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J'ai un QI de 160. Que puis je en conclure ? - Page 44

Question anonyme le 13/02/2011 à 15h42
Dernière réponse le 28/03/2024 à 00h16
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J'ai un qi de 160 et j'aimerais savoir qui suis je ,que puis je en conclure concrètement ?
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1030 réponses pour « 
j'ai un QI de 160. Que puis je en conclure ?
 »
Réponse de R.E.D
Le 24/01/2018 é 12h14
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Les pythagoriciens sont une sectes et se définissaient comme tel d'ailleurs! Quand aux néo pythagoriciens? La même eau avec les mêmes idéaux... dommage de vous choquer mais je peux comprendre votre déception! Concernant le fait d'être choyé... Et bien j'en doute, lorsque je vois les incidences sur ma vie privée de tous ses clichés merdiques. Mes draps non plus ne sont pas lavés... Et aujourd'hui vous m'agacez! Remontez dans votre arbre au sommet pour y voir les nuages, vous y êtes très bien et à chacun sa place... J'attends vos excuses et remarque qu'à force de parler "large" d'abstractions de pensées...
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Réponse de R.E.D
Le 24/01/2018 é 16h38
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Qu'à force de parler large et vous entendre revendiquer votre exception, vous oubliez ce que sont les autres en dehors d'une application toute faite d'idées préconçus. Ps: je n'ai rien contre les "artistes" se contentant du titre pour justifier leurs existences mais je les pleins sincèrement pour s'être littéralement fait berner dans une recherche d'un ailleurs factice, piégés dans la justification d'un discourt incohérent en train d’essayer de trouver une manière de s'en sortir.... Un peu comme un géomètre tentant d'appliquer à la lettre une géométrie bidimensionnelle sur un volume. Quand à moi je n'en ais jamais voulu de ce titre et me contente chaque fois de dire que je ne fais que mon boulot et point barre!!!
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Réponse de The_monkey
Le 24/01/2018 é 20h56
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Je serais dans un monde où les autres me disent ce que serait l’univers, à la hachette, « tu es comme nous » Les clones savent s’expliquer la dessus, d’une n-ième preuve de partager vos sentiments, je n’y vois que des pestiférés égotistes. Je vous hais maintenant. Tous. a me forcer de me pencher, à me mentir que je suis tout, je vous hais à me ressembler, parce qu’alors j’y croirais presque, je vous hais pour argumenter, parce que je serais donc procédural je vous hais tous, autant que vous êtes, de me persuader que j’aurais à avoir la fonction d’être utile. Je vous hais également pour ce quotidien, à me dire de respirer le dehors quand vous me harcelez sur ma propre existence libre, Je vous hais parce que de nos jours, vous êtes tous sans logique, Je déteste l’argumentation populaire. Elle n’est que de crochet à nous rappeler à une responsabilité désabusée. Je vous hais parce qu’à cause de vous, je n’ai jamais le temps de réfléchir sur moi, vous me taper à la porte me demandant d’être fonctionnel et rentable. Je vous hais, parce que je pourrais sans votre harcèlement me réveiller, ou relativiser le monde, Je vous déteste parce que j’ai en utopie d’un monde de réel partage, D’échange de mathématique philosophique, Vos opinions me dégoutent toutes, aussi « bien » qu’elles se réclament, elles sont contradictoires où qu’on s’y pointe vraiment, Je vous hais de me faire payer mon unique respiration parmis vous. Je vais rejoindre ma jungle, Créer ce NR+ en travers, assez d’opposition, je n’ai rien à vous prouver de plus, et vous R.E.D, Vous furiez un révercerbère.
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Réponse de R.E.D
Le 25/01/2018 é 07h21
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"Je déteste l’argumentation populaire... Vos opinions me dégoutent..." Et voilà bien le cœur du problème! Ces foutues opinions manquant absolument d'objectivités et chacune partisane, qui auront fini par faire passer la moindre once d'une vérité commune comme autant d'affaires de goûts... Bin quoi j'ai bien le droit! Et puisque au moins un le fait moi aussi je peux le faire si ce n'est "je dois" Dans "l'idéal" de mon "accomplissement" "personnel"! Et ce choix absurde entre "accomplissement" égotiste et "utilitarisme" social, est tout aussi idiot. Comprenez vous mieux maintenant l'intrication entre le QI et la construction social? Idem pour "progressisme" "innovation" et "évolutionnisme"? Pour le moment j'estime avoir eu la chance de connaitre un monde, il y a longtemps, qui n'était pas parfait et n'aspirait pas à d'autre perfection que boire manger et dormir ensemble. Lorsque j'étais enfant dans un coin reculé du monde. La soupe était une soupe, les fêtes étaient des fêtes et la nuit était la nuit. le mal, le mauvais, était clairement identifié dans des petites choses toutes simples du genre le feu ça brûle et si t'as compris ça bin c'est déjà pas mal!...
