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J'ai un QI de 160. Que puis je en conclure ? - Page 45

Question anonyme le 13/02/2011 à 15h42
Dernière réponse le 04/05/2024 à 12h05
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J'ai un qi de 160 et j'aimerais savoir qui suis je ,que puis je en conclure concrètement ?
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1056 réponses pour « 
j'ai un QI de 160. Que puis je en conclure ?
 »
Réponse de The_monkey
Le 30/01/2018 é 08h06
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J’y ai réfléchis à cette idée de male alpha. A mettre rapidement en lien avec la morale biologique (en dualité avec l’artificielle). Toutes ces relations ou y sent la logique de l’autre dans cette idée d’être alpha(une définition mental finalement), et là vous êtes un objet. Le seul but étant de créer l’excitation feminine au travers d’une « nuance », qui effectivement, peu importe l’age, la masse osseuse vous laissera des prétendantes. Le paradoxe donc, dans cette attitude de dominant, la seule façon d’apprécier la féminité est le rapport efficace (d’où la concentration sur la fertilité). Et alors, après le coït, il n’y a plus qu’à vouloir celle du voisin à la poitrine plus prononcée ? Le « male alpha » se retrouve dans un incessant besoin de prouver sa domination, et voici les addicts, réducteurs de l’humanité, qui pervertissent le « bien ». Il y a une autre possibilité d’appréhender la féminité qui n’est pas frustrante, cela demande de renverser les choses et beaucoup de cognition en somme, mais puisque c’est tabou, que le sex masculin (doté d’un trou !) voudra faire dans l’implicite, dire « je veux dominer, est le meilleur moyen d’échouer, il faut aller tuer l’araignée et montrer son rôle d’esclave dominateur des autres mais dominé de la femme », Ce ne sera que rarement atteint sans un monde de « surdoués », pour en revenir au sujet. Cet implicite fait que cela semble l’important « l’enigme sociale », un peu de raisonnement et on s’emmerde vite, sans avoir cette volonté des lors qu’on fait le passage de la polygamie et de son opposée. « Ne dépouillez pas la femme de son mystère. » Parce que vous y verrez des fonctions inversées, le féminin allant vers le masculin est créant ces pôles attracteurs violents dans l’énonciation de « nuances » des couleurs masculines, au point que même la « belle femme » devient un parasite. La colère du genre, celle-ci est profondément « mauvaise » pour en revenir à une citation d’antan. Le male alpha en devenir d’un sex toy. Puis la notion de famille etc. Dame de coeur, et tous ses malheurs. La notion de dame de pic (renversée) qui est celle conscient des « instincts » des autres de son genre et surtout de ses propres instincts, est en mesure d’un réel échange. Alors l’épopée DSK, n’est qu’une vilenie dans ces « dominations », pour violer il suffit de forcer l’autre à lever les fesses, pas besoin de muscles. Ainsi une sorte de « jeu politique » laisse le doute, quel est la réalité des faits ? Pour sûr un échec et mat du favori. Les gens s’auto-régulent, et nous avons un peu d’air par cette « dynamique impersonnelle », cette dualité « homme/femme » ou cette dualité « domination/attraction », encore une bipolarité de l’univers. Etant, moi, libre de ces instincts par la réflexivité assumée, je ne suis que plus tourmenté de « dérailler », j’y perçoit la logique des « liens » et parler d’amitié comme un amour réel, c’est surement plus que l’amour au sens moderne toujours lié à cette pénétration, alors que la réalité est l’inter-pénétration. La question du genre donc et de ses interactions, après reflexion et du recul « vraiment troublante de dualité de force, de contre force, de dissociations et d’attractions». Ce n’est qu’un indice pour l’ultime allégorie, vous n’avez toujours pas répondu « comment nous dissocions l’espace et le temps ? ». J’ai l’impression d’y être presque à me comprendre. Avez-vous déjà entendu ce bruit de ferraille qui nous ramène à l’univers notre soi d’un dedans ? Quoi qu’il en soit peut-être que certains réguliers de la pub du QI se doivent d’une pause..
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Réponse de R.E.D
Le 30/01/2018 é 10h05
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Bien sûr que le coup du mâle alpha est une pièce rapportée! C'était de l'humour un peu décalé relevant simplement d'une observation sur ses conséquences actuelles et circonstanciés... Ou comment détourner, avec des théories fumeuses, la lutte des classes pour inséminer la zizanie. Si nous reprenons un peu notre histoire contemporaine nous tombons automatiquement sur le propos de "classe". Remettre sur le terrain Simone de Beauvoir et Jean Paule Sartre dans leur contexte. Glissons y l'intox du Sida et la vente des capotes, les "crises" économiques et l'achat compulsif... Il me semble que, fin comme vous êtes, et sans vous lancer des fleurs... Pas la peine de développer! Tout ceci devrait être acquit mais ne l'est pas puisque là encore comme bon nombre de choses actuellement échappent ou sont cachés. le propos de la déculturation issue d'un "situationnisme" mêlé étroitement à "l'existentialisme", ceux ci posé comme terreau d'un nouveau jardin, devrait vous amener à reconsidérer le marcher de dupe du néo libéralisme... Non? Si l'on greffe nos vieilles histoires évolutionnistes à la Galton... le problème du décryptage est résolu! Pas la peine d'aller voir plus loin pour parler du présent. Maintenant l'espace et le temps: ou le propos de la vitesse. La définition des trois facteurs rentrant en jeu dans cette histoire n'est pas très clair il faut quand même l'avouer!!! Il suffira d'envisager l'incertitude sur chacune des définitions pour s'apercevoir qu'on en vient ) à peu prés au même type de raisonnement que le temps existe puisqu'il y a une horloge pour le mesurer! Si l'on considère qu'on mesure le temps en constatant un déplacement et qu'on fait de même l'inverse, on en arrive forcément à la notion d'immobilisme et d'intemporalité. lorsqu'on considère que tout est en mouvement, non seulement se pose la question d'un temps général mais aussi la question d'une compensation des phénomènes. Le temps serait donc une "force" interagissante avec la gravité , l'électromagnétisme, pour ne cité que celles là, afin de créer diverses concrétions selon l'équilibrage du mélange. Nous pourrions en conclure assez rapidement que chaque phénomène à son temps propre, découlant de sa gravité et de son activité électromagnétique que l'un ne va pas sans l'autre et que même dans le cas d'un regroupement plus vaste d'éléments, un système complexe, planétaire, ou même de particules (intrication), la résultante moyenne participerait à établir une certaine stabilité du système. Ce qu'on remarque facilement lorsqu'on prend en compte la fluctuation des deux seules forces en actions qu'on prend actuellement en compte afin d'expliquer justement le propos de vitesse et de mouvement pour définir un espace. Il me semble qu'induire le temps comme une invariable absolue revient à se poser le problème de savoir s'il existe ou non un "zéro" "absolu" en ignorant l'interaction d'avec les forces de gravités (manifestations de celles ci en onde y compris!). Mais ça c'est un peu le problème de la mathématique, lorsqu'on n'inclue pas de prémices par défaut, même le principe d'apagogie ne peut exister. Il s'agirait donc justement de reprendre toutes les équations prenant en compte le temps "absolu" pour démontrer par l'absurde l'incohérence du système d'évaluation. un peu le problème de la soupe en quelque sorte: Si l'on considère qu'en réunissant une patate, un poireau et de l'eau et qu'on les met à chauffer ensemble, peut on définir qu'une soupe est l'ensemble de tout ceci? Il y a bien le gout du poireau, la consistance de la patate, la fluidité de l'eau et une certaine quantité d'énergie calorifique. Mais enfin bon je ne suis pas bien réveillé ce matin et tout ceci pourrait paraitre parfaitement grossier dans la formulation... Quoi qu'il en soit pub: Puisqu'une femme selon certaines sources courre plus qu'un homme dans sa journée, elle parcoure plus d'espace, et s'il y a collusion entre espace et temps, elle parcoure donc plus de temps. Lorsqu'on considère que le temps nous fait vieillir, toute femme qui courre vieillie donc plus vite! Et donc l'idée de faire du jogging pour conserver sa jeunesse est parfaitement idiot! Je suis sûr, absolument certain que si ce raisonnement parait dans un magazine féminin, il sera prit comme une vérité et s'en suivra le renouveau du tricot et de la reprise des chaussettes tranquillement installé dans le canapé! ça remontera le prix de la laine et des aiguilles et quelques livres sortirons abordant le propos de l'émancipation féminine, en sorte de nouvelle spiritualité devant le miroir à a savoir si... Miroir Miroir suis je la plus belle et la plus désirable? Aurais je la chance avec mes atouts de rencontrer un prince charmant au dessus de tous soupçon qui me fera de beaux enfants et nous habiterons dans un jolie château jusqu'à la fin de nos jours!!! Sauf si, entre temps, les hommes ayant compris le message décident de devenir des femmes en restant chez eux pour ne pas vieillir prématurément en courant après les femmes... Bref que des cornifleries ce matin!!!
