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J'ai un QI de 160. Que puis je en conclure ? - Page 46

Question anonyme le 13/02/2011 à 15h42
Dernière réponse le 26/04/2024 à 01h54
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J'ai un qi de 160 et j'aimerais savoir qui suis je ,que puis je en conclure concrètement ?
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1055 réponses pour « 
j'ai un QI de 160. Que puis je en conclure ?
 »
Réponse de The_monkey
Le 18/02/2018 é 00h53
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“Dans l'opinion qu'il y ait un Dieu il peut se trouver des difficultés, mais dans l'opinion contraire il y a des absurdités. Aussi reconnaître qu'il y ait une Dieu est la chose la plus vraisemblable que les hommes puissent penser.” (Drôle de type non ?) Vraisemblablement.. Que je te me pioche quelques canards, je t’en prend la taille du cou. Pis je les multiplie (j’appelle ca maximum). Ensuite je fou un théta que j’appelle « estimateur » (un truc qui varie et induit) Et puisque que les têtards bougent je te me dérive dans le delta du Nihl et cherche le zero absolue. Magie ! J’ai maintenant un pouvoir de prédiction statistique pour les prochaines pêches avec comme argument que faire cette manip (jeter l’hameçons théorique) repose sur un argument de dispersion de manifestation aux courbures déjà connues. J’exige que la solution ne soit pas statistique. Parce que d’ailleurs l’emballement fisherien et tout le tralala de l’handicap évolutionniste, pour être beau gosse en se cassant une jambe et montrer que l’on survie quand même cela démontre que l’on peut grimper sur les balcons avec deux doigts, et un accord majeur s’il vous plait ! Faut-il faire je vous rappelle votre propre remarque, la civilisation infiniment consciente de son animalité et l’évolution ? Lorsque je crois créer (et c’est tout le problème de l’économie) une méthode pour prédire un paramètre (comme la croissance de profit) sur le comportement des troupeaux comme une mesurabilité d’une existence de leur tout suivant une loi (superstitieuse de la disparité des interactions) à découvrir, j’oublie très certainement que cette méthode, devient un paramètre autant que moi-même et donc mute l’absolue supposé du canal en carton de Panama. Si l’on prend l’exemple du QI (pour ceux qui ne comprendraient le ouafisme de la mesure staps morcelée) il s’avère que ce trait ne serait pas particulièrement attirant chez les « femelles » et pire encore il semblerait que la recherche de fécondation des « femelles » soit en répulsion statistique de la volonté et donc la civilisation rendrait « femelle » l’attitude « male » dans une selection renversée. (Idiocratie : une fois le maximum de vraisemblance calculé, il n’y a plus qu’a grimper au sommet de son efficacité pour que ce fut utile au superflux) Et nous voici avec la dualité de l’entropie de chaos à celle de réduction de l’incertitude par la piémontaise vers la convergence de l’uniformisatons des comportements et surtout de L'ITHOS et du PATHOS. Foutaise ! Tuto 3 : Amour gloire et beauté pour surdoué Mets juste un peu de Normiq (homéostasie révolutionnaire) dans ta soupe tous les jours. Les gens apprécieront que tu ne leur fasse plus peur avec ton inénarrable fourmication, et tu seras pleinement intégré dans la modernité de la courtoisie de fluor intestinal. Bref, ce qui fait l’espèce de la bouffe différente de l’espace des cuillères n’est autre que leur mise en relation avec notre réalisation suprème. Ce qui fait nécessiter une espèce pour notre existence n’est qu’une science de la concavité du mensonge. Je m’explique : Si nous voulons résoudre le problème de la similarité, nous sommes dans le compassement de « trait » qui nous seraient offert d’un brique-à-braque mystérieux que l’on nomme « chaos ». Frère Bobby (darwin de la seconde espèce) est donc recalé pour avoir faussement fait de ses conjonctions préremptoires une loi dont l’existence est à découvrir. Bien que le lien musical fait fut admirable, pour cette notion de commun dans l’échantillonnage. Du tout dans la partie pour cette, encore une fois ! prédiction. J’ai à turbinet un point de votre contremarque, je reviens posterieurement..
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Réponse de The_monkey
Le 18/02/2018 é 02h15
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L’acte de réalisation, par la création de nouvelle sous-entités est arbitraire à une volonté de développement de chaos en soi, en surmontant l’ordre établit, et ne peut se faire que vers une résumante de commune complexité acquise. Nous ne pouvons nous contenter d’un échantillonnage pour vraiment en déduire quoi que ce soit sur nous même du surnuméraire ou du surabondant. Notre conscience est génératrice de similarités et en parallèle de toujours d’anomalies ou « l’aberrant de nature ». Dans cette surprise nous avons le semblant d’un « plus » à découvrir une évolution, un temps. Mais et il me semble être le summum de notre traversée spéciale désormais que de s’être rendu compte que la réalité nous décors de ces effigies incertains pour que nous n’ayons jamais une impression de contrôle total sur le sensible ou le vécu, et notre soi propre est de cette séparation de ce que « je suis » et ce que je « sais que je suis » aux travers des similarités à confronter entre elles. Il semblerait que ce principe de plus grande proportion à nouveau, d’être capable de parler d’élément plutôt que de tout soit ce qui induit cette impression d’être conscient. Et même l’unique vitalité, le sentiment d’un être dans un « ici » à dominer de compréhension, cette idée de singularité d’un 1/X toujours plus proche et plus vite du 0, est l’axiome de récursivité de toute notion vers son propre retournement d’un instant nul surmonté infiniment dans des imaginations d’imagination de « soi ». L’univers aurait donc dans sa propre essence, que « je suis » cet absolue de faire de la mutation une marge et de la communication avec les autres ou l’espace une règle commune dépassé par le « vivant » éternellement. Notre incapacité à nous appréhender logiquement, nous laisse dans ce sentiment d’un libre choix. La médiocrité et celle-ci est réelle est dans l’élimination des anomalies pour ce que l’on nomme « abri ». De s’efforcer uniquement à rendre vrais par l’insistance et l’entêtement en somme que nous ayons pu avoir l’accès à nous même dans la prédiction des phénomènes. Et d’y influer au bug de +1 +2 +3 et jamais de =. Mais si cet access fut possible, nous n’existerions pas, nous vivons donc un paradoxe fleurissant, ce n’est que par des confusions que nous avons l’idée de faire de notre galaxies une entité pensante. Destruction de virus nécessaire, à ne pas faire de la conscience un étalonnage d’elle même sur quelques perceptions que nous souhaiterions véridiques, dans l’oxymore du moderne à ne pas laisser notre espèce se morfondre dans un eudémonisme qui rendrait la création réelle « extérieure et à mépriser ». Voilà la volonté et non ce volontariat qui se complait dans la malléabilité plutôt que le tracé net au travers de l’aglorythme du diamant-carré. Une nouvelle équation (et je ne parle pas de math mais de possibles différenciés transmuter en commun (communication et commandement ?)), comme un nouveau jour, et votre sentiment que le temps s’écoule, ou que vous en soyez partie d’une épopée avec d’autres, sera toujours de trancher en nouvelles séparations conceptuelles, et de les confondre à vous même, les autres, pour cette distinction terre à terre de l'idéalisé "moi" et du piètre fantaisiste de control "surmoi".