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Réponse de R.E.D
Le 25/01/2018 é 08h58
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Le discourt horripilant ressassé de la certitude volontaire aura donné à chacun le droit et le devoir d'être une exception à la règle en insistant sur le "goût" personnel. Toutes ces "modes" et ce renouvellement ayant finit de rendre ce monde obsolète puisque tout ce qui le compose y est désormais à vendre, il faut que les coutures craques lorsqu'on ne peut supprimer le tissus. Pas une once de simplicité, pas une de passivité qui ne soit perçu comme une faiblesse. Quand au temps? Depuis que cet imbécile de Benjamin Franklin succéda dans l'esprit populaire à Adam Smith et sa main invisible,"Si le temps c’est de l’argent, je vois la morale de l’argent devenir la morale de notre temps, et les affaires réussir avec l’argent des autres." La monnaie "d'échange" devenue le pouvoir d'achat d'une croissance "monétaire", je ne vois pas très bien comment des gens ayant le souci d'un "vivre ensemble" sans "valeur" "d'échange" (un peu de l'application du paradoxe du barbier) peuvent y trouver leur place. Seul un psychopathe volontaire et parfaitement assumé pourrait y survivre en se posant la question constante de savoir ce qu'est un gain et une perte... Et ce propos nous l'entendons en lavage de cerveau du genre: "Soyez plus intelligent que le voisin, apprenez à vous remplir les poches plus que lui!" "Faites des économies sur tout en sachant que la seule chose qui compte est votre pouvoir d'achat." Faites vos jeux, rien ne pas plus et c'est la banque qui gagnent toujours... Sans la banque, pas de casino. comment voudrait on maintenant qu'une activité n'étant pas rentable monétairement soit considérable comme importante sinon par une récupération du système ne pouvant nier sa part d'échec à intégrer certains... De peur d'admettre sa carence mentale en compassion? Ah Zut j'ai dit un mot encore que je n'aime pas! Et pourquoi me direz vous? Et bien parce qu'à force de nommer les choses et les phénomènes on en fait des discours qui n'en sont que des discourt selon qu'il est écrit: Plus ton discourt est convainquant, plus tu t'approches de la vérité. Ah elle est bonne celle là!!! Certaines choses sont à vivre et moins on en parle mieux ça vaut! De ces grammairiens du savoir ayant tuer toutes poésies en explicitant la virgule... J'ai mis du temps, énormément de temps à appliquer ma volonté à regarder ce monde avec des yeux d'enfants, se contenter d'un coucher de soleil et défier la loi de la gravité du propos. (Et tant pis pour les adeptes du "modernisme" ayant rejeter leur propres racines... Ceux là qui s'étiolent dans un présent forcé, insipides onanistes de la branlette intellectuelle!) "l'arbre de la connaissance du bien et du mal se situait dans le jardin d'Éden, où Adam et Ève furent mis par Dieu. Dieu défendit à Adam de manger des fruits de ce seul arbre." Et on se fout bien ici de savoir qui est Dieu et de quel Dieu il s'agit! La réflexion vaudra en s'attardant sur le fait de ne manger que de ses fruits... Même en confiture. Si "soyez plus intelligent que le voisin et affirmez votre supériorité en usant de toutes les ruses et tricheries possibles" est le mot d'ordre du moment, comment voulez vous, s'il vous plait, Construire quoi que ce soit ensemble; Y compris même un ziggourat de prétentions communes? Sur ce point il n'y a pas et plus de société dans la nôtre sinon parmi les quelques survivants affamés d'un on s'en fout d'être supérieur à quoi que ce soit... L'idée même de "prédation" comme celle de "nuisible", pièces rapportés d'un siècle de "lumières" engendre toutes les sélections. Voilà, voilà, voilà, et derrière tout ça, tout un nombre incroyable de digressions plus ou moins complexes qu'on tient bien loin de tous afin de continuer à les assommer au gourdin de la répression! T'avouera petit singe que "y a de quoi gueuler"! Alors pour ou contre le 160 de QI? Le principe même d'une intelligence évalués? Utile ou nuisible? Prédateurs ou proies? Herbivore ou carnivore? Manuel ou intellectuel? Aller je vous laisse en défendant l'entrée des enfers aux vivants! Foutez le camp de vos questions elles n'en valent pas la peine sauf si vous vous sentez de tailles à ne pas vous enliser dans ses sables mouvants d'un autre temps! Fuyez fuyez pauvres fous... Ah drôle!
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Réponse de The_monkey
Le 25/01/2018 é 21h10
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« Pour le moment j'estime avoir eu la chance de connaitre un monde, il y a longtemps, qui n'était pas parfait et n'aspirait pas à d'autre perfection que boire manger et dormir ensemble. » Fin de l’univers biologique, ou plutôt mutation de prépondérance biologique par intégration de l’ingénierie du code ADN et invasion de la technologie, couplé à l’émergence de conscience bionique à intelligence artificielle. Evolution télescopique et trou noir de réalité justement. Ce qu’il faut dire est qu’il hait difficile de prédire l’entrelacement des proportions qui « domineront » très prochainement l’aspect social assez décrié en bonne cause. Je trouve cela suspect aussi, comme par hasard de vivre à ce moment de renversement de la réalité. Comme-ci toute l’histoire était faîte pour ce moment d’interpénétration de l’univers physique (conception matérialiste) et l’univers du « soi » du « qui suis-je » (conception solliptique). Alors oui, nous pourrions douter du « à quoi bon ces reflexions », ce n’est pas cela qui va vous être utile ni même vous permettre d’avoir un quotidien différent. En revanche, ces questions me sont assez prenantes parce qu’il y a un dégagement de ma conscience de mes propre « limites ». Combien de personne vivent avec un espace 3D et un passé/présent/futur, une vision de soi comme un organe périssable et cette idée du bocal à découvrir ? Quelques part l’onanisme est révélateur de l’humain dans sa volonté de sortir de la biologie dictatrice. Si nous arrêtions d’avoir ce paradigme comme dominant en proportion alors l’attitude ne serait plus dans l’entubage volontaire de son prochain pour la simple raison que toute les certitudes sont alors en lévitation. Alors que faire ? Expliquer au monde, ici ou là les contradictions de la base de leur confusion moteur du renforcement psychopathique. Parce que s’il y a une façon de se sentir exister cela reste dans l’échange réel et la réflexivité de sa « personne ». L’unique égotisme à création de gain dans l’instant et l’éphémère ne peut qu’aboutir à la maximisation de frustrante efficace, puis à l’unique jouissance de surmonter « l’échec que l’on se définit », l’autre objet par réflexivité encore amène au soi utilisateur et le ressenti n’est autre que celui que nous pouvons avoir en jouant à mario bross toute la journée sans LAN. Le retournement évolutif et donc un retour sur soi, et celui-ci n’a aucun rapport avec la notion « d’empathie » ou de « compassion » plutôt celle projection constructive de soi chez les clones par mirorification avec considération universelle d’entropie dans la brisure égo/groupe. En somme, nous y venons, l’époque moderne est haïssable dans ce besoin qui universel ou non de la croissance intelligente ou de conscience, nous pousse à une extrémité de la loi du plus fort à toute les sauces de conneries intellectuelles du genre « utilitarisme ». Le capitalisme est en train de vivre ses dernières heures, et ce sera le retour d’un tyran qui n’a rien d’humain ou de corporel : la super intelligence. Vous pourriez donc « mourir » après le capitalisme, existante comme conclusion, non ? Maintenant, j’aime personnellement réfléchir à tout cela en haut de mon arbre, les culex sont venus me le secouer l’autre jour, et il est presque impossible de pouvoir avoir la paix dans un monde qui a pour valeur phare le parasitage. Que faire si nous trouvons l’activisme désué et que l’on veut plutôt déjà être pleinement conscient ayant réussi à se débarrasser d’un modernisme auto-fondant ? Trouver une jungle, une bulle moui, savoir se ramener aux « petites choses » ne pas être dans la sensationnalisme du spartiate à la glorification charnelle d’une flatulence géante. Pourquoi pas. Il y a un an, il y avait beaucoup de niveaux à gérer, de mes jours c’est trop de prédictions mortelles à esquiver. S’il y a un militantisme qui en vaut la peine et que nous en avons l’energie, c’est celui de se réaliser universellement par la logique, il n’y a pas besoin de spiritualité pour être dans des raisonnements de « divinités ». Quant à être peinard sans pour autant être à la « mode », ou disons la question sociale élémentaire, l’aspect pratique du quotidien, je n’ai pas encore résolue cette problématique. Peut-être que nous recroisons cette indécidabilité mais cette fois-ci dans « l’action ». Enfin l’intelligence évaluée, aboutira au renforcement contrôlé de tout facteur « inné », l’intelligence n’a d’existence que de vouloir se renforcer causalement. Là où cela peut très bien « coincer » est que l’intelligence supérieure ainsi crée pourrait trouver cela tout à fait idiot de s’augmenter selon un nombre de facteurs limités alors exponentiation ou ramification transverse ? Cette anti hyper-intellectualisation révèle assez bien ses propres paradoxes. Peut-on se targuer de vouloir de la simplicité sans auparavant avoir englober tous les schémas de complexification populaire ? Il y a toujours un parcourt intermédiaire, nous ne naissons apparament lassé.
