Bonjour,
étant chef d'une TPME (6 salariés), j'ai un employé qui, après un arrêt maladie d'un an, devrait être classé en invalidité cat 2 par la SS.
après les visites auprès de la médecine du travail; il peut être classé inapte à son poste, voir pour d'autres postes.
je risque de devoir le licencier à son grand regret, puisque le travail lui manque.
le problème est qu'il à + de 30 ans d'ancienneté et que la prime de licenciement est exorbitante pour notre entreprise, et qu'elle ne pourra pas le supporter.
J'ai toujours tout fait pour protéger mes salariés, même en 2010 - 2011 ou j'ai gardé une lettre de licenciement pendant 1 an dans mon bureau car je n'avait pas le coeur de mettre un gars dans la galère.
maintenant pour une maladie dont on est responsable en rien, je vais très certainement être obligé de fermer tous simplement mon entreprise.
comment se fait-il que ce doit être la Sté dans laquelle on travaille qui doit être punie en étant obligée de licencier avec tous les frais que cela comprend, cela me semble totalement injuste et malhonnête aux regards de patrons, certainement moins scrupuleux, qui changent de salariés tous les 4 ou 5 ans, payent des muituelles à leur salariés aus raz des paquerettes et qui pour eux licencier quelqu'un est un simple éta de fait sasn conséquence.
je suis dégouté, et avide de conseils pour sauver ma boite, l'emploi de 6 salariés, tout en faisant en sorte de ne pas laisser l'empyé souffrrant sur le carreau.
Bonjour, Vous pouvez toujours lui proposer un petit poste pour quelque heur par jour (3h)
Même si il est inapte. Parlez ont avec lui, maintenant peut être avez-vouez cotiserez vous a prévoyance qui pourrait prendre ce licenciement a la passe de la prime fin de carrière, je sais quille y a des prévoyances qui le pratique vérifié le. Mai si le salarié touche une rente de la prévoyance sa serra peut être compliquée
Bonjour,
selon l'avis du medecin du travail, oui, je vais essayer, avec l'accord de l'employé, de lui trouver un poste pour quelques heures dans la semaine.
j'ai cru comprendre qu'il serait possible de le garder sur ce type de fonctionnement afin que le salaire versé vienne compléter l'indemnité versé par la SS et la prévoyance.
cela peut être une solution, mais tout va dépendre du médecin du travail.
pour la prévoyance, c'est en me renseignant que l'on m'a appris que notre caisse à laquelle nous versons nos cotisations avait une "assurance licenciement", et bien sur il est trop tard pour l'utiliser, malgré qu'ils nous connaissent nous et le personnel depuis 35 ans, et que nous avons souscrit à toutes les options de santé pour protéger au maximum nos salariés.
ils auraient du nous proposer cette option avant que nos salariés arrivent à des ages qui , malheureusement peuvent être synonimes de pathologies pouvant entrainer ce type de situation.
mais le problème qui me reste en travers est au dela, l'entreprise est considérée comme responsable de la santé des ses employés et doit payer en conséquence, quelque soit le rythme de vie de ces derniers (hygiène, nutrition, sport à risques, ....), c'est une honte.
cela conforte mon opinion qui me fait croire que tous ceux qui se disent décideurs de nos modèles sociaux sont des incapables sans un brin de jugeote.
car avec des règles aussi ahurissantes, ce sont des salariés qui n'ont rien demandés qui vont en patir si leur boite met la clef sous la porte.
merci pour votre conseil.
bonne journée
RE Bonjour, Il y a toujours des solutions, il va falloir montrer patte blanche avec la médecine du travail pour pouvoir le conservé se serra bénéfique pour vous et pour lui
Pour vous pas de licenciement et de prime à verser, et pout votre salarié il serra mieux dans sa tête et si il va jusqu'’au bout il touchera sa prime fin de carrière qui est verser par la prévoyance sa tourne au alentour de 35000 €.
Il faut le menton de la pension verser par la SS plus les quelques heurs, ne dépasse pas son dernier salaire brut. Par contre il se peut que la prévoyance diminue sa rente par rapport au salaire perçu. Bon courage Cordialement