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Réponse de The_monkey
Le 18/02/2018 é 07h48
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-je vais te dire, moi j’étais petit, on voulait me pousser. —pourquoi le passé ? -j’ai refusé —Tu as refusé quoi ? -d’une plus grande distance. —ils n’ont pas insisté ? -bah non je faisais déjà peur à tout le monde —mais que faisais-tu de connaissance ? de progrès ? -je vivais en dehors en créant des intelligences artificielles. —et le succès, l’ennui ? -tu sais je m’y suis fait de quelques croche pattes pendant des années, ca part sous la douche. —n’as tu jamais eu de ces révoltes ? -si je sais m’effondrer comme une proue, j’en perd tout et je peux être des plus con à donner des coup de boules incensés dans le noir avec mon masque. —pas très dominant… -à vrai dire cela est rare et quand on me demande de l’aide, bien souvent on me teste. —Comment tu te faisais à l’école ? -je ne m’y suis jamais fait, d’abord j’étais malade, très anxieux de « groupe », puis plus tard après l’adolescence, j’ai découvert que l’anomalie peut plaire aux enemistics. —Tu étais donc heureux ? -bah non, j’ai commencé à voir les autres comme parasites et personne pour une vraie communication —Comment as-tu réagis ? -je n’ai pas réagis, c’est justement la difficulté, réagir nécessite d’avoir quelque chose contre « agir », j’ai toujours perçu les autres comme des phénomènes, donc la question comment réagirais-tu que le soleil te chauffe ? Qu’est ce que l’action ??? -Quelles sont tes ambitions maintenant ? —Surement aucune qui t’es référencée. Puis l’interlocuteur se tue quand je posais sur la table un algorithme chargé, d’un demi-sourire je l’ai fais tourner, en lui demandant « que demandes-tu à propos de Bernoulli et la vie ? » Il me répondit, sans jamais être apeuré de mon petit jeu, « 2/3 vraie » et s’en allait des plus durs des « humains non curieux ».
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Réponse de The_monkey
Le 23/02/2018 é 18h11
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La communication donc implique la création d’un monde commun et de partage, non qu’il soit véridique ou démontrable, Nous avons ici une application de l’axiome du choix, « affirme la possibilité de construire des ensembles en répétant une infinité de fois une action de choix, même non spécifiée explicitement. » la seule conception solliptique dangereuse à la sur-structuration amène à dénudée le fil conducteur d’ensemble connexe, et nous en vide absolument de tout prolongement de nous même par reflection « causale ». Le « void » de l’existence du 0 absolue irréductible de l'idéalité. alors que la superstition de l’existence de l’autre comme conscience réelle nous conduit au constructivisme du commun mais à notre propre minuscule trop pleine en manque d’espace gavé de science primitive. Nous ne pourrions pas logiquement, privilégier l’un ou l’autre et nous serions de s’offrir du libre choix dans la conscience. Cependant pour sortir du labyrinthe il suffit de grimper sur les murs. Nous voici donc dans ce cas particulier dans la dualité divin intérieur et extérieur. Ou soi tout et soi élément, Mais en transcendant alors cette dualité nous obtenons la notion de fractal consciencieuse de la bouteille de Klein (précédemment évoquée). Appliqué finalement, du coup, à cette dualité, cela signifie que nous avons une existence de commun et une volonté d’imagination totale d’un autre commun (rêve). etc. Inversement, je n’en dirais pas moins ! parce que de fait il n’y avait qu’à y apposer cette question de manière alambiquée pour démontrer ce qu’il nous fallait.