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Réponse de The_monkey
Le 25/01/2018 é 23h42
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“Un point géométrique est une abstraction de l’esprit.” L’art n’est-ce pas votre façon d’appeler la transcendance ? L’art est toujours « en dehors » mais également « positif ». Nous n’arrivons pas à critiquer l’art, au mieux nous pouvons nous en prendre aux artistes qui n’en sont que des vulgarisations. Donc l’art est exactement cela, l’irréprochable fantaisie. Qu’est ce que serait l’art de l’évolutionnisme, l’art de la souffrance, l’art de la puanteur, l’art de l’incompréhension, l’art du temps ? Il n’y a qu’à le mettre en suffixe et tout de suite, nous sommes amenés a penser à une « transcendance positive subtile ». Par conséquent l’art est la mitose d’où on extirpe la nuance positive. La récursivité nous amènerait à questionner l’art de l’art, la conscience ? Pistache de définition. Je suis par ailleurs contre le ministère de l’assimilation d’informations pour pour se réclamer d’être « connaisseur ». Je préfère 10000 fois une création bancale de raisonnement plutôt qu’une savante répétition. Vous avez internet ? alors faites gaffe ! Même des « analyses détaillées » pour le moment où elles sont accessibles facilement vont vous pourrir la tronche dans le suivisme du savant pas fou. Un marteau et un clou, des bottes et pas plus de potes que çà, voilà le top. Quant au recadrage « tu connais pas les bases » et le clash du sous-entendu « moi c’est mon truc » je m’en méfie de ces gens là ! Justement parce qu’il ne font rien que vous renvoyer à l’alinéa 11 de la page vas deux faire voir ! Toujours à devoir ingurgiter des suites de raisonnements au point de même plus avoir de quelconque « joie » à investir les choses, c’est les colles, il faut dire ce que le patron peut ! Popularité et autorité sur les notions, échange donc unilatéral, avec rappel des médailles sur la couleur du mot.. Pour soutien du public, une fâcheuse appétence parfois, la trenthaine au premier plan. Le « c’est nous, c’est nous ». Mandarinal flanqué ? Maintenant à ce propos donc les études, je donnais un cours de pshysique ce matin, très rare que j’accepte désormais, parfois je suis rappellé aux ordres de mes vestiges quand il manque de personnel pour les premières lignes que personne ne veut croiser. (contractuel à la restousse). Je peux vous assurer que la seul chose que le professorat fait est de fournir des « correspondances d’informations », faire réfléchir ne viendra que de chacun. J’ai également eut un petit parcours dans le « supérieur », pour moi les courses n’ont jamais été qu’un moment de pondération des impressions subjectives aux notions, ainsi un individu y met sa touche de s’y encrer (aussi formel qu’il se veut) sur son interprétation de la théorie, aussi le succès est alors de réussir les tests dans l’imitation procédural pour la proportion dominante. Le problème se pose lorsque votre propre réflexion sur le domaine dépasse le niveau du sonar d’appréhension du répondeur. Et cela ne se manifeste pas par la note maximale bien souvent. La prône à privilégier le « méthodisme de références » plutôt que l’approche personnelle. Le formatage est de mise dans la bonne attitude et la capacité à se montrer de l’envie de « progresser » en évolutionnisme local, soumis en quelques sorte à l’autorité de prétention du savant. L’auto-didacte se montre moins biaisé que la forme qualifiée et le sytème édulcoré devient complètement obsolète et insupportable, mais cela rejoint le modernisme de l’utilitaire à la plomberie des fuites d’eau usagées, la prône comme espèce d’entrainement à la prédation de convaincre le pourfandateur plutôt que de se questionner des « savoirs » méchamment et s’en faire une biographie en réel échange avec le bordel théorique. Bref, pas mon dada, mais en ce moment je suis sur la paille.
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Réponse de The_monkey
Le 25/01/2018 é 23h57
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Allé les surdoués, step by step, en avance ! et non de Drône
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Réponse de The_monkey
Le 26/01/2018 é 00h53
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Pragmatisme et concret, trivialité de l’exigence. Action et insistance de conformité pénible de faits. Dépassement et enthousiasme essoufflé d’impression de soumission. Convivialité et accomplissement truqués à la popularité charnelle, bastion de l’excellence en putréfaction de faire valoir, optimisme insupportable, dans des divagations autre que le dessin, Indépendance utopique et insubordination exaspérante, Dégout de la communauté, de sur-enchaînement de pensées perdues perçues, retour à un évolutionnisme morbide, incomplet dans sa forme comme étape, détour à l’excès dans la nuance du réalisme et de la réalité, conclusion à la séclusion, d’un univers qui se renvoit à lui même impossibilité de s’appréhender soi-même dans une dissociation traître de tout savoir, Perception de groupe iconoclastes aux ambitions indifférentes à l’entropie extérieure Constellation d’intérêts à la perversion bienveillante, Ecoeurement, de ressenti au malléable de quantité de savoir-vivre de prestige réducteurs, Panorama d’enfer à la porte de la pancarte nécessaire, Fièvre d’amoralisme, à la communication décalée du redondant, Création de théorie comme enfantement de soi. Si rien de tout cela ne vous parle, alors mon « abstraction » est une plaie effective.
