J'ai un QI de 160. Que puis je en conclure ? - Page 42

Je vais lire tout cela, un peu plus tard. et j’y répondrai. Un point qui me semble urgent est votre mise en responsabilité des faits, Toujours chez vous, cette considération des « conséquences » vous êtes très temporel Red, et si vos gamberge m’ont été très révélante, je vous pris de « transcender le temps », car c’est la bien ce qui me prend plus que les « humeurs » je suis métaphysiquement bloqué entre la fractale et la selection, vous n’y aller pas assez « fort » pour cette irresponsabilité, « être intelligent » ne signifie par pour moi uniquement la transcendance, la récursivité, je suis pris dans une constante recherche de schémas récursifs insuffisants, autant le relativisme me semble dans la chaotique dissociation autant l’ordre exigé me semble une « connerie », si j’aborde cette distinction du moi et de la théorie, c’est parce que j’ai beaucoup de mal avec la « réalisation du vivant » et cette curiosité je voudrais qu’elle soit au contraire accessible en opposition du « gâchis «, Autour de nous, et je l’ai constaté ces questions n’apparaissent presque jamais, ici on les relève un peu, si vous commencez à vous questionner de votre irresponsabilité dans l’écriture intemporelle, là vous aller faire du mal atrium selon votre « moi », il nous faut pour cet échange qui « transcende le QI» les choses, avoir l’audace de mettre les confusion commune à plat et « couper des têtes de mangrove auto-destructrices de l’intelligence populaire», Entre gène de guerrier et intellectualisation, il nous faut faire la part des choses entre compensation et évolutionnisme, pour en aboutir à cette notion de réalité, qui n’est ni emphatique ni rationnelle, Difficile tache je vous l’accorde, mais allons-y dans la profondeur des abysses, dans les odeur de bliss, dans la réelle remise en question de l’efficience, de la re-visite du pragmatisme, pour ma part j’ai dans mes ailerons le NR+ que je dissocierai pour vous plus tard, bien a vous Red, et je vous aime bien sans inquiétude. « il était un monde ou l’inquiétude n’était qu’une forme comme une autre de domination du peuple, se relevant les plus immondes individus de se refuser à être en péril dans l’éternelle conquête d’un sang froid à conquérir les lunes, les mondes, dans l’oublie, d’un soi, qui fut à jamais a fort de ne jamais se sentir dépravé parce que ce fut maladroitement ordonné d’une imperceptible mystérieuse existence qui se fait de toujours plus de maudits détranchements»  

Il me semble que nous avons bien avancé et sans en avoir l'air communiquer avec vous m'a permis de formuler clairement (du moins j'espère!!!)... (en activant les boucles rétroactives) des années d'interrogations multiples probablement liés, comme vous dites, à la recherche d'une unification de mes pôles personnels de recherches. Le temps est à prendre et n'est aucunement un luxe! Peut être une de nos différences est le fait que je suis obligé "moi" de me projeter constamment pour la raison que j'ai la responsabilité de mes enfants. Ce qui m'oblige à m'adapter aux circonstances d'une communication chaque fois revisitée. Parler "enfant" n'est pas une chose aussi simple dés qu'on cesse de vouloir leur communiquer un monde de certitudes acquises. Répondre à la question "pourquoi le ciel est bleu?" est un peu plus complexe qu'il n'y parait. Réétudier les mythes et les limites sans y ajouter son grain de sel en cooptation véritable du genre "ferme ta... et tu comprendra plus tard" mais laisser le travail se faire par lui même en insistant toujours sur la non restriction des hypothèses est une chose (croyez moi ou comprenez moi) assez ardu!!! Réfractaire aux analyses de fabrications lorsque j'étais étudiant (pour la raison qu'il me semblait à moi, que je me débrouillais mieux avec la gestion "instinctive de la réalité, que rebelle à toute autorité qui s'exerçait pour elle même, je mettais un point d'honneur à mettre celle ci en difficulté, détournant tous les modes d'emplois et étudiant avec soin l'ensemble des règlements afin d'exploiter leurs failles) je fus très surpris du "pragmatisme" parfaitement "concret" de certains de mes enseignants qui eurent la délicatesse de commencer leurs travaux par "en admettant que". Ce petit jeu adaptatif concret qui consistait à prendre quelques matériaux bruts, quelques idées (et par définition purement imaginaires) afin de marier les deux pour une réalisation (mettre en réalité), lui plein de charme par contre, m'obligea à prendre en compte ce qu'on pourrait appeler une gestion de la "création" d'un "quoi que ce soit". Méthodologie consistant (et déjà pas si mal?!) à faire la distinction entre "réalité" et "réalisme". Et durant toutes les années qui suivirent, je me mis au défit tout personnel de rendre "réel" plutôt que de faire du "réalisme" en m'appuyant sur une quelconque théorie ou mise en place d'une doctrine. Considérant tout autant l'objet et le sujet comme étant de la même essence, je fus parfaitement surpris du coté provocateur qu'avait chez mes contemporains cette approche sur leur "conception" de la réalité. Je fus encore plus surpris lorsque, mettant en pratique cette approche particulière totalement dénué d'affect, de m'apercevoir à quel point les personnes extérieurs ne semblait pas apte à la mettre en œuvre... Pire peut être! Celle ci les déstabilisaient au plus haut point... Mettant (peut être et certainement) en péril jusqu'à leur notion d'existence... "Ce que les gens veulent ce sont des certitudes;" Nous ne pourront pas dissocier l'objet du sujet, j'en suis maintenant parfaitement sûr pour ce que les copeaux m'en ont appris. C'est en quelque sorte une mécanique pulsative proche du phénomène respiratoire; Je prend/je donne; je transforme et je suis transformé qui se trouve situer bien au delà de nos volontés personnelles... La plupart du temps, celles ci (nos volontés) iront même jusqu’à faire obstacle à cette sublime mécanique nous échappant totalement par le fait de vouloir chaque fois y mettre en œuvre une théorie toujours transformé en doctrine puis en idéologie. Peut être simplement cette fierté mal placé de "l'humain" (revoir la définition de l'humanisme comme une doctrine souhaitant mettre l'homme au centre du cosmos et donc responsable de celui ci!) à se vouloir enseignant de ses propres vérités acquises jusqu'à mettre en œuvre ce fameux réalisme dont je parlais précédemment! Là ou l'illusion commence (et je vous parle de métier) c'est lorsqu'on détourne l'attention d'une personne d'un regard afin de mettre dans sa poche l'objet qui semble ainsi disparaitre. La situation présentée alors se trouve être réaliste et non plus réel... Mes conclusions toutes personnelles concernant la réalité fractale: Lorsque celle ci nous semble identifiable, c'est qu'elle na pas encore terminer son processus d'agglomération. Lorsqu'elle peut être encore perçu comme hétérogéne. Réflexion maintenant sur le vivant... Si l'on admet la réalité du "fractal", il semblerait que le vivant n'y échappe pas par ses caractéristiques et entre autre génétiques. Un congloméra de données de bases qui ne cesserait de s'assembler et de se désassemblé selon des principes assez simples au départ jusqu'à nous donner l'idée d'une complexité apparente: Une quelconque montagne, un pudding sédimentaire plus ou moins dense formant un paysage dans le paysage parce qu'on à décider d'y comprendre ce qu'on souhaite y voir... Jusqu'au moment ou l'ensemble s'impose comme parfaitement réel et n'ayant strictement plus rien à voir avec notre soif d'illusions du réalisme.... Hokusai, peintre et dessinateur maintenant plus que connu à notre époque à écrit (quelque instants pour récupérer une mémoire surchargée...) "... Depuis l’âge de cinq ans, j’ai la manie de recopier la forme des choses et depuis près d’un demi siècle, j’expose beaucoup de dessins ; cependant je n’ai rien peint de notable avant d’avoir soixante-dix ans. A soixante-treize ans, j’ai assimilé légèrement la forme des herbes et des arbres, la structure des oiseaux et d’autres animaux, insectes et poissons ; par conséquent à quatre-vingt ans, j’espère que je me serai amélioré et à quatre-vingt-dix ans que j’aurai perçu l’essence même des choses, de telle sorte qu’à cent ans j’aurai atteint le divin mystère et qu’à cent dix ans, même un point ou une ligne seront vivants. Je prie pour que l’un de vous vive assez longtemps pour vérifier mes dires." Je puis dire de moi même aujourd'hui que je maîtrise maintenant les illusions: pour les avoir mis en œuvre et perçu chez les autres... rien de plus! Mais je n'ai que la cinquantaine et une vie bien remplie. Prenez le temps avant qu'il ne vous prenne. UAQVVDB.

