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OSEO + BANQUES = ARNAQUE !!!

Question de abelard33 le 20/01/2010 à 12h22
Dernière réponse le 12/12/2018 à 14h19
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- OSEO + BANQUES = ARNAQUE - Le présent document relate les circonstances dans lesquelles la vingtaine de personnes membres du collectif ‘’OSEO + BANQUES = ARNAQUE’’ se font, ou se sont fait intoxiquer, escroquer, et finalement ruiner, par ce que nous qualifions d’association de malfaiteurs. …Mais reprenons le scénario type de cette escroquerie, tel qu’il s’est déroulé à l’identique pour chacun d’entre nous. Nous ferons plus tard les commentaires. LES FAITS : Voici un créateur d’entreprise très déterminé à prendre son destin en mains ; il a du courage, des compétences, un projet et un marché. Il est prêt à investir tout ou partie de ses économies, fruit de plusieurs années d’épargne sur de modestes salaires… Pour ‘’boucler’’ son plan de financement, il lui faut passer par la case Banque. Notre créateur se retrouve donc face à un banquier (conseiller-entreprises) affable, sympathique et bienveillant. « Il manque X €uros ? qu’à cela ne tienne ! la banque est là pour pallier ce manque ». Généralement, avant même d’examiner le projet, la question qui vient immédiatement après, concerne les garantie que vous êtes en mesure de fournir (?). A ce stade, les questions se succèdent afin de permettre au banquier d’évaluer votre surface financière : « …placements ? patrimoine ?…etc…simple formalité !!!…c’est juste pour mieux vous connaître… ». S’agissant le plus souvent, de créateurs de PME voir de TPE, ces personnes ne roulent pas sur l’or et il est vite fait, le tour du patrimoine : le plus souvent il se compose d’un Livret A et d’une maison d’habitation. Après de longs palabres sur les éventuelles cautions, les garanties dont dispose notre créateur, le banquier place alors sa botte secrète, LE produit miracle qui résoudra tous les problèmes et balayera toutes les hésitations : j’ai nommé OSEO – Garantie, adossé ou pas à un PCE !!! Suit alors une magnifique description très détaillée de ce merveilleux produit… « OSEO garantit 30 – 50 – 70 % du montant en cas de problème ». « Vos risques sont donc très limités (70 – 50 – ou 30 % du montant, le reste étant pris en charge par OSEO-SOFARIS ». « OSEO-SOFARIS interdit toute hypothèque judiciaire ou conventionnelle sur votre maison d’habitation… si les choses tournaient mal, votre famille restera à l’abri ». « Nous banquiers, sommes tenus d’avertir OSEO-SOFARIS au moindre incident de paiement, ainsi, ils ne seront pas surpris si ils sont appelés en garantie ». « Naturellement, vous êtes caution à 100 % sur ce financement… caution symbolique car OSEO-SOFARIS prend en charge la part qui lui revient, vous ne serez appelé que sur le reste ! (à de rares exceptions près, le montant est plafonné) ». Quand il s’agit d’un couple ou d’associés, le banquier exige la caution de chacun à hauteur du maximum par exemple 50 % en expliquant que c’est le couple qui cautionne solidairement à 50 %. Il fait monter la pression en expliquant que la décision d’OSEO-SOFARIS dépend largement de son appréciation… (soyez accommodant cher entrepreneur ! et ne posez pas trop de questions embarrassantes, vous m’indisposeriez !)… La pression monte encore quand il explique que sa décision d’accord éventuel est subordonnée à l’accord d’OSEO-SOFARIS. Enfin, après accord, quand ce banquier-type signe devant les yeux de notre entrepreneur, la convention OSEO-SOFARIS, contenant toutes les clauses protectrices évoquées par le banquier, les doutes s’estompent… OSEO-SOFARIS, c’est sérieux ! c’est l’Etat !!! Enfin quand le banquier annonce le coût de la prestation OSEO-SOFARIS, et le fait figurer au tableau d’amortissement, c’est presque un plaisir d’accepter le prix de cette relative sécurité. Les derniers doutes s’évanouissent quand notre candidat consulte, sur internet ou à la Chambre de Commerce, toutes les informations relatives à OSEO-SOFARIS qui reprennent en tous points le discours du banquier. Notre entrepreneur se trouve là, au fond de l’entonnoir… il ne reste plus qu’à signer ! Les risques qu’il prend sont donc clairement identifiés (?) et volontairement assumés (???). Le piège est si bien tendu qu’il se referme en silence sur notre courageux candidat (qui n’a rien vu), pour lequel le banquier est un partenaire et qui imagine que leurs intérêts convergent dans un deal ‘’gagnant-gagnant’’… L’arnaque ne lui sera révélée que bien plus tard… Les mois ou les années passent dans un travail acharné… peu de vacances, peu de week-ends, des journées interminables, lever tôt, coucher tard. Peu ou pas de temps pour les enfants ni pour la famille. L’essentiel : assurer la pérennité de l’entreprise et conforter la sécurité matérielle de la famille. Ce fut notre lot à tous, sans aucune exception ! …Un jour, pour diverses raison, les affaires se dégradent (crise financière, perte de clients, retournement des marchés…etc…). Après avoir courageusement fait front autant qu’il le pouvait, notre entrepreneur se retrouve dans l’impasse, ou plutôt dans l’œil du cyclone. Dépôt de bilan, licenciements, pression des créanciers, enfin, liquidation… souvent accompagnés de stress et de dépression, voir pire… le parcours n’est que trop connu. Ajoutez la gêne financière que connaît la famille (pas de chômage). Curieusement, à ce stade, le banquier aussi sympathique que souriant du début, à disparu pour laisser place à un collègue nettement moins bienveillant. Les pressions commencent à s’exercer en mode crescendo sur le ‘’débiteur’’. Fatalement, celui-ci se réfère à OSEO-SOFARIS qu’il a rémunéré durant des mois ou des années. Première surprise : Le nouveau banquier tient un discours très sensiblement différent de celui du collègue précédent, ainsi que de tout ce qui circule comme désinformation au sujet de la pseudo garantie OSEO-SOFARIS : « Non ! vous avez mal compris !! la garantie ne vous profite pas a vous mais à la banque ! et elle ne s’applique pas sur le montant total du prêt, ni sur la somme restant à amortir… mais sur la perte finale de la banque !!!