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Réponse de The_monkey
Le 30/01/2018 é 12h05
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“L’imagination est plus importante que le savoir.” Notre impossibilité d’expliquer les choses, aussi doué qu’on soit, nous contraint à une existence limitée, et la science ne saurait conclure plus que çà. Les ondes et les points, n’ont pas fini de nous faire résonner de « tomber ». Vous parliez d’équilibre de stabilité, nous pouvons la renvoyer à soi-même, Nous percevons le temps par l’espace ce fut la remarque de Poincaré ! D’un relativisme maintenant, n’excluant pas un « sur-temps » ou l’évolution comme une dimension. Il n’y avait plus qu’à faire l’espace-temps d’une projection, et cela est de nos jours faits. Feynman incapable de comprendre sa théorie et le disant qu’on n’y peut, voici le retour sur soi. L’idée de science de comprendre un bocal est maintenant obsolète. Ce renvoi à soi, fait renaître dieu logiquement, Alors nous avons et scientifiquement prouvé, une conscience reflexive. Que faire d’autre que de se comprendre ? et toute intelligence supérieure, serait renvoyée à nous dans sa génération. La chose est bouclée, et la troisième génération est en cours.. Cela nécessitait d’être idiot pour être vraiment vivant. Tout n’est qu’un tabernacle, après réflexion. Tous les concepts se dissocient « éternellement ». Alors qu’est ce que la conscience ? utilisez un traducteur mais je ne voudrais pas perdre l’original : Our critique began as all critiques begin: with doubt. Doubt became our narrative. Ours was a quest for a new story, our own. And we grasped toward this new history driven by the suspicion that ordinary language couldn't tell it. Our past appeared frozen in the distance, and our every gesture and accent signified the negation of the old world and the reach for a new one. The way we lived created a new situation, one of exuberance and friendship, that of a subversive microsociety, in the heart of a society which ignored it. Art was not the goal but the occasion and the method for locating our specific rhythm and buried possibilities of our time. The discovery of a true communication was what it was about, or at least the quest for such a communication. The adventure of finding it and losing it. We the unappeased, the unaccepting continued looking, filling in the silences with our own wishes, fears and fantasies. Driven forward by the fact that no matter how empty the world seemed, no matter how degraded and used up the world appeared to us, we knew that anything was still possible. And, given the right circumstances, a new world was just as likely as an old one. Cette réflexivité couplée au solipsisme, renvoie à l’omniscience et l’omnipotence dans le rêve. Mais sans se sentir « sous » comment pourrions nous juste avoir une existence. Il faut voir ce qui est, étant nous même l’univers, pourquoi avons-nous cette impression d’être dedans, d’être limité. La femme et l’homme, ne sont que de cette distinction intemporelle. Alors oui on peut et nous devrions se contenter d’être « vivant », mais tout s’oriente dans notre propre compréhension. Alors on a la conscience de questionner la trivialité. Et nous sommes 0 qu’en l’origine. votre Ahura Mapsa
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Réponse de R.E.D
Le 30/01/2018 é 12h36
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Merci! Lorsque je songe que nous sommes partis dans ce "débat" sur l'idée qu'il puisse y avoir une "vérité" et que je vous opposais l'imagination et militait pour le nez rouge... L'impression que tout ce temps passé... Et s'il y a une évolution quelconque que nous puissions prendre en compte c'est dans l'équation: Si deux "certitudes" posées comme telle s'affrontent d'une manière ou d'une autre, il ne peut en résulter qu'une certitude commune même si celle ci contredit les deux prémices réflexives. étudions donc nos doutes au delà de cette sensation d'être adulte par le fait qu'on perçoit des certitudes en distinguant le dogme de ce que nous sommes. Pour cela une vie d'étude et de questionnement me semble être la meilleur des solutions.