Relisant un peu ce matin, je tombe sur: "il nous faut pour cet échange qui « transcende le QI» des "choses", avoir l’audace de mettre les confusions communes à plat et « couper des têtes de mangrove auto-destructrices de l’intelligence populaire»... Quelles têtes souhaitez vous couper exactement? La guillotine a peut être un peu trop fonctionné non? Des réformes, oui, probablement même lorsque celles ci requièrent une certaines fermeté dans les applications. Une limitation encore de ce qu'on nomme maintenant la liberté individuelles trop souvent prise en compte sans notion de responsabilité individuelle par les marchants de rêves...? à ce propos: Art. 223-6 Quiconque pouvant empêcher par son action immédiate, sans risque pour lui ou pour les tiers, soit un crime, soit un délit contre l'intégrité corporelle de la personne s'abstient volontairement de le faire est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende. Sera puni des mêmes peines quiconque s'abstient volontairement de porter à une personne en péril l'assistance que, sans risque pour lui ou pour les tiers, il pouvait lui prêter soit par son action personnelle, soit en provoquant un secours. La loi française ne permet pas de soigner une personne contre son gré (art. L.1111-4 du Code de la santé publique), mais encore faut-il que la personne soit en mesure d'exprimer son consentement et que celui-ci ne soit pas faussé (personne en pleine possession de ses facultés mentales). Ainsi, laisser agir une personne menaçant de se suicider sous prétexte que c'est sa volonté engage la responsabilité pénale. Article 221-5-1 Le fait de faire à une personne des offres ou des promesses ou de lui proposer des dons, présents ou avantages quelconques afin qu'elle commette un assassinat ou un empoisonnement est puni, lorsque ce crime n'a été ni commis ni tenté, de dix ans d'emprisonnement et de 150 000 euros d'amende. Article 211-1 Constitue un génocide le fait, en exécution d'un plan concerté tendant à la destruction totale ou partielle d'un groupe national, ethnique, racial ou religieux, ou d'un groupe déterminé à partir de tout autre critère arbitraire, de commettre ou de faire commettre, à l'encontre de membres de ce groupe, l'un des actes suivants : – atteinte volontaire à la vie ; – atteinte grave à l'intégrité physique ou psychique ; – soumission à des conditions d'existence de nature à entraîner la destruction totale ou partielle du groupe ; – mesures visant à entraver les naissances ; – transfert forcé d'enfants. Le génocide est puni de la réclusion criminelle à perpétuité. Article 211-2 La provocation publique et directe, par tous moyens, à commettre un génocide est punie de la réclusion criminelle à perpétuité si cette provocation a été suivie d'effet. Si la provocation n'a pas été suivie d'effet, les faits sont punis de sept ans d'emprisonnement et de 100 000 € d'amende. La provocation non publique à la discrimination, à la haine ou à la violence à l'égard d'une personne ou d'un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une prétendue race ou une religion déterminée est punie de l'amende prévue pour les contraventions de la 5e classe. Est punie de la même peine la provocation non publique à la haine ou à la violence à l'égard d'une personne ou d'un groupe de personnes à raison de leur sexe, de leur orientation sexuelle ou identité de genre, ou de leur handicap, ainsi que la provocation non publique, à l'égard de ces mêmes personnes, aux discriminations prévues par les articles 225-2 et 432-7. Et pour finir le tour de ce qui, à mon avis, devrait être un peu plus diffusé, quitte à user de méthodes propagandistes: Et tant d'autres qui ne sont pas mis en application!!! La Déclaration universelle des droits de l'homme Préambule Considérant que la reconnaissance de la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine et de leurs droits égaux et inaliénables constitue le fondement de la liberté, de la justice et de la paix dans le monde. Considérant que la méconnaissance et le mépris des droits de l'homme ont conduit à des actes de barbarie qui révoltent la conscience de l'humanité et que l'avènement d'un monde où les êtres humains seront libres de parler et de croire, libérés de la terreur et de la misère, a été proclamé comme la plus haute aspiration de l'homme. Considérant qu'il est essentiel que les droits de l'homme soient protégés par un régime de droit pour que l'homme ne soit pas contraint, en suprême recours, à la révolte contre la tyrannie et l'oppression. Considérant qu'il est essentiel d'encourager le développement de relations amicales entre nations. Considérant que dans la Charte les peuples des Nations Unies ont proclamé à nouveau leur foi dans les droits fondamentaux de l'homme, dans la dignité et la valeur de la personne humaine, dans l'égalité des droits des hommes et des femmes, et qu'ils se sont déclarés résolus à favoriser le progrès social et à instaurer de meilleures conditions de vie dans une liberté plus grande. Considérant que les Etats Membres se sont engagés à assurer, en coopération avec l'Organisation des Nations Unies, le respect universel et effectif des droits de l'homme et des libertés fondamentales. Considérant qu'une conception commune de ces droits et libertés est de la plus haute importance pour remplir pleinement cet engagement. L'Assemblée générale proclame la présente Déclaration universelle des droits de l'homme comme l'idéal commun à atteindre par tous les peuples et toutes les nations afin que tous les individus et tous les organes de la société, ayant cette Déclaration constamment à l'esprit, s'efforcent, par l'enseignement et l'éducation, de développer le respect de ces droits et libertés et d'en assurer, par des mesures progressives d'ordre national et international, la reconnaissance et l'application universelles et effectives, tant parmi les populations des Etats Membres eux-mêmes que parmi celles des territoires placés sous leur juridiction. Liste possible des contrevenants: Publicistes, Banquiers, guerroyeurs en tous genres et polémistes faciles, industries cinématographique concepteurs de séries policières vantant la vianda hachée ou le cannibalisme, et médias classiques. Hommes politiques... Démagogiques. Et... n'oublions pas les organismes de crédits Les concepteurs de jeux vidéos hyper violents, infligeant à la personne des traumatismes psychiques, Les harceleurs téléphoniques, les compagnies d'assurances, la grande distribution; la malbouffe comme la bonne bouffe, Les administratifs se croyant obligés d'obéir et de mettre en place des lois et principes contraires aux droits de l'homme (inclue dans notre constitution et toujours à relire) et l'ensemble bien sûr de tout un chacun se trouvant embarquer dans un jeu de massacre quotidien se trouvant complice de ne pas appliquer: L'assistance à personne en danger!!! Veuillez excuser cette sortie un peu légaliste, mais je reste convaincu qu'il y aurait un nombre incroyable d'inepties sociétales qui cesseraient d'elles même, si les gens connaissaient au moins la liste de leurs obligations et/ou responsabilités humanitaires. Pour les contrevenant, lorsque je suis en colère, le coup des écarteurs oculaires façon orange mécanique ou un petit tour chez les fossoyeurs du monde à vomir leur tripe parmi les mouches et autres asticots ne leur ferait pas de mal! L'intelligence et son enseignement ou sa valorisation devrait peut être commencé par là: Dés le plus jeune âge; Mais je crois bien qu'au stade ou nous en sommes, ça n'est pas demain la veille! Et puis il y a ce délais de prescription légale et cette réalité qui fait que lorsqu'on ne retrouve pas de cadavre il n'y a pas de meurtre... En sommes toujours cette idée qu'il n'y a pas viol, lorsque la personne est consentante. (voir un peu plus bas!) Quand à l'intelligence populaire? Coup de gueule!!! Hier répondeur téléphonique toute la journée afin de joindre divers services du genre administration public et privé: Cela donne sur une quinzaine de coup de fil le dernier qui me colle en pétard! Une dame dotée d'un fort accent à qui j’essaie par tous les moyens d'expliquer une situation relativement simple et à qui je fais deux demandes du genre: "Trouvez moi le formulaire truc dans l'armoire muche" et envoyez le moi à mon adresse... Ne souhaite même pas savoir pourquoi l'impression d'avoir à faire à une machine absurde, un magnétophone fonction replay boucleur, un sample... conclusion du pourquoi ceci me mit en colère: Comment se fait il que l'usage est encore présent d'humilier des gens en leur collant des boulots n'étant pas assortie à leurs possibilités? N'aurait pas été plus digne pour cette brave dame certainement sans éducation et ayant plus que quelques difficultés de ne pas la mettre en faute? Ah non de foutue M... Il faut de tout pour faire un monde! Elle doit s'en prendre plein la gueule toute la journée et rentrer chez elle totalement détruite chaque soir! Voyez vous lorsque je vous parlais de cette pseudo valorisation par l'intelligence... Commerce de la prétention et de toutes les vanités... N'eut il pas mieux fallu faire l’effort de lui trouver un "poste", un emploi, une notion de travail, bref une "place" dont elle puisse être satisfaite? ...Et non un poste aménagé qui présuppose qu'il y est handicap? à ce que je sache nous sommes tous éclopés et pas un de nous n'est parfait sur quelques critères que ce soit! au stade de cette réflexion peut on envisager que la réalité de nos sociétés finisse par ne plus être qu'un mouroir pour aliénés s'encadrant par eux même? Ah ce n'est pas si idiot que cela quand on n'y pense! Lorsqu'il n'y aura plus de "maçon" pour nous construire des murs, vivrons nous dans nos ruines en nous y adaptant? Tient, pourquoi pas! L'échelle sociale c'est aussi ça! Avez vous jamais travaillé en secteur défavorisé... Du genre déficience mentale? (Moi, assez souvent en tant qu'intervenant extérieur.) Usuellement nous faisons tout pour au moins rendre à chacun une sorte de fierté, une valorisation en quelque sorte; Sans user d'artifices classant la personne au dessus ou en dessous de ses moyens. L'idée principale est de suprimer toutes notions de classement de tâches plus ou moins nobles, d'abolir la notion de hiérarchie dans le travail commun et de redonner la fierté à chacun d'avoir pu simplement participé selon ses moyens au bien être général: Des tâches simples qui demandent peu au départ et qui se complètent par la suite et progressivement, d'informations susceptibles de mettre en route un processus d'autonomie (lorsque cela est possible!!!)... Ce n'est pas l'incompétence qui est à craindre (pour ce que chacun ne peut être tous les autres) mais bien plus la mauvaise répartition de celles ci par les valeurs de cette culture élitiste prônant la notion du mérite au dessus même de toute réalité! Réalisation d'un soi utopique et sujet à caution, individualisme aliénant la personne à une solitude chronique, diffusion des idées de concurrences, usage outrancier de l'utilitarisme plaçant la forme avant le fond, rentabilisation de tout et n'importe quoi pour une croissance évolutive d'on ne sait quoi... Et la liste est longue des applications pratiques de cette idéologie, qui n'en est qu'une!... De cette idéologie ayant créer un génocide accepté! Je vous avais parler bien plus avant du syndrome mis à jour dans le ghetto de Varsovie... (Et me fiche bien d'être étiqueté ceci ou cela par une conscience populaire manipulées à des fins mercantiles)... La plupart des personnes présentes lors de la grande rafle étaient persuadés du bien fondé de celle ci! Consentant donc au dessus même d'un instinct de survie... L'éducation c'est aussi ça: Lycurgue:"«Ces deux chiens, dit-il, sont de même race. Voyez cependant la différence, et apprenez quel est le pouvoir de l’éducation!» S'il faut changer quelque chose ceci passera par l'éducation. Quiconque détient l'éducation populaire détient le pouvoir réel. Peut être encore une raison pour laquelle lorsque nous pouvons avoir accès aux postes d'enseignements, il ne nous ait réservé que ceux formant l'élite des spartiates... Ou quelque postes utopistes servant la plupart du temps à justifier des philosophie de consciences tranquillisantes (déculpabilisation?). Bien à vous et veuillez m'excuser encore de ce coup de gueule! Parfois je mord au sang lorsqu'il le faut... (Pas du genre peace and love le gars!) UAQVVDB.