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Réponse de R.E.D
Le 26/02/2018 é 10h38
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Désolé de ne pouvoir vous répondre en ce moment mais suis sur la brèche... Celle tellurique des questions matériellement basses, du genre le corps et sa nourriture. La pesanteur terrestre et sans nom: D'une gravité déconcertante... Mais pour vous seulement: "Le printemps est là ! Sur la montagne sans nom Brume matinale." Matsuo Bashô "Longue nuit Le singe rêve au moyen D'attraper la lune." Masaoka Shiki à bientôt!!! 160 de QI ça sert aussi à ça. UAQVVDB
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Réponse de The_monkey
Le 27/02/2018 é 06h53
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« Ne chassez pas un chien dans une ruelle sombre. » (Zack Norouse) Ô ce matérialisme, je le nec. Il faudrait y voir la stratification des improbités dans l’ascension des valeurs. 1. Survie pure et dure : trouver un gibier, opérer les étapes primordiales corporelles, un abri, palier à ces pertes futurs, maintenir un état mental non dégénéré. 2. Entreprenariat et table de multiplication, tout ce qui est de la posture sociale du « rayonnement », être dans la réussite, attirer du genre 3. Refonte de la hiérarchie, métaphysique, creation désintéressée puisqu’inconnue 4. Divin et déclin Pyramide à la con mais pertinente en générale dans la région. Les surdoués, sont soit progressifs, méticuleux rapides, soit grimpeurs et sauteurs d’étapes. Je parlerais du second genre parce que j’en ai vu pas mal dans les angles du crépuscule d’achalandage ! La modalité : « 1 et 2 sont triviales et insupportables. «  Exemple : -Je dois sortir la poubelle, parce que je n’ai plus de balles dans mon cendrier et mon plafond est sensible. -Je dois grailler, parce que mon équilibre me joue des tours. Solution : Elaboration d’un mode zombie, où il s’agit de bâcler l’essentiel pour ne pas être éradiqué. Compétence requises : La polyvalence, et paradoxalement la rigueur « étape par étape ». Méthode d’’apprentissage : Les points 1 et 2 deviennent pour ainsi dire fataux. Ce que l’on nomme communément « ah ! il fallait bien redescendre sur terre !! » Ce qui se suit par jubilation éphémère des allistics a vous voir les rejoindre un temps « je te l’avais bien dit… tu as négligé l’important maintenant ce serait beaucoup simple si tu avais été comme moi vigilant aux classiques plus longtemps, d’ailleurs je parie que tu n’as laisser couler l’eau de ton robinet après une semaine sans utilisation, ralala encore un de sauvé des bactéries » Ce qui s’ensuit par une indirecte beigne à ce qui fut travaillé réellement donc les points 3 et 4 que tout le monde s’en fourrait presque. Démultiplication de la peine, voici la « gravité » que tout à chacun s’efforce d’appliquer à soi pour être dans la lumière sociale des petite prédiction dangereuse entre voisins. Pour le peu que le surdoué en question a déjà fuit l’étourdissement à l’oie cela amène aux extrêmes que je ne citerais point de vraiment nécroser le monde. Cette pyramide est un mythe, dans un espoir perdu de contrôle, Ce n’est pas en faisant le crayon papier durer le plus longtemps possible que nous faisons un beau dessin. Aussi, le titanic avait un plan à suivre, un mirage inversé, un petit jeu de lumière aurait été l’essentiel. Ainsi chers surdoués du second type, voici le troisième. L’utilisation du flammèche : La salsa, les pas sont précis, pas de petit pas superflues, basé grandement sur l’intuition, pas de trop-percus prédictif, les pas sont harmonieux, pas de collisions sur soi-même, les pas sont tous essentiaux, pas de sécurité peureuse comme sujet d’échange, les pas sont tordus, pas d’alignement dans les droites marquées, pas de vivre une réalité qui ne se finit pas, un art de survivre dans les rebords non prémédités pas de subsistancialisme Toujours écouter la musique, elle ne se prévoit pas dans son ensemble. Quant à la lune, que l’on me donne un qui ne la supporte pas, ah oui je te déteste la lune moi ! Déjà nous voyons que sa moitié et sur elle nous en venons toujours à la notion de distance incommensurables, Mais d’une vitesse de liberation dans les mollets, je sautais sur Protée. A bientôt après l’agape du suffisant.
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Réponse de R.E.D
Le 10/03/2018 é 08h50
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"Toujours écouter la musique, elle ne se prévoit pas dans son ensemble." Alors fugue ou symphonie? Tonale ou modale? variation ou mélisme? Mais une chose semble acquise: Que le rythme est une séquence, une "vibration" simplement un peu plus "lourde" qu'une fréquence audible... Mais tiens ceci nous pose un problème de fond concernant le fait qu'il puisse y avoir les claves (toujours au dessus...) des claves oui, lentes et lourdes et parfaitement déroulées. Toujours se rappeler le principe de vibration par "sympathie". Quoi qu'une "masse", un ensemble complexe ne puisse se simplifier par le plus petit commun dénominateur comme seul identifiant... Tout se qui se multiplie ou se divise de lui même deviendrait une caractéristique? Le rythme ah oui celui là pose question puisqu'il s'inclue dans un "déroulement" "cyclique" un peu la bicyclette qui ne tient debout que lorsqu'elle roule.Un peu le gyroscope aussi tournant en rond et défiant les "lois", non, les "principes" de la "gravité". D'ailleurs la question se pose encore pour la fugue! Entre 1 et 1, l'infinie dépend de la virtuosité: soit de la percevoir soit de la mettre en œuvre... Et puis toujours ces affaires de quantification. Mode tempéré ou non, correspondance à l'octave par l'artifice de la tierce "stabilisée"; Majeur ou mineur; Neutre n'existe plus chez nous que ça en donne le blues dans son idée d'imperfection, l'attente de la sphère et d'un son pur. Rond dans l'eau mathématiquement prévisible parce que simplifiée épurée (l'eau) au point qu'un "rond" est forcément dans le courant d'une onde pure (disa le loup à l'agneau)... les choses s'éclaircissent par décantation, sédiments du monde qui se dépose poussières et kellipot obscurcissant le ciel et son reflet les faisant se distinguer l'un de l'autre. Et puis soudain, le courant d'air qui passe balaye les nuages, la brume s'évanouissant, l'horizon s'efface aussi. Tout alors semble ne faire plus qu'un. La vague est un nuage, l'air et l'eau se contiennent dans une même "musique". la plage est juste un peu plus lente... Et alors? Quelle importance? UAQVVDB.