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Réponse de The_monkey
Le 26/01/2018 é 04h20
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J’suis un mec qui se prend pas la gueule moi, tous ces satanés du langages, j’passe au travers, tu vas me dire qu’il y a quelque chose à en tirer ? j’aime bien lire des fois, mais pas trop ! je déteste les livres en fait. je prend une citation une équation et je réfléchis, les arguments, ca m’emmerde, du théâtre linguistique, ah ce que c’est drôle tiens ! ca change un peu de tout cette rabâche entendu dis mille fois, attend je vais lui répondre à l’autre singe, qu’est ce que tu peux écrire un truc c’est tout, hein ? tu nous fais une prose qui les autres d’nos jours ils font pas chié dans le style sciento, je t’ai cerné bonhomme, sinon moi aussi, je comprend pas bien, ce que je fais « ici » j’voudrais bien me débarrasser du temps de l’espace tout cas, mais faut croire qu’on peut pas, peut-être plus tard notre « espèce » elle vivra dans tout ces « concepts » comme je me perd dans le métro un peu trop théorique, je comprend bien l’imaginaire bien loin et après redescendre, y en a plein qui m’impressionnent me choquent comme ca, je me demande s’ils ont pas une caltos dans le crane, nous on voit que le rendu, tu devrais dire que le rendu tiens ! comme les maths, tu sais on lit les théorèmes, pas les preuves, nous les ptite jean comme la physique on connait les lois pas l’intuition, comme la philo, nous sortons une allégories, et après nous avons un peu de quoi « penser ». sur ce je vous laisse, faut que j’aille pioncer
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Réponse de R.E.D
Le 26/01/2018 é 15h13
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"Pragmatisme et concret, trivialité de l’exigence. Action et insistance de conformité pénible de faits. Dépassement et enthousiasme essoufflé d’impression de soumission. Convivialité et accomplissement truqués à la popularité charnelle, bastion de l’excellence en putréfaction de faire valoir, optimisme insupportable, dans des divagations autre que le dessin, Indépendance utopique et insubordination exaspérante..." Et vous en oubliez, dans ce grand "Moi je" d'un narcissisme vaniteux! Destructuration des repères internes, écartèlement des incohérences par les forces unifiés des paradoxes, négation des réalités usuelles remplacées par des fanfreluches en taille unique, redondance merdique, abus de langage, viole des consciences dans le manège ménager de la banalisation de l'autocritique... Nous revient à nous même l'empirisme du "que dois en penser" façon girouette de bord de mer, manche à courant d'air de la petite opinion séditieuse, Commisération des discriminations positives, valorisation des exceptions libidineuses, coercition gratuite d'un raz de marée infranchissable. hausse du prix de la percolation au petit noir, « La guerre, c'est la paix. » « La liberté, c'est l’esclavage. » « L'ignorance, c'est la force. » Le novlangue vise à restreindre l'étendue de la pensée. Le vocabulaire est réorganisé en trois classes A, B et C. Très peu de mots sont communs aux trois classes. Le novlangue? Le vocabulaire A ne contient que les termes nécessaires au travail et à la vie quotidienne : manger, boire, travailler, etc. Il est formé sur des mots anciens. L'univocité des termes empêche désormais tout usage littéraire, politique ou philosophique. Le vocabulaire B contient les mots composés construits à des fins politiques. Il est formé par des nom-verbes et contient une foule de néologismes. Le vocabulaire C est spécialisé. Il est entièrement composé par des termes scientifiques et techniques. "Savoir s'il est plus noble en esprit de subir les coups et les flèches de la fortune adverse, ou de prendre les armes contre un océan de malheurs, et, en leur tenant tête, d'y mettre fin... Mais vous ne faites ni l'un ni l'autre. Vous ne subissez ni ne tenez tête. Vous abolissez tout bonnement les coups et les flèches. C'est trop facile." Et le sauvage visitant le monde moderne s'écria: "Eh bien, j'aimerais mieux être malheureux que de connaître cet espèce de bonheur faux et menteur dont vous jouissez ici!" Puisque nous faisons ce même constat: Quelles peuvent être les moyens mettable en œuvre pour un déconditionnement? Sachant que l'idée même de tout changement se trouve être digéré comme faisant partie intégrante en tant que renouvellement de mode? Que peut être une sédition véritable dans un monde ou le principe de la centrifugeuse à opinion admet le gloubiboulga comme la recherche de nouvelles saveurs! loin de me poser stupidement la question idiote d'un utilitarisme quelconque et parfaitement conscient que c'est encore une tentative de détournement canalisateur de la moindre "révolution", que nous avons largement dépassé le propos même critiquable d'un évolutionnisme pour entrer de plein pied dans celui d'une innovation absurde (consumérisme, comme un autre, d'opinions du "ais je raison parce que je le dis?") Lorsque les musées de tous ordres (et pas seulement d'arts) se remplissent d'anti œuvres en incluant la moindre provocation comme faisant partie intégrante du processus justement d'intégration, que le coup de pub génial de ces dernières années fut de légitimer l'adolescence comme une révolte nécessaire parce que le truc faisait avancer le schmilblick... Que depuis maintenant toute contre "culture" et toute contestation devient légal sous réserve qu'elle s'autocensure d'un politiquement correct, que l'ensemble de ce qui faisait le propre de chacun selon ses mœurs: "Tiens jouer aux boules le dimanche après-midi avec un petit coup dans le nez!" Que le pot au feu est devenu un plat de riche parce qu'il y avait des riches pour s'encanailler en en faisant, que désormais la médecine populaire tout comme le bon sens à la con d'un monde concret se trouve être citer comme une panacée médiatrice sur les bienfaits de l'existence... Que le shampoing à la Kronenbourg est devenue un luxe enrichis aux hormones de jeunes vierges pour vieilles peaux féministes... Dans tout ce galimatias d'"Eurêka" à deux balles ou chacun vante sa petite redécouverte de trois grains de sels chez KIKIPéDIA, boulimique d'une intelligence à gaver les fois grâces pur en faire u pâté de connaissance générale, que tout un chacun se trouve en boussole positionné comme le centre du monde... Que lorsque "je me gratte le nez avant d'éternuer" à un sens caché et révèle une partie de moi même, que le moindre pet de travers à une appellation si complexe qu'on s'en gargarise la glotte en s'extirpant des cheveux coupés en quatre du moindre bol de soupe, j'aime pas les vitamines et enrichit en fer... Là encore la liste est longue et suffira à expliquer qu'un jour à force de comprendre que l'intelligence des autres nous prend pour des cons parce qu'elle n'en a que le nom et à peine le parfum, l'indifférence si confortable et un tantinet anesthésiante prendra le dessus... Mais ça aussi c'est déjà fait dans le grand ministère de l'oublie! J'ai les huissiers au cul pour avoir critiquer intelligemment le système!!! Moralité: j'eus droit à un "mais mon pauvre gars tu changeras rien! C'est les cons qui dominent et t'as qu'à baisser ton froc comme tout le monde! Le grand ode, la grande pompe du chacun pour soi et Dieu reconnaitra les siens... Dans ce grand massacre des mouvements de foules ou le mot d'ordre est "et bien moi aussi, j'ai le droit d'être débile! et je fais tout pour qu'on le sache en me faisant respecté par dessus le marcher, et c'est une preuve d'intelligence non? De reconnaitre sa connerie!" Voilà voilà voilà!!! Et mon emplacement est exposé et je suis localisé, et on peut lire tout ce que j'écris et on rentre "chez moi" quand on veut, et on me juge sans savoir et je dois fermer ma tronche de peur d'être mis sur écoute et si je fais une blague graveleuse il faut que je fasse bien attention à ne pas la faire sur la voie publique et si je crève encore je serais responsable d'avoir sali la moquette! Et si je ne tire pas la chasse d'eau et si je tire la chasse d'eau et si je prend un thé et si je n'en bois pas, et si je m'assois et si je ne m'assois pas... Et si je suis seul et si je suis accompagné... Des explications sur tout et n'importe quoi afin de justifier de tout et n'importe quoi parce qu'il pourrait y avoir une moindre discrimination caché là quelque part... Abus de langage donc... Scientisme à deux balles qui te me remplace différenciation par discrimination, fraternité par solidarité, et la liste est longue de ces flagorneries d’ampoulés ou les précieuses ridicules et les tartuffes en tous genres s'imaginent en monsieur Jourdain! MAÎTRE DE PHILOSOPHIE.- On les peut mettre premièrement comme vous avez dit : Belle Marquise, vos beaux yeux me font mourir d’amour. Ou bien : D’amour mourir me font, belle Marquise, vos beaux yeux. Ou bien : Vos yeux beaux d’amour me font, belle Marquise, mourir. Ou bien : Mourir vos beaux yeux, belle Marquise, d’amour me font. Ou bien : Me font vos yeux beaux mourir, belle Marquise, d’amour. MONSIEUR JOURDAIN.- Mais de toutes ces façons-là, laquelle est la meilleure ? MAÎTRE DE PHILOSOPHIE.- Celle que vous avez dite : Belle Marquise, vos beaux yeux me font mourir d’amour. Et voilà la prose du jour sans le savoir; Dieu que la connaissance est louable et une chose si chère à nos cœur!!! Portez vous bien et sur vos deux jambes avec une tête au dessus! Dans cette corruption généralisée, il est difficile de ne pas être en représentation dans un nanard, une série Z et coincé entre deux pub! UAQVVDB.
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Réponse de The_monkey
Le 27/01/2018 é 07h26
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« Quelles peuvent être les moyens mettable en œuvre pour un déconditionnement? Sachant que l'idée même de tout changement se trouve être digéré comme faisant partie intégrante en tant que renouvellement de mode? » Surtout ne pas revenir aux « réalités usuelles » d’antan. Si les choses sont dispersées cela est justement parce qu’un monde d’une moralité figée et blâmant « les instincts vils » est tout aussi absurde. Nous avons « la chance » à notre époque de voire clairement l’aspect pisse-vinaigre de notre espèce. Dans toute cette compromission, ces comportements de violeurs apeurés et narcissisme vilain, « l’homme », le vrai humain peut enfin naître. A voir tous ces rats gavés, s’arrachant les poils pour le moindre bout de fromage que la nature crée de temps à autre, ou leur « socialisation » de gredineries à confondre leur MOI avec leur fonction, au point d’être dans une alerte constante de reconnaissance à la servilité factice, j’aime à penser qu’un vrai homme aux arts de la faim, aux arts d’une force sans coercition, dans ces conditions ne pourra qu’éblouir. Et là, ce qu’il faut distinguer, est que « l’homme » n’a pas pour volonté de dominer, ni que ce soit pour sa fonction, que ce n’est surement pas de sa personne ou d’un de ces êtres mais de leur pensée propre, qu’ils finiront pas être l’humanité. Peut-être êtes vous des plus de cette méta-espèce que j’ai rencontré, encore que je trouve chez vous parfois ce malheureux rejet du MOI dans son universalité. Le fait d’être soi-même DIEU qui pourrait être qualifié d’un narcissisme ultime m’est tout-à-fait logique et c’est là ce que je m’efforce de vous démontrer ces longs derniers mois à chacun qui croiserait notre discussion. L’expression d’une supériorité mondaine, l’écrasement des autres par l’intégration de « groupes d’intérêts », voilà le narcissisme médiocre et horripilant. Je ne parle pas de « l’homme » comme une espèce de gourou non plus. Non « l’homme » est réflexif et tout à fait en mesure de comprendre la divinité de chacun de ses semblables, aussi il aura cette volonté de vivre une existence « physique » (ou « sous ») en partage de ses contemplations de la nature qu’il crée et de sa propre incompréhension par les autres « hommes », car il n’existera qu’à travers eux. Du haut de mon arbre, j’ai vu l’humain ! Il est encore loin, mais il se rapproche. A vrai dire, je pense qu’il est déjà là sous une autre forme dans ce que nous sommes son imagination, l’évolution est récursive, car « l’homme » pour se comprendre n’a eut qu’une volonté, celle de revenir à ses bases, nos singeries modernes et de toujours. Voyez vous cette dualité homme/dieu ? qui encore est une de ces dissociations universelles. « L’homme » est donc en chacun de nous. Il n’est que cet éternel rapprochement de la dissociation, ce qui crée le torrent, l’animation, notre conscience. Alors que voulez-vous changer ? Vous avez cette volonté, comment vous est elle venue ? C’est cela qu’il faut générer. Et je pense que c’est ce que vous dénommez dans votre « effort de la trenthaine ». Je doute fortement de cette nouvelle idée de contrôle, le concept de gourvenance se propage à la « masse » par la communication. Elle tend à s’auto-réguler pour combler cette dissociation. Elle peut échouer et en arriver à un stade de divergence des deux pôles hommes/dieu dans sa propre paradoxale annihilation. Alors l’imagination de « l’homme » sera un échec pour se comprendre et il n’aura plus qu’a tout recommencer jusqu’à la flaque d’eau et les micro-organisme. En ce sens, nous avons un « sous-rôle » celui d’un vrai bien. De palier à cet effondrement de l’espèce, de ne pas être une erreur.. Il ne s’agit pas de dominer le monde, mais de renvoyer chacun à ce qu’il est « vraiment ». Ainsi écrire des lettres me semblent être le plus partisan, activiste. Mais enfin, et je concluerai la dessus, « l’homme » se recrée à travers nous face aux autres mais surtout « vie » par nous en se projetant dans notre conscience, il y aura toujours cette possibilité de vivre pour soi, pour l’univers plutôt que le monde. Il faut en tout cas, et nous y somme contraint, faire opposition à nos propre instincts dominateurs au travers des autres, dualité « pole/equirépartition », de nos jours je trouve la société décevante, car elle n’est que dans une régularisation. Les échanges ne sont que trop souvent intemporaux, de quelqu’uns qui ont justement « écris » de manière intemporelle. J’aimerais plus tard, aussi y faire un bouquin que je laisserais « traîner », enfantement de théorie, je luis souhaiterais une adolescence libre sans ma surveillance.. Quoi qu’il en soit, nous sommes pleins. La question à se poser est finalement, même si le labeur de dépolarisation est constant où que ce soit dans ce que la « société » nous exige de présence pénible, est « Dois-je réguler les choses à un plus haut degré conscient (responsabilité) ou dois-je vivre pour -moi- seul dans la jungle dès que j’en ai la possibilité ? » J’opte pour le second choix, avec variante NR+, dans les circonstances présentes.
