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J'ai un QI de 160. Que puis je en conclure ? - Page 40

Question anonyme le 13/02/2011 à 15h42
Dernière réponse le 22/12/2024 à 20h50
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J'ai un qi de 160 et j'aimerais savoir qui suis je ,que puis je en conclure concrètement ?
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1246 réponses pour « 
j'ai un QI de 160. Que puis je en conclure ?
 »
Réponse de R.E.D
Le 10/12/2017 é 10h00
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(Paradoxe de l’ennemi et du mensonge)... qui veut aussi dire qu'un ami face à une duperie, se doit d'argumenter... Surtout si la duperie en question ne fait que manifester l'adage "nous sommes nos pires menteurs". Il refusera le plus longtemps possible de coller une baffe à réveiller les morts tant qu'il sera persuader qu'un bouche à bouche peut être utile! Et c'est avec la pire souffrance qu'il infligera le mal pour un bien... (triviale! deux fesses et un trou au centre! comme quoi nous voyons ce que nous voulons voir!) "pourtant je pense qu’il y a des chefs d’oeuvre qui furent ainsi composés parce que la moindre agitation résulte de notre structure et donc déjà adaptée (l’aléatoire n’est jamais innocent)." Dans la tourmente d'une tempête d'automne, il semble naturelle à chacun (sans le savoir) de regarde l'ensemble des feuilles volées puis de se conforter dans l'idée qu'il existe quelque chose de stable en en regardant une qui ne bouge plus. Ainsi aujourd'hui ma porte est fermé, je n'attend personne avant ce soir. et encore l'incertitude du vent, à l'extérieur m'entraîne à penser à toutes ces choses aléatoires qui peuvent tout remettre en question. Comme tout un chacun ici bas, je déteste l'imprévisible et souhaite voir le temps passé à la même vitesse mécanique d'un tictac. La machine nous rassure et tout ce qui est machinal. C'est l'enjeu de la confiance et la mise en place d'une vieille notion d'honneur: Tenir ses engagements comme le soleil chaque matin. Les nuits sans lunes, les nuits noires ne suffisent pas à regarder les étoiles. Pire! Rien n'est moins sombre qu'un nuage qui ne bouge pas! Voilà bien une raison valable pour que nous ayons fait des cuillères en bois: Afin de touiller le monde lorsqu'il semble immobile. voilà bien encore la raison du sucre et du plaisir qu'il nous apporte: Lorsque l'univers manque de saveur il faut un exhausteur de goût... Du moins durant un temps! La pensée (voyez vous?) de tout et de rien, est une cigarette pour un fumeur. Le gage d'une bouffée d'un air ayant une odeur. Aussi vider les cendriers, changer l'eau des fleurs... "Je ne peux vous servir un thé, votre bol est plein." De quoi pouvons nous parler sinon de l'eau qui le compose? Répercussion des idées: Voilà bien une chose étonnante que de constater que sur ce point, le moindre acte, si minime fut il, entraîne des conséquences inimaginables. Il suffirait d'un germe, d'un potentiel quelconque pour que l'univers en lui même fut changé. Aussi il me semble qu'écrire ici plutôt qu'ailleurs met au moins la restriction d'une possible compréhension désengagée des protocoles de préjugés. Un jour un sôt me dit! ( j'avais rie devant une de ses affirmations idiotes qu'il souhaitait me voir comprendre parce qu'il avait une plaque sur sa porte: Docteur "saitout", spécialiste en n'importe quoi. Et en effet ce Monsieur sans autre nom que sa qualification, se targuait de pouvoir expliquer sa pensée qu'il ne comprenait pas). - Vous vous prenez pour le centre du monde? Dit il assez fâché et d'une grosse voix... Je ne pus que lui répondre: "ça n'est tout de même pas de ma faute si les autres sont idiot!" Et je fus réformé pour manque de soumission à l'autorité. On me donna mon solde de soldat et je rentrais chez moi m'étant acheter de quoi manger et fière d'avoir gagner ma journée... Lui je pense, il ne changea pas même de siège pour essayer de voir ce qu'on voyait de lui dans son petit bureau. Fière d'avoir pu démasqué un "asocial" de plus, il leva son doigt au bistrot et demanda une bière d'un air autoritaire; Croyant toujours qu'on la lui servait, parce qu'il avait une importance. Pour lui, soyons en sûr, mes actes et mes paroles furent sans suite sinon celle de le conforter à de nouveau s'assoir... En attendant le client! Si vous me demandez à quoi peut bien servir l'écriture? Elle laisse des traces qu'on peut suivre. Elle laisse des traces de nos pensées; Fussent elle futile et inutile un temps. Mais les mots en eux même, n'en sont que les ombres. Il faudra y ajouter un peu de lumière. Ps/ Je vous ais envoyé une "tartine" qui j'espère vous détendra un peu. apparemment elle n'est pas encore passée...
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Réponse de The_monkey
Le 11/12/2017 é 22h12
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Gardez les ces 500 pages en quarantaine, nous revenons à cette idée de « noyade informationnelle ». Méthode souvent utilisée par les gourous locaux d’ailleurs, ce jeu de recracher en quelques secondes ce qu’il leur a prit des années et qu’avec de l’expérimentation. Trois arguments logiques et deux cents petits cas particuliers (surtout des cas particuliers). Assez pour réciter en boucle aux apprentis leur méthodologie sans en oublier le « t’es bête ou quoi ». Très courant mais j’aimerais ici rapidement y donner une explication. « TUTOLOGIE DU QI : Je comprend très vite souvent mais l’autre a dit que j’étais bête ! « Ne pas essayer d’expliquer à l’individu que ce qu’il croit comme son savoir et son intelligence est en fait une vulgaire accumulation de cas particuliers dans le cas où vous vous sentez en mesure de résumer plusieurs années d’expérimentation en 5 minutes et un schéma basé sur la déduction logique. Gardez cela sous la couète. Cet individu souffre selon le dSM de trouble de l’instructeur anxieux. Faîte lui un câlin, un gros bisou dans le cou. Mais cela peut poser des injonction ennuyeuse pour des raisons évidentes. Je propose donc une autre solution, cessez toute activité et regardez en l’air soudainement, ouvrez grand vos yeux voire contracter les narines et dîtes de manière remarquable après que l’instructeur anxieux en soit agacé : « Il y a un problème ! » La suite viendra d’elle même. A la une aujourd’hui, à la deux…et quoi ? « Tous les animaux de la ferme sont égaux, mais certains sont plus égaux que d’autres » Alors je vais vous expliquer ce que cela signifie (parce que personne ne comprend vraiment cette phrase), et si y en a un, ne serait-ce qu’un seul qui ose me contredire, ça va barder. Je vais te me le brutaliser avec un lance requettes jusqu’au deni de service. J’insiste si y en a un même deux qui osent remettre en question mon interprétation, je vous envoie les chiens et je me refais les dents avec les chairs qui restent collé dessus. Quand à ce qu’il y en ait plus…Vous allez pas me démontrer que le nombre fait la force obscure !! Voilà. Je me disais sinon l’autre jour, si on regarde dans notre histoire, quand le tas bouge cela emporte la morale dépendante. (Et si on a trois yeux, est ce que l’on voit une dimension supplémentaire comme le temps ?) Mais cela résulte de la force commune physique (addition des biceps et des triceps) et de possibilités de destruction de corps du marionnettiste détenant les cordes. Cela résulte également de la hiérarchisation comme réseau neuronal centré, la fidélité des lieutenants se rupercute de proche en proche etc. Donc en terme de complexité cela signifie que la somme des vers de terre est considérablement plus grande que le redoré cadavre. Qu’imaginez alors d’une troupe négligeable en muscle devant un monstre en complexité et inateignable physiquement ? Ce monstre existe déjà, on est en plein dedans ! L’univers immobile, « le mouvement juste pour ce qui est vivant », voilà. Je suis toujours à la recherche de cet univers, qui rendrait l’intelligence fractale, et donc l’histoire récursive de l’intelligence et de la réalité ainsi que de fait « l’évolution ». Ou comment vivre dans ses pensées. En opposition un univers qui pense de manière acausale et le passage du temps amène à un combat contre le bon sens. Puisque la vision du futur fait justement la véracité d’une théorie dans la prédiction. Nous sélectionnons en quelques sortes les représentations de l’univers avec un détachement de vérification qui n’a plus de sens corporelle, elle est mathématiques pure. Cette question de Russel que vous avez posée et que voilà il y a quelques messages d’une « vérité potentiellement immortelle ». Nous sommes plongés dans une existence sans « but », il ne nous reste qu’a franchir les délimitations où ce qui est bien et mal évolue constamment au de la ligne rouge, de sorte qu’il n’y a aucun algorithme à suivre pour la symphonie qui sera satisfaisant ou véridique juste du « plus vrai » à trouver le graal métaphysique. Et ce constat, nous rend tous sujet à l’imitation et toute sorte de réthorique prédictive et de domination primitive (pour le moment toujours orienté sur la pérennité du « savoir ».) La colère est la résistance d’une logique qui nous est encrée pour ce que les autres nous écrivent dessus, et de notre époque celle-ci est d’ailleurs très renforcée. Nous avons eu une réorientation de la stratégie sociale adoptive de l’empathie « j’aide sans raison, je survie mieux » qui est en voie d’extinction pour faire place à une certaine démonstration de démonstration comme démonstration de pouvoir sur la perdition des autres : « Les gladiateurs ont tué les philosophes. »  (Harmony, un robot sexué) Cela s’explique assez facilement par la démonstration constante de la science prédictive. Ce temps est révolu et voila le progrès, nous n’avons plus que des êtres qui se veulent forts ou respectable de leur intelligence. Nous avons de la confrontation permanente et des plus pointues sur tout et n’importe quoi pour déceler la moindre A et non A chez les autres et une explosion de complexité qui se condense d’elle même en permanence. L’intelligence s’effondre sur elle même comme un trou noir, et nous devenons l’univers. Qu’est ce que sera la personne quand nous la détruirons pour la copier ailleurs ? et que l’entité deviennent indépendante du corps ? Il n’y en aura plus au sens ou nous sommes habitués de dire « je ». Est ce que pour autant l’univers ne sera plus conscient ? et bien agir consiste à s’agiter dans « l’extérieur » penser consiste à agir dans « l’intérieur ». je regardais d’eugénisme, un film où l’irréductible intelligent ne pouvait être conscient que de son imagination devenant tout un tas d’autre. Nous sommes le summum de l’évolution en tant que personne et je trouve cela très logique que nous puissions être libre. Ce que je résumerai en « l’univers a besoin de moi, pas le monde ». Message à toute l’humanité : Il ne faudra que te contenter de survoler les typhons ainsi que les déserts plats et vides de bleu d’un plein neurasthénique pour combler ton vide de slensce, Nous assura Axiuluo en ses termes : Alouette, gentille alouette.