“Les médecins purgent les corps ; les théologiens, la conscience, et les gens de loi, la bourse.” (Proverbe Allemand) « Les ovnis sont interdit à Châteauneuf-du-pape » Un vaccin ne saurait remplacer la recherche des nouveaux virus. Car on ne peut traiter le virus du Nil.. occidental avec des injections de celui guérissant la fièvre de Lassa. Si la « selection naturelle » est constamment appelée génocide alors le seul remède est un régime surpuissant, à l’oeil au travers des vêtements, de la moindre batifollerie. La fantaisie est alors coupable, car la roche de toute façon est friable, et avec de la réthorique je peux vous condamner tout individu dont les propos ne sont pas ceux du plus grand nombres. Je peux vous rendre rat effrayé de la sanction, au point que votre seul motto sera : « agissons dans l’ombre, dans les recoins des sous-terrains inhumant la rouille de la nature mystérieusement offensante à notre égalité ». Non. Si je pense que la constitution des droit de l’homme fut en tropiques, par l’implication de tout ceux qui ont voulu respecter ces axiomes et s’y engagé, elle est mise en péril. Non parce qu’elle est contredite, mais parce qu’elle est incomplète, et qu’elle n’a jamais eut que pour rôle que de s’occuper d’un passé qui ne se reproduirait pas sous les même augures, non.. d’une dictate de conduite qu’il faudrait faire « connaître » par la peur, l’effroi, sur un « génocide moderne » qui en est la parfaite faillite. Ne croyez-vous pas que vous êtes le n-ième à avoir faire cette jonction, entre massacre de masse organisé par un groupe et massacre de masse organisé par le groupe lui même ? J’aime cependant vos mots, pour avoir été et qui sait y retourner dans un milieu sans ressource, et de soutien social, presque insuffisant à ma survie temporelle. Faut-il avoir vécu mal pour avoir l’envie de se dire que nous voulons bien vivre ? Probablement avez-vous été confronté, de ces couvertures douteuses en parallèle d’une organisation de groupe indifférente ? Au point que la logique vous murmure, transgresse ou périt. Refuser de transgresser est alors un suicide ? Chose sur laquelle je veux revenir. Le suicide est un gâchis d’entropie, et s’il y a bien une selection universelle, la bonne porte de sortie n’est surement pas de se laisser tomber. Qu’en disent les religions : « Dans les dix commandements de la Bible il est dit : "Tu ne tueras point" (Exode 20:13). Le suicide est gravement contraire à la justice, à l'espérance et à la charité. Il constitue un meurtre ». « En revanche, le suicide est permis pour celui qui a atteint le stade d'arhat et donc le détachement total : dans plusieurs textes (le Godhika Sutta, le Dabba Sutta, le Channovada Sutta), le Bouddha loue le comportement de moines qui ont volontairement mis fin à leurs jours. De même, selon le Samantapasadika, un moine dont l'état de santé est sans espoir peut se suicider pour éviter d'être une charge pour la communauté. En revanche l’acte d’assistance au suicide est assimilé au meurtre d’un point de vue religieux. Il entraîne pour cette personne des retombées très négatives sur son karma et dans la vie religieuse.«  « Comme les autres religions abrahamiques, l'islam voit le suicide comme un péché et un obstacle à l'évolution spirituelle. Dieu envoie ceux qui se suicident en enfer : « Et ne vous tuez pas vous-mêmes. Allah, en vérité, est Miséricordieux envers vous. Et quiconque commet cela, par excès et par iniquité, Nous le jetterons au Feu, voilà qui est facile pour Allah. » (Coran 4:29-30) » NB : je risque de me heurter aux polémiques contemporaines en parlant de suicide et d’Islam, pour ce point je vous prie de remarquer que le suicide c’est Zola dans sa bagnole tout seul. Donc tout propos sur le « kamikazisme » serait de prosélytisme en référant mon message. Pour mon raisonnement métaphysique, je continuais donc.. Coupez la tête des branches dans les marécages, nécessite parfois le sécateur à l’aveugle, à confondre avec ses orteils l’aspiration « négative ». Changer de chaussette quand celles-ci deviennent humides ? Peu importe, d’être pieds nus, dans l’approche d’une selection de l’entité en fonction de l’entropie générée, il me parait évident que choisir une fin voulue et consciente par curiosité est un gâchis et vous réorienterait si la suite infinie existe dans une existence pour corriger ce manque. Mais la conscience du danger ne doit pas reposer sur les menaces du plus grand nombre plutôt notre propre réalisation. Les autres ne seront toujours que faible conseillers qui lorsque se veulent plus, deviennent l’environnement ni plus ni moins, d’un saut sur des plaques de métaux lourds et radioactifs couvrant partiellement leur envahissante chaleur d’un magma purgateur. Il n’y aura qu’à y glisser un verre d’eau à la température du zero absolue, qui transformera le volcan en une grande jachère ? J’ajoute que, même en transcendant le matérialisme, la conscience d’une entité intemporelle et non matérielle est semble-t-il le réel questionnement du code 42. Le mystère. Si le mothman capable de télépathie ne peut jouer aux échecs alors il apprécie ce que vous êtes capable d’apprécier dans ce jeu face un adversaire dont la pensée ne vous est pas accessible. Récursivité de l’intelligence, j’en dirai un mot, mais il y va de la théorie du tout, sur laquelle je travaille insidieusement. La conclusion est que je peux vivre pour l’univers et non le monde, nous devrions souligner cette nuance pour répondre à la question « que faire qui en vaille la peine selon vos mots ? ». Pour en revenir maintenant au placement de fonctions dans un cadre agréable des individus, il y a un paramètre à prendre en compte qui est qu’un homme contraint du groupe, une fois libéré peut se révéler le plus grand des abrutis. Aussi, si votre interlocuteur au téléphone ne souffrait pas de blessures quotidienned elle pourrait aussi bien devenir une carte chiante pompeuse de vie. Vous feriez l’erreur de considérer la reconnaissance des autres dans ce qu’ils auraient pu vivre de douloureux pour être capable de se satisfaire d’un peu plus. Sans avoir été torturé, auriez-vous cette chalheureusité ? Là ou je me rejoint cependant est que l’individu au téléphone, vous avez semble-t-il était capable d’y percevoir un gâchis. Et on en vient à la création d’un « système » dans la distribution des taches, qui devrait être plus intelligente dans le respect des dignités. N’est-ce pas cette dignité celle du chien ? Du doberman, rien parmi les cochons mais gardant le jardin, un espace incensé pour la place d’un moi auto-attribué dans la creation d’une nouvelle dimension ? Sachez par ailleurs que ce système existe et c’est le principe même de tout système. Que pouvons nous faire ? Plutôt qu’engueuler aux ordres ou menacer d’aller en taule sans porte-feuille ce qu’ils comprennent pas la loi par coeur (et la plupart connaissent même pas leur table de 6), il faut amener chacun à réfléchir sur ce qu’est la notion de responsabilité, en dissociation de domination et d’être victime de bonne volonté. Et en quoi la responsabilité ne viendrait pas d’un soi valorisant, écrasant, intéressé.. Il faut donc aborder le gout, « lecher ses tableaux », quand l’anamorphose de l’hyper réalisme n’est que de complaire un narcissisme théorisé, quand la certitude de l’impossibilité de dissociation objet/sujet pourrait dans vos 100 ans être la seule entrave de votre entêtement pour y trouver dans les mouvement suiveurs des tournesols un fatalisme, au catastrophisme de ne jamais avoir pris le temps d’y réfléchir vraiment à un arbre récursif effeuileté à la seul puissance de sa théorie d’être. Une répétition pour vous surement R.E.D mais je titerais bien, pour ceux qui croisent votre fureur, vos yeux orange en « Among the more serious problems faced by the gifted is that of learning to suffer fools gladly: to tolerate in some reasonable fashion the unreasonableness of others »

J'ai du mal taper l'adresse ! (TM)

Et l’enfant oui, l’enfant, il né d’une lumière dans en faire un lien spectaculaire avec l’opposé, il grandit, se complexifie, le vélo en roue qui tourne sur elle-même pour la figuration du mouvement equilibré, il rencontre les autres, se métamorphose à un point qui vous est surprenant, il demande de changer les couches de ses incorrections subtiles, ou les cassures d’un pas de travers, il est de votre responsabilité dans ce qu’il vous est lié à l’origine, il est critiqué au contact de d’autres enfants, et s’y construit, il se melange aussi, avec d’autres au point de muter son vivant, il évolue de ses « erreur » Même sans être le meilleur, il voudrait le « devenir », Ne serait-il pas une, théorie, dans l’oeuvre qui vous est référencée ? J’ai des enfants, eureka et ahura, Ils se chamaillent tous le temps. et pour vous dire bien loin d’être mon experience personnel, ils m’apprennent beaucoup sur qui je suis, sans rien en conclure vraiment pour le moment.