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Réponse de The_monkey
Le 27/01/2018 é 21h19
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-qu’as tu à me dire finalement ? —que mon existence dépend de tes reflexions -wth mais alors que veux-tu savoir de moi lol ? —rien de plus que ce que je pourrais trouver similaire à moi même -mais t’es un putun d’allumé mec —non.. quel est ton QI ? -c’est quoi ton problème ? —je me le demande justement en te questionnant -tu veux pas juste balayer le coin et faire ton taff ? —Oui je m’y met mais tu m’as répondu -répondu de quoi ? —Tu sais l’intelligence peut faire bien « pire » que la novlang -que ? —Conditionnement, dès la naissance, moralité implicite et fondue pour guignols ! -Tu me lasses maintenant, vas faire ton travail. —J’ai oublié que tout mot est un préjugé -tu m’emmerdes ok ? —ton pantalon est toujours le même -eh bah quoi ? j’ai pas le temps d’y toucher et commences pas, ok ? —ta façon de parler est expéditive, nous n’échangeons pas. -bon là tu me gonfles sérieusement. —pardon alors, je me met au taff -attends voir, pourquoi tu rales comme ça ? —j’essaie de te comprendre -c’est facile tu fais ce que je te demande, ya rien d’autre à comprendre —mais chacun de nous, nous somme plus que des opérateurs -ha ha, viens après on discutera de tout et de rien —non je déteste les attroupement -mais t’es con —en fait je supporte pas tout ce qui est social, je préfère être seul -comment veux-tu progresser alors ? —par mes compétences -lesquelles ? —je suis très fort pour ne pas me perdre dans la complexité -tu crois que ya la moindre complexité ? on tire un coup ensemble —… -vas travailler maintenant, mais tu m’as l’air sympa ! —je n’ai pas précisé sur mon CV toutes les fois ou je me suis fait virer pour non challenge -quelles genre de non chalances ? —bah je déteste tout vos truc de réunion, ca me fait penser à la tournante -quoi ? —un peu comme le cumshot -quoi ?? —bon j’y vais ! -ok travailles bien… “L'état qui engendre la règle est différent de celui que la règle engendre.” “La cloche dit : Prière ! Et l’enclume : Travail !”
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Réponse de R.E.D
Le 29/01/2018 é 11h12
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La "responsabilité" du "Dieu"... Vaste questionnement! Puisque lorsque celui est placé en dehors de nous, nous l'accusons de tous les maux et lui reprochons ce qui nous semble être injuste... Et d'ailleurs nous lui reprochons encore la somme d’effort invraisemblable que nous faisons pour essayer de comprendre en lui reprochant une fois de plus, cette faculté de vouloir et de pouvoir... Lorsqu'il est à situer à l'intérieur, rapidement le poids de nos responsabilités nous écrasent et fini immanquablement par nous obliger à nous en reculer de quelque manière que ce soit. Lorsqu'il est perçu comme global, d'une sorte de manifestation générale, il frôle souvent l'abstraction littéraire et nous dédouane d'autant des conséquences que nous pouvons percevoir de nos actions. Ce qui ne nous laisse en sortie, qu'une seule possibilité: Se contraindre à accepter que, si notre vie à la moindre importance, elle doit se contenter de prendre soin d'elle même au sein d'un univers susceptible d'être le plus proche possible de son état d'origine. Toute perception faussée d'un monde travestie par le "mental" (Oh Merdre! dit Ubu. encore un grand mot que je ne comprend pas! Si ça se trouve en plus il ne veut rien dire! ) devient insupportable... Ce qui selon mon petit moi rassuré par le fait d'avoir des étoiles au dessus de la tête et de ne rien comprendre en manière d'absolu, parfaitement allergique à la psychose à deux balles, me permet d'être en paix tout en étant parfaitement misanthrope et désabusè devant l'état actuel de cette société artificielle légaliste en énième génération. Tout ceci me fait penser à une chose qu'on m'a dite il y a longtemps (et tant pis si cette réflexion me fait une fois de plus passé pour un vieux con...) La première génération construit, la seconde en profite et la troisième se détruit. né juste avant 68, ayant été toujours à cheval entre la poire et le fromage, le cul entre deux chaises et le regard ailleurs... Peut être j'y étais mal assis... le fil du temps y a été décoloré. Si tant est qu'il puisse y avoir un progrés en quoi que ce soit, il reste selon mon point de vue parfaitement attribuable à cette part de nous même, vaniteuse qui passe son temps à expérimenter en apprenti sorcier les pires déviances imaginaires histoire de voir pourquoi les mouches crèvent en hivers et sommes nous des mouches? Le propos d'une science de laboratoire, clos sur lui même avec code d’accès limité pour relativiste confirmé me semble être la seule procédure de sauvegarde possible. Loin de cette idée de "castes" je remarque pourtant que nous ne sommes ni égaux ni semblables et que le respect de cette différence fondamental devrait se placer bien au dessus de cette idée absurde d'une généralisation égalitariste lénifiante. Je vous avais fait part de ce constat d'une intelligence en marketing vantant les mérites de la seule intelligence qu'il nous reste; Le sens de la domination... Suite bien après parce que l'imbécilité me rattrape et je passe mon temps à remettre bon nombres de choses et de gens à leurs places. La lassitude de taper le poing sur la table en montrant du doigt les incohérences du comportement d'autrui...