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Réponse de The_monkey
Le 12/12/2017 é 00h13
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Nous sommes le summum de l’évolution en tant que personne. Je veux dire en tant qu’être capable de dire « moi ». la tartine retombe du mauvais côté, ce qu’il est de la bonne mise en entropie de l’information, mais nous avons maintenant une suite du message dans la discussion sérieuse pour laquelle je vais vous écrire un cours paragraphe : Je naviguais tout à l’heure aveugle dans un épais brouillard, il y serait de probable individu sur la route que je les aurait meurtrit d’un toc, je me suis donc arrêté sur la bande d’arrêt d’urgence, et je me suis aventuré dans ces terrains en jachère de l’hiver en auvergne, il y avait rapace au sol, son aile désossée, Pour sa simple vulnérabilité, je le saisi, l’écrase dans mes mains, un craquement, je lui donne une impulsion, reboîté, le rapace fut capable de voler à nouveau, je l’avais sauvé. Jusqu’a ce que quelques mètres plus loin, il tombe dans une flaque (de la boue), son vol n’était qu’une pulsion de survie. M’approchant de la flaque, il semblait dans un pire état. alors de ma plus grande bonté, je l’ai saisi placé sur une pierre, et avec une autre j’abrège ses souffrance à l'arrache, M’en allant bienveillant, j’entendu un cui cui. Le con qui avait pissé sur la neige avait fait d’une avalanche un amorti au choc, Le lendemain, il était sur mon pare brise, probablement un clone, j’y ai mi un coup d’essuie glace, j’ai de la responsabilité d’apporter les choses à leur place Je ne peux rien conclure de plus pour le moment si ce n'est que cette nuit je vais en Autriche.. Des temps du..
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Réponse de R.E.D
Le 12/12/2017 é 07h52
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Et bien voilà une grande cause qui vaille la peine! « l’univers a besoin de moi, pas le monde ». Rentrons donc dans nos cabinets de travail, cabinet de curiosités, atelier du parfumeur...
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Réponse de R.E.D
Le 12/12/2017 é 10h07
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J'y adjoindrais: L'homme (en remontant le temps) a des milliers d'années d'existence (sans commentaire...) L'être humain lui, par contre, est tout à fait récent. Manifestation mythologique d'un petit groupement coincé sur une ile du "pacifique" qui se forgea par insémination, quelques becs adaptés à la taille des noix. Un peu comme cette autre ile (il me semble écossaise?) ou l'ensemble de la population était myope par consanguinité. Et puis quoi d'autres? Sinon l'anecdote des archéologues qui ayant découvert dans une tombe (Europe du nord) des petites boites ouvragées finement contenant des petits carrés en cuir ou/et en bois percés de trou aux quatre angles, les cataloguèrent comme objets liés aux pratiques de divination. Quelques 60 ans après, un ethnologue s'en fut faire le tour des iles entre GB et Islande. Il y croisa quelques femmes assises sur des bancs tressant des galons ornementaux avec des petits cartons percés de quatre trous. Il fallut encore plus de dix ans avant qu'un autre put faire le lien (par l'intermédiaire d'un autre qui voyageait en extrême orient). Il fallut encore plus de vingt ans avant qu'on remit au goût du jour cette technique de tissage. Et pourtant,un tableau qui trônait dans un musée, un tableau représentant l'annonciation aux environs du 14ième siècle, montrait une jeune femme qui, entre deux colonnes, tissait à carton! "Le propre de la pensée sauvage est d'être intemporelle." "Le savant n'est pas l'homme qui fournit les vraies réponses; c'est celui qui pose les vraies questions." Claude lévi-strauss Et la question du jour est: Ou se trouve le scotome? Paradoxe (tel que vous les aimez) d'une époque ou l’obscurantisme a bien du mal à se défaire du syncrétisme. Refusant les remises en cause des zoo humains, génocides et autres manque de savoirs vivre, certains en vont encore défendre des causes parce qu'elles en sont! Pourquoi voudrait on qu'on parle de nous autrement que comme des paysages? Certains plans de profondeurs en sont flou, dira t'on atmosphériques. C'est ce qui confère la pertinence des premiers plans. Ainsi le clair obscur fera paraitre lumineux ce qui ne pouvait l'être: On force les contrastes, un point c'est tout: Et l’œil acerbe y verra la compilation d'anecdotes, critiquant le détail peu conforme lorsque seul la lumière, dans l'illusion, y est importante. Paréidolie: "La paréidolie exprime la tendance du cerveau à créer du sens par l'assimilation de formes aléatoires à des formes référencées." Et je crois qu'ici tout est dit! Maintenant voulez vous, intéressons nous à ces formes?! Par une série de bonnes questions... UAQVVDB. Ps/ je sais que vous comprendrez.