…quand moi, banquier, j’aurai fini de vous presser comme un citron. Seconde surprise : Celui-ci explique au débiteur qu’il va l’actionner exclusivement en sa qualité de caution… étonnement dudit débiteur : « Comment ? je cotise à la garantie OSEO-SOFARIS depuis ‘’x’’ mois, pendant ‘’y’’ années …Il y à là un acte de commerce !!!… vous devez faire erreur !!! ». « Vous étiez tenu, Monsieur le banquier, d’informer OSEO-SOFARIS au premier incident de remboursement ! ». « Non Monsieur le débiteur ! nous avons décidé de ne pas actionner OSEO-SOFARIS en garantie car nous sommes libres d’utiliser cette garantie ou bien de vous ‘’écrabouiller’’ si tel est notre intérêt ». « Mais vous aviez signé !!! ce doit être une erreur !!! ». …Non ! il n’y a pas d’erreur mais une arnaque, dont notre malheureuse victime ne connaît pas encore l’étendue… le désastre ne fait que commencer ! LES CONSEQUENCES : Arrive un jour la pire des nouvelle qui se puisse imaginer : le banquier, méprisant la convention OSEO-SOFARIS qu’il a pourtant signé, a sollicité une hypothèque judiciaire sur la maison de notre entrepreneur effondré… Incroyable !!! L’intéressé n’en a rien su ! il est le dernier informé. Pire encore ! les magistrats, en toute ‘’indépendance’’ et au total mépris ou méconnaissance de ladite convention, ont accordé cette hypothèque au banquier qui n’en attendait pas moins. Voici donc le débiteur avec le canon sur la tempe… et le doigt du banquier sur la gâchette. Le seul qui pourrait encore le sauver s’appelle OSEO-SOFARIS… mais le ‘’sauveteur’’ regarde…ailleurs… Appels au secours vers OSEO-SOFARIS qui pratique admirablement la politique de l’autruche… Lettres désespérées aux interlocuteurs régionaux qui ont disparu de la circulation. Téléphones, Fax, Mails…etc… pas de réactions. Cela peut durer des années !!! Enfin, après de multiples démarches, la responsable juridique Mme. DEBOIS-GROLLIER daigne enfin répondre. Cette personne, orfèvre en langue de bois, est aussi spécialiste de la ‘’formule concise’’ : « Reportez-vous à la convention OSEO-SOFARIS… tout y est ! ». Pourtant les solutions existent qui règleraient ‘’proprement’’ le problème à condition que le banquier veuille bien être un petit peu patient… Mais non !!! travailler proprement n’est pas dans les méthodes de Monsieur CONTENTIEUX… Commencent alors les ‘’amicales’’ pressions, suivies de pressions de moins en moins amicales auxquelles succèdent les méthodes d’intimidation qui mettent toute une famille, déjà bien fragilisée, dans une situation intenable… Faux appels téléphoniques de la CAF assortis de questions insidieuses et indiscrètes… quand on demande le nom, un n° de tél. et qu’on rappelle cette administration, la réponse est : il n’y à personne de ce nom ici… air bien connu… Enfin arrivent les menaces : « Si vous ne payez pas sous huit jours, on va vous foutre à la porte de chez vous !!! d’ailleurs, vous n’êtes déjà plus chez vous ! ». « Préparez vos bagages on va vous expulser si vous ne payez pas ». LES RESULTATS : Un jour, à bout de forces, le débiteur craque et vend sa maison, dans la précipitation, dans les pires conditions… pour une bouchée de pain. Pendant ce temps chez OSEO-SOFARIS, on se fait de la publicité, on parle de ‘’vitamines’’, de ‘’sucres lents’’… on ne parle pas de poisons violents ??? on devrait !… Pour terminer, quand le scénario évoqué au début, arrive à sa conclusion logique et normale, on obtient un débiteur déprimé pour de nombreuses années, une épouse internée pendant de longs mois en CHS Psychiatrique, une famille détruite, des enfants dispersés, marqués à jamais par ces années noires…et le patrimoine constitué de toute une vie de dur travail… envolé comme un rêve ! Voici ce qu’ont vécu certains d’entre nous ; voilà ce que vivent certains autres ; nombreux, enfin, sont ceux qui vivront cette situation… à moins qu’un grain de sable… LES COMMENTAIRES : · L’argument selon lequel la garantie OSEO-SOFARIS ne profiterait qu’à la banque, ne tient pas ! dans la convention (art. 10) il est fait état de l’insaisissabilité de l’habitation principale. Cette clause, régulièrement violée par les banques, était bien au bénéfice de l’emprunteur ! · Le fait que la garantie OSEO-SOFARIS ne profiterait qu’à la banque est totalement occulté par la plupart de ceux qui diffusent l’information…à commencer par les banques. C’est de l’incompétence ? de la désinformation ? de l’intoxication ?? · Chaque mois, nous payons OSEO-SOFARIS en rémunération d’un service. Il y a donc un acte de commerce ! et au final, nous sommes privés de la prestation que nous avons payé. · On ne peut qu’admirer la parfaite complémentarité entre la BANQUE et OSEO-SOFARIS… le banquier tient la ligne et oseo fait l’appât… cherchez qui est le poisson ! · Dès lors que le banquier a flairé la valeur de la maison d’habitation, il n’a plus aucun intérêt à actionner OSEO-SOFARIS, assuré de la passivité (ou de la complicité) de cette dernière, la banque, au mépris de sa signature et en totale contradiction avec la convention, met hypothèque. Le hold-up est terminé. · Quand la banque sollicite l’hypothèque sur sa maison, le propriétaire n’est jamais informé ! Qui informera le magistrat de l’insaisissabilité pour cause de ‘’garantie’’ OSEO-SOFARIS ? …le banquier ??? · Dans la clause N° 6 de sa convention, OSEO-SOFARIS fait obligation à la banque de l’informer au premier incident affectant le remboursement …en cas de violation de cette clause, quelle est la conséquence ? RIEN… · Quand OSEO-SOFARIS évoque les ''sanctions'' qui seraient appliquées aux banques, on se moque du monde ! ! ! vous imaginez bien que le banquier qui jette à la corbeille cette convention sensée ‘’protéger’’ son client, sait parfaitement qu'il a tous les moyens de brader un patrimoine que, même la justice, laisse à sa totale discrétion et à la disposition de ses appétits... · Il faut savoir que la très grande majorité des grandes banques Françaises comptent parmi les administrateurs d’ OSEO-SOFARIS… · Pour