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Réponse de The_monkey
Le 30/01/2018 é 13h27
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Quand l’holorge sonne, nous y revenons en classe.. la loge comme « but » , et de l’or, de soi, nous n’ y serons jamais vraiment.. l’agitation en mystère, ces mots froids vous rendront vite frileux. je vous attends au palladium ! et que soit sans trop des femmes du caladium
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Réponse de The_monkey
Le 30/01/2018 é 14h36
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Toutes ces invitations, au sous-tendu de la tentation, de la confection agréable une fille en iran, la la la, ce son, je déteste les autres à ce qu’il me sont, Ainsi , cher surdoués je ne pourrai plus que m’y faire sauf en vous offrant ces théories d’un nouveau temps rédhibitoire (my old narrative )
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Réponse de R.E.D
Le 11/02/2018 é 19h15
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Que sont mes amis devenus Que j'avais de si près tenus Et tant aimés Ils ont été trop clairsemés Je crois le vent les a ôtés L'amour est morte Ce sont amis que vent me porte Et il ventait devant ma porte Les emporta Avec le temps qu'arbre défeuille Quand il ne reste en branche feuille Qui n'aille à terre Avec pauvreté qui m'atterre Qui de partout me fait la guerre Au temps d'hiver Ne convient pas que vous raconte Comment je me suis mis à honte En quelle manière Que sont mes amis devenus Que j'avais de si près tenus Et tant aimés Ils ont été trop clairsemés Je crois le vent les a ôtés L'amour est morte Le mal ne sait pas seul venir Tout ce qui m'était à venir M'est advenu Pauvre sens et pauvre mémoire M'a Dieu donné, le roi de gloire Et pauvre rente Et droit au cul quand bise vente Le vent me vient, le vent m'évente L'amour est morte Ce sont amis que vent emporte Et il ventait devant ma porte Les emporta I Je ne sai par ou je coumance, Tant ai de matyere abondance Por parleir de ma povretei. Por Dieu vos pri, frans rois de France, Que me doneiz queilque chevance, Si fereiz trop grant charitei. J'ai vescu de l'autrui chatei Que hon m'a creü et prestei: Or me faut chacuns de creance, C'om me seit povre et endetei. Vos raveiz hors dou reigne estei, Ou toute avoie m'atendance. II Entre chier tens et ma mainie, Qui n'est malade ne fainie, Ne m'ont laissié deniers ne gages. Gent truis d'escondire arainie Et de doneir mal enseignie: Dou sien gardeir est chacuns sages. Mors me ra fait de granz damages; Et vos, boens rois, en deus voiages M'aveiz bone gent esloignie, Et li lontainz pelerinages De Tunes, qui est leuz sauvages, Et la male gent renoïe. III Granz rois, c'il avient qu'a vos faille, A touz ai ge failli sans faille. Vivres me faut et est failliz; Nuns ne me tent, nuns ne me baille. Je touz de froit, de fain baaille, Dont je suis mors et maubailliz. Je suis sanz coutes et sanz liz, N'a si povre juqu'a Sanliz. Sire, si ne sai quel part aille. Mes costeiz connoit le pailliz, Et liz de paille n'est pas liz, Et en mon lit n'a fors la paille. IV Sire, je vos fais a savoir, Je n'ai de quoi do pain avoir. A Paris sui entre touz biens, Et si n'i a nul qui soit miens. Pou i voi et si i preig pou; Il m'i souvient plus de saint Pou Qu'il ne fait de nul autre apotre. Bien sai Pater, ne sai qu'est notre, Que li chiers tenz m'a tot ostei, Qu'il m'a si vuidié mon hostei Que li credo m'est deveeiz, Rutebeuf (1230-1285) C'est tout.
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Réponse de tintin257
Le 11/02/2018 é 19h24
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C'est trop long pour qu'on puisse vous lire et peut être apprécier, ou pas.
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Réponse de The_monkey
Le 11/02/2018 é 19h43
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A Milou, En admettant qu’il ait fait erreur sur ce point, le développement et la floraison rapide de la philosophie allemande ne tiennent pas moins à cette fierté et au zèle que tous les savants plus jeunes mettent à découvrir, si possible, quelque chose qui les enorgueillît davantage encore, — à découvrir, en tous les cas, de « nouvelles facultés » ! — Mais réfléchissons, il en est grand temps ! Comment les jugements synthétiques a priori sont-ils possibles ? se demanda Kant. Et que répondit-il en somme ? Au moyen d’une faculté. Mais il ne se contenta pas, malheureusement, d’une réponse en trois mots. Il fut prolixe, solennel, il fit étalage de profondeur et d’amphigouri germaniques, au point que l’on oublia la joyeuse niaiserie allemande qu’il y a au fond d’une pareille réponse. Mieux encore, on ne se sentit plus de joie devant cette découverte d’une faculté nouvelle, et l’enthousiasme atteignit son comble lorsque Kant ajouta une nouvelle découverte, celle de la faculté morale de l’homme ; — car alors les Allemands étaient encore moraux et ne s’occupaient en aucune façon de politique réaliste. — Et ce fut la lune de miel de la philosophie allemande : tous les jeunes théologiens du Séminaire de Tubingue fouillèrent les buissons pour y découvrir encore des « facultés ». Que ne découvrit-on point, durant cette période encore si juvénile de la philosophie allemande, cette période innocente et riche, où chanta la fée maligne du romantisme, alors que l’on ne savait pas encore distinguer entre « découvrir » et « inventer » ! On découvrit avant tout une faculté pour les choses « transcendantes ». Schelling la baptisa du nom d’intuition intellectuelle et vint ainsi au-devant des désirs les plus intimes de ses Allemands remplis d’envies pieuses. On ne peut faire de plus grand tort à tout ce mouvement impétueux et enthousiaste qui était de la jeunesse, bien qu’il s’affublât audacieusement d’un manteau d’idées grises et séniles, qu’en le prenant au sérieux, qu’en le traitant même avec indignation morale. Bref, on devint plus vieux, — et le rêve s’envola. Il vint un temps où l’on se mit à se frotter le front. On se le frotte encore. On avait rêvé. Avant tout et en premier lieu le vieux Kant. « Au moyen d’une faculté », avait-il dit, voulut-il dire tout au moins. Mais, est-ce bien là une réponse ? Une explication ? Ou plutôt, n’est-ce pas la répétition de la question ? Comment l’opium fait-il dormir ? « Au moyen d’une faculté », la virtus dormitiva, — répondit ce médecin de Molière (Un extrait à sortir de son contexte.)
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Réponse de R.E.D
Le 11/02/2018 é 21h05
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Quel est la différence entre tintin et Milou? Milou lui il n'a pas de chien! Ah vous me faites rire dans ce silence de quelques jours... Au repos les braves! On ne critique pas Ruteboeuf. On en prend connaissance c'est tout. Comme on lit le livre des morts ou le bardô Todol, comme on lit une bonne traduction d'un poème épique ou bien encore du popol vuh. Très loin de la notion de goût et même d'un assentiment quelconque. On lit un point c'est tout. Exercice de style: L'autre qui parlait d'Allemand, toujours en rajoutant des couches aura fini par dire qu"il faut un âge à tout. Souhaitant bon courage pour la lecture d'un pan, rideau, le troisième se demanda en quoi tout ceci eut du goût? Non sincèrement, ne vous êtes vous jamais révolté devant la bêtise humaine? de celle si simple qu'on en reste éberlué. Le marteau pour enfoncer la vis, l'échelle qui monte ou qui descend, se noyer dans un verre d'eau, et la pomme qui tombe là sur la tête du qui se tient un jour de grand vent sous le pommier. Du qui encore fout le feu à la maison parce qu'il lâche l'allumette de peur de se brûler et qui souffle dessus pour la refroidir. Si, si ces choses toutes bêtes ça fait peur!!! Oh rassurez vous petit sun wukong! Mes rèves vont trés bien et n'ont jamais été plus haut dans leurs aspirations. C'est juste que je constate une fois de plus, avec dépit, que mes maigres facultés de clairvoyances prédictives ont une fois encore été rattraper par la réalité... Ah que j'aurais espérer une bonne surprise. De celle qui fait qu'on se lève le matin et qu'on se dit: -"Tiens celle là je l'avais pas prévu!" Raplapla... à bientôt je suis au repos et maintenant je dors le plus possible, parfaitement conscient qu'on ne changera rien à la nature humaine. Que la comprendre ou pas, ne changera rien à la physique thermonucléaire et qu'il y aura toujours des imbéciles pour appuyer sur le bouton et boum! UAQVVDB.