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Réponse de The_monkey
Le 13/12/2017 é 22h24
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Le syncrétisme n’est pas véritablement de l’obscurantisme par l’idiosyncrasisme dans sa forme faussement obscurcie d’incompréhension. Point de syllogisme dans vos propos que je met en garde tout passager. “Le jeu de l’acteur est une forme de confusion.” La forme pour être identifiée à une forme référencée à besoin de similarités. Donc cela revient à ignorer les mutations de la forme aléatoire : comme dire « un surdoué est un être humain. » 0k. Pourquoi dispose-t-on de différentes formes ? A-t-on un nombre finie de formes référencées en tête ? Une forme est-elle réellement possible à séparer du paysage ? -Trois fois la même question, en quoi cela revient à distinguer de parler de formes au pluriel. Comme ce même labyrinthe sous toit de différents point de vue. Comment une forme aléatoire ne deviendrait pas une forme référencée ? La déformation ne peut-elle pas être assimilée à une fécondation ? -Deux fois la même question ici, en cette sélection s’opère dans les formes de la même manière. Le référencement est-il une forme lui même ? La traduction est une opération formelle ? -La transformation étant une forme de forme, n’y a-t-il pas une dualité de formes comparable à celle du physique (forme référencée) et celle de la réalité (processus de transformation). Chaos et ordre, ce que vous avez relevé dans le mélange. Comme pour le mythologue, si pas de réponse pas de question véritable juste l’une qui questionne l’autre par une réponse. Sommes nous faits en formes ? -Formule de politesse. Bien veuillez Monsieur Madame Truc Machin s’y accorder de vouloir aborder le fond du problème dans l’ethnologie des formes. « L’anecdote, fantaisie biblique que vous avez été investigateur de l’ici » (Proverbe de Serbie) Dans mon casino, j’avais l’habitude de faire tourner les jetons d’une manière exceptionnelle, le seul but était d’attirer l’attention des autres joueurs avec des indicateurs sur ces mouvements étranges. Faites donc tourner d’une plus grande vitesse lorsque vous bluffer ou faîte un jet plus haut et faîtes-vous prendre de manière prévisible (misez abusivement en vous sachant perdre), au prochain, disposant d’un avantage certain dans les cartes dissimulées, il n’y aura qu’à laisser l’autre croire en ces formes qu’il se croit avoir devinées ou assimilées. Et l’adversaire est piégé par ses mythes qu’il croit vous être échappés inconsciemment. Sa certitude sur les signaux indirectes fera le don du all-in. Il y a ce principe mondiale : « les autres ne cachent leur ego que par une fausse modestie» dont l’inversion est Doofy. Le talent est de placer sous un ego offensé la certitude de l’autre dans sa lecture sur vous même. (les surdoués sont trop souvent anti-doofy, ils dissimulent leur haut QI, ce qui est maladroit) “Le jeu de l’acteur est une forme de confusion.” Bref, TUTOLOGIE 2 DU QI jusque là. (Faîtes deviner aux autres que vous êtes « normaux » plutôt que de se comporter normalement, sinon cela est de l’ordre de la foutue responsabilité de clown) Je m’emmêle. Ce qui m’a surpris et que deux mois plus tard, revenant à ce casino, la méthode de rotation du jeton était utilisée contre moi !! Je lui ai dis après la partie que j’avais inventé cette méthode, il m’a répondu que lui avait inventé le toaster. La formes une fois apparue s’encrent à jamais dans le futur, ce n’est pas que la poésie, c’est la forme dans sa généralité. Les formes s’encrent également à jamais dans le passé, car vous traduisez vos souvenir différemment. Ainsi les formes se répercutent intemporellement et de manière très intuitive. Ainsi une forme ne peut pas être isolée du paysage, mais sa perception est une forme qui va la propager à jamais « la fractale a une sorte de mémoire » (et c’est là toute la difficulté pour mettre à mal l’évolutionnisme). Je dois y aller, j’ai un mal de chien à vous écrire ce soir. Au fait, qu’a t’en plaises ou non, 8 est le « saint infini » de l’emboitement universel. Et la racine m’a reconnu.. :/ 1,4142
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Réponse de The_monkey
Le 19/12/2017 é 14h43
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Je vais le faire en pragma, s’que j’ai dis dans de anse. Des milles liés de heurtes aux buissons dans ce dodécagone là. Pas dans les courants marins d’Edison qui s’assurent d’une marée revenante fantomatique. Pas de calligraphie à la haute coure dénommée, par inversion de l’haut ptain. Un rappel à l’ordre.. Celui qui est métaphysique. Une forme qui se balade, je n’ai pas encore aboutit à ma théorie ! Celle-ci est pour plus tard, avec des petits symboles plus parlants. On me l’a demandé le sterling trop tôt pour moi. Je pourrais déjà poser la question du mal ajustement avec des titres et ce qui va dessous en paraphrase. Sous quels airs ? pas de Jules Vernes (votre truc non le mien), ni de Dystopie (leur chose pas la mienne), ni de mode d’emploi (leur talent, tiens), des restrictions comme soumettre le language ! ah oui, ce qu’on en veut n’en est pas libre, pour vous. Un petit message aux gens, en suite de Niagara, une maison de bois qui résiste à la pluie, un « peu ». Il faut rétablir le mystère. Il n’y a qu’en se perdant dans ce que nous serions que nous pouvons nous défaire de la prédation si bien exigée de noces jours en compétance. Ici, du pen-spinning et des taches de rousseurs, PS : je sais que quelques urnes comprendront NB : « je » vais faire un tour dans les contrées à concéder d’y révéler ce qu’il y a derrière le « petit » scotome. Le plan de Khéops, existe, d’ailleurs le tunnel de Moonville mène à la momie de Cléopatre, j’était possédé avant de passer au travers des trinités. Veuillez par ailleurs excusez, ma transgression à propos du sens du poil de l’entendement des usités, en effet j’en ai rien à « faire ». « Jamais bon chien n’aboie à faux »
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Réponse de The_monkey
Le 19/12/2017 é 18h01
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Oh oui, demain je me prendrais dans ce monde, comme si ce fut le moyen âge, où on s’occupait des dindes entre deux rues, ah oui, joyeux noël maintenant on est développé, chacun te vampirise, pour des parodies de montrer tes faisant, et il est bien de travailler ton siège d’ appartenance , pour survivre, à croire que le « bien » est devenu une sorte de racolage, pas très pragmatique pour le coup, me suis fait viré presque partout sans le « vouloir », je me demande toujours comment on peut apprécier d’être élément, pleinement, à part en se considérantant élément en fait. de nos jours, les urnes remplissent la mécanique de l’improbable, un point c’est tout. vous parliez de concept de myths, je parlerais mieux de l’idée de tales, comme base de l’intelligence, notre incompréhension voilà le complot de l’existence, une capacité à s’y sentir l’univers qui nous a fait limité pour faire de ces tales des pseudo-vérités.
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Réponse de R.E.D
Le 20/12/2017 é 17h16
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"à croire que le « bien » est devenu une sorte de racolage, pas très pragmatique pour le coup..." Parodie souffreteuse d'un mauvais calcul pragmatique ne pouvant mener qu'à une fin de non recevoir. Noël, noël!!! Et d'un encore qui envoyait les marchants du temple sur les épines des roses! Ah! Saint commerce en seul raison de vivre. ça se bouscule au spiritueux et la dive bouteille jusqu’à la lie. Châsse à courre. "comme base de l’intelligence, notre incompréhension voilà le complot de l’existence." Et certains dirons encore et je sui fière de ne rien comprendre en faisant tout pour m'en persuader. Car de cette volonté, j'en fais une force voyez vous. Nous autre pauvres humains n'avons pas d'autre choix que la prétention à reconnaitre au mieux nos erreurs... De celles dont on tire gloire en murmurant à l'oreille du monde: "Et bien j'ai fichtrement bien vécu." The shadocks: "pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué?" "Puisque c'est en faisant des erreurs qu'on apprend, autant continuer d'en faire." Et de toc en tic: "L'erreur est humaine" n'est pas forcément une proposition réflexive en dehors de l'envie de s'en excuser! - "Ah petit singe quel drame vivez vous (disa t'il.) C'est le propre de nous autres les Gibis d'avoir tout dans le chapeau et de manger des petits poids pour être plus léger. Ga Bu Zo Meu est donc en vente un peu partout, ça permet de pomper!!! Et paf: "Job répondit à Yahweh et dit: 2 Je sais que tu peux tout, et que pour toi aucun dessein n'est trop difficile. 3 «Quel est celui qui obscurcit le plan divin, sans savoir?» Oui, j'ai parlé sans intelligence de merveilles qui me dépassent et que j'ignore. 4 «Ecoute-moi, je vais parler; je t'interrogerai, réponds-moi.» 5 Mon oreille avait entendu parler de toi; mais maintenant mon oeil t'a vu. 6 C'est pourquoi je me condamne et me repens, sur la poussière et sur la cendre. ça vous va bien pour le moment!!! Non? Pour les lecteurs inattentifs: Il est a déplorer ce monde de l'autocensure et du politiquement correct qui fait qu'on puisse citer Marx et Goethe alors que toutes citations identifiables comme sortant d'une moindre religion, te me fait pointer du doigt! S'il y a une moindre trace d'intelligence en ce monde, elle se doit d'être pistée sur tous les chemins parcourus par nous autres!
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Réponse de The_monkey
Le 21/12/2017 é 05h43
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James Cole, considéré comme asocial,, est choisi pour une expérience ayant pour but de l'amener en 1996. Il doit y recueillir des informations au sujet de ce virus (le QI) — Convaincu que les scientifiques de 2035 ne sont qu'une projection de son mental et qu'il vit bien en 1996, Cole réussi à s'y faire renvoyer. (de son job pompant !) — Finalement, certains pensent qu'ils complotent et manipulent le temps pour organiser eux-mêmes la fin du monde afin d'en prendre le contrôle ? Ainsi, ce moment, l’illustre Montresor a construit avec ses douzaines, des plus fiers, le fort Erié. « nous autres » Rapide réflexion, mais le solipsisme est toujours pris à partie. Nous pourrions aussi bien discuter tout en sachant que l’autre « n’existe pas » et vice et versa puis rendre la discussions pour le coup reflexive. Mais à notre stade, les coureurs contemporains se suffisent à l’éviter à faire le dos rond d’une boîte commune (science désuète de l’expérimentation). Mes drames je les crée de toute pièce et les trous dans mes poches, inatentif. Comme les mots perdent leur sens sinon. Enfin le sujet correct, j’ai plus l’impression que le langage est soumis à des contraintes dès qu’il se réfère aux fausses communes,, Dès lors que l’on se place dans des monsieur et madame contes du monde, on en fait de la politique, ce que j’appellerais rigueur de l’expression, La piscine est un très bon exemple. Nous pouvons y faire des allés et retours alors il y a un chrono et des médailles de différents métaux, ou faire de l’apnée pour aller récupérer la clé que l’on a jetée. La mutation se résume alors à faire la longueur dedans ‘’ il reste quelques mètres, la syncope est proche, mais s’y arrêter avant ruine toute l’oeuvre initiale, (qui est en fait indépendante de la longueur de la piscine). Pour parler de « succès » j’ai très souvent toiser que l’individu qui l’atteint n’en ressens de réelle satisfaction que lorsqu’il se sait en grande chance d’échouer avec une bouée gonflée cependant. D’où la création de contrainte sociale au travers de la mythologie. « L’accomplissement de l’imitation au mouvements difficiles » Nous rentrons donc en conflit de satisfaction potentielle si ce qui est communément frustrant ne l’est pas toujours, avec de fait une incapacité d’être récompensée soi-même. D’où, souvent, la recherche de resistance qui s’avèrent de rendre les choses « simples » compliquées dans l’idée d’être en mesure de jouir de ses peines. Les singes sont bien trop bons pour que l'homme puisse les descendre, Et ainsi me sera enseigné : Il faudra des cycles des fins et des débuts, pour faire de la charpie les superstitions du pigeon classifiées empoisonnantes. Un pinscher nain dénichant la théorie du tout.