faire simple : OSEO-SOFARIS donne au banquier le moyen de capter la maison du client, en contre-partie, le banquier collecte et reverse la cotisation qu’OSEO-SOFARIS encaisse, sans risque de devoir assurer au client, la moindre prestation. · Sur l’insaisissabilité de l’habitation principale, on apprend (mais trop tard) que pour être réellement protégés, il serait nécessaire de recourir à un Notaire. Défaut d’information ou désinformation ? Qui DOIT communiquer cette info ? Le banquier !!! · A propos du devoir d’information, on constate que la conséquence de toutes les manipulations et omissions des deux complices cités plus haut, c’est une prise de risques que JAMAIS l’emprunteur ne consentirait s’il était honnêtement et objectivement informé. · Cette campagne de désinformation est aussi véhiculée par des organismes ‘’sérieux’’ tels que l’A.P.C.E. à qui l’anomalie (l’escroquerie ?) a été signalé… sans résultat. · Quand, après avoir été totalement dépouillé, le client décide d’entamer une procédure contre la banque, il appelle naturellement OSEO-SOFARIS à la rescousse et essuie un refus poli mais ferme : « reprenez la convention, vous y trouverez tout ce dont vous avez besoin ». · En résumé, dès lors que la victime possède une maison, la banque n’a aucun intérêt à actionner OSEO et préfère se ‘’payer sur la bête’’… OSEO ne cherchera pas à protéger la victime car elle aura encaissé les cotisations sans aucune contrepartie. LA DECISION : Une vingtaines de personnes, spoliées et escroquées par OSEO-SOFARIS et leur banque, ont décidé de ne pas se laisser détruire par cette association (de malfaiteurs ?). Victimes à différents stades, de la même arnaque, ces chefs de petites entreprises ont décidé de se constituer en ‘’collectif de défense’’ avec le projet de devenir une association : OSEO + BANQUES = ARNAQUE. Nous-nous donnons pour mission de : · Dénoncer les méthodes inadmissibles de ces grandes institutions financières. · Protéger les candidats à la création d’entreprise, des catastrophes qu’ils encourent. · Les informer afin qu’ils évaluent avec précision, l’étendue exacte des risques qu’ils prennent et faire contre-poids à la désinformation d’ OSEO-SOFARIS et de leurs banquiers. · Défendre collectivement et solidairement nos intérêts, sachant que nous refuserons d’avance toute proposition de négociation individuelle, dont le but serait de diviser notre collectif. · Obtenir réparation de TOUS les préjudices subis par chaque victime. · Obtenir l’arrêt immédiat de cette ignoble arnaque, pour ceux qui sont actuellement plongés dans la situation ci-dessus décrite. · Contraindre OSEO-SOFARIS à comparaître dans toutes les procédures menées contre, ou par les membres du collectif, dans le cadre de leur affaire respective. DECLARATION : En aucune façon, il n’est question pour nous, de contester le bien-fondé du principe d’aide à la création d’entreprise tel qu’il a été pensé à l’origine… Nous dénonçons ici les perversions et les dérives délinquantes de ce système par ailleurs très louable quant aux objectifs de ses créateurs.
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131 réponses pour « 
OSEO + BANQUES = ARNAQUE !!!
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Réponse anonyme
Le 03/02/2010 é 21h54
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Comment faire pour partager avec vous cette plainte, car je suis moi aussi victime de cette arnaque.
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Réponse de abelard33
Le 03/02/2010 é 22h29
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Bonjour, ...bienvenue au club des victimes d'OSEO !!!
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Réponse anonyme
Le 10/12/2010 é 10h45
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J'ai créer mon entreprise en 2010 .j'ai des grosses difficultés actuellement .je pense cesser l'activité se que j'ai lue dernierement sur la garantie oseo vient de me mettre un coup de massue sur téte .comme je dit je trouve que le prêt banquaire ainsi que oséo mon été accordé trés rapidement .début d'année j'allais tomber au rsa situation inconfortable pour ma famille .je passe a la chambre des métiers et de l'artisanat pour un stage de deux mois pour creation d'entreprise .Ceci nous font rencontrer banquier ainsi que comptable (l'impression d'étre un mouton que l'on ménne a l'abattoir) je n'est rien vue venir . J'ai tout expliquer au banquier est en 15 jours j'avais préts de 14500 € avec la banque oseo a hauteur de 7000 €.résultat des courses au bout de 7 mois d'activité sans beaucoup de,boulot je me retrouve dans une situation des plus inconfortable Cela se ressent dans mon travail c'est la spirale infernale que de nombreux Artisans doivent connaitre..Un ami dont sa femme est banquière a dit qu'il avait fait des projections sur ce type de montage 9 créateurs sur 10 sur le carreaux avant 3 ans d'activité.Super cela veut dire que nous nous sommes fait avoir comme des bleus a l'echelle national ps :Attention a vous jeune entrepreneur .on ne vous dit pas tout ne soyez pas aussi naïf que moi
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Réponse anonyme
Le 21/02/2011 é 12h09
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Je m'associes de tous coeur a votre combat. Moi même demandeur d'emploi, j'ai souhaité entreprendre. Après un stage a la CMA dans le cadre de la création d'entreprise, j'ai pu mesuré l'empleur des dégats a venir, de se constat, je ne me suis pas instaler. La raisons est la suivante. Je ne détenais aucun contacte commercial d'un point de vue professionnel, et c'est bien le seul critère qui détermine votre positions d'entrepreneur, du moins dans certain domaine d'activité. Ce que je veut dire par la, c'est que le monopole sur la maitrise du marcher d'un point de vue commercial qui génère la fiabilité financier de l'entreprise, est entre les mains des financiés eux mêmes. L'etat a permis au banques de ne pas couler, avec OSEO, ils ont endétter nombre de citoyen ayant perdu leurs emplois ces dernières années par ce genre d'accompagnement.