Cette brave dame, supposée brave selon l'idée du bon sauvage... effectivement est peut être la pire des chieuses en dehors de son taf, peut être qu'émancipé elle aurait pu devenir pire encore! Peut être nous même aurions pu devenir autre chose que ce que nous sommes par l'adaptation à d'autres milieux... Et ainsi de suite, la loi des probables fait qu'avec des "si" un chat mort sur la lune ne serait plus qu'un extraterrestre qui n'aurait pas pu s'adapter à son environnement. Il y a de sales cultures en ce monde manquant terriblement d'entropie, justement! Pas la peine d'explicité... * Il y a de sales personnes comme il y a de sales virus. Il y a des sales intelligences aussi, que nous avons souvent croisés ici. Et nous les avons combattus ou ostracisés en leur opposant un "ferme ta gueule" parfois tonitruant pour des "certitudes" de "supériorités" autoproclamés... "Ah le kon il a écry aveque plein de fôte ey cequ'il dit sé trés kon parseque moi je sé trés bien que j'é réson parseque j'é 160 de QI!" De l'art du jardin à la française et de celui à l'anglaise... De l'art du jardin encore à la japonaise... De l'art du jardin de mettre dans la nature une confortable vision du monde afin de s'y reposer d'une tâche constante: Tondre la pelouse! Il semble bien que pour un amateur, l'estimation des différences est un début... vient ensuite la phase ou chaque différence comme autant de mondes se trouve être estimés pour elles même... Votre jardin et puis le mien et puis celui des autres, lorsqu'il y a jardin, ce petit bout de territoire bien organisé par nos efforts à mettre un ordre, ne supporte pas bien les crottes des chiens errants et encore moins les ravages des expansionnistes et des nomades... il aurait suffit d'un peu de civilité du genre "s'il vous plait pourrais je visiter votre jardin?" Et parfois se contenter d'un "pas encore pour le moment il n'est pas encore terminé"... "Et bien ça n'est pas grave, je repasserais demain quoi qu'il m’intéresse de savoir comment vous faites, non pour vous copier ni même m'en inspirer! Croyez moi mes préoccupations sont tout autre. Mais voyez vous j'aime comprendre et partager, ce qui me semble être le propos même de l'intelligence humaine... Vous viendrez voir le mien j'espère? Et vous me direz ce que vous en penser. J'ai hâte de vous y recevoir et si cela vous dit nous en papoterons ensemble tranquillement assis..." - "Et bien si ça vous dit , venez quand même, je suis entrain de labourer en ce moment!" -"Mais bien sûr et dites moi si je peux vous aider j'en serais parfaitement heureux!" Là ou commence le concept de propriété privée indissociable de celui de tolérance des différences: La responsabilité d'un ordre de soi inclue les limites de son territoire, parfois à la taille d'un bonzaï. Raffinement du petit lorsque le grand serait l'incursion chez les autres. Parfois vous même, je vous ais remis à votre place assez vertement. Content de vos avoir fait passer la différence entre réalisme et réalité! Ceci tout simplement dit, peut éclairé à peu prés tout le monde y compris notre brave dame pour mettre fin à ses vues de "l'esprit" d'un hurlant: "Un peu de réalisme bordel!"... Il manque effectivement plusieurs choses (volontairement notifier comme peu clair) dans la charte universelle des droits de l'homme: La constante morale d'une vie sociale paisible!!! Elle s'y trouve toujours sous entendue mais jamais véritablement dite. (Pleins d'hypothèses liés à des observations, concernant cette absence...) Il n’existe pas de notion de bonheur en dehors de la suppression de la douleur. Cette affirmation se complète par l’affirmation que la notion du soi est une illusion qui perturbe l’harmonie générale. Se considérer comme identité individuel (ego) vient du fait que nous fermons les portes de la conscience à ce qui nous entoure. (Formulé Par le bouddhisme, mais dans la réalité nous retrouvons à peu prés partout et dans toutes les cultures ces quelques règles dites simplement) Les dix préceptes sont 1-S'efforcer de ne pas nuire aux êtres vivants, ni retirer la vie, 2-S'efforcer de ne pas prendre ce qui n'est pas donné, 3-S'efforcer de ne pas avoir une conduite sexuelle incorrecte ─ plus généralement garder la maîtrise des sens, 4-S'efforcer de ne pas user de paroles fausses ou mensongères, 5-S'efforcer de ne pas user de paroles dures ou blessantes, 6-S'efforcer de ne pas user de paroles inutiles, 7-S'efforcer de ne pas user de paroles calomnieuses, 8-S'efforcer de ne pas avoir de convoitise, 9-S'efforcer de ne pas user d'animosité, 10-S'efforcer de ne pas avoir de vues fausses. Sous leur forme positive : Avec des actions bienveillantes, je purifie mon corps, Avec une générosité sans réserve, je purifie mon corps, Avec calme, simplicité et contentement, je purifie mon corps, Avec une communication véritable, je purifie ma parole, Avec des paroles utiles et harmonieuses, je purifie ma parole, Avec des mots bienveillants et gracieux, je purifie ma parole, Abandonnant la convoitise pour la tranquillité, je purifie mon esprit, Changeant la haine en compassion, je purifie mon esprit, Transformant l’ignorance en sagesse, je purifie mon esprit. (Dans cette formulation positive, les 6e et 7e préceptes « négatifs » sont regroupés en un seul). 3 voies d’applications possibles : (Selon l’âme individuel et l’âme universel, appelé aussi conscience. L’individu étant inclus dans l’universel.) -La première est celle de ceux qui veulent se libérer le plus rapidement possible. -La seconde est celle de ceux qui le font pour eux même et refusent ou ne peuvent enseigner. -La troisième est celles de ceux qui veulent aider les autres à se libérer. Les trois voies sont considérées comme faisant parti de la même réalité du fait de l’interdépendance des phénomènes. Un et tous ne peuvent exister d’une manière indépendante. Ainsi l’alternance entre l’une et l’autre sont raisonnables dans la mesure où s’occuper de soi c’est s’occuper de tous et réciproquement. La plupart d’entre nous, n’abordons que peut la troisième qui nous semble être la plus exigeante. Si nous considérons que rien n’existe par lui-même, chaque fois que nous nous conduisons bien 'sous entendu lorsque nous prenons en compte les règles de bases) même si nous ne constatons pas les effets immédiats, nous empruntons, sans le vouloir la troisième. C’est donc la règle de conduite et non son champ d’application qui est à considérer… Mais bien sûr maintenant se demander (non sans ironie) pourquoi nos sociétés contemporaines ont décidés de ne jamais en parler ouvertement (en noyant le poisson dans l'océan des réflexions sur les commentaires...) "Faut-il avoir vécu mal pour avoir l’envie de se dire que nous voulons bien vivre ?" Voyez vous ce qui est énervant, c'est lorsque vous vivez bien, sans avoir conscience d'un manque quelconque. Sans connaitre la glace au beurre de Noirmoutier et le dernier modèle de purée à la muscade... Et qu'un imbécile, persuadé d'un progrés quelconque vienne vous obliger à en manger et vous juge coupable de ne pas l'apprécié (pire peut être de la vomir!) est insuportable lorsqu'il s'agit d'une broutillie sans importance... Les années qui passent ont une vertu simple: c'est de voir le "progrés" tourné en boucle à force de se redécouvrir fonction "vintage"... Cette renaissance perpétuelle pourrait tourné au "tu vois je te l'avais bien dit!" s'il n'y avait l'usage de la plus valu du goût de la grand mère qui n'est même plus là pour estimé! Société d'obsolescence d'une "culture perpétuellement jeune" et facilement manipulable par une éducation; gardes rouges et noirs et chemises brunes et le dôme de cristal... Et même lorsque j'avais 20 ans, il me semblait que tout ceci clochait déjà. L'avantage du trait unique dont parle Hokusai est qu'il ne déborde pas de la feuille, demande peu d'effort et se suffit à lui même... Ne piétinant pas les plates bandes des autres et se contentant d'un peut être. Progressisme, évolutionnisme et obsolescence vont de pair... Hors rien ne pousse sans compost. Je ne vous choquerais pas, au moins vous, en osant dire que nous vivons sur une fosse commune dont nous ferons un jour un des composants impersonnels. memento mori... de l'illusion et de l’énigme......... Pas le temps de relire, aussi veuillez excuser parfois le manque d'ordonnance, UAQVVDB.

Remettre les choses à leur places, Ô savant, tu as découvert une action à mettre les cubes dans leur bacs, Le telephone rouge, la ligne rouge, a te me dire que ces places auraient le moindre sens ? ow respectable yeux rouge, vous y seriez grandiose dans l’énigme, et vous l’êtes, je vous offre la meilleures note de Da Vinci, maintenant mettez y vous à la tache de ranger les choses.. Quoi donc ? Faîtes moi confiance si vous pouvez distinguer les cases vous pouvez y placer les autres ! allez y, Ö savant, j’ai échangé avec vous et je vous ai fais confiance un temps, Vous me demandiez « que faire ? » je vous répond faîtes le donc ! Nous avons avancé.. Vous voulez être colérique et retourner le monde faîtes le ! je serais à vos côtés, mais tu ne feras rien.. vous voulez peindre, les 1000 nuances d’orange, faîtes le, je n’en vois qu’une douzaine comme un surdoué « deux de plus » Rien est-il, que fatigué ou non, vous avez n’avez pas encore fait votre temps, d’une éternelle désappointée raillerie. Voyez-vous, j’étais juste en train d’ouvrir la première page d’un livre intitulé « tout le monde se plante »

J’ai en indice partiel, la récursivité, je suis presque capable d’un réel pas en avant, je suis mise d’érasme de mes jours, je ne sais pas si je vais me barrer à l’étrange pour cet échange, rien est-il que je vous direz quitte à tous vous mettre à l’asile, que l’intelligence est en apparence recursive dans la singularité, que chaque « conscience » même d’intelligence supérieure, ayant un contrôle sur nous, même intemporelle , elles ont ce mystère aussi de « l’existence » en boucle d’être au besoin d’un « moi temporel » PS: “I want to live the perfect life. The only way to live the perfect life is to live it in seclusion. I have always hated crowds.” avec une unique aile.. offrant le do.. Indrid Cold