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Réponse de R.E.D
Le 21/12/2017 é 06h57
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"Nous pourrions aussi bien discuter tout en sachant que l’autre « n’existe pas » et vice et versa puis rendre la discussions pour le coup réflexive." N'est ce pas ce que nous faisons en dehors du "passe moi le sel"? et puis j'aime bien votre idée du temps en sorte de voyage: Aller voir le passé au présent pour composer l'avenir en sachant qu'on y est déjà... Ah la mémoire quand même! Sur le coup l'armée des douze ne m'a pas sauter à la gueule. L'effet papillon. - "D’où, souvent, la recherche de résistance qui s’avèrent de rendre les choses « simples » compliquées dans l’idée d’être en mesure de jouir de ses peines. Aller une soupe et au lit. Le marchand de sable est passé. Et tiens pour toi oh oui pour toi Fort potentiel de quoi et de qui, quelques bruines à songer! D'henri Michaux " N’apprends qu’avec réserve. Toute une vie ne suffit pas pour désapprendre ce que, naïf, soumis, tu t’es laissé mettre dans la tête – innocent ! – sans songer aux conséquences." " Si un contemplatif se jette à l'eau, il n'essaiera pas de nager, il essaiera d'abord de comprendre l'eau. Et il se noiera." " L'homme est un enfant qui a mis une vie à se restreindre, à se limiter, à se voir limité, à s'accepter limité. Adulte, il y est parvenu, presque parvenu..." Je dédie ses quelques mots à tous les imbéciles de la terre qui, se croyant en mesure d'expliquer à peu prés tout s'en contentent en raison de vivre...
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Réponse de The_monkey
Le 22/12/2017 é 04h12
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Sur les citations : j’ai le texte de Pascal qui m’est en tête, il est en effet troublant de faire le poids d’un savoir et d’un apprentissage pour s’en sortir ici bas. Peu importe ce qui se trame dérière les âneries que l’on nous demanderait, et que les esclavagistes ne le savent pas non plus ! Cette automatisation ne peut être judicieusement observée que lorsque sortie de la menace qu’elle représente aussi bien. Je me disais en autres, que cette idée de solipsisme, si elle est exclue de l’ensemble du questionnement métaphysique, on pourrait y comprendre « les autres n’existe pas, ils sont moins que mes lueurs ». Ce qui amènerait sans aucun doute certain à soulever le concept au sens où ils ne font que détruire leur imagination. Il y a donc une mise en immondisis de l’autre. Voilà une erreur humaine, car les autres même s’ils n’existent pas au même niveau que nous même, notre pensée est conditionnée d’eux au point que nous sommes eux d’autant plus. Il ne me parait donc pas étonnant que cette approche sociale est passée sous la trappe, car sans la poursuite du raisonnement dans son entièreté il conduirait à l’effondrement social. Le paradigme est donc psychopathologie, comme distordu de la réalité ou névrose et inhibé pour de « bonne causes ». Avez-vous essayer d’expliquer le solipsisme à des individus qui ne s’y sont jamais intéressés et qui plus est disons de « cognitions normales », je peux vous assurez que ce qu’il en retiennent est le coté « jeu vidéo ». et counter strike ! Il y a toujours ce paradoxe d’être « plus vrai », mais pour autant imbécile d’en faire comprendre qu’une partie d’une logique qui se doit d’être lors de son acquisition sociale globale tout de suite. Ici les longs échanges me permettent d’en parler assez librement. De même, si je met à mal la biologie, et démontre l’après mort avec ce solipsisme, qu’est ce que je vais créer ? des vagues de suicide de curiosité. Pour ce fait, même dans l’existence d’une après vie, il y aurait ce principe de sélection à l’opération, donc un enfer et un paradis en quelques sorte dans la réorientation de l’entité. Voyez, a quel point cela est difficile d’échanger de manière spontanée quand moi même j’aborde des remises en question de toute notre vérité commune sans en avoir saisi la totalité nécessaire à ce que le paradigme soit socialement stable. Il est cependant idiot de ne rien partager et ce de manière audible, j’insiste. Car la cognition normales sera souvent capable d’elle même de faire le tri. Il y a beaucoup d’intelligence à ne pas être surdoué que le surdoué voit comme de la confusion ou un manque de logique et notamment une possibilité de contrôle qui est réelle. Ce que j’ai remarqué et que les individus dont la cognition est la plus élevée au sens du QI sont souvent pris dans leur occupations plutôt qu’un intérêt de contrôle sur les autres. Alors que l’intelligence est souvent perçue populairement justement comme ce contrôle exhibé. Je ne suis cependant pas d’accord avec le fait que tous les surdoués sont attentifs aux « conséquences », ou même soucieux de tout cela. « il y a des con permis les hauts QI » pire il y a des potentiels trou noir pour l’espèce. Mais à partir du moment où la nature les a créés, il est de notre honnêteté de les mettre en relief. Pour la citation religieuse « Dieu donne beaucoup puis inévitablement reprend » Quand la cognition grandit, les surdoués se rapprochent d’une attitude qualifiable d’amorale et proche de cela Nous échangeons sur ce forum, avec des possibles idéologies résultantes qui pourrait littéralement détruire l’humanité. Je me le permet parce que vous y êtes et donnez du clivage à mes reflexions, et moi cette métaphysique m’obsède assez, j’ai très peu l’occasion d’en discuter. D’autant que je me dis que la cognition normale est bien plus forte que ce que l’on imagine et a besoin de nos jours d’une grosse remise au point. Nous vivons dans l’unviers grâce à un monde qui s’est équilibré sur cet espèce de bien et qui nous a permis à vous comme à moi d’avoir le temps d’être en dehors de la noyade pour s’en questionner d’avantage et être en mesure de le contempler parfois dans sa totalité.. Un cadeau de Noël intelligent. Et n’oubliez pas que la soupe est faîte d’eau bouillante ! Et on pourrait, plus tard, peut-être faire mieux que « Life is life ».