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Réponse anonyme
Le 26/05/2011 é 15h58
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Bonjour, Comment faire pour pouvoir fermer ma boite sans devoir être saisi de mes biens, ni sans devoir payer alors que oséo devais me prendre en charge 50 % de mon prêt?? Help!!
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Réponse anonyme
Le 06/04/2012 é 17h17
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Je viens de recevoir une assignation suite a la liquidation judiciaire de mon entreprise individuel , malgré l ' accord de garantie d'oséo , et grace a la BPO de L' ouest , je me retrouve au RSA et ma femme et en arrét de travail suite a la pression de cette meme banque . que fait le gouvernement ? il serai temps de taper du poing et de faire des lois dans le sens du petit qui essaye de survivre , au lieu de faire toujours plus pour les " gros" , mais ça c'est irréaliste. cordialement;
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Réponse de filarmonik
Le 07/04/2012 é 09h11
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Bonjour, Il serait important de faire un courrier expliquant la situation administrative et financière de votre entreprise, et les conséquences sociales sur votre foyer, à votre député, avec copie à la présidence de la république, au ministre du commerce. En l'interrogeant sur un point de "droit" spécifique et relatif à votre expérience, si votre député fait son travail, votre requête fera l'objet d'une question au gouvernement lors de la prochaine session parlementaire, et vous aurez une réponse administrative publiée au JO. Bien entendu, cela ne résoudra pas votre problème immédiatement, mais plus seront nombreux les entrepreneurs en difficultés qui feront cette démarche, plus les choses seront en mesure de changer à l'avenir. C'est personnellement ce que j'ai fait. Quant à OSEO, et la Banque, j'ai été assigné comme caution personnelle, et dans l'obligation de mettre le dossier dans les mains d'un avocat pour faire "sauter" les cautions... Pour l'instant, il n'y a pas d'autres alternatives, si ce n'est que de payer, mais, sans ressource, cela m'est impossible. Il serait important de trouver un groupe de défense actif, ou de le créer, pour soutenir les entrepreneurs qui ont perdu leurs entreprises, et pour agir au niveau administratif et politique. Courage, Bien cordialement
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Réponse de vfuplayer
Le 21/06/2012 é 09h27
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Bonjour, Je suis un entrepreneur abusé par les banques comme vous . Je viens de fermer mon entreprise et OSEO me menace des proces . Vous serait-il possible de me faire une copie de votre courrier addressant à votre député ? Et , j'aimerais aussi rejoindre votre association et participer à la plainte collective car j`ai l`impression que l'OSEO-BPD abuse . Merci
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Réponse de vfuplayer
Le 21/06/2012 é 10h02
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Bonjour filarmonik, Merci pour votre retour rapide . C'est gentil . Si votre lettre destinée à votre député n'est pas trop long , vous pourriez supprimer les informations perso et ensuite la partager avec nous tous ici . J'en suis convaincu que beaucoup de gens seront heureux d'en avoir sous le coude ( moi surtout) . Bien à vous
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Réponse de filarmonik
Le 21/06/2012 é 10h24
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Voici le courrier, allégé. Je vous invite aussi à écouter le podcast suivant : http://podcast.bfmbusiness.com/channel78/20120620_experts_1.mp3 émission sur BFM "les experts du 20/06/12 Bien cordialement Monsieur le Secrétaire d’Etat Ministère de l’Economie et des Finances 139, rue de Bercy 75 012 Paris Copie : Messieurs les députés xxxx Objet : Votre visite le xxxx, Monsieur le Secrétaire d’Etat, Notre député nous a fait part de votre prochaine visite. Aussi, je profite de l’occasion pour vous exposer ci-dessous une situation. Je vous l’envoie par anticipation, à la fois pour vous alerter et, si j’ai l’opportunité de vous interpeller à ce sujet lors votre venue, vous permettre de préparer vos réponses, Je vis actuellement une expérience, dans laquelle je relève des incohérences exposées ci-dessous Gérant de Sarl depuis 1996, j’ai dû affronter en 2011 une liquidation judiciaire. Les raisons sont identifiées : une assignation est en cours pour définir les responsabilités d’un groupe, porteur d’enseigne, qui a « poussé » mon entreprise au dépôt de bilan : le tribunal jugera de ses responsabilités. La liquidation judiciaire n’est pas, pour le chef d’entreprise, une « sinécure » et, au-delà des complications administratives et commerciales liées à cet état de fait, je souhaiterai attirer votre attention sur quelques points particuliers, pour lesquels, il me semble important de trouver des aménagements. Je me souviens d’un discours de Nicolas SARKOZY, lors de la campagne présidentielle de 2007, dans lequel il souhaitait mettre plus « protection » pour les entrepreneurs, c’est dans ce cadre là que je souhaiterai inscrire ce courrier. Le gouvernement a institué OSEO, c’est déjà un atout réel, mais certainement pas suffisant eu égard aux conséquences financières et de protection sociale de l’entrepreneur confronté aux difficultés économiques qui l’emmènent à la cession définitive d’activité. Vous trouverez ci-joint les quatre points précis de mon expérience : - Le RSI - Les cautions bancaires - Les assurances : Prévoyances et Mutuelle - Le contrat de professionnalisation À travers ces différents points exposés ci-dessous, je souhaite attirer votre attention, Monsieur le Secrétaire d’Etat, sur la situation de ces entrepreneurs. Il me semble important que vous puissiez me répondre sur la possibilité de faire évoluer les textes régissant le statut du dirigeant d’entreprise. Je vous prie de recevoir, Monsieur le Secrétaire d’Etat, mes