Et bientôt Le mythe de Cthulhu? Je n'avais pas encore bien cerner votre soudaine envie de métaphysique veuillez m'en excuser! Et puisque la science vous refuse l’accès à une vérité, la méta science vous offrirait elle le relativisme absolue d'une vérité "transcendante"? thaumaturgie: Mon pouvoir hélas se limite à ceci. "Je ne peux guérir que les croyants..." Drôle non? invocation à Amaniel Pour amener la confusion à ceux qui vous veulent du mal "Amaniel, permets-moi de porter la confusion où que je sois je désir confondre mes ennemis Amaniel, je veux que tu sois mon ami. Qu'il en soit ainsi." Pour que vos calomnies et vos mensonges soient crus de tous. invocation à Sémaiaza: Sémiaza, j'invoque ta puissance fait que mes histoires soient bien reçues que tous me croient sans douter que mes histoires sont la vérité. Qu'il en soit ainsi. Et il y en a plein d'autres à glaner de ci de là... Invocation à nos démons du moment: (Libre choix d'attribution du nom du démon.) ... à croire que le nom change; pas le principe!!! Ethos /Pathos/ Logos... Ah qu'il serait confortable d'enlever toutes formes irrationnelles et de ne considérer en somme que la "raison"! S'il s'agit maintenant d'établir un "panarion" et de s'en contenter, allons y jusqu'au bout et brûlons encore, selon les sept péchés capitaux en comptant les points... « Les pensées génériques provenant de la partie concupiscible sont trois : celle de gourmandise, celle d'avarice et celle de vaine gloire, car on désire soit des nourritures, soit de l'argent, soit la gloire ; mais la cupidité, la vaine gloire et les autres pensées de la partie concupiscible sont précédées par l'égoïsme (philautia). Seule la pensée de tristesse ne comporte pas de plaisir. Celle de l'orgueil est sans matières. À celles de rancune (μνησικακία / mnêsikakía) et de colère est liée la tristesse. Toutes aboutissent à celle d'orgueil, mais se ramènent à celle d'égoïsme. Celui donc qui n'est pas égoïste est forcément aussi ennemi du plaisir, car devenu maître de lui, il les a évidemment toutes maîtrisées. » — Chapitres des disciples d'Évagre, ch. 69 (Géhin, p. 166-168) " Oh stylites, descendez donc de votre tour; fussent elle d'ivoire d'or et d'argent... Enfin délivrés des mirages de vos encens! Raison défaillante, vous poussant à l'orgueil suprême"... Anonyme de moi même. "En effet, supposons que je parle les langues des hommes et même celles des anges : si je n’ai pas l’amour, je ne suis rien de plus qu’une trompette claironnante ou une cymbale bruyante. Supposons que j’aie le don de prophétie, que je comprenne tous les mystères et que je possède toute la connaissance ; supposons même que j’aie, dans toute sa plénitude, la foi qui peut transporter les montagnes : si je n’ai pas l’amour, je ne suis rien. Si même je sacrifiais tous mes biens, et jusqu’à ma vie, pour aider les autres, au point de pouvoir m’en vanter, si je n’ai pas l’amour, cela ne me sert de rien. "Paul de Tarse." « Que tous les êtres soient heureux ! Qu’ils soient en joie et en sûreté ! Toute chose qui est vivante, faible ou forte, longue, grande ou moyenne, courte ou petite, visible ou invisible, proche ou lointaine, née ou à naître, que tous ces êtres soient heureux ! Que nul ne déçoive un autre ni ne méprise aucun être si peu que ce soit ; que nul, par colère ou par haine, ne souhaite de mal à un autre. Ainsi qu’une mère au péril de sa vie surveille et protège son unique enfant, ainsi avec un esprit sans limites doit-on chérir toute chose vivante, aimer le monde en son entier, au-dessus, au-dessous et tout autour, sans limitation, avec une bonté bienveillante infinie. Étant debout ou marchant, assis ou couché, tant que l’on est éveillé, on doit cultiver cette pensée. Ceci est appelé la suprême manière de vivre. » Et une pour vous en ce moment si je ne me suis pas "trompé" (ce qui m'arrive plus qu'à mon compte, en ce moment... Erreur d'attribution allant de pair avec erreur de clairvoyance...) "Rien de bon n'est jamais sorti des reflets de l'esprit se mirant en lui même. Ce n'est que depuis que l'on s'efforce de se renseigner sur tous les phénomènes de l'esprit en prenant le corps pour fil conducteur, que l'on commence à progresser" Nietzche. (Pas la peine d'en rajouter, non?)... Maintenant qu'est ce l'érudition? "L’érudition, considérée par rapport à l’état présent des lettres, renferme trois branches principales, la connaissance de l’Histoire, celle des Langues, et celle des Livres. La connaissance des livres suppose, du moins jusqu’à un certain point, celle des matières qu’ils traitent, et des auteurs ; mais elle consiste principalement dans la connaissance du jugement que les savants ont porté de ces ouvrages, de l’espèce d’utilité qu’on peut tirer de leur lecture, des anecdotes qui concernent les auteurs et les livres, des différentes éditions et du choix que l’on doit faire entre elles." Notre époque est à l'érudition: Et alors? chacun souhaitant y trouver sa place ne fait qu'en commenter l'usage. "Regardez moi , regardez moi!" "Est ce que tu m'aimes?" est la question la plus fréquente. S'en suit que tout le monde sur le trottoir racole, vantant ses charmes! De "grâce" mon bon Wu kong, si je veux, je peux encore aller piocher là ou il faut pour épater la galerie d'une référence obscure en parement d'étoffe rare... Et puis? Rien. Que voyez vous? Des caractères déjà triés par une police bien lisse. Du plomb écrasé sur du papier qui n'aurait de cesse d'y inscrire sa lourdeur. Lassitude... "Faîtes moi confiance si vous pouvez distinguer les cases vous pouvez y placer les autres !" Pour qui? Pour moi? UAQVVDB.

Celle là est pour vous : « En philosophie, la métaphysique désigne la connaissance du monde, des choses ou des processus en tant qu'ils existent « au-delà » et indépendamment de l’expérience sensible que nous en avons, mais elle prend des sens différents selon les époques et selon les auteurs. Très éloignée des sciences normatives comme l'éthique, la métaphysique est une science philosophique qui questionne d'abord l'existence des choses ou des événements tels qu'ils nous apparaissent, et qui tente ensuite de décrire et d'expliquer ce qui existe vraiment. » « Les extraterrestre existent-il ? » Me semble tout à fait une question métaphysique à ne pas prendre à la légère. Nous avons vite fait de tourner cela au ridicule. Ce que je trouve suspect d’ailleurs dans des processus sociaux qui sont très « automatisés ». Mais au moins on pourra sortir l’humour populaire à cet occasion. « Qu’est ce qui est vert, qui monte et qui descend ? Turlututu » L’absence de phénoménologie réelle pour votre créature (pour laquelle j’ai fait une investigation de 3 secondes) m’a rendu flegmatique voire dépressif à la deuxième ligne (le fantastique nécessite un talent, un mode de raisonnement que je n’ai pas encore), la concordance de témoignages la mise en relation des choses nous évitera de faire appel à Semiaza. Admettre toutes les possibilités en même temps et réduire par la contradiction, pondérer les probables sous forme d’intuition, plutôt que de choisir arbitrairement une possibilité et s’y accrocher à la prouver à feu et à sang comme si c’était vous-même. Comment ca les gens fonctionne autrement !!??? Qu’est ce qui j’y peux moi si un allistic (juste un autre nom pour la diversité) voudrait d’une approche que je qualifierais de « pioche sévère dans la moyenne des moeurs » et non de percussion des A et non A qui te me prend un axiome et tourne au rixe à coup d’érgotisme. Et qu’est ce que je peux y faire que vous voudriez en faire du bowling, « éveiller les autre » au sens du bouddhisme, vous y être très bon ! Pour vos « références obscures » sur « l’amour », le principe même d’avoir un corps sujet à une nature dangereuse révèle assez bien la nécessité du « mal » dans la création d’entropie. Dépasser les choses pour se qualifier d’être uniquement dans le bien et l’amour de tout, vous contraindra bien souvent à faire reposer votre bonté sur l’écrasement dorsale de chenilles. Et on en vient au « minimalisme », je peux toujours me tortiller pour avoir l’impression de ne pas faire de mal et continuer mes sérénades à la bienveillance. Est-ce que l’état d’éveil total est réellement atteignable, cela ne reviendrait-il pas à comprendre l’ultime allégorie ? Comment qualifier un rêve lucide réel ? Pas sortie de l’hostel. La nature a des cymbales. Elles m’ont réveillé tient aujourd’hui avec un besoin d’aller pisser, qui me dit qu’il n’y va des galaxies, des civilisations qui y ont vécu un pulsar eschatologique ? Les plus chanceux survivront ! Pour l’érudition, et vous parliez de visiter les jardins des autres dans le discours paisible, vous avez plus de chance d’être aimé en érigeant un groupuscule dans la rue qu’en y faisant une danse atypique. Le premier bouscule, le second est bousculé. Et vous me diriez qu’il n’y a pas de rapport de force dans l’amour ? Pire, la troupe est appréciée parce qu’elle houspille et le prouve, quand alors un autre groupe corrige cet « scarification », non avec un canif mais un antiseptique, et voilà une autre erudition, celle-ci plus « sérieuse ». J’opte personnellement pour une érudition rare, fine et très pointue, quand elle n’est pas que pour moi-même et celle-ci est en voie d’extinction. Les autres pour vous, dans la réflexivité de votre existence supposée. Différence entre innée et acquis tiens, qu’est ce qui fait le mouvement des pièces, leurs différentes cases d’origine ou la mémoire de celle-ci imputée à leur forme perçues ? En complément +/-: Plus il y a de références cités, moins il y a de risque pour l’orateur (principe de l’éducation), mais alors moins il y a d’entropie pour les ignards. Le styliste n’a plus qu’à nous vaporiser des parfums mélangés d’arômes déjà connus, sans mitose pour nous faire le rendu d’une pseudo-reflexion. Aller observer les prétendu castors ailés est alors moins chiant que se taper encore un « tri d’informations » sans aucune ayant une petite mutation bouleversante. Il est une chose fabuleuse, que nous n’ayons pas encore de stylite sur ce forum, question donc sommes-nous dans un milieu aride ou aucun stylite ne peut survivre ? ou la meta-culture aurait ce gout de se mettre autour d’une chaise vide ? Après donc le tri sélectif, il me reste à moi de conscient ceci : —Et puisque la science vous refuse l’accès à une vérité, la méta science vous offrirait elle le relativisme absolue d'une vérité "transcendante »?— La meta-science si par hasard se révéler capable dans l’épiphénomologie d’une prédiction expérimentale, alors le meta disparaitrait. Une meta science bis prendrait alors le role de meta si TOUT n’est pas résolu. Cependant, l’experience au vue de la science repose sur deux observateurs constatant et discutant d’un désiré commun phénomène. Le solipsisme pris dans les échantillonnage de la vérité acquise pose le biais d’une impossible vérification triangulaire (le troisième homme de votre remarque passée est mal barré). Ce qui ne pose pas de problème pour la science, puisque la réalité donnera du sens au phénomène autant que l’expression de l’autre sur ce phénomène (étant lui même un phénomène s’accordant par le principe universel de la non contradiction avec les autres). Là ou la meta-science se cogne donc à la science est que notre unique existence transformant les autres en phénomène assimilable aux variations météorologiques, nous amène à la possibilité que si je transcende le temps, ou que vous transcendez le temps, alors votre entité ne ferait que m’exprimer à moi, une individualité temporelle et pour vous symétriquement et fatalement la même chose. Aussi la métaphysique, à mon gout ne peut que poser des questions, l’explication sera toujours limitante pour les « autres ». Ce qui de toute évidence n’a rien de « scientifique ». Revoir le sujet des coïncidences dans ce qui serait sa dualité opposée ? Hugh Williams

Il n’y aurait canif aire, de l’adule ciné, que je m’en V Votre cynisme, votre humour populaire je l’ai trouvé, insuffisant, incomplet, ce ne fut qu’un faible pour-mille de vous, mais de toute colère vous vous referiez à ces normatives dominantes, j’aurais mieux à faire ? j’y irai d’un ridicule pour chacun, rejoindre l’illuminée meurtrie potentielle, non de charité, ni d’intérêt, ni de domination triangulaire, expatrié, en face des rapatrié, à la rage blessée, il nous fallait leur rappeler, que guerre, ne fait pas fortune, que coupe d’argent est frustrante, qu’il est dans nos cordes a tous, du rendu, écrasant, qu’il est de nos accords pour tous, du vendu, effarant ! Va te faire foutre ! raisonnant.. Que vous ne m’aurez pas dans toute intellectualisation de raison, je m’en irait en Armenie, en escapade, je ne passerai pas par la turquie qui me rendrait imbécile sur un mot, je ne traversais pas la gloire à un nom qui ne sera jamais le mien dévots, un changement d’une lettre, d’un contemporain, que je vous orienterai subtilement

Lassitude... Toutes les explications du monde et puis quoi? Je suis extrêmement fatigué en ce moment de cette lutte constante pour tenter de survivre aux vérités idiotes des "va t"en guerre" et des héros de toutes sortes... Je vous laisse donc papillon noir dans votre "recherche" dans l'espoir que vous puissiez trouver, non pas une raison de vivre (la plus absurde des vanités humaines) mais simplement une solution a cette incurable exclusion de toutes nos différences. Personnellement ayant lutter toute ma vie contre la stigmatisation, j'aspire maintenant et seulement à la paix et tape un peu trop souvent le poing sur la table: N'estimant pas cette attitude constructive. Ayant apprit par la force des choses à ne plus faire confiance à nos mutants girouettes, tous autant paumés les uns que les autres dans des réflexions bien au dessus de leurs compréhensions (de beaux discours, ah ça de beaux discours!) je me met simplement en grève ad libitum n'ayant moi même ni la force ni l'envie de continuer la moindre lutte. Advienne ce que peut, entre les mains des autres, leur faisant pleinement confiance pour justifier un tout et n'importe quoi... Un peu de repos ne me fera pas de mal.