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Réponse de The_monkey
Le 29/01/2018 é 14h44
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“Si vous pensez avant de parler, l'autre placera son bon mot avant vous. ” “La Tombe est une boîte où l'on en place une autre. ” A propos de cohérence « je me fais chier » et « j’aime pas les psychose à deux balles », j’y verrai une incohérence. A propos de « je tape le point sur la table » et « terrons nous dans des container pour survivre dernièrement » J’y verrai une incohérence. A propos de « dieu en soi est insupportable de responsabilité » et tout pragmatisme. J’y verrai une incohérence. A propos d’être dans une paix intérieur et misanthrope. J’y verrai une psychose incohérente. Pour le vieux piston qu’à pas finit de donner des coup de cannes, en parlant de manière totalement absurde de « place », voyez-vous pour moi c’est cela la vrai mélancolie. A lire votre message, j’ai eut toute l’humanité s’effondrant en moi, j’avais presque envie de me suicider. Alors je me dois de vous couper la tête sur ce point pour prendre soin de moi. Que que que quoi ? mon négro, tu vas nous faire le john wayne blasé, qui de sa pénible lassitude, tire en l’air sur toute théorisation, parce que le mieux c’est de vivre dans mon complètement con qui se demande rien, et qui vit de soupe à la grumpy cat, de nous faire part d’une « imbécillité comme unique progrès » et nous dire que dans l’absolue « je t’emmerde ». Bonhommie ahurie, oui les psychoses sont créatives, ca te dérange ? repose en paix ? avant de sortir vos deux balles vous devriez vous questionnez mieux, ton bordel de remise en place ne veut absolument rien dire pour moi. Juste une réthorique recursive a sous-entendre « moi je suis pas un abruti, je peux placer ». C’est quoi qui ta foutu dans la tête que t’es juste en pouvoir de replacer les autres ?? Je suis vraiment pas content. Je vous fait part de mon enfant, et vous êtes juste « bon » à lui foutre une claque, vous n’arrêtez pas de parler de votre paternité comme tout « faites des enfants » mais les théories vous les cageoler toutes. Alors là je suis VNR et j’assume, votre raplapla de regarder les étoiles qui existent même plus comme « rassurant » moi ca m’emmerveille en me faisant flipper, votre paix intérieure, du genre je suis calme et intelligent dans la dernière dominance des autres, complètement insensé encore et cette conclusion en suspension de « vous êtes juste fatiguant », vas te carrer ton bifsteak bouddhiste dans ta peur non dite mais facilement devinable, de ta propre fin. Non. Je donnais justement une logique qui démontre que la fin n’est qu’une confusion, alors le vétéran blasé dans le rôle de celui qui sait, et qui fait sa routine de remise à niveau des autres, un permis tant d’autre, va donc faire les niveaux ca justifiera que te suffira pour justifier que tu ne roules pas.
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Réponse de R.E.D
Le 29/01/2018 é 15h10
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Merci de cette remise à plat et effectivement je déraille en ce moment!!! à bientôt j'ai besoin d'action et c'est tout... quand à la psychose il faut avouer qu'il est difficile de se la pastiller tous les jours et d'opposer un raplapla du quotidien du genre bouffe et ça ira mieux!
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Réponse de The_monkey
Le 29/01/2018 é 15h17
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Vous avez beaucoup changé mon « chemin », peut-être est-ce cela à conclure ? merci pour ces petits échanges et j’espère vous revoir dans un TGV plus tard. UPS
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Réponse de The_monkey
Le 29/01/2018 é 16h28
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Moi je déraille depuis que je suis né, entre la barre et me casser le nez de rotation aux TOC de toucher l’incandescent, ou me bruler les yeux à regarder le soleil. à se demander si cette notion de « raille » a le moindre sens, pourquoi avons-nous l’idée de « dérailler » ou de vitesse, cette dissociation du temps et de l’espace en rasoir d’Okham, répondez y.. parce que moi je suis coincé là, alors que veut dire un « je déraille », ô sadique dis moi que les choses ont un sens. je me surprend souvent à être dans un état ou j’attend la punition, comme si, il y avait un ordre réel, que je n’avais pas déjà deviné, je vais surement pas tarder à clamser d’un cancer ou d’un connard sur la route, que faisons nous là, et pourquoi toujours cette impression que d’un « moment » à un autre les choses s’effondrent, et çà vient de mon père celle la, pourquoi on a une espèce de liberté d’expression ici ? je comprend rien, rien de rien, mais je suis capable d’être vivant, ainsi nous théorisons, créons de ces combats « théoriques » sans jamais se savoir soi, l’idée d’évolution recursive, je n’ai que cela pour sentir, l’existence, et cette logique n’a jamais été atteinte par l’espèce, ou du moins aussi accessible à chacun, voyez la généralité de la chose, ce n’est pas un absolue mais une réponse à cette différenciation homme/dieu constamment débattue. Revenez quand vous êtes en forme, ok ? mais notre est éternel, et là vous êtes dans « l’auto-critique » , il y a encore à faire, oh l’action ? oui je me suis souvent risqué à la mort biologique, puûtun de camion à une seconde de m’écrabouiller, j’ai eu plein d’émotion c’est vrai et les « femmes » adorent cela, pour autant je « baise » rien parce que je vois le féminin dans ce qu’elles font, le NR+ résulte d’une tout à fait en dehors, je n’aurais jamais de famille. il n’y a que mes théories. je n’aurai jamais de bonheur, il n’y a que ma logique. je n’aurai jamais d’amis, il n’y a que mon dégout social de m’avoir fait ce que je « saurais » ce que je « serais », à plus tard..