sincères salutations. Le RSI Cet organisme, Régime Social des Indépendants, est, quant à la gestion des cotisations, d’une rigueur, voire d’une rigidité, sans commune mesure. En cas de retard d’un règlement suite à un appel de cotisations, « le cachet de la poste faisant foi », une pénalité de 10% est systématiquement appliquée. En contrepartie, en cas de trop versé, la rigueur pour effectuer les remboursements est loin d’être à l’identique que celle instituée pour la collecte des cotisations. J’ai reçu un courrier en Mai 2011, m’informant d’un solde créditeur de 6027 €. Malgré, LR/AR, diverses relances écrites, conversations téléphoniques de moi-même, de mon comptable, mail, …. cette somme, au 18/11/2011, n’est toujours pas remboursée et aucune « pénalité de retard » ne viendra l’augmenter. De plus, la restructuration URSSAF/RSI entretient un « flou artistique » entre les différents secteurs de cet organisme : on n’y comprend plus rien et j’attire votre attention sur l’impossibilité de joindre en direct un opérateur ayant compétence, suite à un filtrage drastique, ou des standards électroniques qui tournent en boucle. - RSI xxxx - Centre de paiement xxxx - Mutuelle existence xxxx - Prestations xxxx - Radiation xxxx (ne répond pas) … nous sommes bien loin du « guichet unique » !!! Dois-je, de plus, faire état d‘expériences de collègues, en une situation de fin d’activité, à qui le RSI est venu, sans autre forme de procès, prélever directement sur leur compte bancaire ou sur celui de leur conjoint des sommes prétendument dues. Dois-je aussi faire état du harcèlement qu’a subi un ami (et son épouse), alors que son activité est arrêtée depuis plus d’un an, et dont la liquidation n’a pas été prononcée, faute d’un tribunal de commerce. Cet ami est finalement décédé, en Septembre 2011, d’un cancer généralisé, à 54 ans !!! Y-a-t’il cause à effet ?, ce n’est peut-être pas un facteur déclenchant, mais certainement un facteur amplifiant, quand on sait les répercussions que peut avoir le psychique sur le physique. Avec ce décès le dossier du RSI va-t-il enfin pouvoir se clore rapidement et définitivement ? Alors qu’une entreprise est confrontée à une situation financière délicate, dont les répercussions touchent invariablement celle de son dirigeant, ne pourrait-on pas demander à l’organisme qui gère la « Protection Sociale des Indépendants » : - Plus de souplesse et d’humanité dans la gestion des contentieux - Un interlocuteur unique pour l’ensemble des « actes » en relation avec le dirigeant - Un remboursement immédiat des sommes trop versées - … Je suis conscient qu’une évolution de ces pratiques ne pourra se faire qu’à travers l’approbation de nouveaux textes. C’est pourquoi, je vous demande, Monsieur le Secrétaire d’Etat, d’étudier avec attention ce dossier pour prendre, si vous le jugez nécessaire, les dispositions réglementaires adaptées. Les Cautions Bancaires Pour faire évoluer mon entreprise, j’ai du emprunter. Ce prêt a été cautionné à hauteur de 50% par OSEO. Cependant, afin de réaliser mon projet et malgré un apport en capital et compte courant conséquent, il m’a fallu signer une caution bancaire, mon épouse de même, en tant que caution solidaire. D’autre part, l’enseigne qui me fournissait les marchandises, a elle aussi, exigé deux « cautionnements bancaires à la 1ère demande », sur deux entités juridiques différentes : la banque qui a financé ce dossier est donc caution de ces fournisseurs. En contrepartie, je me suis porté garant, par : - une caution personnelle, (ainsi que mon épouse, caution solidaire) - un apport en capital sur un compte bloqué. Lors de l’ouverture de la sauvegarde, les cautions personnelles du dirigeant sont « protégées », et je n’ai pas été inquiété durant la sauvegarde, me laissant ainsi la disponibilité intellectuelle pour tenter de redresser mon entreprise. Malheureusement, les dommages subis précédemment étant trop importants, il ne m’a pas été possible de proposer un plan de sauvegarde. Le redressement a suivi, puis la liquidation judiciaire a été prononcée. Par courrier recommandé, 10 jours après l’ouverture de la liquidation, la banque m’informait que les cautions devenaient immédiatement exigibles et me réclamait la totalité de mes engagements. Hors, rien n’était encore réalisé, ni la vente du stock, ni la cession du bail ou du fonds (tous deux nantis par la banque). Une assignation visant à réclamer des dommages était envoyée au porteur d’enseigne/fournisseur, avec courrier à la banque afin que les cautions ne soient pas payées : à priori, ces cautions ne sont pas payées. Alors que je me retrouve sans revenus et que mes liquidités ont été investies dans mon entreprise, devant l’impossibilité de trouver un accord à l’amiable avec la banque, je me retrouve assigné par cette même banque au tribunal de commerce, et ma femme, caution solidaire, au tribunal d’instance. Il parait surprenant, que la loi permette l’appel immédiat des cautions du chef d’entreprise, alors que : - la situation de liquidation de mon entreprise est loin d’être définitivement régularisée, - les cautions aux tiers ne sont pas payées, Loin de refuser mes responsabilités, je considère qu’il serait opportun de laisser aux entrepreneurs, dans de telles situations, le temps de « faire les comptes » de leur société en liquidation, afin de pouvoir évaluer avec précision le reste des engagements avec les organismes bancaires et autres débiteurs, et de lui laisser le temps de retrouver une situation personnelle stable afin de répondre favorablement à une proposition de règlement à l’amiable. A défaut, aujourd’hui, nous nous engageons dans un processus juridique visant à invalider nos engagements de caution : processus long et certainement coûteux et dont la fin n’est pas certaine. Aussi, suite à l’exposé de la situation ci-dessus, je vous saurai gré, Monsieur le Secrétaire d’Etat, de bien vouloir étudier avec attention le problème des cautions personnelles d’un dirigeant d’entreprise, lors d’une