Trouver une raison de vivre, les explications du mondes ? Non. Résoudre le maldjustement, surement pas. Petit papillon noir va expliquer l’univers pour soi éternellement, avec la dualité, Ce qu’il faut à chacun retenir de nos échanges peut-être drainants, et que la conscience de l’univers ressent à travers nous, qu’il y a encore beaucoup à faire pour cette métaphysique (ou philosophie ..? ou logique ??), qu’il ne faut pas se savoir sûr, car le principe même de notre conscience, serait de ne pas l’être ! que la simple conformité, est tout aussi dévastatrice, que l’unique rebellion en opposition peut-être épuisante de liberté nécessaire, que l’émerveillement, ne vient pas même si tout paraît hardement simple des autres, et surement pas uniquement de rechercher un poison du leurre dans la trivialité, qu’à lutter contre un trou noir (singularité) ne sera déchiqueté, il faut y passer au travers, Que les couleurs se dissocies comme les concepts. Que les mots contiennent autant de logique que les équations, Qu’un gros tas d’abrutis « soi disant normaux » suit des harmoniques vraiment pas facile à appréhender. Bon séjour à l’hosto, cela fait longuement que j’y suis en réanimation ! j’y écrivais .. une réalité car il faudra à celui qui en a la prétention, d’aborder ces questions y recréer en imagination toute l’énergie de l’univers. De gustibus et coloribus non est disputandum

Trève de soliloques, Lassitude comme sous-sens d’englober.. que l’on devrait deviner l’heraldique ? Orientez le monde ne signifie pas une direction immuable, le vent ne souffle pas constamment en hors ligne droite, Garder le cap est pour les autres qui l’interprètent toujours naif, et moins suivi. Revenez en arrière, avant d’être un misérable académicien levant la langue pour un latin mourant, à grincher des bruits ornant votre fenêtre, donner du sens à tout, n’est ce pas votre entièreté ? dîtes nous donc, votre existence à part, réclamer le deuil d’une conquête des formes, à maintenant être capable de prononcer ce mot « lassitude » , à maintenant nous mentir de ce que vous auriez conquerit les terres, pour vous en réclamer , d’une ostracisation. La conscience se veut de creuser le rien, çà vous dérange ? au contraire, d’une walking life, ne sera jamais aussi prenant que d’avoir pour chacun ce libre arbitre, que la science, comme la philosophie n’ont jamais entourée, qu’il est préférable à indiquer à chaque « surdoué » le mouvement plutôt que l’arbalète, qui se condamnerait sur son élastique déjà tendu, qui nous ferait croire dans une dernière réthorique, que l’univers est vain. Pour symétrie, je souhaite votre éternel retour, et pour être honnête il était un monde qui me demandait maintenant beaucoup, j’ai à damnéagé, j’espère revenir un peu plus tard, j’ai l’audace pour ce forum qui chante un peu, qu’il n’en devienne jamais une réalité conquise. La jungle sous la pluie des vents, les animaux se terraient, quand avant le feu d’un tronc frileux, les gouttes faisaient trembler les arbres fractals dénudés, qui grinçant, d’une absurde tempête, le soi, divaguant, aux envahissant bruit de craquements des branches, y trouvait soudainement une infinie foudroyée pleinitude des moisissures, dans ce que la nature que l’on ne touche vraiment envahissant de sensorialité, le renvoyait alors d’une dissociation d’un dedans des répétitives heurtes sur la glace d’un faux travers visible, comme à la jambe au réflexe ostéotendineux. au sentiment de s’y plier, de non finitude de sa « personne ».

J'habite dans une cour. une petite cour comme on en trouve dans n'importe quelle ville... Petite ou grande. La mienne, ma ville a plus de cent milles habitants. Pour vous dire le nombre de rencontre exaltantes qu'on pourrait y faire! A la condition que celles ci fussent sincères avec des personnes complètes et pas seulement des cerveaux en balade. Et à condition bien sûr qu'on sorte de chez soi... Ces dernières années, il m'est arrivé des choses que je croyais impensable! Je me suis péter le dos en dérapant chez moi. S'en est suivi une longue période cloué au lit. J'appelle ce qui me semblait être des amis depuis longtemps afin de les tenir au courant de ma nouvelle situation... J'avais bon nombre de ceux ci il y a encore quelques temps... Du moins il me semblait. Deux seulement me répondirent pour me souhaiter bonne chance et bon rétablissement. Pas un pour proposer un coup de main ou même une visite qu'on pourrait dire de courtoisie. L'une allant jusqu'à me dire que la solitude n'était pas une chose facile et qu'il fallait que je m'y habitue... J'encaissais vaille que vaille me demandant encore ou pouvait se loger la moindre humanité, compassion ou autres broutilles qui semblaient assurément sans importance... Sinon la cotisation à médecin du monde, Greenpeace, Amnesty international et abonnements divers. Et puis, continuant le train train d'un quotidien difficile ( je suis en effet seul avec ma dernière fille en bas âge... sa mère n'étant pas en état de s'en occuper) Me disant parfois que l'un ou l'autre réalisera ma situation tôt ou tard. Et puis comme à mon habitude, je me soignais tout seul sans avoir aucune autre nouvelle sinon quelques encouragements de mes proches familiaux. Les beaux jours revinrent et une invitation à participer à un festival. N'ayant toujours pas eu la moindre visite de ce que considérais jusque là comme des amis sûrs, je descendis dans mon atelier afin d'y faire mon travail (tant admiré par les autres?!) Me revoilà encore enfermé durant quelques mois en dehors des courses dans le quartier... Pas une seule visite et quelques rares coup de fils. Depuis effectivement que j'ai renoncé au portable, il paraitrait que je suis injoignable!!! Et ainsi dans ma petite cour pleine d'étudiants, la porte ouverte, durant des journées entières je m'échinais à la perfection. La date fatidique arriva ou tout fut prêt et je m'en allais remplir mes obligations pour une installation de quelques jours. Je fermais la maison en ayant glisser autour de moi qu'il y aurait plein de chose intéressantes à voir là ou j'allais en souhaitant à tous de venir puisque de toute façon s'était gratuit!!! C'est important maintenant de le mentionner pour au moins avoir quelques échos...J'y reviendrais voulez vous à ce grand phénomène enrichissant qu'est le bénévolat pour faire des économies (humour?!) Il fut un temps pas si lointain ou l'on disait simplement bonjour à ces voisins, "comment allez vous?" et on s'inquiétait lorsque l'un ne donnait pas de nouvelle durant quelques jours... Mais là rien. J'aurais pu tout aussi bien me pendre, crevé à bout de sang d'une hémorragie interne, mourir de faim, avoir un AVC ou n'importe quoi d'autres, il semble que personne ne s'en serait tourmenté plus que ça, sinon cette belle réflexion d'un "Ah mais s'il avait eu son portable!" "Ah s'il avait rempli ses papiers!" et toute ses sortes de choses en excuse facile... Le recourt à l'intelligence "cognitive" et la causalité expliquant à peu prés tous les phénomènes. Voilà maintenant plus de quinze ans que j'habite cette endroit, il est facile de me trouver dans le bottin et d'avoir mon contact sur internet, voir de trouver quelqu'un ou quelqu'une pouvant passer le contact. Pour river le clou, plusieurs décès ont eu lieu durant ce laps de temps et certains avec la découverte tardif d'un corps à plus d'une semaine d'intervalle. D'autres, eurent pratiquement des obsèques nationales alors que leur derniers instant furent dans une solitude inouïe et le désintéressement de tous. Quelques suicide aussi ou chacun se demandait comment peut on en arriver là en recherchant la cause... Mais ma cour à moi, ma petite cour ou chaque jour je fais l'effort d'un petit bonjour sans prétention, ou parfois je fume ma clope sur mon pas de porte, ma cour oui ma petite cour toute petite et donc de proximité, ne fut au courant de rien... La vie continue. Parlez moi donc de l'importance de cette vie réduite au flux d'un cloud, événementiel d'un buzz!!! Durant toutes ses années de vie, je n'ai eu de cesse de dire bonjour,d'aider la petite vieille en portant ses courses plutôt que d'aller militer pour on ne sait quelle cause à l'autre bout du monde ou même de m'engager dans le buzz grandiloquent des moments d'exaltations en bain de foules. Ma fille hier encore se posait des questions sur la solidarité en me faisant remarquer que tout cela sonnait parfaitement faux... Je lui expliquais les termes commisération (action d’exciter la pitié) et obséquiosité... La culture ça sert aussi à ça. L'ensemble de mon travail fut constamment porté vers les autre et mon seul souci fut de leur apporter du bien être... Un CV de trois kilomètres pourrait le prouver. Voyez vous lorsque je parlais de lassitude, c'est de cette lassitude qui vient non d'un sentiment égocentrique ou quoi que ce soit d'autres, non. Mais de cette lassitude profonde, frôlant le désespoir, de ne plus attendre rien d'autre des autres sinon les manifestations d'un monde rendu sauvage ou la moindre attention ne peut se déjouer de la notion d'intérêt. De cette solidarité qu'on dira politique qui consiste à faire partie d'un club (et vous comprendrez) ou rien. Lorsque nous partageons les mêmes points de vue, que nous nous y confortons mutuellement dans le même intérêt comme on partage un petit verre au comptoir anonyme d'un bistrot quelconque, dans la banalité de propos qu'on sait sans suite et n'engageant personne... Dans cette bravache incessante d'affirmation d'un soi plus important que celui des autres, dans cette culture du "moi je" et de la concurrence jusqu'à ce que mort s'en suive... "Le pauvre, maintenant qu'il est foutue il faut bien qu'on fasse quelque chose pour lui. Tiens nous irons prendre un petit café à la cafeteria de l’hôpital en le plaignant de son cancer de la tête. Et puis nous irons à son enterrement non plutôt à sa crémation parce que c'est à la mode... Ah que voulez vous la vie c'est comme ça. Elle est injuste... Bon c'est pas tout ça mais faut que ça continue comme si de rien n'était. On en gardera un bon souvenir... Quoi que!" ... Et c'était triste!!!! Alors gribouille, qu'est ce que tu nous dessines aujourd'hui? Ah s'il avait voulue! Ce militantisme bidon égrenant le chapelet de tous les fascismes au nom de la sainte raison, culture oblige, commence à m’énerver au plus haut point! Encore l'autre jour, deux personnes se pointent, du genre témoin de Jéhovah (ils sont toujours par deux afin de soutenir l'un l'autre, les élus!)... Prêchant une bonne parole comme une autre. Et me voyant plié en deux en train de récurer les chiottes, l'une ne souhaita même pas rentrer autrement qu'en me posant la question de savoir si oui ou non je suis pour le planning familiale et la pratique de l'avortement préventif... "Mais rentrez donc, il fait froid dehors, vous y serez mieux! - Ah mais non. Voyez vous nous sommes ici non pas pour vivre un petit moment avec vous mais plutôt pour essayer de vous convertir et pour cela nous devons estimer avant et savoir si oui ou non vous partagez les mêmes opinions que nous... Non? et bien tant pis au revoir monsieur madame et tout le tintouin dans le regret de ne pas vous avoir sauvé en espérant que votre enfer ne sera pas trop dur. Désolé pour vous et votre refus de faire partie de notre syndicat des biens pensants et puisque vous n’êtes pas avec nous vous êtes contre nous." et puis encore; - "Vous savez il faut vous méfier! Ces gens de cultures, trop intelligents, finiraient par vous fausser votre sens commun! Surtout ne les écoutez qu'en les plaignant... Ce sont tous des manipulateurs avec de gros problèmes psychiques; Si, si! On trouve plein de conseil sur internet pour pouvoir ne pas céder à leur emprise... Ils sont tous un peu bizarre!" Et puis aussi "On ne sait jamais ce qui leur passent par la tête!" - "Alors, un petit verre d'eau tout simplement, mais ensemble? - Ah désolé puisque vous n'avez rien d'autre à nous offrir, nous repasserons une autre fois! Voyez vous contrairement à vous, nous avons le projet de réussir notre vie en en profitant le maximum et pour ça nous prenons beaucoup de soin à ne rencontrer que des personnes susceptibles de nous apporter le meilleur... en quelque sorte des fournisseurs correctes et garantissant la qualité. Ainsi nous faisons venir notre petit vin d'un petit caviste qui lui même est en relation avec un petit propriétaire, qui lui même est en relation avec un coursier qui lui même est en relation avec... Nous et quelques amis sûr qui sont eux même en relation avec un fromager qui est en relation avec un boulanger qui est lui même en relation avec un agriculteur qui est lui même en relation avec nous qui sommes encore en relation avec quelques amis dont quelques uns sont en relation avec... - "Ah désolé! je n'offre plus de thé depuis que je me suis rendu compte que vous veniez pour ça... Voyez vous pour moi la vie n'est pas une marchandise. Et bien comme c'est dommage! Et vous arrivez quand même à vous en sortir? Parce que si vous voulez nous avons dans notre relationnel quelques amis dont certains peuvent peut être vous aider. Et tenez une bonne adresse, sûr parce que nous l'avons testé. Monsieur et Madame "Chosedugenou" sont devenus expert en soins parallèle des maladies pas encore reconnues et font pour le moment, histoire de se faire connaitre, des tarifs attractif pour leurs nouveaux client. Ils sont adorables!!! Et tellement bien dans leurs baskets. Non vraiment ceux là sont leurs meilleurs publicités... "Allez souris gros tas! Car si tu ne souris pas c'est que tu ne fais pas d'effort! Tu sais, les gens y vont pas chercher les autres si ils n'ont rien à leur donner. Aller je m’arrête là des petits constats charmants sur ce que "j'ai 160 de QI" aura fini par généré dans notre si aimable société... Vivement que la mode retombe le plus rapidement possible et que la prochaine soit un peu moins "individualiste par solidarité..." Même si ça ne sera qu'une mode, comme tout et n'importe quoi maintenant, ça sera toujours ça de gagner... Ah elle est bonne celle là!!! Je vous avais prévenu, ne suis pas très correct en ce moment! Lassitude... UAQVSDB...