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Réponse de R.E.D
Le 22/12/2017 é 09h37
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"ego sum?" Remettons les choses dans leur contexte et insistons pour une fois sur fait que Descartes fut avant tout un métaphysicien convaincu de l'existence de "Dieu"... (produit du catholicisme.) Pour bon nombre de scientifiques au travers des âges, et encore maintenant, "l'expérience" qu'elle qu'elle soit, cherche plus à comprendre qu'à prouver une existence. Le doute découle du pragmatisme dans son sens exacte et se trouve être l'antithèse de la "connaissance" en tant que révélation. Aucunement dans l'hypothèse d'un "créationnisme" quelconque ( au sens large et donc englobant l'ensemble de toutes nos réflexions) ne fut jamais critiqué le principe d'un esprit existant en dehors d'une réalité physique. L'idée même d'un esprit transcendant se désolidarisant d'une physique se trouve être la négation pure de toute forme de "créationnisme"... Exercice absurde d'un crédo d'incomplétude (et tient ressortons du placard Point carré!) Et nous sommes d'accord qu'au moins "nous pensons parce que nous existons"! "Parce que" semble ici être le pivot de l'incompréhension de cette citation. Remplacé trop souvent par un donc comme profession de foi. Hors le donc dés lors qu'on y réfléchit et en toute logique pure annonce ici un non sens formelle contraire à l'esprit de Descartes: "Je suis et je pense" sont en effet l’énoncé d'un état sans causalité qui, du coup englobe l'ensemble des propositions du genre "hors ni car" laissant à l'interprétation la possibilité de comparaison et d'appréciation de ses deux états simultanées. Ceci vient du fait que lorsque nous utilisons notre grammaire pour traduire un texte latin, nous ignorons trop souvent le coté "agglutinant" de la langue d'origine: Racine préfixe et suffixe avant même la déclinaison, qui fait qu'un mot en lui même est déjà une ordonnance précise et n'a donc absolument pas besoin d'explication (puisqu'il est conçu comme la définition d'un état en lui même). Ce qui m’amène à penser que dans une pure logique formelle, si Descartes lui même s'est refuser à ordonner ce qui n'est pas une phrase mais l'énoncé d'un double impératif, c'est qu'il avait pleinement conscience de ses implications. "Les méditations métaphysiques" sont pleinement des méditations contemplatives et non des vérités acquises. Lorsqu'on pense que l'ensemble de notre civilisation moderne fut construite sur des erreurs de traductions de "pseudo clercs" en quête de reconnaissance parce qu'ils y croyaient... Cet état de fait m'a toujours fait flipper! (Lorsque je parlais, l'autre jour, du commerce de "l'intelligence"... j'aurais pu tout aussi bien parler du commerce de l'intelligence des mauvaises traductions) Seul un imbécile dans le sens de celui qui se contente de ses vérités premières (obtus, fanatique,psychotique et autre qualificatifs) cherche à prouver quelque chose par l'artifice de sa "raison". Le doute et la remise en cause du moindre apprentissage( tout comme la sédition et la critique d'un ordre établi par la raison seule) fut au cœur même de la pratique religieuse authentique. Celle ci, contrairement aux idées généralisatrices de notre époque Et si celle ci fut dénaturés par quelques tartuffes ici et là, ce sont ceux ci qui sont à condamner et non les "principes" en eux même. Quand au solipsisme, il semble que même sans le penser de manière "consciente" nous puissions exister; Lorsqu'on voit le nombre personnes qui croient penser lorsqu'ils ânonnent des certitudes absurdes. Revenir ici sur l'opposition coopté entre corps et esprit. Et revoir encore "l'historique" de cette proposition avant d'aller plus loin. ... "Je ne suis cependant pas d’accord avec le fait que tous les surdoués sont attentifs aux « conséquences », ou même soucieux de tout cela. « il y a des con permis les hauts QI » pire il y a des potentiels trou noir pour l’espèce." Moi de même! Et j'y ais réfléchi toute la nuit afin d'en donner une explication claire et concise. Si le jeu d'échec offre des possibilités d'exercer son intelligence parce qu'il offre un fort potentiel de réflexion, ce n'est pas pour autant que le jeu en lui même est intelligent. Il en va de même avec les briques de Lego. Vingt milles caisses ne donnent pas pour autant une cathédrale de Chartres! Et lorsque nous admirons la Joconde, nous admirons une cruche sans expression signifiante qui fut, elle effectivement peinte par un esprit contemplatif doté d'un sens de l'analyse formelle. Et nous revenons ici aux méditations métaphysiques de Descartes illustrant pleinement l'autre adage: "Science sans conscience n'est que ruine de l'âme." Rabelais. in texto:"Mais, parce que, selon le sage Salomon, Sagesse n’entre pas en âme malveillante et que Science sans Conscience n’est que ruine de l’âme, tu dois servir, aimer et craindre Dieu, et mettre en lui toutes tes pensées et tout ton espoir. » et Encore Montaigne: « A un enfant de maison qui recherche les lettres… ayant plutôt envie d'en réussir habile homme qu'homme savant, je voudrais aussi qu'on fût soigneux de lui choisir un conducteur, qui eût plutôt la tête bien faite que bien pleine : et qu'on y requit tous les deux, mais plus les mœurs et l'entendement que la science. » "Il est impossible de faire concevoir à un homme naturellement aveugle qu'il ne voit pas." Et donc joyeux Noël?! (Du latin: Natalis.) La problématique de la science a toujours été celle de la vérité cooptée qui pousse parfois certains à l'artifice de la séduction par la rhétorique, accordant plus de crédit à une tête bien pleine... UAQVVDB.
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Réponse de R.E.D
Le 23/12/2017 é 09h15
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Et maintenant revenons aux mystères: à craindre que chacun devienne un apprenti sorcier; Non parce qu'il se trouve être chez des initiés quelconques et de quoi que ce soit, lui permettant trop tôt d'exercer quelques pouvoirs d'une connaissances, mais plus encore par la fatuité (contentement excessif de soi qui se manifeste par une vanité insolente...) que sa position engendre. Un "médecin" qui arrive à convaincre un patient de prendre son traitement non parce que celui ci lui est bénéfique mais parce que c'est "son" traitement, a réussi au delà des ses espérances en fabriquant un "malade" perpétuel. Et ça nous le voyons quotidiennement lorsque certains prennent un antalgique de peur d'avoir mal quelque part... Rapport avec celui qui refusant d'assumer les risques d'avancer de peur de s'enliser, fini en piétinant par creuser sa tombe. De la curiosité! Pour ce que le moindre insecte fait plus de cas de son existence qu' un être qu'on dit instruit!!! Peut on vivre donc sans connaissance factuelle? Et la réponse est encore dans le nominalisme/conceptualisme. Ah la belle trousse à outil que nous avons là! Mais comment peut elle servir à quoi et à qui que ce soit lorsque la bêtise, l'ignorance par les sophismes marchands sont devenus des valeurs d'intégrations sociales? Qu'on le veuille ou non, et en toute logique la seule valeur morale qui puisse être attribué à une notion d'intelligence, est une valeur de construction et de respect de la réalités dont nous prenons "conscience". Et sur ce point puisque vous souhaitez aborder la morale "naturelle", la destruction pour elle même, est l'antimatière de l'intelligence. L'apprentissage n'est jamais fini et il convient que celui, plus avancé, en assume ses responsabilités en toute humilité pour être lui même convaincu qu'il ne fait que prendre la suite d'une recréation permanente en constante expansion... (2 valent plus que 1 pour la raison que 1 peut être n'importe quoi, est il me semble un excellent principe de réflexion.) Volontairement succin... D'autre part, cette notion d'intelligence à laquelle nous faisons référence n'est elle pas simplement issue de données de bases organiques? L'idée que nous naissions imparfait et que sans les autres nous soyons démunie, l'idée encore de croissance formelle, qui fait qu'un maison parait grande lorsque nous sommes petits et rétrécisse au fur et à mesure que nous grandissons ne suffit elle pas à expliquer notre volonté "inconsciente" de vouloir toujours plus? L'idée en second lieu qu'il y a toujours un extérieur à découvrir ne vient il pas du fait tout simple que découvrir déjà son corps, pour un nouveau né... Le cerveau voyez vous est sur ce point parfaitement déconnecté de toute réalité, comme une feuille vierge ne connaissant pas le crayon. Et la première chose qu'il apprend à faire c'est de recopier ce qu'on lui donne. Ce qui me ramène à la pédagogie: Reprendre le chemin naturelle d'une "progression", c'est ne jamais être éloigné du chemin des enfants ignorant de la moindre vérité et ne s'en contentant jamais. J'aime assez cette "thèse" d'un "adultisme" qui, refusant la douleur de tomber passe le restant de sa vie à se fabriquer des chaussures pour une hypothétique marche de fond.
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Réponse de The_monkey
Le 26/12/2017 é 05h08
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Il y a une nette différence, de mettre cela dans l’imagination (non le manipulateur d’impulsion) Nous sommes bien loin du dualisme cartésien, et votre « donc » ou « et » ne change rien à la logique propagandiste. Ce n’est pas e=mc2 qui fait le « ca dépend » Ce n’est pas la citation répétée en masse qui fait la vérité sous-jacente, l’idée s’imprègne sans que nous l’y prenons. « vérité première » ou « action » n’ont à mon avis que du sang à faire couleur dans ce qu’ont saurait deviner qu’elles ne sauraient pas mais le devraient. (selection imposée sans argumentation, sans logique, du juste de celui qui le dit, pourvu qu’il soit sur un tabouret !) La preuve du quotidien, le pansement sur l’hémorragie comme superstition et nous y voici dans le prix du bondage. Respect = translucidité intéressée ? la base organique, le cerveau, ah oui je me suis réveillé un matin en cours de bio et on m’a fait comprendre que ce que j’avais dans le crane devrait être moi.. Le dualisme cartésien n’est pas une nécessité, quand le divin logique en devient une ? (religion futuriste) Il s’avère que nous nous sentons bon comme nous avons l’impression d’avoir grimpé haut, et pour ce faire, il faut regarder ceux qui n’ont pas de bonne pioche, gisant !!! (la bien séance me dégoute au plus haut point) « rayonnement » quand j’étais dans le milieu, j’y ai vu de l’obscurantisme au protocol. Prenons un peu de recul, voulez-vous ? Monkey see Monkey do. Innocent ou pas les autres s’imprègnent des autres et même de vous, et ce sans limite. Non besoin de cours d’histoire, pour souligner ce point, de même que vous pouvez avoir raison avec de la réthorique et même faire tomber les jetons de la machine à sous. ce serait exitant mais comment ? ok disons que ce n’est pas facile et qu’il va falloir travailler pour les bifftons comme pourquoi ! apollon cela « but moderne». maintenant, je vis dans un monde de zombies, et j’ai du sang nutritif, je me suis d’abord dit pragmatique que je devrais me faire une pratique arbalète. L’espace infini m’a laissé la « chance » d’être dans le vide. Derrière le pragmatisme se cache un certain esclavagisme.. qui s’exempte de tout soupeçons, « moi j’agis, faîtes comme moi » Une américanisation, un mythe en fin de vie de l’ouest dans le circulaire ? un dernier rejet de la courbure d’échigne survaviliste de l’insubordination avec le ton bec et ongles « c’est juste comme çà » peut mieux faire !