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Réponse de The_monkey
Le 11/02/2018 é 21h56
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On envahit Berlin, ensuite on encercle la Pologne et on crie « surprise » ! (un misanthrope dans la demi-mesure d’en être renommé) La différence entre tintin et milou, question d’âge et d’astres ? Pour votre texte sur l’amitié, il est en fait très aisé à critiquer, un ami n’est pas fait pour être toujours plus proche, sinon les épées sont restreintes de leur beaux mouvements critiques et viennent les coups de genoux infortunés. Comme, quel est le ressort de plus entre « Marie couches toi là » et Marie aux couches de surmoi à la décantation du mates moi là ? Pour la bêtise humaine, je me demandais encore l’autre jour, comment pouvons-nous parler de « bêtise », sans nous en extirper, et je n’arrête de m’en sortir de manière hautaine. Je peux même vous expliquer en quoi le dégout de celle-ci s’avère bien plus constructif que d’en faire une partie de son contraire. Dualité bétiseintelligence, comme le corps et l’esprit il faut voir leur entrelacement. Si on ne vivait pas dans un monde de « con », aurait-on la moindre volonté de copier des poèmes de millénaires passés comme ci nous n’apprenons rien ? Ou cette idée de pouvoir être plus compétant parfois, ou voire même de réduire leurs branches à la recherche d’une racine inexistante ? Sans être drainé dans les tourbillons des autres qui nous dépassent, pas d’écriture. Et d’une magie, nous serions capable de faire valoir, parce que « je ne suis pas surpris » cela est à descendre. En opposition avec la répétition ? Les variations sont infimes je me répète, l’exemple de la mutation sur une base commune. Alors vous ne vous êtes pas bien réveillé et avez manqué cette mutation, plutôt dans l’envie de ramener cela à vos préfabriqués. Emboitons le pas, je connais toutes les formes, il me suffit de m’en rappeler pour toute onde en bruit de communication ! Il en faut peut d’appeler superflue tout ce que l’on se refuse à classer. Je résume, je présume, et il n’y a plus rien à faire d’avoir tout trié d’une finitude utopique axiomatique, alors je prend un diamant et je le casse en deux, voilà une nouvelle case. Plutôt que la bêtise humaine, je vous demanderais avez eut déjà ce sentiment que tout est ordonné, auquel cas votre conscience survol au dessus d’une pesante vitalité, vide pour n’avoir pas su distinguer le froncement des nuances, vain en sommes de se croire englobant. Pour ma part j’ai toujours été classifié permis ceux qui n’ont pas de rêves, devinez pourquoi ? allez un indice pour vos rêves qui sois-disant vont bien, avoir un rêve n’est ce pas oublier que la réalité en est un, cela devient restrictif, et on en vient plutôt à la notion de volonté et de désire, je vous parlais de racine, c’est bien là qu’il faut creuser plutôt qu’être reconnu comme une sureté de « bon vivant » écrasant de pseudo vérités. Et je concluraierai sur cette tendance, d’avoir à surmonter le pragmatisme dans sa fatigue, parfois, le repos inconditionnel et dérobé des exigences anticipées.
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Réponse de The_monkey
Le 11/02/2018 é 22h54
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Dans un cadre que changer les choses se font aussi sans l’armée, de petites suites de mots révélatrices d’un pied d’est, ah le confirmé ! Vous vous êtes vous même surpris dans la responsabilité à cette propagation des phrases, alors oui on peut tout changer, au point de s’en demander s’il le faut, ce n’est pas le possible le problème, c’est notre incapacité de prévoir, à nous dire que j’ai existé comme cela et quelques part, j’en suis reconnaissant, même si je vois des discordes, des ahuris horripilant, est-ce que mes textes se doivent d’exister pour aller vers une réelle humanité. et bien le frein, chacun d’eux pourrait être la plus grande destruction de demain, alors je fais attentions aux dangers de la valorisation, et d’un dernier soupir, je n’aurais jamais osé vous le dire ô vous autres à l’écart, qu’a ce qu’il vous est perceptible contre cette lassitude, vous vous devez de vraiment vous y prononcé, au travers de la futilité, d’un réel changement, et indubitablement, l’humain n’arrêtais pas de naitre par ce qu’il y a de plus d’un conditionnement dépassé et détruit, Allant vers un point d’équilibre, en se questionnant, mais pourquoi donc ce mont reverait, à rejoindre les bergers de l’ancien temps, comme pour se comprendre, comment cela fut-il possible ? je vais vous y répondre froidement, parce que de points isolés ici et là, nous avons su, dompter la contradiction, en petit marteaux tapant sur le clou d’un toboggan plongé dans une piscine où chacun y allait gonflé dans l’amour de la vitesse. Comment renvoyer tout aux instincts je vous le demande aux désoeuvrés rapsodes.
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Réponse de The_monkey
Le 11/02/2018 é 23h30
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Bien là des questionnements de surdoué il faudrait conclure, merci d'en voir les liens de potentielles réponses avec la question du forum. je disais en gras, de réels problèmes à se rechercher une solution plutôt que l'équation de la proser.
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Réponse de R.E.D
Le 12/02/2018 é 08h09
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La bêtise humaine, la lancinante petite bêtise ordinaire des entêtés cherchant l'hérésie pour s'affirmer la "vérité". Cette petite idiotie renouvelé du fascisme quotidien. Du genre: "je ne suis pas venu au rendez vous, parce que j'ai attendu le bus sous la neige et il n'est pas venu. C'était prévu qu'il neige, mais je voulais attendre le bus parce que c'est plus sûr pour se déplacer, aussi maintenant je suis malade à cause de mes pieds. Ah si j'avais eu de meilleurs chaussettes pour aller au rendez vous, peut être que le bus aurait rouler? Mais tout ça c'est à cause de la date de péremption du fromage de tête que j'ai mis dans la soupe. Je me suis réveillé avec une mauvaise haleine et forcément j'ai raccourci comme le nain dans l'histoire qui pue des pieds. Pourtant je ne comprend pas ce qui se passe... J'ai rétréci l'ourlet de mon pantalon et comme je ne voulais pas me baisser pour le faire, je l'ai fait par le haut, et du coup j'ai descendu mon pull en tirant dessus. ça m'a donner l'air bancale mais au moins j'ai pu respirer correctement avec le col en dessous de la poitrine. Bon du coup mes chaussures sont trempées et ont changées de couleurs. Enfin que voulez vous que je vous dise? Il faut garder l'esprit positif! Du coup je suis malade et pendant ce temps mes chaussures sèchent. J'ai fais vivre le médecin parce que j'avais bien remplie mes papiers et qu'il faut de tout pour faire un monde..." Si encore il n'y en avait qu'un seul de temps en temps, on en rirait et on passerait à autre chose! Mais lorsque ceux ci enseignent par dessus le marcher au titre de professeur (comme l’évêque en singe enseignant aux hommes) et se croient au dessus des autres à cause de leurs avantages sociaux en guise de mitre, Lorsque les "béni oui oui" à l'arrière de la voiture confondent un hochement de tête dû aux vibrations des amortisseurs avec un signe d'assentiment, ça fait peur!!! Lorsque par dessus le marcher, on fait remarquer toutes les incohérences des raisonnements (du dessus) on vous renvoie dans la tronche qu'il y en a marre de votre air supérieur, qu'on est parfaitement conscience des bêtises ordinaires qu'on fait mais que sans elle la vie n'aurait pas de saveur et c'est pour ça qu'on se brûle avec les allumettes... Qu'on en a pas fini avec les cornifleries et qu'il vaut mieux se tromper un peu sur tout plutôt que sur l'essentiel, que cette essentiel c'est "bien vivre" et que même à la pub ils en ont parler... Alors là c'est le pompon! Voilà le problème réel des "surdoués", de ceux qui ont cette foutue discordance avec le "réel" des autres. il leur faut une patience presque illimité pour supporter au quotidien les raisonnement foireux des dogmatiques de toutes sortes qui envahissent les cathédrales pour se faire enterrer de leur vivant! - "Regardez moi , regardez moi!!! Je suis un être humain et je suis intelligent parce que je sais ce que je fais même quand je ne fais que des conneries!" - "Mais oui ,mais oui... Coucouche panier, bon chien! Allez va (petite tape sur la tête et grattouille dans le dos) c'est pas l'heure des croquettes... Non tout à l'heure! je te sors... Mais tu ne manges pas le caca des autres hein tu me le promet?" - "Ouaf, ouaf!!!" Mais ça le chien il peut pas comprendre! Il s'imagine lui que ce baragouinage incohérent pourra se résumer à trois court trois long et trois court en alphabet ouaf! (Transcription pour ceux qui ne comprennent pas: Ouaf, ouaf, ouaf, OUAF, OUAF, OUAF, ouaf, ouaf ouaf...) UAQVVDB.