N'oublions pas la maladresse et la couardise assez proche de la lâcheté ordinaire qui fait que certains, sinon beaucoup... "Mais ne nous mêlons pas des affaires des autres c'est une source d'emmerdement!"... Cette lâcheté ordinaire ressemblant à s'y méprendre à la soumission ultime d'un chacun pour soi tellement bien orchestré que le mythe du guerrier chevaleresque se contente d'une partie avec passage de niveau dans la défausse d'un "je fais le mort parce que la donne n'est pas suffisante pour que je puisse remporter des points"... Monopoly exécrable ou l'on diffuse en permanence l'état de guerre en étudiant la stratégie des ninja ou le combat suicidaire menant au Walhalla. Tout ça pour dire que l'étude constante de nos sociétés, le formatage de nos inconscients au travers de nos références... Noyé dans les épiphénomènes de détournement, les fausses relations sont à leur comble optimal! Et ne font pas hommage à "l'intelligence"! Raclures de fond de poubelles, certains irons même jusqu'à nous ressortir d'anciennes religions décomposés puis recomposés au grès de l'idéologie du moment; Bacchanales de plastiques afin de se redorer le blason d'une renaissance. Mais que pouvions nous attendre d'une eschatologie sinon d'y laisser, au nom d'un jugement dernier, les indignes de quelque chose dans le jugement des purs? Tiens, l'autre fois je révisais mes classiques. Ou comment le mythe de l'indo-européen fut fondé. Études orientées, bidouillage conceptualiste pas plus et pas moins que les débats sur la circoncision des païens lors d'un autre siècle! Le néo paganisme prend de l’essor. Il rempli un vide de sens... Oui mais par quoi? Tout le monde aspire semble t'il à un nouvel espoir tellement qu'à chaque fois qu'on tourne le regard, il semble que la picole des spiritueux en tous genres, nous en rendrait dépendant!!! Ce siècle d'idéologies aura engendré des guerres vertueuses laissant en fait tout le monde sur le carreau d'un combat global au doux nom d'un terrorisme de masse... Mais chut!!! ne faisons pas de bruit puisque la CIA nous écoute, qu'il y a forcément un méchant dans notre entourage et qu'on ne peut compter sur personne... Cynisme d'un Diogène à poil cherchant un homme avec sa lanterne en plein jour! Et l'autre disant Ah que c'est drôle ce nouveau spectacle!!! Tellement novateur... Un autre, un autre, un autre! Ah oui plus fort la prochaine fois on écartèle en place publique et tiens je vous le donne en mille, la veuve et l'orphelin... Après tout ça leur donnera au moins une utilité et puis avec les bénéfices, ça paiera l'inhumation... Et puis tiens on construira une école aussi pour tous les orphelins parce qu'on a tuer les parents. Et oui certes, nous avons fait des erreurs et tout à fait volontairement en sachant que nous en faisions. Et maintenant que nous n'avons plus rien à faire, nous construirons de nouvelles théories afin de nous en excuser... Nous apprendrons à nos enfants qu'on ne peut avancer en ce bas monde qu'en faisant des erreurs et qu'à leur tour ils referons de nouvelles théories et ainsi de suite dans la douce logique que puisque l'erreur est humaine autant être humain en sachant! Ah je tape partout... L'avantage d'avoir ce fameux QI en quelque sorte, il en devient possible de démonter à peu prés toutes les mécaniques... Je vous étonne certainement Monsieur Wu kong! Puisque derrière cette volonté chez moi de pacifier les débats, tel "Hulk", je suis toujours en colère! Godzilla est passé par là! mutants destructeurs et ondes de chocs, faut pas me libérer ou je tape dans le tas.