cessation d’activité, ainsi que l’obligation pour un conjoint, marié sous le régime de la communauté, d’être de fait caution solidaire de l’entrepreneur. Les assurances : Prévoyances, Mutuelle En tant que dirigeant d’entreprise, j’ai souscrit à diverses assurances, prévoyance (arrêt maladie, décès), ainsi qu’une mutuelle pour le remboursement des frais médicaux. Le statut de Gérant majoritaire assujetti au RSI, ouvre droits à des contrats privés, pour ces différentes assurances, contrats exclusivement liés au statut de dirigeant. Lors d’une cessation d’activité, dans le cadre d’une liquidation judiciaire, le dirigeant se retrouve radié du RSI et perd son statut de Gérant Majoritaire, sauf s’il ouvre une autre activité lui permettant de conserver ce statut. Dans la période actuelle, les seniors rencontre des difficultés sur le marché du travail, et le reclassement en tant que salarié est délicat, d’autant plus qu’il faut se rendre en permanence disponible pour gérer les suites de la liquidation : audiences, avocats, commercialisation, vente des actifs… Alors que j’ai cotisé depuis 1996 pour ces différentes couvertures sociales, je me retrouve confronté au fait que mes contrats ne sont plus valides et dans l’impossibilité de les maintenir. N’est-ce pas dans ces périodes de tensions personnelles, où le psychique agit fortement sur le physique, que les dirigeants d’entreprises auraient besoin de couverture et de stabilité pour appréhender leur reconversion professionnelle avec sérénité ? Ne serait-il pas possible d’envisager, dans ces cas précis, que ces assurances soient maintenues pendant la durée de la couverture du RSI, soit 12 mois après la radiation de cet organisme ? (sous réserve du bon paiement des cotisations à titre individuel). Contrat de professionnalisation Parmi mes employés j’avais un jeune en contrat de professionnalisation. Je pensais participer ainsi activement à l’insertion des jeunes dans la vie active, et faire partager mon expérience en formant une personne. Quelle qu’ait été la qualité de ce jeune, bien décevante au demeurant, et malgré sa médiocre motivation et ses absences répétées qui m’auraient largement permis de le licencier pour faute, j’ai maintenu son emploi jusqu’à la fin de l’activité. Son licenciement, réalisé par le mandataire judiciaire, a fait l’objet d’une rupture de contrat avec une indemnité compensatoire de plus de 13 500 € !!! et ce, pour 8 mois de présence dans l’entreprise !!! Ayant cotisé aux Assedic, il a pu ainsi prétendre en plus à ses allocations chômage !!! Cette indemnité a été supportée par mon entreprise, alors qu’un salarié en CDI, en conformité aux textes, n’a lui-même eu que les indemnités légales dues lors d’un licenciement économique. Pourtant rien ne différenciait lors de l’établissement des fiches de paye cette personne en contrat de professionnalisation et une personne en CDI, hormis un salaire de base inférieur : les cotisations patronales étant les mêmes. En vertu de quoi a-t-il fallu lui verser en plus de la couverture sociale normale une indemnité exubérante, équivalente à la totalité de son contrat ? J’ai moi-même demandé au Juge Commissaire des subsides, (très loin de ce que cet employé a perçu), pour assurer le règlement de mes charges fiscales de fin d’année, 3ème tiers, taxes foncière et d’habitation, cette requête a été refusée. Aujourd’hui, avec la connaissance de cette situation, soit, - je ne me serais pas engagé dans ce que je pensais être juste pour participer à l’effort de formation des jeunes, - je l’aurais licencié avant la fin d’activité, pour faute, comme j’étais en droit de le faire, ce qui aurait coûté bien moins cher à mon entreprise, et certainement permis de me prélever une juste rémunération. Je ne sais pas s’il est possible de changer les textes relatifs aux contrats de professionnalisation, mais il me semble que notre société ne fonctionne pas selon des règles d’équité et de justice. J’évoque, Monsieur le Secrétaire d’Etat, ce dernier point uniquement pour en vous informer, sans attendre sur ce sujet une réponse particulière de votre part, sauf si vous souhaitez m’en apporter quelques éclairages complémentaires.
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Réponse de vfuplayer
Le 21/06/2012 é 10h35
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Re, C'est trop bien . Merci beaucoup . Très cordialement
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Réponse anonyme
Le 14/08/2012 é 15h18
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Ce qui est dit ici est une réalité !! il faudrait que l'Etat trouve une solution , les banques ne doivent plus continuer à arnaquer la société !! comment va t-on faire reculer le chômage si les banques refusent de jouer franc jeu avec les créateurs. Mes amis banquiers arrêtaient de nous soutirer nos biens , nous créateurs, sommes bien plus courageux que vous !! Nous sommes des créateurs de nouvelle richesse de la France
Référence(s) :
internet
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Réponse anonyme
Le 13/01/2013 é 16h26
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Je suis aussi une victime de cette arnaque! Mon mariage n'a pas résisté, moi non plus (antidépresseurs, etc). Le procès contre la banque, dont très étonnament le discours à été à 100% celui exposé, a lieu le 8/02/13! Je suis desepéré!
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Réponse de dedol
Le 31/03/2013 é 00h01
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Bonjour, Nous sommes également et exactement dans la même situation décrite plus haut. Nous avons crée une chambre d'hôte en 2006 qui est passée sur Zone Interdite (M6). Nous préparons actuellement le troisième volet qui sera diffusé en mai 2013. Nous dénonçons ces pratiques avec ce média national. Cela devrait mettre en lumière ces pratiques d'un système plutôt bien huilé... Nous sommes toujours là, dans un combat inégal mais le poids des oppositions finiront pas payer et éviter ce drame au “nouveaux créateurs“.