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Réponse de The_monkey
Le 27/12/2017 é 01h05
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« Ce qui m’amène à penser que dans une pure logique formelle, si Descartes lui même s'est refuser à ordonner ce qui n'est pas une phrase mais l'énoncé d'un double impératif, c'est qu'il avait pleinement conscience de ses implications. » Vous cherchez à voir de la « responsabilité » chez Descartes. Vous explicitez comme bien souvent la biographie et la conceptualisation. Ce que l’on retrouve dans « il agit comme ceci parce qu’il a été classifié parmis les ASPerD. Nous pouvons donc nourrir les symboles de ces nouveaux sens. Au schéma des templiers et leur géométrie sacrée, dont la libre interpretation est un laissez-passer aux rêveries. J’ai personnellement redécouvert le secret des templiers indépendamment, et je vous en fait une carte codée ! Indice : -Te Deum. Da mihi clavem. -Quis, ego? Une chrétienne latin-américaine dans l’optique d’un sacrifice familiale s’estimant pour sûr malheureuse avec son future conjoint qui la « punit » pour son irrespect de mythes m’a demandé ce que je pensais de Descartes. Peu importe ce que j’en ai dit : elle en a aboutit à l’authenticité d’une dévotion dans le pratique « il est strict, il est simplé, il pourrait me torturer mais sera capable de me fournir convenablement la famille que je désire. Me remerciant de ma lucidité et m’offrant un exemplaire de la bible, elle disparaissait pleinement dans sa récente nouvelle foi. Pourquoi Descartes ? Je vous laisse deviner ! Rien est-il que l’idée de sacrifice dans le créationisme du culte est clé. « Et sur ce point puisque vous souhaitez aborder la morale "naturelle", la destruction pour elle même, est l'antimatière de l'intelligence. » Que dîtes vous de la destruction comme non selection et non renfort de la singularité ? ou plus subtile : « Il faut sacrifier des proclamés dangereux pour se démontrer bon. » De ces gangs qui pour se faire un nom montre leur capacité de destruction de vie, pour pablo Picasso et des formes anti-conformistes. ou de ce pays Duterte, ou il fallait exécuter sur le serveur tous les accros à la cam, d’un massacre légitime pour rétablir la paix J’ai l’impression que les renversements sociaux résulte toujours d’une «poivre faiblesse » dans le détournement de bien à cette puissance révélée qui rend le satanisme alors héroïque dans son contrôle pour le développement ultérieure de soi dans une fragilité de gâchis de l’information en changement d’un espoir d’accalmie». La morale suivrait les équations de Volterra pour générver de la conscience, cf la fin. Ce siècle l’espèce se fait passer un test de Turing. Le questionnement de réalité comme la métaphysique sont nos uniques talent en tant que conscience. L’utilitarisme la simplicité ne passera pas comme très facilement programmable et ce pour quelques raison que ce soit. La « poésie » dans tout cela « comme parler aux coeurs » des autres, ne peut être uniquement stochastique imitable facilement, elle doit être en possible lien, et ce toujours des biographies de l’entité. Lorsque la compréhension d’une phrase est évidente il s’agit d’un ordre. Lorsque la compréhension d’une phrase est difficile, il s’agit d’une théorie. Lorsqu’elle est obscure, il s’agit de rhétorique ou de poésie. Lorsqu’elle est indifférente de son pure aléatoire, il n’y plus que du chaos non choisi pour presque tous. Peut on vivre donc sans connaissance factuelle? Le fait est l’antithèse de la contradiction !? « Si le jeu d'échec offre des possibilités d'exercer son intelligence parce qu'il offre un fort potentiel de réflexion, ce n'est pas pour autant que le jeu en lui même est intelligent. » Leur façon de parler de ce jeu, peut-être parce que beaucoup sont surdoués, dépasse largement le cadre la planche de bois. De chaque point on peut faire émerger les questions de l’essence. Le jeu d’échec est une centralisation de la confrontation logique. Pour être bon selon le monde, il faut être fort, mais cela à le mauvais goût de devoir se persuader d’être dans la coercition. Marchant sur une vesse de chien-loup.
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Réponse de R.E.D
Le 27/12/2017 é 11h08
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Très intéressantes réflexions! La destruction/ La prédation/ Volterra/ Morale... à noter que les équations de Volterra ne s'appliquent qu'à la condition qu'il y ait les deux facteurs. Ce qui m'amène à une petite réflexion toute personnelle sur cette notion d'équilibre: N'y aurait il pas ici un lièvre à soulever entre le principe d'imitation, l'adaptabilité et la possibilité mimétique d'être l'un des deux facteurs? Cet ordre "naturelle" qu'on souhaite concevoir comme universelle n'est il pas lui même un facteur de sélection? ( du genre si ça n'est pas universelle ça n'a pas lieu d'être). Lorsque nous affirmons que tel ou tel chose existe et que nous ne la trouvons pas, ceci ne nous force t'il pas la main à vouloir la trouver? Il en est peut être de même (du moins à mon sens) de la notion de "vérité"?! (Lorsque nous dépassons le principe de vérité cooptée... Ah cette saloperie qui aurait tendance à justifier à peu prés tout par la loi du plus grand nombre pousse la plupart à la soumission juste pour en avoir un peu; De vérité...) Mais il me semble que nous avons déjà abordé le sujet de l'application d'une hypothèse pour en faire une vérité. Quand à Maria conception de la Natividad: L'obsessionnel du jolie couffin dan un monde de brute a souvent détourné les êtres de ce qu'on appelle ici "la sincérité des sentiments"... De quoi en perdre la tête! ( certaines études déjà anciennes sur le lobby des magasines féminins tendent à prouver (et c'est un comble!) que l'usage de la "femme" en tant que "principe féminin", tentatrice à la pomme, aurait installer d'une manière durable les archétypes de "l'économie de marcher". Et selon certaines autres études, c'est encore une des causes classiques du suicide, de la dépression et des vies de merdes misanthropiques qui ,firent vendre le petit plus de nos existences: les pilules roses protéiformes! Et comme le jeu vidéo ne remplace pas forcément tout, il est évident qu'appuyé sur l'hostie avec la langue fonctionne comme un sparadrap et offre quelques points de vies supplémentaires dans un jeu de rôle. (L'hostie à quand même un avantage énorme il limite le prix de l'abonnement et la facture d'électricité à 10% du revenu net!) Encore une fois, être bon/fort... L'inversion causale du jeu du loup qui s'affute les dents pour un jour imposer son droit. Mais le droit n'est pas la justification du bien. L'esprit des lois précède leurs rédactions. Le jeu post moderne de réintégrer les données culturelles comme autant de vérités acquises fonctionne comme n'importe quelle bulle spéculative. Il faut avouer qu'il y a des placements en actions véreuses sur des comptes philosophiques à haut risque... Que l'usage de se croire protégé pour avoir une part de vérité en zone neutre pousse les activités intellectuelles à se travestir en objets sans risques. Et puis un jour la bulle éclate selon la loi de l'offre et de la demande des frères Volponi (Lautner/Simonin/Audiart; ou l'air du temps?). L'heure de la coopération a sonné. Il s'agit ici de réunir les pires ennemis autour d'une tables afin de les persuader que devant l'extinction de masse, la seule possibilité est de se tenir chaud pendant l'hiver nucléaire... ça fait vendre plus de couvertures! Espérons que les bonnes volontés naïves ne soit pas la proie de super prédateurs égotistes. Le doute est permis comme à chaque fois sur les intentions de chacun lorsqu'on instaure un consensus. Une bonne manière de faire fermer le robinet à divergence. Chacun ainsi retourne chez soi en paix factuel en méditant sur l'instant ou il pourra de nouveau bouffer le voisin... d’où l'intérêt de la philosophie de comptoir et des opinions politiques de paillasson. Passe moi la clé! J'ai trouvé la serrure est décidément une locution idiote! (Et justement post moderne...) Nous sommes d'accord: Picasso à lancer le bizness art! En était il conscient ou n'a t'il fait qu'incarner l'air de son temps? Vaste tapisserie intellectuelle sur laquelle on brode encore des motifs abscons, pour SNOB à la Vian. Anti-datation et anachronisme du mec qui commentant la grande pyramide du Louvre se demande si son constructeur n'est pas la réincarnation d'un atlante? L'heure du net et chacun (onanisme) s'extasy sur la dernière révélation pornographique en gros plan d'un coït messianique! Et on ose encore de parler de sacrifice non consenti! Qui n'a pas sa petite définition? En vente par abonnement illimité ou comment briller en société: "Quoi t'as pas la nouvelle? Mais comment tu fais pour vivre?" C'est drôle de voir comment la clique à Charroux en couverture noire te me corrige le "ils n'étaient pas seuls" sur des airs d'intelligence artificielle, non? Peut être la seule réponse qu'on puisse donner à ce consensus de paix en espérant encore un moratoire, une pause... Juste histoire d'envisager un développement et tiens justement une rhétorique à peine gloser. Je reviendrais sur le sujet; j'ai un Qi de 160 que dois en conclure? Que la confiture ça s'étale sur une surface plane et que les trous dans le pain font qu'elle tombe par terre! Ou alors on la bouffe vite en s’essuyant la main sur le voisin. UAQVVDB...