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Réponse de The_monkey
Le 12/02/2018 é 22h47
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“C'est de ta peur que j'ai peur.” (Shakesfear) Ce renvoi au jargon du pied (en dualité de la tête !), trouvez pas ça curieux ? Piétiner, se faire marcher dessus, pourquoi parce que le contact avec la terre nous permettrais de revenir aux autres, car pour prendre les autres de haut, faut-il encore pouvoir leur être visible. Ce n’est pas un spizaète qui va vous écraser, pourtant il est « au-dessus ». Encore il y a quelques jours on m’a énoncé le principe de l’échelle « tout ce qui monte doit redescendre douloureusement ». Je rétorquais que ce qui fait peur n’est pas la hauteur mais la distance, de vivre dans des mondes distincts, dans des réalités reflexives dissociées et que chacun dans son agressivité ramène les autres à sa réalité. Pourquoi les gens regardent au-dessus de leur tête, quand le tapis tiré sous leurs godasses à bien plus de chance de les condamner à faire face à leur nez en compresses ! Tout ce qui monte est tenté de redescendre soi-même, en gugusse, parce que ce ne sont que des sarcasmes à injurier l’incapacité pratique, mainte fois, j’ai eu de ces moisissures qui se voulaient proclamées importante des autres (la justification à mettre en défaut, plutôt que de considérer l’acte manqué), parce que lasser mes chaussures, en carte de dame de trèfles chanceuse type papillons je trouve cela envahissant, à les lasser tous les jours dans la pénibilité. Je fais un enchevêtrement des plus simples, vous voyez lequel et je ne touche plus jamais à tirer les ficelles. Je les laisse choisir entre l’intérieur et l’extérieur. Quand à prendre le bus, voyez-vous, je prend le temps de léviter, pour ses incertitudes. Si le questionnement du surdoué serait de s’insupporter des mises à l’épreuve technique et le mensonge des autres sur leur efficience à être à l’heure, alors nous y verrions une manie de contrôle des fluctuations, une lourdeur dans l’exigence, au nom de quoi ? Si l’autre vous raconte un bobard juste parce qu’il ne veut pas vous voir, pourquoi cela dérangerait ? La mesquinerie, la tromperie similaro-flagornique sont ce que beaucoup appelle leur « quotidien ». Il y a l’effort de la science dans l’explication de l’absence à votre monde peu importe les incohérence c’est une forme de poésie médiocre. Médiocre parce qu’il serait plus judicieux de dire « je suis distrait ». Mais là, et même avec la plus grande puissance de venir vous y joindre, vous seriez puni pour un rappel à la « responsabilité ». Tous passent leur temps, à se faire propre dans l’exigence devinée parce qu’ils ne savent pas imaginer seuls, passer 23 heures au lit alternant les paradoxes une fin de se démène à juste vivre ses possibles, n’est-ce pas plus remplie d’emotions, que d’aller jouer à la pétanque. Il faudrait tout ramener à ce qui est perçu des autres dans votre vitalité, votre propre imagination ne l’est pas, et vous serez alors sous le blâme de ne pas rendre la copie doublé d’être au parloir de la colère. Non il faut trouver le chenapan qui nous voudrait du mal pour s’en préserver, il faudrait se faire de liens avec tous les inconsistants à la bonne parole, pour dans une caste affective se proclamer d’avoir « une vie sociale ». Quelle aberrance au nom du « dernier homme », qui se refusant de peur à ses propres affronts métaphysiques par les autres en viendrait à radoter le problème du prix des taxis exorbitant les écrits nuls. Les autres sont des parasites, nos instincts préservateurs sont parasites, mais par delà ce que la société exige de câlin plutôt que de canin, nous avons pour notre commun la possibilité de faire des ratures sur des symboles qui se veulent de la tape du doigt sur une touche supprimée. Le questionnement surdoué serait de trouver la cause de son exaspération ? Avoeux d’impuissance de se linéariser plutôt que de se faire à une ramification borderline tant démentie de sa perspicacité donatrice. Alors pour évoluer, et votre message en était une approche, comment passons nous du solipsisme, à la civilisation, qu’est ce qui fait l’autre intérieur, si ce n’est que nous en sommes parasités, pourquoi l’exil après usage ou plutôt mise en mouvement est déclamé quand il pourrait être salvateur temporellement, comment cette idée de potentiel nous ramènerait à nous même par les autres, et surtout qu’est ce qui ferait un monde sans des communications unipolaires. J’ai bien l’impression que si nous n’avions pas de « peur » nous ne serions écouter les autres, ainsi nous sommes contraints d’être sociable et capable d’y donner du sens, tous les monstres sont là pour nous rappeler de ne pas diverger dans notre propre impossibilité d’être libre par la doctrine des autres, cela se transforme en ce que l’on nomme « inné », un empirisme de l’évitement de l’effondrement solliptique, et justifie assez que notre espèce se cantonne à une naiveté des ressources dans leur conceptualisation. Il est de cette transition, avant d’y revenir, de pouvoir y parler de moi sans bêtise humaine, une fierté et un ego. un folâtre, comme pour tous ? d’un batard philosophique et anthropiques.