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Réponse anonyme
Le 06/04/2013 é 10h24
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Bonjour permétter moi je n'ai pas pris de pret dans aucune banque pour mon entreprise je suis dans le commerce alimentaire épicerie fine vins et depuis peut en terminale de cuisson pour le pain. j'ai subit une liqidation d'entreprise il y a20ans de cela j'ai repris une activité en 2005 et j'ai fait les deux mois 1/2 au cci d'auxerre ou la nous avons eu une superbe formation gestion, je me rappel que c'étais encore l'affaire TAPIE crédit lyonnais et malheureusement un intervenant banquaire crédit lyonnais je vous donne en mille se qui ses passé les questions on fusé dans tous les sens il est repartie avec son petit costume 3 pieces sa petite valise et la entre les jambes quelques jours plus tard on a discuté avec les autres stagiaires sur le systeme banquaire et il y a quelque semaine de cela j'ai retrouvé un ancien de ma section il n'as jamais demandé de pret a sa banque ni même de découvert il a commencé tout petit chez lui a vendre de la piscine il a été aidé par son forunisseur qui lui a permis de le réglé a 60j après la vente de la piscine certe pendant deux a 3 ans il a mangé des pates des sandwuichs mais maintenant il s'auto finance et dégage un bénéfice de 45000€ pour l'année 2011 j'ai bien dit bénéfice il emploi 3 personnes et soutraite la maçonnerie de mon côté quand j'ai repris l'activité j'ai commencé par les marché mes fournisseur mon fait confiance pendant 2ans en 2011 j'ai ouvert un magasin fermé depuis 3ans dans un petit village j'ai continué avec les accord de mes fournisseurs et je n'est jamais demandé de pret a ma banque de toute maniere j'étais interdit de crédit depuis 2004 certe je ne mange du caviar et foi gras touts les samedi mais j'ai une vendeuse et je me dégage un salaire de 1500€ par mois bon je reconnais que ses une gestion dracongnienne mais en 2011 j'ai fait la connaissance d'une cotch en entreprise et qui ma fait mettre régulierement des enveloppes de côté sa peut être 20€ dans une journé ou 200e dans une autre journée et ainsi de suite quand ses possible il faut vous auto financé et rejoindre des fédérations sindycal comme LA CGPMEou L UPA voila bon courage
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Réponse anonyme
Le 26/05/2013 é 18h42
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Bonjour, Comme vous tous nous avons en tant que caution fait confiance à la garantie OSEO, nous avons été assignés et jusqu'à il y a deux jours nous ne comprenions pas pourquoi OSEO n'avais pas été assigné ?? ce sont vos différents témoignages qui nous font voir plus clair, la raison, ce qui n'est pas pour nous rassurer. Notre situation est la suivante, mon mari et moi nous nous sommes porté caution solidaire pour le prêt d'une société commerciale, je devais y travailler et le gérant, un ami, n'arrivait pas à avoir son prêt pour l'achat de la société, nous avons signé, nous étions dans l'impasse, j'avais déjà quitté mon ancien emploi depuis 3 mois, et nous n'avions toujours pas de prêt, de plus lors de la signature de l'acte, la banquière, nous avais très clairement expliqué qu'en cas de problème nous ne serions inquiétés qu'en tout dernier ressort, soit après le règlement d'OSEO, or l'assignation était pour nous seul et rien pour OSEO et la banque a posé une hypothèque sur notre maison principale. J'ai, depuis deux derniers jours très longuements sillonnés différents sites internets et j 'y est appris plusieurs choses, je tiens à alerter tous ceux pour lequel il est encore temps. Il est possible de rendre insaissisable vos résidences principales en procédant auprès de votre notaire à un acte en faisant référence à la LOI DUTHREIL. il faut le faire avant que la banque pose l'hypothèque. Pour nous, c'est trop tard, et de plus cette posibilité, je ne suis pas sûr que cela marche pour les non- entrepreneurs ??. (pour rappel nous ne sommes que cautions) Par ailleurs, je suis également tombé sur une jurisprudence datant du 16/09/1999 du TGI de Meaux, mettant en cause la lettre d'information annuelle obligatoire, que la banque doit envoyer aux cautionnaires, en plus de l'information. sur le solde du prêt, il devrait y avoir le détail à savoir les intérêts, les frais etc..... dans nos courriers annuels il y a bien le solde du prêt, et sur la ligne : intérêts, commissions, frais et accessoires, il y a juste la mention : MEMOIRE, je me demande si ce manque d'information rentre dans cette jurisprudence ??? Si quelqu'un à l'info ?? Bon courage à tout le monde
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Réponse anonyme
Le 28/05/2013 é 18h59
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Bonsoir, En lisant les propos ci-dessus présentés, je me suis pleinement retrouvée dans ce descriptif. En 2009 j'ai voulu monter une société de location de voitures sans permis, et, certaines du travail de préparation que j'avais accompli pendant deux ans, je savais où je voulais aller, et surtout ce que je ne voulais pas. De plus, j'ai travaillé pendant plusieurs mois auprès d'un Administrateur Judiciaire, alors je connaissais les risques d'une activité indépendante, et les erreurs à ne pas commettre ... Oui, mais c'était sans compter avec la malhonnête du banquier ! Après avoir commencé à démarcher plusieurs concessionnaires de VSP (voitures sans permis) j'ai été contactée par notre cher banquier qui ayant obtenu mes coordonnées par l'un des concessionnaires m'a fait part de son intérêt pour mon projet. Je n'ai rien eu à faire, ni à mendier, ni à pleurer, il avait la solution à tous mes besoins. Bien sûr avec l'aide d'Oseo.... bref, après de nombreux mois de résistance et de peur, j'ai enfin cédé à la pression et je me suis lancée. Ayant validé tous les montants des différentes échéances de crédit liées à l'activité avec mon cher banquier, j'ai monté mon "business plan" et je l'ai présenté à la Chambre de Commerce locale qui a