle général ils explorent bien plus profondément qu'il n'y parait et influent plus qu'on ne pense sur notre conception du monde... Personnellement je retourne aux glacis; Ces fameux vernis imperceptibles qui justement singularisent de nuances fines les moindres illusions de l'image. L'aplat symptomatique d'une époque bidimensionnelle aura fini de me lasser et il y a déjà très longtemps. Et donc comment les nuances s'appliquent elles? Déjà ne pas chercher à les nier! elles ressortent d'elles même pour au moins deux raisons, la qualité de la lumière changeante sur l'objet (belle métaphore n'est ce pas?) et la valeur d'illusion d'optique qu'il est possible d'assumer consciemment. Il paraitrait qu'un œil entrainé distingue plusieurs milliers de nuances de rouges, alors que l’œil d'une personne sans entrainement n'en distingue qu'une dizaine. faire la distinction entre le sujet perçu et l'interprétation du sujet, bref l'image mental qui fait qu'une tomate est rouge de la réalité de la tomate... Comprendre encore que lorsque nous mettons une tomate pleine de rouges sur une serviette pleine de blancs, l'une et l'autre se renvoient la lumière: à ce stade deux manières de comprendre les choses ou du moins de les mettre en œuvre: La théorie qui consiste à comprendre le principe des rémanences comme celui des chocs sur un billard ce qui nous donne immanquablement un certain mécanisme dans l'application) ou bien se contenter d'apprécier chaque fois l'immense complexité du sujet même de la couleur en admettant que nous ne pourrons qu'en transcrire une certaine valeur fixe (ce qui a au moins l'avantage de tenir compte du temps d'observation pour la mise en œuvre). Lorsqu'on le souhaite et qu'on possède les deux techniques, on combine afin de déterminer dans la composition ce qui peut se contenter d'une approximation théorique formelle et ce qui vaut la suspension volontaire d'un instant de lumière. Souvent lorsqu'on analyse une œuvre picturale "aboutie", on constate que l'emploi de ces techniques sert à nous faire percevoir dans l'image le sens de certains "objets" de la composition. Cela vous éclaire t'il un peu sur le propos de la nuance? Ah là je vais loin car secret de métier pas donner au néophyte qui de toute façon ne pourra rien faire d'autre que de les comprendre théoriquement afin de se faire mousser! Un peu comme le nombre d'or en somme dans un Vinci... Posez vous la question encore du mystère et dites vous que si le monsieur qui fait l'image n'a pas autre chose à dire que l'image en elle même? Auquel cas, lorsque le rapport se trouve visible ( architecture chez Masaccio) et contrefait (du genre perspective inversé ou stylisation) n'est ce pas la volonté du "peintre" de nous composer une énigme plutôt qu'une illusion? Assez parler de tout ça; j'en dirais trop!!! Et pour finir, la pratique nous apprend qu'il faut parfois tordre les théories pour les appliquer à la réalité: Sinon, nous frôlerions l'anamorphose! Suggérer l'ordre d'une composition et ne pas l'explicité est toujours une règle de composition... Bien à vous et ne faites pas de connerie, les autres s'en chargerons pour vous! UAQVVDB.
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