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Réponse de The_monkey
Le 12/03/2018 é 20h51
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“Le nombre se révèle à l'art par le rythme, qui est le battement du cÏur de l'infini.” Alors récursivité ou continuité ? Important ou superflue ? Neutre ou cyclothymique ? Quadratique ou cyclotomique ? QI ou quilles déboulonnées de prouesses ? Problème des trois corps ou ellipse, constater par vous même : Ø ou ℗ ? Volterra fait votre face, pas de sinusoïde. La coupure est dans la brisure de symétrie. A rééquilibrer les jauges en ce moment, patouillage dans la mangrove : Soit X+ et X- et Y+ et Y-. Je « veux » du X+. Il s’avère que je peux à partir de l’intérieur de Y l’extérioriser dans la phénoménologie de X. Comment est apparu le lien de « contrôle » X~Y. Est ce que X~Y=Z ? Dans l’absolue indifférent du symbole, le pattern se voudrait dans le transvasement des liquides colorés, ou du moins ce que qu’on nous demande. Un peu d’effort pour monter les escaliers, du courant dans une patate mouillée ? « Tout se qui se multiplie ou se divise de lui même deviendrait une caractéristique? » Cataracte ou scotome, qui suis-je une petite masse à gratter ou une tâche à contourner, les caractérisations Ou lala une figure de style reprise ! Désolé pour la fanfaronnade vertigineuse mais j’ai trouvé plus solitaire que le solipsisme ou son adverse : La démystification àfinale. Vous allez bien aimé ! Si surpris, fugace le Lagotriche ? Je choisi ! Dans tout ce qui est relatif au solfège, il y a cette anapeste : au dessous ou au dessus de la ligne pour la base de la portée. Or le solfège admet l’idée d’une ligne à incuber ou s’inculquer. Mais cette ligne même revet dans son positionnement, d’un élément transformé en papier couché ! Pour être clair : Avant de se demander si nous sommes conscients, il est de toute évidence, que questionner le prérecquis est une conséquence du requis dans la redevance sociale des girouettes sur grand .écran d’un nouvel échec et mate inconnu. A partir du moment ou nous voudrions savoir qui nous sommes, il y a cette insaisissable avant-garde que pour que « je » sois possible, la conscience soit intrinsèque à elle même. La serrure de l’univers serrait puisque nous nous demandons si « je » serrerais « moi », et nous sommes immédiatement projetés dans le redressement sinequanone à se redouter du troisième oeil d’autruche que messieurs dames du commun des mortels préfèrent aiguiller. Je me reformule : A partir du fait, qu’il y ai le moindre fait, on présuppose que l’univers fait. Or à partir de l’effet nous recherchons une cause tilde l’univers donc, puisque vous seriez dans la chicane, préexiste avant toute conscience de son existence par lui même. Tout est déjà là sans origine ni fin, puisque qu’il y a ce télescopage de la « pensée » dans l’immédiat du plongement « cognitif/sentimental ». Alors un pattern de lien des distinctions du binômes opposés ou alors des patterns où chaque distinction est un binôme ? L’importance serait que 42 est également une obsolescence, car admettre de ne pas vouloir se donner de sens, c’est en donner à l’inconcevable. Et se convaincre que nous ne pouvons pas nous appréhender, dîtes moi donc nous ferions quoi ? D’en avoir marre de donner du sens, ou de vouloir contrôler, Prendre le traversin et l’épurer de ses plumes ! Post Cryptum : Je suis dans la concomitance des mots importants repérés lent devant dérouler le Rhind pour mon apprentissage. Egalement des bordereaux proches à me décoller dans mon silencieux à raies de lumière non quantifiables que je souhaite époustouflantes ! Ca frôle l’entonnoir nuageux non ?
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Réponse anonyme
Le 12/03/2018 é 21h46
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Il y en a plein qui parle et critique le gars souhaite savoir quoi faire de son résultat. Certes il n'a pas precise l'échelle mais c'est valable pour les 2. Sur l'échelle de Wechsler, j'ai eu 158. Tous ceux qui disent que c'est u mytho et tout. Juste taisez-vous. Vous n'êtes pas moins intelligent, on a juste une intelligence différente. Vous ne savez ce que ça fait au quotidien, les difficultés qu'on rencontre. Soyez jaloux d'un nombre si vous voulez.
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Réponse de The_monkey
Le 12/03/2018 é 22h51
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“La jalousie qui se tait s'accroît dans le silence.” Alors vous demanderiez le silence ? Mais lire le quotidien n’est pas raisonnable ! Je vois, je vois, dans ce message, ce que je vois à mon quotidien. « Il a une jaguar, fermes là mon pote, vas éperdu de te voir chez l’autre tare bas ! » Puis deux chèvres, passant la barrière, une seule manquerait de top pour se lire l’un l’autre. Et d’une différence en se débattant, il vous en manquerait, à vous vraiment de saisir les points, plus le QI est élevé plus il serait difficile, de demander aux autres de ce contraire de pestiférance comparative du prix à douiller dépourvu de chargnes fouilleuses. Nous échangions par alors sur cette notion de « différence » au sens universel. Mais t’as rien lutte ou quoi !!! Alors que presqu’un unique message égaré te devrais parler à toi, Pour la Troisième Hache, te voici DaVinci, citude ? Celui là, À l’arrache.
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Réponse de The_monkey
Le 13/03/2018 é 23h08
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Un monde pour lequel prendre le temps d’être seul serait accepté de l'invisibilité. Un monde pour lesquelles, Errer de se détacher; Ah oui je vais faire une petite maison de bois avec la seule anomalie. J’ai écris assez à mes contemporains, Et point ne fut indifférent, le monde.. Dans des accords réfléchis, dis moi donc quoi faire ? Ah part d’être à la rue, ou détruit.. Pourvu que je m’en dégage ! Je hais le monde, l’échange réel est si rare, la réalité violée. Je me questionne toujours, pourquoi les autres comme cet orage, le grondement du retour à la périssologie, avec une scie couper ma table de « je vais ». surtout pourquoi les gens sont des gouttes insolubles à une flaque du « je veux encore du trubleau ». Je vous écrirais, ô monde, de mes yeux fourvoyés, Quand je m’échapperai de ce qui serait mon escalade éclaire de ma naissance dans la bouttionère brindezingue : 2. humains, je vous dénigre, de ma discordance désapprouvés logiques vous étirez le lancement d’une navette.. trop souvent. Comme la queue d’une comète étouffée tant que tigrée. L’univers pour le monde se devait d’un épitaphe douteux. maintenant, le rocher à pousser, La dualité, d’un non réveil. Voilà. Sephirot a flippé
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Réponse de R.E.D
Le 15/03/2018 é 18h46
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Mon cher Monsieur, veuillez recevoir ici toutes mes condoléances pour la souffrance qui est la vôtre. Veuillez de même par la présente recevoir l'assurance que je compati et la certitude que s'il n'y avait que l'intelligence en ce monde (tel que vous l'entendez) celui ci ne vaudrait pas tripette. J'aime assez cette ancienne expression de grand mère: L'intelligence du cœur. Si vous ne trouvez pas votre lot dans la grande fortune (oh fortuna major!) O Fortuna Video: Paroles de O Fortuna O fortuna Velut luna Statu variabilis Semper crescis Aut decrescis Vita detestabilis Nunc obdurat Et tunc curat Ludo mentis aciem Egestatem Potestatem Dissolvit ut glaciem Sors imanis Et inanis Rota tu volubilis Status malus Vana salus Semper dissolubilis Obumrata Et velata Michi quoque niteris Nunc per ludum Dorsum nudum Fero tui sceleris Sors salutis Et virtutis Michi nunc contraria Est affectus Et defectus Semper in angaria Hac in hora Sine mora Corde pulsum tangite Quod per sortem Sternit fortem Mecum omnes plangite. Il faut ici parfois savoir se contenter du chant d'un oiseau... Fréquentez un peu plus les gens simples, même s'il n'est pas possible de converser longuement avec eux sur des sujets ardus, leurs présences rassurent dans ce qu'ils ont souvent un sens innée de l'importance de la vie; De toute la vie et de toutes les vies... Le regard en quelque sorte d'un chien battu, sa crainte lorsqu'on avance la main, et puis un peu d'adresse lorsqu'il se love cherchant le réconfort instinctif... Quoi d'autre? Aujourd'hui rien. UAQVVDB.