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Réponse de The_monkey
Le 13/02/2018 é 00h00
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-eh yo mon pote, tu me fais un high five ? —Bof pas tu meurs aujourd’hui -qu’est-ce temps sait ? — je l’aime bien comme ca, on se croise voilà tout -mais quelle lignes ? -je sais pas, on les croise. —Tu ne veux pas savoir ? -non. —pourquoi ? -j’en suis pas capable -Si je te dis que tu es dieu, dans ta réalisation ? —dis moi. -Voilà la realité se revoit à elle même, je ne suis pas plus concret que toi, je suis une illusion, et renversement. —et alors ? tu veux me dégager des mes acquis ? -Donc tu ne fais que séparer tes perception comme des couleurs !!! —Je fais ca ? mais je suis bien comme ça -à vrai dire tu es très destructeur de ne pas te demander plus —ah je détruit quoi en fait ? -notre parcours vers notre propre retournement —alors on y retourne, tu m’entendra encore dire la même chose -oui, c’est vrai —qu’est ce que tu pense du fessier de la serveuse ? -tu imagines, la question serait plutôt pourquoi cela te concerne —je sais pas c’est comme ca, je suis pas un puco -pourquoi notre échange se ramène à tes désirs ? —parce qu’ils devraient les tiens aussi -mais je voudrais savoir comment je suis ici, tout me parait étrange —ca tombe bien elle est brésilienne, tu captes ? -Pourquoi tu ne te demande rien de cette attraction ? —je la vis c’est tout cette attraction ;) -mais tu vas périr, cette exacerbation de l’univers en toi, tu l’oublies —même en réfléchissant je suis bien content comme ca et cela est possible -n’as tu pas une envie de te dégager de ta ressemblances aux autres ? —Si il le faudra sinon je ne marquerais pas -alors tu as l’idée de transcandance ? —oui. -n’imagines-tu pas que ce survol pourrait flâner aux dessus des désirs, des instincts —bah si, mais ya les gens intelligents pour s’occuper de tout ça -Comment arrives-tu à ne pas être dubitatif d’une machinerie de toi ? —écoutes maintenant j’ai ma chance de plaire et ainsi s’en allant la parole de l’instinct, de refaire un cercle dans un autre, et ainsi la personne ne fut pas apte à se démonter et ainsi je me questionnais, de chacun à tord, parlais de libre choix, quand la transcendance fut étouffée et voilà les méchants de ne pas laisser faire, pour faire tourner sur les cordes de la bienveillance le diabolo, et de manière intrépide, l’homme se pris de doute sur sa personne, quand je fouetta la serveuse, de sa réponse, ce fut mon dernier jour.
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Réponse de R.E.D
Le 15/02/2018 é 11h14
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La moustache ou l'irrépressible impression que si rien n'a changé en dehors de quelques petites apparences minimes, anecdotes sans conséquences, l'impression de n'avoir pas vécu dans le regard des autres... Cette transparence gênante de l'idéalisation d'un soi impropre à vous refléter. Qui suis je donc en dehors de cette apparence débonnaire et des qualités mordantes qu'on me concède? Cette histoire du gamin qui ose dire un jour qu'il aime le fromage. Et voilà que tous, comme un immenses complot, se plaisent à lui en offrir toutes sa vie. Pensant lui faire plaisir parce qu'il aime lire, le voilà possesseur d'une bibliothèque. Et lui dans tout ça n'aimait que la vache qui rie et la carte postale de sa mère lorsqu'il était en colonie de vacances... Soudain l'envie de se taire devant les explications absurdes des chirurgiens enfournant leurs scalpels dans le cerveau du patient. Ah tiens voilà qu'en tapotant sur le genou, un réflexe et la jambe se lève. Il est vivant! C'est déjà ça. Et toutes ses questions de maladies comme un Knock posé dans son échoppe, vous trotte à grignoter la moindre certitude. Mais êtes vous sûr que vous allez bien? Quel peut être pour vous le bon diagnostique? Peut être n'en faut il aucun? il se rappelle d'une fois ou il s'essaya à expliquer le pourquoi d'un comment à quelqu'un. Un autre qui passait par là lui dit simplement: - "Tu vois tu as tord de croire que les autres sont aussi intelligents que toi." Cela avait été une déflagration pour lui. Jamais il ne s'était posé cette question! Il avait jusque là supposé par simple principe, qu'il n'était pas plus différents des autres et qu’après tout, ceci pouvait peut être s'expliquer par une méconnaissance... La réalité toute simple venait de le rattraper et lui qui avait cru toute sa vie que ce qu'il avait dans sa petite tête était pareil à toutes les autre pensées de tous les autres, s'apercevait stupidement que certains ne pensaient pas, tout simplement. Il ne s'agissait pas de bien penser ou de mal penser, certains ne pensaient pas. Et ce qui l'amena à cette conclusion fut qu'à chaque fois qu'on parlait de lui, c'était comme s'il n'existait pas. On parlait d'un autre et il le savait. S'en suivit alors une phase d'introspection. La question qu'il fallait éclaircir le plus rapidement possible était de savoir si lui même, avec toute sa sagacité intellectuelle, ne projetait pas non plus ses propres images mentales sur la réalité de ce qu'était les autres; S'il n'était pas là à voir, à vivre avec de simples fantasmes? il voulait une vérité, une choses dont on ne puisse dire c'est une version et toutes les versions se valent. il voulait en somme un axis mundi afin de ses repérer dans l'espace mental et au moins pour lui même. à ce stade tout se mélangea dans un immense chaos: Lui les autres l'intériorité supposée de tous et le mensonge, ce fameux mensonge d'avoir plaqué sur le monde entier ses propres perceptions. Une par une, il convoqua ses relations. Et l'air de rien, sur quelques questions anodines il les jaugea de ce qu'on pensait de lui. Questionnaire type à trois franc six sous. il souhaitait juste éviter dans les certitudes des autres la déflagration moléculaire. et en même temps qu'il questionnait il se posait les questions de savoir ce qui pouvait motiver les autres à le décrire. De quel droit ceux là, a qui jusque là il avait fait confiance, comme un naïf ignorant le diable, de quel droit donc ils le jugeaient, le quantifiaient, le dosaient et avec quel louche ils le mettaient au moule? Fromage concret, solidification en grumeau, petit lait et fermentation. Tous avaient une explication mais aucune ne lui était inconnu! il avait déjà pensé à tout et ne pouvait se contenter de réentendre de l'extérieur toutes ses voix dans sa tête? à eux seul, et tous compris, ils n'avaient manifestés pas même un dixième de toutes les questions qu'il s'était lui posé... Tous ces miroirs grossissants, toutes ses visions parcellaires jusqu'à l'absolutisme d'un état général et universel, c'était chez lui parfaitement inné. Et s'il voulait il pouvait y trouver n'importe quel solution. Qui était il alors véritablement pour les autres? Sinon un état fixé par défaut à qui on demande, toujours par défaut de réagir selon les propriétés de cet état! Il décida de ne plus être. Et pour ce faire, il prit la pince à épiler disponible dans les affaires de toilette et un un a un il arracha, parfois en grinçant des dents, les poils du caillou. Caillou qui roule... S'attendant encore à ce que ces fameux autres y voient une différence. et rien ne se passa. Chacun cherche après tout à se donner raison. Il décida alors de ne plus du tout exister, ayant perdu jusqu'au fil de la moindre motivation interne à vouloir être quoi que ce soit. Il se disait bêtement que devant cette absence, il y aurait un manque! C'était encore une évidence. Mais là, rien. En fin de compte il aurait pu tout aussi bien ne jamais exister et rien n'aurait changé puisque existant ou pas il n'avait rien changé. Dans sa folie solitaire, le voilà qui attend, regardant par sa fenêtre la venue du facteur. Une nouvelle, fusse t'elle bonne ou mauvaise mais une nouvelle! Une improbable nouvelle... Transformant le sourire vide de sens de ces attentionnés du devoir creux en impression d'être. Il avait rasé sa moustache. Et puis rien!