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Réponse de R.E.D
Le 28/12/2017 é 09h52
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Petite expérience récente: 9 personnes de 17 à 75 ans, de cultures différentes (se référer à l'idée large de la notion de culture) ayant passées quelques heures ensembles se proposent de jouer à un jeu d'adresse. Pour cela ils se divisent en 3 groupes avec comme seul contingence de ne pas se regrouper par "sympathie". Le jeu consiste à lancer un nombre conséquent de palets sur une surface plane afin que certains d'entre eux passent par une grille de 4 trous. Le prétexte de l'expérience se retrouve formulée ludiquement dans l'idée d'instaurer une concurrence par l'intermédiaire de "points" à gagner. Le protocole est simple: Un membre tiré au hasard de chaque équipe lance l'ensemble des palets. le second membre récupère les palets n'ayant pas passé la grille et les lance. Le troisième membre récupère une dernière fois l'ensemble des palets restants puis les lance. Les "points" sont comptés. La seconde équipe rentre alors en jeu, puis la troisième. (Notons qu'à chaque fois l'ordre d'arrivée des "joueurs" se trouve modifié selon que le joueur 1 se retrouve joueur 2 et donc que le 3 se retrouve le joueur 1) 5 parties sont faites d'une manière "normale"; chacun décidant de sa stratégie personnellement, décide ou non de prendre en compte les conseils des participants. Une partie supplémentaire est proposé ou les lanceurs se retrouvent les yeux bandés. Différentes stratégies sont misent place par les équipes. Celles ci consistent à proposer au lanceur d'obéir (à divers niveaux) au deux autres afin de lancer au mieux à "l'aveugle" les palets. (Dans l'ensemble, chacun opte pour le principe de coopération.) Les résultats sont à peu prés équivalents sinon meilleur que les parties précédentes ( en se référant à la moyenne des points obtenus pour les cinq précédentes) et tout les participants sont d'accord pour admettre le coté troublant de cette expérience. En conclusion: Ceci pose plusieurs problèmes aux joueurs qui, tentant de trouver une explication rationnelle a ce phénomène, utilisent les ressources justificatives propres à leur culture. Plusieurs hypothèses d'explications voient le jour sans qu'aucune ne soit perçu par aucun des joueurs comme étrange ou erroné. Dans l'ensemble tous se retrouvent autour de l'idée que l'exercice d'une volonté, d'une expérience acquise ou d'une intelligence quelconque ne peut justifier les résultats obtenus sinon la probabilité que la volonté de réussir ne rentre pas en jeu. Que pouvons nous en conclure? Troublant non? (bien entendu l'idée d'interpréter les résultats de cette expérience en utilisant les ressources d'une mathématique prédictive comme seul analyse est hors sujet pour ce qu'elle sera ici perçu en défausse (en sorte d'excuse) des véritables "problèmes" soulevés. De même l'idée d'établir une vérité coopté généralisatrice n'ayant comme seule conséquence d'aplanir intellectuellement les pistes de recherches!... Pas question non plus d'avoir recourt au singe sur sa machine à écrire ou tout hypothèse sur la dynamique du chaos en matière d'explication pour ce qu'elle simplifierait considérablement, selon le rasoir d’Ockham, en épurant les paramètres gênants... à noter que toutes celles ci furent "évoqués" par les participants sans même en avoir "conscience" y compris celle d'une intelligence arbitraire et ou synthétique!!!) La théière de Russell me semblerait peut être plus adapté... Quoi que!? Tout autant, la dynamique des boulettes de viande invisibles dans le pastafarisme et l’hypothèse d'une déité protéiforme gardant un mystère inexplicable dans sa recette de sauce à la moutarde ne sera pas reçu autrement qu'en excuse d'un cynisme facile... Troublant non? UAQVVDB.
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Réponse de The_monkey
Le 28/12/2017 é 23h05
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Le succès c’est d’aller d’échecs en échecs sans perdre son enthousiasme » L’amalgame ne viendrait-t-il pas du fait que beaucoup se disent que le prédateur a raison ? Que dans ce modèle il est « mieux » d’être prédateur. Le sacrifié ne révèle-t-il pas « humainement » le non sens du jeu en détruisant la menace pour laquelle il fut estimé et renvoie les joueurs au « non sens existant ». Le jeu perdant est une prédation/proie d’une pseudo mort dans la souffrance ? La stratégie gagnante la satisfaction de la reflexion dans son application ? Le changement de camp ou « trahison » ne biaiserait en rien le modèle, il n’y qu’a ajouter un facteur en plus donc en moins ailleurs. Pensez-vous que cela changera les points d’équilibres théoriques ? Je ne vais pas l’étudier, car le paramètre qui me gène est que même en adaptant l’équation de Schrödinger en une deuxième reprise efficace empiriquement, nous y manquerons toujours de ce que l’on devrait en comprendre fondamentalement. Il n’est pas rare, que l’empirisme de facto aboutisse à la collection puis seulement ensuite nous en déduisons un sens à la loi. De même qu’il n’est pas rare que sans connaitre la finalité du raisonnement nous le mettons en ligne d’attente pour en privilégier d’autre qui nous semblent « plus intuitives ». Une procrastination intellectuelle, qui peut-être s’oppose au pragmatisme. Aujourd’hui (anecdote vécue), arrivant chez moi ma clé s’est classiquement cassée dans la serrure. J’ai d’abord pensé à enfoncer la porte. Puis m’est venu me noyant dans le froid, l’idée de faire autrement. En effet, les goupilles étaient presque enfoncées.. Comme ces parties de blitz, où l’instinct des blocs référencés aux sentiments est parfois faux. Juste avant de congeler, je brisai la vitre.. Vous faîtes beaucoup de références culturelles du matcho italien au chanteur de mots à l’eau de rose, ce qui a part le déguisement, l’idée met à mal le nominalisme, quand ils réfèrent à ce que l’on pourrait déjà avoir rencontré comme énerglumène sous d’autre synonymes. est-ce une question à prendre au sérieux ? plus vraiment. L’apprehension par la mitose de la réalité et la distinction ramène à une même réalité le nominalisme et le conceptualisme comme une mitose lui même notre appréhension. La réalité est cette mitose en elle même. Voilà pour la théière qui finalement ne fait que parler de « popularité ». Concernant le rôle féminin, dans l’intelligence du commerce, vous particularisez au comble la théorie du genre enzymatique dans la création du mythe comme parade nuptiale et la valorisation de domination dans le berceau des chagrins d’amour. Ce que j’établis comme NR+ est une forme d’approche universelle des dissociations mitosiques dans le réunification de la réalité par la complétude d’essence divisée, qui rend la triangulation (ou compétition de partenaire) superflue bien qu’étant du coup triangulaire physiquement avec le ressort de distinction et de surcroit l’ensemble des relations sociales de preuves de dominations à but charnelle non exprimée mais exécutées inconsciemment ou non des protagonistes, ou « mort de la popularité locale ». En d’autres termes la réalité dissocie et l’intelligence confond une partie, et cela dans le cadre universel non seulement évolutionniste. Il est a mesuré le changement d’interaction en présence de différenciations des genres, qui révèle assez sournoisement que la recherche de vérité est inférée dans la moyenne des cas. Une bonne partie du mal ajustement résiderait dans ce que « la recherche de vérité est trop intéressé plutôt qu’intéressant ». Ce qui est perceptible dans l’arrêt de la recherche une fois le but subsequent atteinds. Il semblerait et je me risque encore que jusqu’a present notre espèce ou très misantropiquement est dans la recherche de vérité, mais y est plutôt contraint d’y faire face dans la selection. Cette dissociation « passif/actif » qui explique assez bien tous les « sois. disant les malheurs du monde ». Et pour autant l’action est souvent traitre car elle consiste souvent à se plier à des vérités presque admises pour leur utilité pratique. Votre pragmatisme vous devriez si ce n’est pas celui là y faire un néologisme, cela éviterait bien des confusion de ma part : « le noumènepa » ? (joker) Coopération et principe de Nash, les petitomes ne veulent pas forcément gratter leur gagne pain, ils sont soumis à leur mise à mort suggérée dans la pure innocence des autres. Ce qui souvent les rends Rationaux. Il s’arête au feu rouge parce qu’ils réduisent leur chance du carton rouge ! Point d’oligopoles dans les disaines, Au fait, rétroaction inconscientante mais déjà annoncée, la théorie du « journalisme scientifique » : « Mon plus gros soucis était comment l'appeler. J'ai pensé à l'appeler "information", mais le mot était trop utilisé, alors j'ai décidé de l'appeler "incertitude". Quand j'en discutai avec John von Neumann, il eut une meilleure idée. Von Neuman me dit, "Tu devrais l'appeler entropie, pour deux raisons. Premièrement, ta fonction d'incertitude a été utilisée en mécanique statistique sous un autre nom, donc ça a déjà un nom. Deuxièmement, et le plus important, personne ne sait ce qu'est vraiment l'entropie, donc dans un débat tu aurais toujours l'avantage ».