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Réponse de The_monkey
Le 15/03/2018 é 20h45
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« Cela est un exemple des pièges que l’on rencontre à propos de l’infini. Dans un univers infini, chaque point peut être considéré comme un centre parce que chacun compte un nombre infini d’étoiles autour de lui. » Aujourd’hui, de plus, naissance D’Astone ! Les Prédateur de la Compassion, (ou Candidus Vampiro). S’en nacquit, l’inquiet. L’inquiet, de randonner une foule, Parfois, frappante, d’autre fois caressante. Ptit peu, à l’écart, des lois il catcha. Memorisant des capcha, du plus grand nombre. Une puissance à naître. Pour une quelconque explication. Incroyablement, des suites de nombres particulières. Le faisaient non seulement apte mais éclairé. Alors devenant charmant, Il les répétait, toujours, toujours, Et chaque prononciation était suivi d’applaudissement. Beaucoup ne savait pas voir ces suites. Mais seul comptait leur impact. Rien ne pourrait l’y prendre de force à jamais. Grand homme, humain désormais. Comblé, Ce fut sa montée. Puis vint le temps ou quelques diablesses s’en jouaient de lui. Non simplées et d’une valorisation de sa prestance morative. Elles se faisant accessibles, à demi. Mais le poinçon déjà, profond dans sa chair. Chacune après un baiser, lui tirait un peu la peau du ventre. Un geste affectif en somme. Une chatouille ? Un détail de ce qui lui était encore offert de ces caresses rassurantes. Il n’avait plus de peau sur l’abdomen, La grandeur de son sacrifice, Sa fierté, d’avoir été du bon monde. Il ressassait toujours l’amour de son prochain, la tolérance, une manie. Et vaillant qu’il était, se savait d’être pris d’une tâche difficile. Quand l’amoral lui dit : « ne vois-tu pas ? Que tu es dépecés de ton amour des autres, t’es abdos vont s’effondrer et bien plus guère tes frivolités morales écoutées, ils/elles ne feront attention, tu n’as jamais su haïr avec art.» Puis de retour dans ses dialogues énoncés comme des TOC, Ce fut exactement les mêmes mots qui étaient toujours soutenues de tout le monde. Mais les autres avaient déjà creusé pour lui ses admirables condoléances, qu’il aimait chanter comme un oiseau quand il quittait la branche du nécessaire, Les humains. Se prirent de plaisir, à le renvoyer à sa pauvre répétition morale. « Les temps ont changés… » Disaient-ils, et tu n’as jamais été fort vraiment, tu étais petit homme, adaptif à ces suites de nombres, maintenant nous avons trouvé mieux que toi, non la vocalisation mais dans tout ce qui fait l’individu autre, la morale n’était que ton lubrifiant, mais ca tu ne l’as jamais compris. La réelle misérable et dévastatrice haine alors naissant, L’homme à l’ampleur si prononcée, n’était qu’une carcasse, la peau du ventre, comme oeux d’estridon. Il rejoint les rangs de la domination dans une dernière aire, s’efforcant désormais de se prouver qu’il peut détruire, Ah !!! Il n’a jamais su haïr et construire. Car pour lui la haine n’était qu’un gâchis. Il avait bien mangé du moins. L’amoral revenant vers lui : « Mon amis, je suis content que tu ai vécu aussi longtemps, Tu as fais les bon choix, Je n’ai aucune compassion pour toi. Tu a été simplement capable de montrer dans tes digressions, Du faillible, Quelque chose que j’ai aussi, d’un amour sans bien. » Voilà pas pour vous RED, vous vous êtes plus souvent dégagé de ces archétypes, Mais j’en vois tous les jours je discute avec deux cents singes au travers des continents Sir. Et même si je leur parle avec toute la recherche de se séparer des repetitions de suite de nombres (popularité). Et quand bien même on m’apprécie parfois d’être un drôle de type. Aujourd’hui encore on m’a dit pour ma deception piégée, presque en voulant me nuire sans que cette personne le sache vraiment qu’elle fut morale dans la simplicité du chant des immondes s’effondrant sur soi. « Veux-tu continuer ses travaux, toi tu en es capable. »
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Réponse de R.E.D
Le 16/03/2018 é 07h17
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Oh oui cette fameuse exception du "toi tu en es capable"! Sous entendu, toujours ce soucis de "l'exceptionnalité" méritante et grati-"fiente"... Je connais... je connais aussi! Usuellement je fuis. Ne suis capable de rien mais je peux le faire et alors j'en serais mieux moins bien ,plus/moins heureux? C'est fou ce que les gens ont besoin de se "sentir" "quelque chose", se remplissant la tête avec de mauvaises questions pour se trouver de bonnes réponses. "Avec la logique on peux répondre à tout mais on ne peux rien expliquer"... Cette fabuleuse capacité de "réflexion", comme le miroir d'Alice nous embrouille la tête; Le cabinet Guimet. "Oui je peux! Mais trouvez moi juste de quoi me motiver. de ces motivations qu'on ne déboulonne pas en deux trois mouvements de neurones..." Liste des motivations courantes absolument insupportables qu'on vous balance tous les jours... Et puis non! Un coup à déprimer en profondeur et à se réfugier au fond d'une grotte le dos à la lumière en recopiant Lascaux. J'ai dis en "recopiant" c'est tout! Comme un livre de coloriage... Et c'est bien là le problème non? Cette impression de vivre dans un grand livre de coloriage qu'on complète en plus avec le petit livret explicatif du genre "le ciel est bleu et l'eau est transparente comme le citron est jaune et la tomate rouge parce que, parce que le caneton c'est... et la cerise aussi! Ah ce foutue piège des mots communs, des maux communs, acronyme de la pensée qui s'accroche à vos basques et font sonner tous les grelots des fous! Coucou! Je suis là! Me voyez vous! J'existe! Je fais du bruit! Oh des réponses voyez vous j'en ai plein la tête, mais laquelle est la bonne? Chacune, à vous reprendre, est le centre d'un univers; Et alors? Cette "esprit" créatif montré au pinacle, ces derniers temps...