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Réponse de The_monkey
Le 15/02/2018 é 23h33
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Vous parlez d’un être ou une « conscience » ou plutôt sa manifestation de ne pas être pensé proprement des autres, que vous décrivez en vous en distinguant proprement, un paradoxe voulu, qui sait, mais la première étape pour remettre en cause les évidences serait de les énoncer. Cet être n’as pas de moustache apparente parce que décrire son intérieur là lui coupe. Il ne s’est jamais rasé lui-même, ce n’est qu’un fantasque de croire que sa moustache disparue « non remarquée » est décrite comme ayant été remarquée puisqu’elle est énoncée dans sa non visibilité pour expliquer son attente du dernier livre de st exupery, une canonisation de l’abandon réflexif. Le soi comme un autre amène à cet absolue, même si nous avons l’impression d’être dans sa tête à vous lire, ce n’en est qu’une déformation, aux biais d’apéricubes. Pour conclure à sa « propre inexistante réfléxive» fallait-il encore utiliser ici le troisième pronom. De même que dire « certain ne pensent pas selon lui » renvoie à ceux qui penseraient en décrivant que d’autre ne pensent pas. etc. L’image est faussée car elle « attendrit » (ou soumet à la règle) à rendre l’individu pitoyable donc intégré d’une peine redevable à s’en remplir d’y palier pour se dégager de sa ressemblance. Ce ne serait qu’une fresque nauséeuse, d’une idéalité d’individualité niant sa personne par un intermédiaire narratif ? que ce en devenir perpétuel d’un « moi ».. Dans le Langage, j’y ai vu, cet absolue et une mise à l’écart du solipsisme, puisque nécessaire pour que « je » en soit partie de sa compréhension. Comme des plongements d’une « âme » en sous-entités partageantes. Mais dans la partialité, plutôt dans la partie du tout, en surjection d’un divin et non son isomorphisme. Et là on en arrive à la théorisation de l’autre, nous ne saurions communiquer sans rattraper l’autre dans une réflexivité symétrique inclue dans une intersection ensembliste. Voyez-vous là est le piège de la conscience, nous avons très vite fait de conclure que nous sommes dans notre « je » les autres, et dans des prémices supposés nous nous trompons avec un soi rationalisé de reflet des autres, alors que comme nous interagissons avec les « objets », l’espace devient nous même en soi. La réalisation n’a ni sujet, ni objet, en son absolue zéro. L’ensemble se développe et comme se distinguent les dualités, notre réfléxivité ne fait que donner sens à nous duper d’en être « parmis » pour donner raison aux sentiments à une subsistance physique. Et nous devenons aveugles à ce que le soi n’est plus que la science du moi. Au point de s’y faire à imaginer un existentialisme dans la création d’un commun. La confusion est la racine même de la conscience. Ce que personne ne pourra me dire, car pour vouloir échanger avec « moi » faut-il encore m’inclure dans la théorisation même d’un retour à un « toi » ou plus simplement une subjectivité de description. Ma réflexivité est réelle, la votre est théorisée, je peux donc vous confondre de murmures internes. Maintenant qu’est ce que l’existence ? Si certain « ne pensent pas », cette affirmation est une erreur probable, nous revenons à cette idée de distance, nous nous arrogeons le droit de dire que l’autre ne pense pas puisque dans sa manifestation nous l’avons englober dans notre imagination, par la répétition ou la théorisation inclusive, mais rien n’exclue un mensonge plus profond, de l’autre qui assumé ne « pense pas » serait dans notre manipulation à nous fait croire que nous l’avons englobé. De petit changements infimes, que nous ne serions percevoir pourrait faire de l’idiot estimé une intelligence nettement supérieure qui nous envoie des messages allégoriquement pertinents. Rien ne m’assure que tous les autres ne sont pas d’une espèce que je ne comprend absolument pas, mais ici pour me faire réfléchir sur ma façon de conclure que je pense « plus ». Pour palier à cela et en quelques sorte faire phi de mes doutes, j’utilise la causalité, la manifestions de l’autre une fois exprimée, je ne considère plus que l’acte dans l’espace mesurable, en confusion de ce qui lui serait intérieur, et ainsi j’existe dans un monde ou je suis capable d’évaluer le reflet des autres et d’y interagir, et même si je crois manipuler ou faire réaliser à l’autre, il pourrait très bien me manipuler à me faire croire qu’il l’est, tout cela pour que je me laisse embobiner d’exister avec d’autre « comme moi ». Maintenant donc, ce saut humain (ou anti-divin) étant fait, et cette évidence mise sous le tapis, je ne saurais m’exalter de ce soi qu’en réalisant que certains, peut-être en ma superstition rare me voient, et c’est là la plus grande excitation ou disons « volonté » que de se surprendre de coincidences, lorsque nous théorisons nous ne faisons que décrire ces interactions. Et il est de mon ressort que la nature de l’univers, se joue de ses propres dissociations pour nous faire un semblant d’existance appréciable, dans cet échange de similarité en socle mais de mutations partielle dans la conquête d’une transcendance émotive, par l’échange. Pour autant, mettre à l’écart cette distinction dîte originelle (ou en recherche de sens induit), disons du rêve du 0 absolue nous éloigne de ce que nous sommes vraiment, pour vraiment créer. Il ne s’agit donc pas d’attendre une lettre pour une nouvelle, mais de l’écrire vous même en oubliant que vous en êtes l’auteur, et voilà ce que l’on nomme « conscience ». J’ai découvert, je le crois que dès lors que nous faisons d’un escarmouche le passage d’une affirmation et son contraire, dans du longitudinal coupant le diagramme qu’à s’en prend du revers, de se croire parfois atteignable dans une difficulté supposé, un exercice plaisant des huns, que nous avons une impression de ne pas être seul, tout en étant nous même. Donc pour en revenir à votre être décrit « passif », il serait temps de se demander, si ce ne fut jamais dans ce que ce renversement en manque d’action serait son antagoniste. Quelles sont ces actions voulues, et qu’est ce qui engendre, de ne pas d’une prière dénuée attendre, ces torpeurs ?