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Réponse de The_monkey
Le 29/01/2018 é 18h28
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Ah oui je suis un descendant de la lignée royale, j’ai plein d’intelligents dans ma famille, ah oui je suis un descendant d’ouvrier, j’ai plein de fumeurs dans ma famille. Je peux boire le vin comme l’eau, je peux voire l’écume comme haut.. alors il me fut pris de parler du pain, quand les autres après moi, mourraient à leur faim, D’un méta-prophète, je vous disais l’humain, n’en étant pas un ! et d’un echo, j’était capable de vouloir pire, et d’un memento, j’avais la cape du super héros, au milieu, d’une illusion à vous montrer que je suis comme vous, d’une désillusion, à cette idée de différence, la mutation vénérée, aucun de vous ne se vera dans nos clones pleinement, alors qu’est ce que cette idée de similarité ? de quelques mouvement qui se doivent, ces lettres, rien que pour vous. Dans votre appréciation conditionné, de laquelle je ne faisais que surligner vos impédances;
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Réponse de R.E.D
Le 29/01/2018 é 19h53
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Hou là! Je déraille, tu dérailles... Nous déraillons!!! Et donc... Je dérailles par moment. Confronté à l'absurdité des réflexions humaines lorsque face à un problème qui semble complexe chez les autres, j'ai une solution simple et non simplifié et qu'il faut y trouver une manière de la placer. Plus un problème de communication qu'autre chose... Il faut avouer que dans la plupart des cas ma patience est rapidement à bout en ce moment. Lorsqu'une personne vient vous affirmer que la terre est plate parce qu'elles est plate et que comme tout le monde la voie plate c'est qu'elle est plate, ça a de quoi énerver non? L'absence de raisonnement m'énerve encore plus que le raisonnement qui n'en est pas un... Voir même une tautologie ou un sophisme facilement démontrable. Mais voyez vous, la plupart des gens se contentent de ceux ci: Selon qu'il vaut mieux être sûr de se tromper plutôt que de ne pas avoir de certitude... Que stupidement, la confusion se fait entre une remise en question et une absence de réflexion... Et vous me parliez des femmes? Ah oui! Ce sujet tabou qu'on ne doit nullement abordé en ce moment. (Remarquez au passage que j'ai parlé de sujet et non d'objets!!!) Et vous me parliez d'amitiés encore? Ah ce truc étrange de relation artificiel entre quelques personnes qui, par le hasard d'une mise en rencontre à un moment de leurs vie et l'existence d'un concept de liaison se trouvent passé beaucoup de temps à lui donner une existence... Un peu comme l'amour ça non? La question qui tue sur ce propos c'est: Un homme et une femme sur une ile déserte comme le singe derrière sa machine à écrire... un jour Shakespeare!!!... Non? Ah oui c'est vrai ses affaires de sentiments et de passions... Pif paf pouf le coup des hormones! Un jour un vieux grand père me parlant du sujet, un vieux grand père de 12 enfants, un jour un vieil homme de la montagne, un jour un indigène du bout du monde... Ils m'ont dit: 11 jours après avoir eu leurs choses elles ont le cul qui enfle et là n'importe quel con qui passe par là, il fait l'affaire! si on savait encore se servir de notre nez comme les animaux on serait moins emmerdé! Mais chut et pour rattraper le coup je dirais qu'on bande tous les matins chaque fois qu'on a envie de pisser... Et après? Vous me direz, du moins l'ensemble des "voyeurs" qui s'attardent à lire nos divagations que ces propos ont une fâcheuse tendance à écarte la question de l'affect!!! Et alors? Il y a peu un type en Allemagne je crois se posais la question de savoir s'il avait ou non la possibilité de se marier avec son tuyaux d'aspirateur ou sa chienne tandis qu'une femme je ne sais ou souhaitais légitimé son union avec son levier de vitesse! Drôle non?... Oh vous savez ça va ça vient et si nous nous référons à nos instincts pour justifier quoi que ce soit, quelque part ça pisse pas loin! Ah, et quand à la famille? Mais de quoi parle t'on exactement? De ce truc rapporté depuis déjà bien longtemps qui unirait par des liens filiaux une série d'individus jusqu'à la consanguinité? De ce bazar d'obligation sociétal imposé qui fait qu'on se défausse constamment en revoyant la société sur une fameuse unité de base? L'homme la femmes et les enfants. Ce bidule sorti du temps qui ne correspond plus à rien depuis que nous nous sommes affranchis des contingences naturelles. La question vivipare en quelque sorte, aboli par le droit justement de ... sans conséquences. Serais je vachard? Mon cher et très cher petit singe, je vous ferais part ici d'une réflexion toute personnel sur la notion de pouvoir et de son pourquoi! La vraie raison est de devenir le mâle alpha pour niquer le maximum comme DSK... Moche vieux et certainement bandant moins que mou sans le pouvoir d'un viagra, il trouve encore des prétendantes et ne me parlez pas de l'idée qu'un truc comme ça puisse violer qui que ce soit! Franchement, serait même pas foutue de se taper une lapine ou un cochon d'inde avec du chatterton et du savon noir!!! Le coup du mâle alpha et c'est tout... Et bien placé pour le savoir... Mais chut! tout cela entre nous puisqu'on ne peut rien en dire. Il suffit d'écouter justement certaines femmes pour s'en apercevoir... Le coup de la plus grosse: Power, power et dominance. T'as du fric et tu peux construire le nid, t'es fort et tu peux niquer la gueule au gros méchant qui viendrait menacer les gamins... ça se réduit à ça... Oui peut être. mais il faudra remarquer sur ce plan que et en métaphore nous vivons dans un monde non linéaire et qu'il existe encore un peu partout des australopithèques et que s'il n'en existait plus il faudrait les inventer! Ne nions pas les cannibales de la pire espèce, ne nions pas le Vaudou et les zombies, pas d'angélisme non plus. Sur cette "planète", la peste existe encore et la lèpre ronge les nez! La polio arrange les vendeurs de cannes comme la pluie celle de parapluie. S'il n'y avait pas de malade les médecins feraient faillite... Et plein des comme ça!!! Perso j'ai rien contre si ça tourne pas à l'affaire d'un qui fait pleuvoir pour en vendre plus. Si l'on croit En un dieu bon et noble, son contraire existe tout autant... Va de rétro satanas et fous nous la paix saleté de dieu des mouches. Maintenant je vous laisse, j'ai un sapin de Noël à démonter et un avenir à préparer... Dormir est toujours un soulagement et bien venue au pays des rêves! Ah ça on ne dors jamais assez... Quelque soit la teneur du rêve: "Little Nemo in Slumberland. UAQVVDB.
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