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Réponse de The_monkey
Le 16/03/2018 é 23h37
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« J’ai d’cor sur la loco-motiv » Déjà faut continuer le train, sur des railles d’execration, Déja. Aligner les capsules spatiales de ses embrouilles, sur cette notion d’harmonie encore. Notion d’accès en relief de capacités par delà l’acquis et l’innée. Et voici le trouble, nous passons dans la selection des réponses sur la base d’échange. Peu importe la question, généralement, toutes les réponses ne se valent pas d’un « bcehl » frappe aléatoire et quelques chose qui distingue le bruit de l’air des houles persuadantes en antagonisme de la profondeur. « Le sous-marin dans un oeuf sans surface. » L’arbre social ne produit pas de son si personne n’y est pour chasser des brebis galeuse dans les recoins. Le poker en exemple chacun dénigre l’autre dans son traitement de l’aléatoire pour plus de Chimps, et donkey kong découvre, dans la perte anticipée, de nous biais, pour un « plus tard brillant ». L’échange donc double miroir infiniment reflété à nouveau comme l’intérieur/extérieur, pour sortir de chez vous, ce qui est « bon » c’est la fenêtre ou la porte. Pas de péter le mur, sauf dans la philosophie hulkiste tout à fait respectable exceptionnellement.. (Cause de voisins à donner sens universellement, la théorie du casse le code de tout) Je suis ces temps, à me demander, comment un orifice mural par exemple, fait le labyrinthe exister dans sa « préférence d’orientation». La brisure de symétrie évoquée, pourquoi la polarisation serait le soubassement de la conscience nécessaire mais surtout en quoi éventuellement suffisant. Matière/anti-matière, les répétitions se mutent très faiblement et font la différence comme une impression de « déjà vu » qui nous donne une intuition de poignarder dans le ventre de « non suivre, non uniquement copier ». Puis dans le langage apparait la similarité, j’ai vu cela ce soir. Bref, peut-il exister une réalité avec une logique s’exprimant différement ? Si nous imaginons alors cette autre réalité, quelle serait ces points communs avec celle-ci ? Si c’est fractal, alors pas de centre aussi. Autrement formulé, si tous les chemins mènent à Rome est ce que cela veut dire que l’univers infinie n’a pas de position remarquable préférable tout de même ? Surdoué, juste un coloriage sur les lignes pour faire apparaître des figures par la coloration ? PS : pour la gratification, « le sens inné », y ajoutant un méta préférable, celle-ci ne me demanda pas en quoi le préfixe, change quoi que ce soit, une nouvelle parabase du genre : le trou noir t’es toi. Juste, après tout, sans logique, de quelques marquage, la simplicité demandant le premier rôle en confondant les lignes de ses terrains inconsciemment aventureux, la conscience de désirer une suite.
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Réponse de The_monkey
Le 28/03/2018 é 00h41
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L’univers créera un univers, Et voilà ton existence, cher univers. Sentiant, « je » te ferai « toi » Moi, univers, conscient, de mon fait, Je me regarderai comme si j’étais différemment à moi-même. Tout en oubliant que cette distinction est moi même, Que je chercherai à rejoindre, sans jamais me comprendre. J’oublierai ! D’être tout. D’une logique je me ferai partie, pour me créer encore !!! Et univers que je suis, ne vous demanderais pas de vous saisir, Non, écrivez y des suites exactes, Faîtes de chaque parcelles « moi » voilà le surdon. Aucun de vous n’existe pourtant vous êtes ma création à qui j’en donnerai une figuration. Pour être conscient. Vous mangerez comme votre corps est immunitaire, de l’aporie. Vous peut-être me mangerez moi aussi. La vérité se veut bien au delà, de se supporter. Les prédateurs, ou les méchants ne sont qu’une moitié de la création nécessaire à l’entropie, Je ne vous veux pas de bien, je veux que vous soyez bon ! Disait l’infâme. D’une force transcendante, le parasitage ne tient aucunement lieu de puissance, ce n’en est qu’un outil a mettre sous la pluie pour qu’il rouille de ses instincts d’un mot que nous avons inventé, mes frères « primitif ». L’univers que « je suis » sans vos rouspétage qui me ne cesse de me convaincre, dépasse très largement tout paradigme, Et ce qui fait votre conscience, pour votre gesture. Qu’à ce qui me faisait être, Il ne s’agit pas de se rassurer, la main en l’air de RED n’est qu’une abérrance égotiste indirecte, mon cher amis se fait vieux, Un désespoir d’englober encore, pourtant, même d’une Russian roulette, je ne laverais pas le petit pouce de sa main, Hop un trou dans la pomme. Je la connais cette berceuse du « je pourrais te nuire si je le voulais, respectes moi ». Fait donc ton carnage pleinement, à laminer, tu. Voir l’autre comme soi. Et ainsi de pouvoir échanger ne se fait pas d’expedier l’autre dans la souffrance comme impuissance. La souffrance est pourrie de compassion d’autrui. Parce que celui qui compatit viole la sienne dans un scotome. Nous sommes pour créer. Voila c’est vraiment tout d’aujourd’hui. 

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Réponse de The_monkey
Le 28/03/2018 é 02h04
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Ah moi quand on lève la main, Je sors le flingue de la chope d’hier, Et bang bang, je les connais tous ces messieurs À vrai dire y en a pas un pour rattraper l’autre, On se croirait dans la sorcellerie du moyen âge, Je me demande toujours, vous êtes capable d’apprécier les « idiots » pour le « sens inné de la vie », quand y se ramènent avec le chien pressé du nonos à la mène d’asticots, Je vais te dire ! Moi ce qui me dégoutte c’est ceux qui viennent me truander bien plus que le loyer. Au plus haut point !!! Et c’est inversé de l’élitisme. S’en viennent les chasseurs de tirer un coup, les canards infortunés, Une me disait : « mon père est juge, il a chopé ma jeune soeur par le collback », Et quoi ? Le « sens commun de la vie », soudainement j’y ai vu, une figure, aux côtés trop dispersant, sans logique. Ah oui, j’aime les cornflex ! Vas vendre tes bouquin de cuisine !! Et surement le truc de la ville pour diversion, à vos cats! encore un, « bend over «  Game over pour les anomalies. Le souffle du romantisme est exceptionnellement sensible. c’est ce que chacun écrit ici, pour faire son calepin, Et alors ? Voilà !