approuvé mon projet, m'a même félicité et m'a octroyé un prêt d'honneur de 1500 €. Tout était merveilleux, sauf qu'après deux ou trois mois après la création de mon activité, j'ai découvert que les différents financements liés aux véhicules avaient été réduits de 3 ans à 2 ans multipliant ainsi les mensualités x 2 et rendant l'activité irrémédiablement compromise, voire carrément non rentable, et cela quel que puisse être le nombre de véhicules loués. Bien entendu, j'avais signé un cautionnement personnel pour couvrir les 30 % manquants à celui d'Oséo, plus un cautionnement sur chacun des crédits bail des VSP .... Bref, après 6 mois d'activité catastrophique (plus de dépenses que de rentrées financières) j'ai annoncé mon intention de mettre fin à mon activité. Et là miracle, le banquier qui jusqu'à là ne pouvait absolument pas modifier les durées des leasing VSP m'a annoncé pouvoir faire quelque chose si je consentais à poursuivre mon activité .... Alors, après tant de mois de labeur (compris les mois de préparation) mon époux m'a encouragée à ne pas jeter l'éponge .... j'ai donc accepter .... Et lorsque nous nous sommes à nouveau retrouvés devant le banquier pour signer les nouveaux contrat de crédit bail, et bien sûr les cautionnements qui allaient avec, mon cher banquier nous a d'abord annoncé qu'un cautionnement complémentaire était demandé pour couvrir le découvert bancaire (12000 €), et lorsque tout fut enfin signé, il a eu l'air un peu embarrassé, s'excusant d'avoir oublié ..... de nous annoncer que le financement restant sur les deux autres VSP encore à acheter était désormais définitivement bloqué. Endettés jusqu'au coup, cautions de surcroît, nous venions de comprendre que nous nous étions une nouvelle fois fait avoir, car avec seulement deux véhicules à disposition, il était évident que l'activité ne pourrait jamais être rentable, et aucune possibilité d'augmenter l'activité commerciale de l'entreprise n'était désormais envisageable faute d'acquisition de nouveaux véhicules. J'ai arrête depuis l'activité, mais je n'ai pas encore déposé le bilan, car j'ai la ferme intention d'obtenir l'annulation des différents cautionnements liés aux contrats de prêts pour vice de procédure, DOL et manque d'information. Je suis aujourd'hui redevable de 19500 € à la banque, qui a pris soin de s'adjoindre les services d'un Huissier de Justice qui me harcèle tous les mois pour récupérer un peu d'argent. En outre, ils ont pris soin de prendre une hypothèque sur ma maison. Je ne lâcherai jamais le morceau, j'irai jusqu'au bout pour obtenir réparation et justice. Ce que le conseiller bancaire a fait est foncièrement malhonnête et je ne me laisserai pas faire. Grâce à l'aide des conseillers de la Chambre de Commerce de ma région j'espère avoir l'appui nécessaire pour prouver la malveillance et surtout la fraude. Car les chiffres ne mentent pas, il est clair que si mon business plan avait mentionné les montants des échéances telles que ces dernières ont été instaurées par la Banque sans m'en aviser, je n'aurais jamais obtenu le prêt d'honneur. Même les différents prêts bancaires n'auraient jamais du être octroyés car les échéances ne permettaient pas une activité rentable. Seul la fraude et la modification des chiffres à mon insu a permis une telle manipulation frauduleuse.
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Réponse de mariechristou
Le 30/07/2013 é 18h05
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Et bien voila je croyais qu'Oseo m'avait oublié depuis 2011 et bien non ! non une personne de chez Oseo qui ne s'est pas présenté vient de m'appeler en me menaçant de saisie pour la somme de 4000 euros (que je pensais ne pas avoir à rembourser en cas de cessation d'activité comme un grand nombre d'entre nous )car je ne fais rien pour les rembourser et pour cause je suis depuis une année en commission de surendettement et ai perdu mon job depuis le 30 juin 2013, mais cette femme très agressive et menacante m'a dit que "c'était trop facile" !!!!! je craque que puis je faire qui peut me conseiller ? merci d avance
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Réponse de filarmonik
Le 30/07/2013 é 19h41
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Vous parlez de cessation d'activité... il est nécessaire d'en savoir plus pour comprendre pourquoi Oséo vous poursuit. 1 - Vous avez subi une liquidation judiciaire, suite à un redressement, alors, à mon sens, cette procédure n’est pas valable. Etant déchu de vos droits de gérant, c'est le liquidateur qui se charge de solder la société. 2 - Vous avez arrêté votre activité en soldant toutes ses dettes, dans ce cas, vous auriez pu oublier Oséo, et alors cette procédure est dans l'ordre des choses... Il est important de mieux comprendre votre situation pour pouvoir y apporter un regard circonstancié. Cdt
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Réponse anonyme
Le 08/09/2013 é 22h40
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Bonjour pour ma part c mes parents qui sont cautionnaire a 30% et oseo a 70% ils sont a la retraite et on une maison payer, j'envisage de faire une liquidation judiciaire mais est ce que la banque va déjà saisir leur maison avant de réclamer les 70% a oseo, et vont ils prendre en compte toutes les dettes(loyers des murs,fournisseur,Rsi....)ou juste la sommes du a la banque?peuvent ils me réclamer l'argent avant même la fin de la procédure de liquidation?vont ils essayer de trouver une solution avec moi pour ma dette ou directement contacter mes parents?peuvent ils hypothéquer leur maison sans même les prévenir?es ce préférable de ne pas prévenir la banque aidez moi a y voir plus claire? je dois prendre une décision dans les semaines a venir et vraiment pas causer de problème a mes parents. pour l'instant je baisse le prix de mon magasin jusqu'a passer a 10000 euro en dessous de ce que je l'ai payer en 2010. en vous remerciant d'avance
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