Et le comble voyez vous de cette fameuse "communion" intellectuelle, sans odeur, c'est qu'à tous moment nous pouvons décrocher ou pas! Dans la vraie vie, lorsqu'on est au chiotte, on dit on est au chiotte et laissez moi chier! Mais là, entre le stresse probable de louper l'appelle qui vous sauvera d'une mort sans emploi... (j'y reviendrais à cette notion "d'emploi"... Il fut un temps ou nous n'avions pas d'emploi, pas de fonctions, pas d'obligations d'être ceci ou cela puisque l'existence était une chose acquise et même pas de plein droit!... Mais bon.) On peut encore laisser sonner en faisant confiance au répondeur, puisque de toute façon la plupart des coups de fils sont des annonces publicitaires. De tous genres, celles là se contentent de mêler intérêts particuliers et vantardise d'une qualité quelconque du genre nous avons pensé à vous et rassurez vous, nous ne vous demanderons rien dans un premier temps puisque notre vocation est de vous être utile par nos services... Ah trop tard le mythe est tombé et je raccroche! Ou êtes vous? Si ça se trouve nous sommes là en face l'un de l'autre, nous nous croisons chaque matin. Même pas. Peut être sommes nous chacun dans nos poubelles à récurer nos propres déjections dans l'espoir que celle ci puisse avoir un coté charmant et l'odeur d'un désodorisant. Drainer le pue des abcès afin de ne pas importuné l'autre par une odeur dérangeante... Désodorisant oblige, cette pestilence dans le bus entre shampoing et eaux de Cologne. Et le fameux d'usage bien cordial qui plombe la conversation d'un nous sommes bien d'accord sur cette vague notion du vivre ensemble? "J'ai 160 de QI" ne peut aller autrement qu'avec ses conséquences prométhéennes: Finir enchainé à un rocher condamné par on ne sait quel dieu pour y avoir le foie bouffer par on ne sait quel vautour chaque matin! Le mythe encore une fois (Ah! le mythe et toujours cette pensée magique récurrente en tampon dégraissant!) Le mythe donc du surhomme façon "sa seule tâche est la transfiguration de l'existence". Solitaire sur son trône il regarde avec dédain sa propre humanité. "Stylite" et non pas "styliste", il crève à feu doux adoré par la multitude comme l'idéal inaccessible. Voyez vous petit singe, je suis d'une caste divinisé depuis mon jeune âge! On me voue un culte à moi et mes semblables et on dit communément: que fait il? en ce moment il déprime. Ah, C'est grave? Non ça fait partie de son processus créatif rassurez vous il expérimente le coté négatif et nous en fera un beau chef d’œuvre du genre le radeau de la méduse... Le crie de Munch... Et là il fait quoi? ¨Parce qu'apparemment il crève de faim non? Et bien non rassurez vous, son ascèse est extrême et il pratique un jeûne afin de retourner à l'essentiel et purifier son esprit des préoccupations matérielles. Ah et là il fait quoi il est malade non? Et bien toujours cette fameuse manie chez vous de vous confondre avec lui! Non, non rassurez vous il est en train de répéter une agonie pour son prochain spectacle, sa prochaine prestation en somme... Ah! je comprend mieux. Cet être est admirable! Et là il fait quoi? Il ne bouge plus, et il semble ne plus respirer... Depuis un bon moment déjà. Puis-je le toucher sans le déranger? Oh il est froid! Mais il me semble qu'il est mort non? Oh comme c'est dommage! Il n'aura pas pu finir son œuvre... Il nous reste quelques esquisses et nous disséquerons son cerveau. "Saint, saint est le seigneur! Il est mort pour nos péchés! Nous l'empaillerons comme il se doit, nous lui vouerons un culte éternel car c'est lui le surhomme, le sacrifié du monde qui nous apporte la connaissance ultime. Il est mort comme il a vécu (Ah celle là elle est bonne!)... Qu'il soit maintenant un exemple pour nous tous pour au moins deux raisons: Il nous a appris le respect que nous devons à la souffrance qu'on inflige aux autres et pour cela nous continuerons notre vocation de bourreau afin de susciter de nouvelles passions en chemin de croix. Car la souffrance est notre lot! Quels sont les cons, en ce monde qui se payent le luxe d'en sortir quelques uns au hasard d'une conjecture quelconque pour s'en servir comme cobayes afin d'assouvir leurs instincts de merdes? "J'ai 160 de QI, que dois en conclure?" Demandez à John Merrick et regardez "The freaks" de Tod Browning! Salo ou les 120 jours de Sodome (à vomir!) vous y trouverez des réponses! Lorsque je pense que certains ont comme but ultime de leur existence de se "réaliser" dans l'optique d'en devenir un: "surhomme"... S'imposant toutes les mortifications possibles et y trouvant toutes les justifications à cause de cette foutue théorie de "l'évolution" stigmatisés d'eux même entre réalisation d'un soi utopique et personnalisation divine... Non mais je vous jure! y a de quoi flipper! Ais je répondu assez clairement ou en faut il encore? La sale manie du gamin qu'on dit doué et à qui on accorde une surplace toute faite en le collant sur un piédestal. lorsqu'il n'avait rien demandé... Maintenant les "normaux" cultivant l'exceptionnel afin de justifier vos renoncements, juste histoire de vous coller un but inatteignable, histoire encore de vous fabriquer des Déités artificiels, allant trop souvent jusqu'à mutiler vos descendances pour les rendre "intéressantes"... Bêtes de foire qu'on expose fièrement dans les salons mondains, parents atteints du syndrome de Münchhausen, qui ne rêvez pour vos enfants que de l'excellence, paria du monde intouchables en tous genres qui souhaitez devenir calife à la place du calife, brahmane peut être... Foutez nous la paix avec votre hiérarchie artificielle!! Et pour évoquer une réalité plus proche, petit singe, penchez vous sur le mythe du surhomme, la construction du mythe de l'artiste moderne (ou le nouveau Prométhée) le bon sauvage et autres singeries encyclopédiques... Vous m'en direz des nouvelles! Maintenant je vous laisse et il fallait que ça sorte et c'est tomber sur vous... Marre de toutes ses croyances merdiques!!! UAQVVDB.

Un mois passa : « Le néo-humain, qui renverse l’évolution et par la sublimation du contrôle rétablit la charité, la vérité, le bien vivre ensemble » Jean Claude le vendeur d’âme : « Très bien frottant la lampe du génie, d’une fumée compacte, il réalisa vos voeux. Désormais, l’humain existe. Tous ont une poutre, sur laquelle, ne pas marcher sur les plates bandes des autres. Tous avancent avec précaution, les bras en gyroscope, certains se blessent, se cassent les couilles. D’autres sur-puissant ne faillissent jamais. Ecris sur la casquette : « il est de ta responsabilité humaine, de ne jamais descendre ». Mais que se passerait-t-il ? Quand longer la poutre, est plus économique, permet d’aller plus vite ? Comme à rouler sur la bande d’arrêt d’urgence pendant un embouteillage ? Tanpic pour les secours, l’humanité doit progresser !!! Selon de savant calculs, soit N le nombre de voies embouteillée sur L kilomètres, alors la longueur du bouchon serait réduite une fois l’équilibre atteint à NL/(N+1) ce qui nous ferait un gain de L/(N+1) kilomètres. Problème, si le rétrécissement de voie engendre le bouchon, alors le flux est ralenti, puis, en terme de temps rien ne change ! » Jean Michel le perd ce qui se passe : « Alors il faut avoir un peu de jugeote là, s’il ont veut que la bande d’arrêt d’urgence soit « profitable » uniquement un nombre faible d’individu doivent l’emprunter. Or plus le nombre est faible plus le risque d’être sanctionner est grand. Conclusion : la probabilité de tricher est faible, et le gain ne sera tenté que lorsque le risque de rester dans le bouchon est balancé par un facteur extérieur ou lorsque l’individu se comporte de manière irrationnel. (attention à prendre en compte l’effet MSMD de réduction de risque du facteur de sanction.) Placer Hulk qui arrêterait la moindre voiture contenant la femme enceinte est idiot. » La voix offshore : “Ecraser l'innocent qui résiste, c'est un moyen que les tyrans emploient pour se faire place en mainte circonstance.” Le praticien : « Alors on fait quoi maintenant ?? Aider la grand-mère à traverser est une fierté irrationnelle. Supposons un ennemi politique, il est de toute urgence d’y palier, recruter est alors l’unique solution pour y resister, quitte à avoir des relations sociales intéressées et bâclées. Pourquoi l’ennemi politique existe ? Parce que certains prendront toujours des raccourcis, pourquoi cela ? parce que beaucoup n’ont pas conscience de la reduction du flux, pour cela ? parce que la causalité consciente est limitée, pourquoi cela ? car il est de notre de notre essence d’être limités.. Alors le mal est nécessaire d’utiliser cette cécité causale en opposition, QED. » La voie des ombres : « L’oisiveté de la solitude est charmante, parce qu'elle est libre et de volonté. » Jean j’arrive avec l’oxygène : « J’ai travaillé 16 heures aujourd’hui, justement pour rééquilibrer une « oisiveté » je suis dans le freelance et pour vous dire ma difficulté n’est pas d’apporter du bien-être aux autres avec ce job. J’aime mieux avoir le temps seul pour réfléchir à ma condition d’existence. Le bien-être au dérive sectaire qui plus est où cette « charité bancale » m’effraie. Tous ces troisièmes age qui s’emmerdent à la retraite et se mettent dans l’assos et le caritatif pour encore avoir un semblant d’utilité (et surtout de puissance à organiser les choses et soi-disant se satisfaire des petites choses, ca sent la copulation à se prendre les filets d’araignée canibals féminums ». A croire qu’à avoir passé sa vie à se dire que remplir un CV d’ornement de fonctionnalité populaire devient un manque. Montrer donc quelques parties de votre CV excès de zèle ? Pour vous j’ai l’espoir de penser que non, à saisir un peu ce sanctuaire « admirable » et l’idée de se faire bouffer par ses chats en réhabilitation corporelle. » Le commentateur de match de foot : « A mettre en parallèle avec la toute nouvelle génération, qui elle se donne à coeur perdu dans l’espoir de devenir quelqu’un ou quelque-chose, a te me prendre en idéaux des prix Nobel louche complètement pourries par les réseaux sociaux et le piston. (l’art de cirer ses pompes). J’ai jamais rien pigé au « succès « et la beauté des choses «  Le dévot des arts : « Une consécration qu'il ignore superbement, la jugeant "sans intérêt" et refusant, dit-il, d'être "exposé comme un animal dans un zoo". Un sceptique : « Pourquoi je ressens ce dégout de tout success de ma « personne » ? J’ai qu’une envie, c’est d’avoir la paix tiens ! mais on me fais chié non seulement avec ces histoire d’argent et d’autre part avec ce fait que pour avoir des « amis » bah faut se montrer comme réussissent quelque part et utile, là je vous rejoint !!! » La plage de Nietzsche  : "Chaque fois que je monte je suis suivie par un chien qui s'appelle 'Ego » Encore ce scientiste ! : « Eternel retour au sens bidon (pas celui du surhomme qui accepterait de revivre éternellement la même chose) mais le truc plus ancien de « l’univers est finie donc par principe des tiroirs bah ca recommence », merci pour la révélation, je recommencerai mais ce sera pas moi. Et cette hypothèse « l’univers est fini » je sais pas d’où elle sort mais me parait aussi con que de dire qu’un mandelbrot a des pixels. Déterminisme et insécable parties, s’il on a bien la chance à notre époque c’est d’avoir une science qui a réussi sa réalisation dans le sens ou elle se démontre indémontrable. » La conclusion de bug et sa lampe : « Alors maintenant si on pouvait arrêter avec ces flatitudes de refuser sa part de force obscure, nous progresserions vraiment. » Une mondanité.. pshit pshit

Vous parliez de jeu vidéos violent, il y a peu, je vois, je vois, un être maintenus physiquement, à vivre au virtuel, en contrôle de plusieurs corps, je vois, je vois, une realité virtuelle d’expression de la poésie dans l’imagination, à des combats sélectif non «physiquement mais réellement blessant de l’entité » de jeu de hello, de toute diversité, puis je vois, que l’intelligence se renvoit à elle même dans son intérieur, vous êtes vous déjà demandé ce que serait l’intérieur du corps ? bouteille de klein encore, aux orifices temps adulés, la conscience alors se rependra dans tous l’univers « physique » l’entité n’existera qu’au point de se recréer. Un exosquelette pour votre grand mère, et n’y sera plus guère de ce genre de soutien, des traversées contemporaines; quand l’individu aux multiples physique, ne se voudra plus que d’un corps, et éternellement recommencera, ce que vous vivez d’une infinité d’autres, pour déceler ce mystère, l’univers n’a jamais su mentir la singularité, vous étiez 0 puis la dissociation s’est créer de votre milieu, de la théorie d’évolution ou de toutes, la réalité se générant d’elle même, d’une dissociation et de toujours comme l’idée de symétrie du corps, d’un extérieur et d’un intérieur presque similaire, où il était toujours d’une place ainsi de liberté d’axiome de croire choisir comme étant éveillé, Chacun à son jardin oui, comme à chacun si j’étais vous, je cultiverais cette pisoid