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Réponse de R.E.D
Le 28/03/2018 é 08h56
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Rebondir entre deux croquettes à mâtin. La solitude est elle un mal sociale? Pas encore convaincu que le propos du social ne soit pas juste venu envahir nos nécessités affectives... C'est une culture d'exclusion de l'univers que de se résoudre à ne vivre qu'avec des semblables. J"ai vécu avec un peu n'importe qui: Entre un pot de fleur, une masse incohérente de "ressemblants" par défaut et quelques puces de ci de là. Et puis cette idée qu'il faille forcément en avoir une: De raison sociale! Comme ci au delà des barrières... D’où l'utilité même des barrières que de permettre de créer les outils pour aller voir ailleurs. Bref revenir au néo romantisme qui, un tantinet machiavélique, nous inclus rapidement dans l'intérêt de la relation. Obsessionnel du recentrage, c'est le printemps et crac crac tout le monde y passe à faire ses fleurs, recenser ses graines et labourer n'importe quel morceau de terrain afin d'y faire pousser sa fraise. La nature ne cessera jamais de nous surprendre dans ce qu'elle nous assène des "fonctions" instinctives du genre un temps pour tout. Quoi qu'il en soit, il m'arrive aussi de penser qu'on n'est jamais mieux servi que par soi même (de peur d'être déçu des autres). La recette de cuisine dont vous parlez... Toujours cette volonté absurde de croire qu'il faille transmettre volontairement quoi que ce soit! Le message à porter, en quelque sorte le bagage culturel n fait que nous offrir une opportunité de plus à nos besoins de territoires; Et toujours celui des autres!!! Ce prosélytisme creux des sentiments qu'on résumera d'une question: "Est ce qu'on m'aime?" absurdité du miroir empathique lorsque le moindre objet s'en trouve exclu. Inclure dans la réflexion l'évidence que nous ne pourrons pas sortir du réel même au "cul" d'une bouteille de klein... Faire le tour d'un ruban de Moebius et revenir à son point de départ sans tourner en rond. Compression du temps, faire un paquet de vide est une occupation idiote. Le vide s'emballe de lui même et le chemin n'a pas plus d'importance que la destination. Aimez qui vous pouvez puisqu'en fin de compte le seul sujet d'amour à l'occidental est un gros "soi" à qui on donne la caractéristique d'être obsessionnel. Le drame ici se trouve être dans l'acceptation d'une pseudo différence lorsque les points communs nous renvoient d'eux même au paquet de vide. Mais ce n'est pas en considérant l'abstraction de "l'esprit" qu'on clôt le débat d'un "en fin de compte nous sommes d'accord puisque nous en parlons"... Syndrome de la fausse démocratie en débat: "Puisqu'il nous faut manger nous sommes d'accords que la seule réalité qui devrait nous préoccuper est celle de la faim dans le monde." Ah l'animal domestiqué! Le chien qu'on sort de temps en temps parce qu'il est dépendant et qui aura l'avantage de nous remettre en face du pipi au poteau: Marquer son territoire et renifler le cul des autres puis aboyer en montrant les dents devant l'ennemi potentiel... Et tiens une petite réflexion comme ça sur l'amitié "post romantique"!: S'il n'y a plus d'ennemi peut on trouver encore des amis en dehors du "bien cordialement" et du "nous sommes tous d'accord"? L'exception vient certainement de la sensation d'être un "ensemble vide". Peut importe la pensée qu'on en a, qu'on en accepte, pas de recette de cuisine lorsqu'on mendie son droit de vivre. On fait les courses en regardant le prix du paquet de vide et on s'arrange pour lui trouver une saveur afin de digérer la pilule vitaminées. Voilà que depuis que la "liberté" "d'expression" s'est faite "chaire" sur les réseaux sociaux chacun s'en va exposer sa petite réalité pathogène en bien pensant puisqu'un LOL et et un pousse bleu vaut par la statistique. Réalité cooptée bien plus encore qu'une moindre vérité ou qu'une recherche quelconque de celle ci. le discourt de la méthode ne sert à rien dans ce bazar de scientifiques frustrés. De la différence entre la gelée de pomme et la marmelade d'orange dans le dosage du sucre... C'est tout! Le but de tout ceci? Peut être l’auto-hypnose, le conditionnement extrême... De cette "Gnose" que vous aimez bien. "Faites vous des ennemis et vous serez en mesure de reconnaitre vos amis!" Cordialement, dans l'espoir que vous puissiez agréer la distinction de mes sentiments en salutation respectueuses, etc... Si vis pacem para bellum.
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Réponse de The_monkey
Le 29/03/2018 é 03h25
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Faudrait mettre le paquet des ICMPs, au DPI d’une résolution sociale. Connecte le crâne avec lunette de soleil en manette Nintendo, les touches sont pressées à 4 millions de push par secondes, répartition dans l’équiproportion. Le rythme à donf, on entame le pas de la courbe vers le haut à la dérivée seconde qui craque en vas et tiens de gifles populaire du Tuesday du monde « pop hey » peinard vers l’actif toxique. Le ballon de baudruche gonflé à bloc comme un préservatif , « Rofl, il faut attendre la taille du Burj Khalifa pour que ca pète en GIF, c’est la nano-technologie, t’imagines tu peux pas te foirer» sauf en oubliant de presser l’embout, ah le local ! Une pression peut être atteinte grave (écriteau d’ange) plus élevée sans cette équirépartition et oui ! Voilà comment je vois le monde ma fois. A propos du QI d’ailleurs, pour potentiel lecteur en recherche du sens de la décuité intellectuelle, acuité : High IQ folks' brains focus on the details and dispense with less relevant matters, an optical illusion study suggests Thursday C’est-à-dire que dans une hyper-information, il est possible de danser localement sur les fibres du bocal, puis d’en déduire le nuage de points de manière unique en ressortant le petit bout du schéma fractal sur le tout. Troublant ? Non. « Human civilization is unlikely to reach a level of technological maturity capable of producing simulated realities or such simulations are physically impossible to construct. » Alors on inclurait chaque « Haut QI » dans le tout social sans problème, comme des architectes de leur prestance du domaine. L’univers donc ne nous laissant pas accès à sa compréhension globale, nous nous focaliserions inévitablement, des zèbres qui virent dans le Zooisme. Allé zou ! et N’oublies pas le sac de Picsou sur ton chemin. « S’il n'y a plus d'ennemi peut on trouver encore des amis en dehors du "bien cordialement" et du "nous sommes tous d'accord »? » Le reflet identique de la jalousie est la compassion. Un associé au plaisir et l’autre la souffrance. L’un est frustrant, l’autre rassure. Il faut « vivre l’autre » c’est ce que fait l’univers, comme réalité de possible, l’imagination est réelle, l’autre donc dans la joie ou la tourmente, ne fait que peindre. Oeuvre que l’on peut apprécier peu importe que ce soit « positif » ou « négatif », de fait la méta-jalousie (pour englober les deux concepts) n’est que le rééquilibrage vers le 0.