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Réponse de The_monkey
Le 16/02/2018 é 01h23
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ô petite boule jaune, qu’as tu à me dire ? « je serai la couleur de ta peau, voilà ton savoir de ma part » ô celeste qu’as tu me à me dire ? « je te ferais tout petit, de rêve de conquête du cosmos » ô ami qu’as tu à m’énoncer « je suis comme toi et tu vivras de nos échange à point c’est tout » ô femme d’un autre genre qu’as tu à m’enseigner ? « que je te parlerais toujours d’un commun, t’y renvoyant tu seras mien » ô animal sauvage qu’as tu à targuer ? « je te serais un indice, tu auras des doutes à me chasser, sans de chasteté de toi même » ô société qu’as tu à me faire t’obéir ? « la domination, je ferai de toi une grandeur ou un asticot à la poubelle 2,3 » ô jungle, donnes moi mes rêves.. « je serais de branches silencieuses, sous les gouttes effleurant tes feuilles pleines de ratures quand tu m’escaladera » ô jungle pourquoi je te veux ? « je suis le lien entre ciel et terre, tu sais que mes serpents vont t’empoisonner » ô bien, qui suis-je ? « rejoint moi, il y a de ces enfers à fuir Kokichi Sugihara » ô mal, pourquoi je te suis ? « tu n’en seras jamais capable, je ne fais que jouer avec les dyominos» ah beauté, sois-mon dernier espoir !!! « je n’ai jamais était réelle, je suis une musique que nulle ne sait écouter » ô moi, que j’ai une vitalité, une scintillante à m’ en complaire.. « je suis l’absolue dans ton illusion, d’un vide paneton » ô survie, que tu me donne plus de temps.. « je te ferais soul, de mon arborescence vertigineuse, à briser l’unique écaille de l’or » ô rien, que tu me restes, me devenir « je suis ta confusion de tout ce qui ne ressemble à rien.. vide de toi jusqu’à présent » ô rage, vitalité donnes moi des ailes de puissance, je te ressens. « je suis une piscine, tu seras mes bulles, mais l’amour y est irréel » ô je vous trouve tous dans l’erreur, je saurais avoir raison de vous « ma plus grande erreur, qui me fit raisonner, ce fut de te laisser te morfondre » Ainsi, ainsi, de branches en branches, les singes allaient pisser dans les fougères, j’en cueillais une rose non loin, que je plaçais dans l’enclume sombre d’être tous impuissant à ne pas se courber à la répétition de millénaires, ô oui je faisais une tâche, celle que tout à chacun maintenant, fut apte, d’accoucher d’une main que je ne saurais jamais, et s’y détournant d’un malade imaginaire, la volonté fut de sa renaissance, dites moi donc le crédo, ce qu’est une vidamie ? Vous qui en êtes un fini lacéré à chaque fois, ô dites moi donc, pourquoi nos temps modernes, s’aiment à s’en sortir d’une nouvelle déflagration, mais vous ne saurez jamais m’épiloguer, pourquoi je m’en vais dans les équations, ou à cette magnificence de ne plus être des vôtres. ni même comment l’encense des autres nous contraint, si ce n’est le vouloir d’une rafale pluvieuse équatoriale à l’écart, de ce que je m’y lance, d’une vraie querelle, d’une finalité en dangereuses escapades de la prise de tangibilité avec l’urne à mes défaillants côtés pour la naissance d’eureka, après le balayage d’ahura, quand les solliptiques s’en viendrait à faire de notre commun, une masscrade presque anonymes.
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Réponse de R.E.D
Le 17/02/2018 é 11h31
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"ô dites moi donc, pourquoi nos temps modernes, s’aiment à s’en sortir d’une nouvelle déflagration..." l'incertitude d'exister vient d'être résolu... Depuis belle lurette! Mais tout d'abord il faudra citer le nom de ce grand découvreur: Ronald Aylmer Fisher! Qui ne fit pas que découvrir cette chose surprenante qu'est la mise en mathématique des probabilités de l'information (et là ou cela nous intéresse c'est que l'information étant ici générale, n'est ni extérieur à sa source ni intérieur!) mais encore le maximum de vraisemblance! Mais pour cela il faut redéfinir d'une manière simple un des termes classiques des calculs de probabilités: L'inférence statistique. Elle consiste à induire les caractéristiques inconnues d'une population à partir d'un échantillon issu de cette population. Les caractéristiques de l'échantillon, une fois connues, reflètent avec une certaine marge d'erreur possible celles de la population. Strictement, l'inférence s'applique à l'ensemble des membres (pris comme un tout) de la population représentée par l'échantillon, et non pas à tel ou tel membre particulier de cette population. Fou non? Ainsi nous pouvons définir par défaut les caractères de chacun en établissant une probabilité que chacun soi tous! Et voilà Mesdames et Messieurs, l'ensemble de toutes nos problématiques du choix, qui soit dit en passant serait la caractéristique de nos libertés, entièrement résolus par l'équation ci dessous. Pour une source comportant symboles, un symbole ayant une probabilité d'apparaître, l'entropie de la source est définie comme : ....... Au passage nous ferons remarquer que l'entropie (qui est pour faire simple le principe du chaos ordinaire et/ou de la désorganisation de tout système) se trouve prise en compte. Bon ceci dit, envisageons d'une manière simple et pour nous même l'application de tout ceci. Tiens je fais le ménage chez moi... (j'aime bien évoqué les choses avec des exemples simples et concret.) Et je constate incidemment que malgré toutes mes réflexions sur l'ordre et la méthode, qui consiste par exemple à ranger les cuillères avec les cuillères selon un taux de vraisemblance méthodologique sur la fonction et la forme afin d'inférer classiquement une théorie des espèces "cuillère", certaines d'entre elles, tiens par exemple celle qui vient de tomber ne rentre pas dans le petit casier parce que constatais-je avec dépit, l'équilibrage du poids des diverses parties de la dite cuillère, fait que le centre de gravité la porte constamment sur une base de sustentation inversement proportionnelle à l'ensemble des autres cuillères. Ce qui fait que, dans la strict réalité prise en compte par mon expérience, je peux dire que non seulement la cuillère échappe à la loi commune de toutes les cuillères, mais qu'en plus de ça, la singularité formelle de celle ci fait qu'elle se déplace d'elle même sans me prévenir, pour tomber bêtement ou bien encore... se déplacer toute seule sur la gauche! Ce qui serait le plus fou dans l'histoire, c'est que je ne sois pas foutu de me poser la question de savoir pourquoi je n'ai pas prévu ce cas en ayant cette fameuse cuillère! Ce qui serait encore plus con, c'est que je ne sois pas foutu de trouver une réponse vraisemblable à la première question pour pouvoir décemment appliquer sur moi même l'ensemble de l'équation ci dessus en me mettant possiblement en scène comme entrant dans la notion de paramètre. Bon aujourd'hui on va faire court... ... Parce que il est si facile de mettre en doute cette classification pour la raison simple qu'il suffit que je détermine la cuillère comme autre chose qu'une cuillère pour que je trouve tout de suite une solution! Mais non! Me dis-je à moi même... Bande de petit cons à l'intérieur de toi! Si je n'ai pas de cuillère, comment vais-je faire pour manger ma soupe? Il est donc important qu'on puisse manger sa soupe avec une cuillère! Sinon, la soupe elle même n'existe pas dans la réalité de la famille de la bouffe! Voilà pourquoi, (et il est très intéressant de le signaler au passage), voilà donc pourquoi (comme je le disais plus avant), et voilà encore pourquoi il est très important de savoir ce qu'on fait en mettant un nom dessus! Tiens par exemple pour en revenir au sujet qui nous habite tous! Nous même! (au passage, excellant sujet que nous avons tous tendance à confondre avec un objet pour des raisons de rangement; Se mettre au lit par exemple!) Peut on être classable si nous n'avons pas de nom? Sommes nous même envisageable si nous ne faisons pas parti d'une espèce? Et si nous élargissons le débat normatif, dans la mesure ou nous sommes nous même, de par l'entropie et la singularité dû à la multitude des paramètres qui nous animent, existons nous vraiment? Et bien sachons le, lorsque nous ne sommes pas mesurable, nous n'existons pas! Aussi, voilà bien une raison vraisemblable, de nous mettre à nous même une étiquette. Le trouble que nous ressentons tous, Mesdames et messieurs, lorsque pour une raison ou une autre, nous nous trouvons en face de la mesure de nous même, vient de la taille de l'étiquette qui ne rentre pas dans le paquet! (Si, si! Allez voir dans le dictionnaire!) Demain je vais chez le coupeur de tête, absolument! J'en ai une de trop! Elle ne rentre pas dans mon chapeau. Allez je vous laisse! J'avais envie d'en parler... Juste comme ça de la petite boite. Post scriptum: En paquet de douze c'est comme les boites à œuf, ça se range plus facilement quand on sait ce que sait! Drôle non? UAQVVDB
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