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Réponse de R.E.D
Le 29/12/2017 é 10h05
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Il y a trente ans: Le rôle du féminin dans le commerce me tomba sous le bec un peu par hasard lorsque j'étudiais le lien "intuitif" ressenti entre la notion de "fétichisme" au musée de l'homme et la notion même d'histoire des "Art". ça n'était absolument pas un but en soi mais plutôt une nécessaire remise en cause d'une théorisation presque dogmatique. Son carcan me gênait pour ses illogismes et son empirisme. Il avait un coté miroir déformant transformant Niki de Saint Phalle en Niqué de Saint phallus pour une nouvelle "religion" émergente: Le libertarisme du genre "fais ce que tu veux"... Je décidais alors d'ouvrir un magazine dit féminin pour mieux comprendre ce qu'il était alors possible de nommer une "communauté de sexe" dans ses préoccupations partagées. à l'époque loin de moi d'avoir des propos tranchés sur des sujets inconnus ou sortis d'un contexte quelconque. M'apercevoir en premier lieu que l'univers de la concurrence semblait être la préoccupation majeur dans ces magazines me surpris encore plus que d'étudier l'archétype de la communauté "masculine" présenté comme inverse en feuilletant play boy, l'équipe et auto moto. Je me pris de passion à étudier puis détourner l'ensemble des archétypes moteurs et c'est un peu par hasard que je découvris d'autres analyses rejoignant les miennes. La structuration sociale, paradoxalement positionnée comme "moderne" semblait se fonder sur un ramassis "syncrétique" de clichés conservateurs transformant les individus eux même en archétypes, exploitant les regroupements aléatoires de similarité pour en faire des singularités généralisatrices. La messe était dite chaque mois. Il fallait y obéir sous peine d'être excommunier. Au départ ce fut un jeu. Et puis, comme chaque fois, l'étude en devint une seconde nature. (Sans perdre le "doute" fondement même de toute étude et me méfiant de plaquer sur les réalités observables le miroir déformant de ce qui aurait pu devenir une simple conviction "véritable".) Attaquons maintenant d'un peu plus loin le propos passif/actif. Sur la liste de course, ajoutons dans le panier la notion de temporalité et celle de l'aboutissement. Et faire le lien avec l’événementiel. Pour cela rattraper en cours de route une étude non pas du commerce en soi qui est une chose naturelle dans le sens ou nous commerçons de même avec l'air que nous respirons. La notion d'échange qu'on souhaiterait (qui?) maintenant lié directement à l'idée de commerce; Comme si l'échange en lui même ne précédait pas celui ci. Le "commerce" pour cela s'empare d'une réalité toute simple pour s'en proposer comme seul dépositaire. (Le fait même d'acheter donc une information procède du commerce et implique la fidélisation d'une clientèle...) Et sans être quoi que ce soit d'autre qu'un "étudiant", je ne peux m’empêcher ici de renvoyer à Karl Marx tout en déplorant que ce qu'il écrit et pense est toujours d'actualité: "Celui qui ne connaît pas l'histoire est condamné à la revivre." Mais encore: "Ce qui distingue principalement l'ère nouvelle de l'ère ancienne, c'est que le fouet commence à se croire génial." et plus: " le cri d'Épicure: l'impie, ce n'est pas celui qui méprise les dieux de la foule, mais celui qui adhère à l'idée que la foule se fait des dieux. La philosophie ne s'en cache pas. Elle fait sienne la profession de foi de Prométhée: En un mot, j'ai de la haine pour tous les dieux! Et cette devise, elle l'oppose à tous les dieux du ciel et de la terre, qui ne reconnaissent pas la conscience humaine comme la divinité suprême." Pour finir aujourd'hui quoi qu'il me semble que la citation ci dessus explicite bien des choses... "La bourgeoisie a déchiré le voile de sentimentalité touchante qui recouvrait les rapports familiaux et les a réduits à de simples rapports d'argent." "Et la première tâche de la philosophie, qui est au service de l'histoire, consiste, une fois démasquée l'image sainte qui représentait la renonciation de l'homme à lui-même, à démasquer cette renonciation sous ses formes profanes. La critique du Ciel se transforme ainsi en critique de la terre, la critique de la religion en critique du droit, la critique de la théologie en critique de la politique." "Passions sans vérité, vérités sans passion; héros sans héroïsme, histoire sans événements; développement dont la seule force motrice semble être le calendrier, fatigant par la répétition constante des mêmes tensions et des mêmes détentes, antagonismes qui ne semblent s'aiguiser périodiquement d'eux-mêmes que pour pouvoir s'émousser sans se résoudre." L’œuvre en elle même est d'étude fastidieuse et souvent détourné par quelques uns souhaitant la lié directement à la haine de leur condition. En cela elle fut exposée comme une nouvelle "religion" athée par ceux là même qui ne pouvaient concevoir autre chose que les formes superstitieuses d'une pensée "magique" elle même stigmatisée comme irrationnelle; Provoquant ainsi la pire des trahisons de la pensée d'origine... (problème de récupération d'une pensée pure par une idéologie de domination. Dommage non?) "Le terme entropie a été introduit en 1865 par Rudolf Clausius à partir d'un mot grec signifiant « transformation ». Il caractérise le degré de désorganisation, ou d'imprédictibilité du contenu en information d'un système." CLIKPEDIA... Ce qui nous ramène insidieusement au "pragmatisme": "Dans le langage courant, pragmatisme désigne, en anglais comme en français, la simple capacité à s’adapter aux contraintes de la réalité ou encore l’idée selon laquelle l’intelligence a pour fin la capacité d'agir, et non pas la connaissance." En ce sens vous avez parfaitement raison sur le fait qu'il convient ici d'aller rechercher un autre concept. La raison en est simple comme à chaque fois: L'état de nos "connaissances" rend ce mot parfaitement insupportable de par son archaïsme conceptuel... Lorsque je l'utilisais c'était en guise de complément d'un autre parfaitement abscons "Cartésianisme usuel"! Le glissement sémantique m'énerve de plus en plus lorsqu'il s'empare de mots afin de les simplifiés en proposant des versions édulcorés qui s'avèrent toujours être le simple reflet de leur temps. Ainsi le glissement Fraternité/ solidarité transpire l'utilitarisme et son cortège d'intérêts lorsqu'il y avait une simple notion presque candide et affectivement "familiale" dans la fraternité. Ceci pourrait peut être vous intéressé: Patrick tort: « La sélection naturelle, principe directeur de l’évolution impliquant l’élimination des moins aptes dans la lutte pour l’existence, sélectionne dans l’humanité une forme de vie sociale dont la marche vers la "civilisation" tend à exclure de plus en plus, à travers le jeu lié de la morale et des institutions, les comportements éliminatoires. En termes simplifiés, la sélection naturelle sélectionne la civilisation, qui s’oppose à la sélection naturelle." Quelques notions à toujours revoir afin de décrypter les composants de l'air du temps: évolutionnisme, transformisme, catastrophisme en opposition avec créationnisme, théisme, Déisme et fixisme pour retrouver une synthèse facile dans l'idée d'un créationnisme perpétuelle. J'aime assez comprendre les manifestations de nos besoins en terme d'organisme pluricellulaires. Autant de cellules qui s'unissent et chacune d'elle a ses propres contingences de survie. il me semble ainsi plus facile de concevoir les intérêts multiples qui nous animent. Aller pour se détendre maintenant reprenons notre nez rouge le temps d'une caricature: "Un proverbe n'est pas une raison." "Il n'y a que les ouvriers qui sachent le prix du temps; Ils se le font toujours payer." Ah! Satané Voltaire. Il me fera toujours mourir de rire avec ses poncifs typique de son époque! Si seulement ceux n'avaient plus aucune autre utilités que d'évoquer le passé en une pointe de nostalgie!!! UAQVVDB.
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