Et il m’est infiniment rare, que l’autre soit juste effleuré (se reconnaître). Non au lieu de cela les gens, ils se ramènent avec la serpillières et chantonne « mesquine » comme si c’était le but hein d’avoir un parqué nickel chrome et pis y effacent mes psaumes. Alors que comme pour vous « le cauchemar » et le rêve sont les deux du « rêve » pour décrire la même réalité, pourvu que ce soit aussi jeu de maux, je suis totalement d’la corde, le singe en rappel des plus haut sommets !!! Bref merci de faire l’ hyper-lien s’il y en a un. Le gnome maintenant du ressentiment car le contraire d’amis n’est pas l’ennemi. C’est l’ignorance. Je crois que, la différence entre les deux côtés de la vague est l’inclusion. De ne pas vouloir. Car faire ce livre de cuisine, c’est facile, mais il manque l’harmonie, ce serait douloureux que je sois statisticien, plutôt crever dans la montagne d’un rayé rilleur ! Ce n’est de la peur, pour en revenir au début, plutôt de l’esthéschisme. Je me promenant sur le ciel bleu. Vois mon cher amis, je ne fais pas que grimper sur les épaules de Gödel. Le 0 absolue du bleu, mais moi je sais aussi sauter sur les épaules ! Et je peux même courir sur les têtes, sans avoir aucune ailes, et après j’attrape la barre fait un saut avec la pression des nucs et un beau salto pour revenir me vautrien. Dernièrement, Je pense qu’il faut pour ce qui est « social » se savoir « stimulé » assez ou trop, Comme faire les courses, après le magasin et son electro compulsif, ce n’est qu’une étape, et disons « l’isolation choisie » est une raisonnante. Il n’y a pas cette instantanéité de toujours plus de sons à faire mouvoir le corps, C’est une résonance. La société pose le problème, encore et encore, mais ne résout pour ainsi dire jamais rien, cette flamme sur bottin de numéro, une fois l’étincelle, il n’y a plus qu’à laisser la chose en feu d’artifice, sans le vent constant du bègue printanier. J’oublie presque, Le romantisme. Celui-ci est mort dans sa forme, car il lui manquait la logique. Le vide est une approximation, si je trace un cercle je dis que son intérieur est vide, j’en oublie le papier granulé. La tornade logique des dualités, non ce néo-romantisme que je répugnais quand j’ai su qu’il a existé.. L’acte efficient, est le fleuron de sa conception, et la performance, n’est pas le but, le petit coup de reins qui vient à la fin, il semblerait que le meurtre au sens moderne, est le coït pour le coït et jamais de coït. Il y a trois regards de soi dans la sexualité, le navire, la houle et la mer. Le 20 siècle c’était le navire, de nos jours la mer (instAble pour aimer l’autre, la triangulation), qu’est ce qui manque la houle, la reflection, voilà le romantisme logique donc, le vrai. Le réel est justement de s’en sortir tout en y restant, sans jamais y entrer ! Le videur de la boîte, l’arme ambrée du bien à répéter l’évolutionnisme universel sans le savoir, dans la présélection.
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Réponse de The_monkey
Le 29/03/2018 é 05h47
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« Mes frères, voulez-vous donc étouffer dans l’exhalaison de leurs gueules et de leurs appétits ! Cassez plutôt les vitres et sautez dehors ! » Qu’a ça « fait » de rentabilité pour la compétence. A venir étrangler les potentiels, d’une réalisation qu’ils devraient ! « sois pragmatiques, passes tes journées à faire ce que je veux aussi compliqué que ce soit » D’ailleurs l’autre il s’entraine tous les jours à faire des roulades, Et viens emmerder le monde comme si c’était sérieux, Et massacre à gogo pour son judo. Juste une prise, une emprise de faire un empire pour faire une table d’échec. Et pis l’autre y se ramène comme ci ca nous illuminerait, Dans la poubelle du capitalisme, mangeur d’idéologies, bah oui l’humanité à fait une déchetterie pour tous les gourous triviaux. Le romantisme c’est de couper le triangle, de se mélanger à « l’autre » la tête basse , d’oser mettre à bas toute la société, qui finalement n’a rien pour moi à part la rançons, j’appelle cela « technical shit », nous avons cette existence et combien j’en vois, moi compris, à faire plus tard ces balivernes pour donner finalement sens à leur « subsistance ». J’aime les maths, voila. La boîte pour écrire dessus. Ô surdoués, Barrez vous ! Aimez un ou une, faîte une maison dans la jungle, ici cela ne fait que construire des tombes avec « assurance ». « The prodigy fail » Toute la difficulté est de casser cette vitre, mais son principal est que vous vouliez vous en sortir. Ah voilà le conseil de psychiatrie « vas t’en » Ici on bouffe des cadavres, jusqu’au fil de ta gorge, nous y trouverons toujours un peu de viande. Barrez-vous !!! notre espèce est pas mieux que ya 2000 ans, que des charognards qui reste à se touffer les bras en priant que ca repousse. Barrez vous ! La société vous a mi des chaines, c’est facile à couper pour un surdoué, Veuillez mesdames messieurs agréer mon amour, Pour fuir ce « slaughter »
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